Voir sa femme sans culotte, s’exhiber devant des jeunes, passe encore.
La voir faire un véritable numéro de petite putain avec ses propres fils, ça devient glauque.
Mais voir ses deux enfants, l’un se faire tailler une pipe d’enfer (qu’elle ne m’a d’ailleurs jamais proposée, à moi, son propre mari !) et l’autre fister sa gentille maman, c’est quand même un peu abuser, non ?!
Voila en quelques mots, le cauchemar dans lequel j’étais englué, parce qu’en plus, d’après ce que j’avais compris, c’était moi qui avait le rôle du méchant !
Allez comprendre !
En tout cas mes fils ne perdaient pas le Nord !
Sitôt, la fellation de Michel terminée par ma femme, Damien donna ses instructions .
" Michel, tu vas chercher les lanières de cuir, maman repose toi, on revient ! Tu prendras aussi la cravache, le gel et les godes, je suis sûr que notre chère maman en aura besoin.
— Tu es sûr frangin ? J’ai l’impression que tu as beaucoup fatigué
notre mère avec ton fist fucking invétéré
— Dis donc mon pote, à ton avis c’est grâce à qui que nous pouvons utiliser maman comme bon nous semble ?
Avant tu en avais beaucoup des mufs que tu pouvais baiser à n’importe quelle heure, de n’importe quelle façon, te faire sucer, les enculer, les
fouetter ? etc.
Non je n’en ai pas l’impression.
Tout ce que l’on vit à présent, c’est grâce à mes petites combines, alors tu fermes ta gueule et c’est moi qui dirige, capito ? "
Les deux frères revinrent dans la chambre conjugale, les bras encombrés de paquets.
Ma femme toujours sur le dos, les jambes ouvertes se délectait de sa condition de catin, elle promenait même 2 doigts sur son sexe en attendant la reprise des hostilités !
Mais merde, pourquoi je n’avais pas vu tout ça, je l’avais quand même baisé un paquet de fois en 22 ans !
Et là, elle allait se faire défoncer par nos deux fils, la vie était vraiment injuste .
Damien s’approcha d’elle et sans lui demander son avis lui fixa une boucle de cuir autour du poignet droit, puis du gauche, qu’il attacha aux montants supérieurs de notre lit.
Michel, quant à lui, fit la même opération, en entourant les chevilles de sa génitrice, avec le même cuir, aux montants inférieurs du lit, non sans balader un doigt gourmand sur la chatte de sa mère.
" Michel, je t’ai déjà dit que quand on fistait maman, on laissait sa petite chatte se remettre de la dilatation.
Donc tu reprends les liens, c’est sur le ventre qu’elle doit être attachée.
Tu sais pourquoi maman ?
— Oh mes chers fils ! Je vous présente mon cul de salope, faites en ce que bon vous semble. En un mot enculez moi tous les deux !
— T’inquiète maman on va te faire ta fête, au fait, tu aimes les fessées ?
— J’ai été une très vilaine fille, j’ai couché avec mes deux fils et j’ai trompé mon mari, que devra être ma sanction ? "
Je reconnaissais là, les codes du jeu de rôle dominant/soumise, sauf que là c’était mes deux fils qui soumettaient leur mère à leurs saloperies sexuelles. Ils allaient m’entendre, ceux la !
Damien s’adressa de nouveau à sa mère :
" Maman si tu es bien sage et que tu admets tes fautes, tout se passera bien, sinon ! "
Il se pencha prés de son oreille, non sans caresser l’un des seins de sa mère:
" Maman, demande nous ce que tu veux qu’on te fasse ?
— La cravache, le martinet, la fessée, faites moi mal et puis baisez moi, enculez moi, et faites moi jouir !
– J’ai pas compris maman ( il la poussait à bout) .
– Petit merdeux (au bord de l’asphyxie et de la frustration), la cravache, sur ma chatte,mon cul mes seins, mes cuisses, tes mains qui me giflent, me frappent, me pincent; t’es puceau ou quoi ?!
Je veux que vous me baisiez, que vous m’enculiez, me fouettiez !
Vous avez des couilles ou quoi ?
Je veux de la baise sauvage, bande de petits merdeux ! "
Rien de plus explicite, le message était clair et je craignais le pire pour ma chère et tendre épouse; en effet elle avait un peu poussé loin le jeu de rôle soumise/femme adultère- bourreau, rédempteur.
Drôle de spectacle, ma femme sur le lit conjugal, couchée sur le ventre, liée aux montants du dit, par des lanières de cuir, les jambes bien écartées, le trou du cul luisant de cyprine, attendant de se faire enculer, chose qu’elle m’avait toujours refusée!
