PARTIE 2 : Enfin la sodo ?
Gorko prend ma femme dans ses bras, relève sa mini-jupe, lui pétrit les fesse puis lui dit :
— Déshabille-toi, garde juste tes bas et tes chaussures
Lui aussi se déshabille. Une fois finie, il la fait basculer sur le bord du lit, cuisse écartées.
Il lui bouffe la chatte comme un sauvage, Carine couine comme une folle, se cramponne à la couverture. Ensuite il retira sa langue pour y mettre ses grands doigts, 2 puis 3.
Ensuite, il la fit se mettre à 4 pattes au milieu du lit. La queue a la main, il allât lui prendre la chatte mais je dis :
-Stop, pas sans capote !
Il me répond :
— Pourquoi tu ne veux pas ? On se connait maintenant ! Même elle, elle na pas dit non !
Carine dandinait sa croupe pour attirer la queue de son black, elle était vraiment en chaleur la garce ! Je lui fis comprendre quil était encore trop tôt et que lon pourra envisager cela quand nous nous verrons plus souvent.
Résigné, il mit le préservatif que je lui donnai et pris ma femme sans ménagement en la traitant de tous les noms : « Grosse pute ; salope ; suceuse de blacks ».
Il la baisée comme ça pendant au moins un quart dheure, jusqu’à ce quil dise :
— Aller je veux recommencer avec ton cul !!
Toujours à 4 pattes, Carine ouvrit le tiroir de la table de chevet et en sortit le tube de vaseline quelle étalait dans ses main avant den mettre sur la queue de Gorko en le branlant gentiment en position assise.
Elle le regarda, toujours sans rien dire, comme un signe entre eux et se remis a 4 pattes.
Les cuisses de ma femme était bien écarté, son cul bien tendu vers le haut. Gorko pris sa queue dans sa main droite et dirigea le gland de son énorme bite vers lanus de ma femme.
Lentement le gland sinsinua dans lanus de ma femme puis a la moitié du sexe. Carine, dans un grand soupir :
— Oh ! Putain cest bon ! Encore !
Gorko se retira quelque peu puis senfonça se retira senfonça Le tout, dun rythme assez calme. Lénorme bâton noir senfonça de plus en plus profondément à chaque pénétration jusqu’à etre entièrement dans lanus de ma femme !
A partir de là, les va et viens devenait plus vigoureux, les hanches de Gorko tapait celles de Carine qui hurlait :
— Ouiii, baise-moi, baise-moi, baise-moi !!
Ce spectacle grandiose tant attendu dura de longue minutes et Gorko eu un râle de bête. Il venait de jouir.
Quand il ressortis l’énorme membre de l’anus de ma femme, une grosse boule de latex suivis son gland, cétait le réservoir du préservatif qui était remplis a ras bord. La jouissance du malien avait tellement été forte que la protection était prête a explosée
Il nous quitta 30 minutes plus tard et nous nous promîmes de reprendre contact, ce que nous ferons !