Alors Damien commença à la fesser de magistrale façon avec le plat de la main, Céline criait et jouissait en même temps:
" Salaud vas- y, ouuuiiiii ! C’est trop bon ! "
Son frère prit alors la cravache, et commença à cingler le dos de sa mère et ses seins sur les cotés.
Puis Damien remplaça sa main par un bon martinet dont il fouetta le cul de sa mère, avec gentillesse, néanmoins.
Après cette petite séance de réprimandes, Michel lui pénétra son petit trou du cul, qu’il avait préalablement enduit de gel pimenté, avec un gode de taille raisonnable, ce qui avait pour objet de faire se trémousser la belle !
Douleur, plaisir et jouissance, le meilleur des cocktails !
Ma femme commençait à perdre la tête sous les assauts conjoints de ses deux fils.
Alors Michel se présenta, bite en avant devant le petit trou du cul de sa douce maman, s’enduisit le vit de gel et sans tambour ni trompettes pénétra d’un seul coup le postérieur maternel !
Céline eut un haut le cur sous le coup de la surprise, mais commença très vite à râler et ahaner, car Michel lui ramonait le rectum de façon délicieuse.
Si ma femme n’avait jamais désiré la sodomie de ma part, je peux dire, au vu des images qui défilaient devant mes yeux écarquillés, qu’avec mes fils, elle adorait se faire enculer !
« Huuummmm ! C’est trop bon Michel ! Ta grosse bite d’amour dans mon petit trou de salope ! Oui ! OUIIIIIIII ! Vaaasss YYYY !
Encule fort ta jolie petite maman ! »
De son coté, Damien profitait des entraves de sa mère, pour se présenter, bite en avant au niveau de la bouche de sa génitrice.
Il lui saisit la tête, par les cheveux et sans façon, introduisit son phallus dans la bouche de sa maman, dont il se servit comme d’un vagin, faisant avancer et reculer la tête de ma pauvre femme, au cours d’une masturbation buccale endiablée !
Céline, sous les coups de boutoir de Michel dans son cul et la fellation sauvage que Damien faisait subir à sa bouche ne tarda pas à connaitre les délices d’une jouissance colossale:
" Oui, oui oui ! Huuummmmm ! Putaain ! Vous me faites trooop du biiiieeennnn ! "
Les deux garçons se retirèrent du corps entravé de leur mère, par décence, pour la laisser profiter des affres de son orgasme.
Elle se mit à rire et à pleurer en même temps tout en poussant de grands éclats de voix et des soupirs.
" Maman, ça va ? S’inquiéta Michel.
— Mais oui abruti, depuis qu’on la baise tu devrais reconnaitre un orgasme, un vrai ! C’est vrai que ce ne sont pas les petites pisseuses que tu dragues qui en sont capables !
— Ta gueule Damien !
— Les garçons, arrêtez tout de suite, vous m’avez apporté trop de plaisir. Damien, viens achever ta vilaine maman, qui ne pense qu’au cul ! "
Damien ne se le fit pas dire deux fois et pénétra sa mère en douceur, il voulait sentir son gland s’insérer doucement entre les grandes lèvres, forcer les petites et caresser le clitoris en passant, puis il commença un mouvement de va -et -vient et sa maman, salope lubrique il est vrai, ne tarda pas à jouir une fois de plus, à grands renforts de cris et de ahanements.
Une fois Céline libérée de ses liens de cuir, les trois se retrouvèrent nus, (Céline néanmoins en bas gris) couchés l’un à côté de l’autre sur les oreillers du grand lit conjugal, en train de fumer une cigarette, celle de l’amour !
Avec un grand élan d’affection, elle leur dit :
" Ah mes garçons, ce que vous pouvez me faire du bien ! En 5 semaines j’ai plus joui, avec vous, qu’en 22 ans avec votre connard de Père !
Tu sais Damien, sur le coup quand tu m’as annoncé que Guillaume me trompait avec ses collègues et que tu me l’as prouvé avec le mail que cette
petite pute lui avait envoyé, le monde s’était écroulé pour moi.
Je n’avais plus de raison de vivre parce que j’aimais mon mari et qu’il m’avait trahi de la plus misérable façon !
Mais aujourd’hui (prenant dans chaque main les queues déjà turgescentes de ses fils) vous m’avez redonné gout à la vie, foi dans mon corps de femme et dans mon sexe.
Jamais je ne saurai m’acquitter de ma dette de cul envers vous !
— T’inquiète pas maman on trouvera, on trouvera ! "
Sur ce, elle se jeta à nouveau sur les bites des ses fils et les engloutit de sa belle bouche vorace de mère indigne !
Le visionnage s’arrêta sur la vision infamante ?
Ou excitante de ma femme en train de sucer ses deux fils avec application !
