Nous rejoignîmes le groupe qui nous offrit une bière à chacun.
Bière que Cécile dégusta avec délectation, elle qui ne supportait pas l’alcool et l’avait en horreur. La conversation tournait sur des sujets débiles, mais je remarquais que Cécile n’était pas insensible au charme du grand gars bronzé.
Ce dernier et la fille rousse, qui faisait un peu pétasse, l’entrainèrent progressivement loin de moi.
Moi, je restais là, accompagné des deux autres gars qui me retenaient subtilement. Puis, le « chef » du groupe m’interpela, discourant dans un argot très approximatifavec des termes très crus qui me portèrent le rouge aux joues.
« T’inquiète mon gars, Eva et Marco vont encore offrir une bière à ta femme, et bien s’occuper d’elle On va se rouler une clope.
Alors c’est vrai que les femmes enceintes c’est des vraies nymphomanes qui ont toujours envie de baiser ?
Tu dois t’éclater, pas vrai ?
— Bof ! C’est surtout une légende
— Tu verras si elle reste un peu avec nous, on va te la décoincer ta bourgeoise. Quand on va te la rendre, ce sera une vraie chienne en chaleur
— Ben je ne sais pas trop
— Surtout qu’elle est vraiment bien gaulée ta blonde, elle a de supers beaux nibards, elle ne porte pas de sous tif, non ?
(En l’occurrence, moi, le petit étudiant en droit, je ne comprenais pas trop ces réparties argotiques)
— Non
— Je suis sûr qu’on pourrait se faire de belles branlettes espagnoles, sur des seins comme ça. »
Un peu perdu face à la logorrhée approximative de cet homme, je le laissais divaguer, et en restais très perplexe
« Mon fils Enzo, il a perdu sa maman à la naissance, il a jamais eu la chance de sucer des seins bien juteux comme ça. Tu ne voudrais pas lui refuser ça, non ?
— Ben, ça m’étonnerait que Cécile soit d’accord, elle est très coincée, je ne peux plus lui faire l’amour depuis 4 mois !
— Si tu nous la laisses, on va te la rendre avec la chatte en feu, tu pourras la baiser nuits et jours
Elle sera folle de sexe, une vraie nympho ! »
L’alcool, l’ambiance, les propos du vieux, les gestes de défi et de dévoiement de Cécile me faisaient un peu perdre le discernement.
Cette conversation me dégoûtait et m’excitait en même temps.
D’autant plus que la petite rousse me plaisait bien ! L’enivrement, l’irréalité de cette conversation avec des obsédés sexuels, m’incitaient de plus en plus à laisser parler mes instincts les plus bas et à utiliser le même vocabulaire qu’eux !
Je commençais à voir en imagination ma femme à poil, au milieu de ces racailles en train de se faire prendre par tous les trous, enceinte en plus, pendant que moi je me faisais sucer par cette Eva
C’est vrai que ça commençait à m’exciter sérieusement cette histoire, et puis ça ressemblait tellement au scénario décrit par Cécile alors que nous avions encore de bonnes relations. Elle m’avait expliqué dans le moindre détail son plus gros fantasme préféré. En effet quelques années en arrière, Cécile m’avait raconté le scenario qui l’excitait le plus. Et cela, dans des termes pornographiques, que je n’étais pas habitué à entendre dans la bouche de cette jeune femme de bonne famille !
« Je porte une robe très légère, il fait chaud, c’est le soir, peu importe oùil y a des gens autour de nous dont beaucoup de jeunes énervés et excités par les femmes qui les entourent.
L’alcool coule à flots, moi-même, je bois pour me désinhiber !
Et puis on se dispute, tu m’énerves tellement que je te dis que si tu continues comme ça, je vais me taper un ou plusieurs mecs.
Je te demande une clope, comme je ne fume pas habituellement tu refuses, alors pour t’humilier et te montrer que je suis sérieuse, je quitte mon soutien-gorge et ma culotte.
Je suis alors nue, sous ma petite robe légère, dont le contact sur mes seins et mon minou, m’excite et me fait mouiller.
Alors le tissu de ma robe, humidifié par ma cyprine, colle au mont de Venus, révélant à tous, les détails anatomiques de ma petite chatte d’amour, alors que mes tétons semblent eux aussi vouloir percer le tissu.
Si j’ai des bas et un porte-jarretelles, c’est encore mieux !
Forcement je suis un appel à la luxure et quand un groupe de jeunes me remarque et me montre de l’intérêt, je te propose d’aller leur parler et là, tu exploses : tu me traites de trainée, de perverse et tu te casses, me laissant au milieu de ces hommes libidineux qui ne pensent qu’à me sauter!
Je fais semblant de ne pas avoir compris leurs intentions et naïvement, je les suis dans un coin isolé, en espérant pouvoir assouvir avec eux tous mes fantasmes les plus délurés !
Et là, comme des bêtes en rut, ils commencent à me peloter et quand leurs mains s’égarent en dessous de ma robe et qu’ils s’aperçoivent que je suis nue, et que je mouille comme une salope, ils deviennent fous et c’est la curée.
Pour les exciter encore plus, et jouer le jeu, j’essaie bien de leur échapper, je cours toute nue avec le souffle de l’air chaud de la nuit sur mon sexe offert !
Ils me rattrapent, me giflent sur diverses parties de mon corps et me demandent de faire des choses
— Mais tu es folle Cécile, c’est monstrueux!
— Tu ne comprends pas : ces choses, j’ai envie de les faire, mais l’éducation rigide de mes parents me crée des blocages dans la tête.
Là, je m’abandonne, je suis « contrainte avec consentement », et je fais tout ce dont j’ai toujours rêvé sans avoir jamais osé le demander, j’adore ça et je jouis comme une folle toute la nuit !
— Mais quels trucs ?
— Te tromper, me forcer, délicieusement, à faire l’amour avec des inconnus, me partouzer, m’enculer, me fister ma petite chatte d’amour si avide de gros calibres !
S’il y a une fille, elle m’obligera à lui lécher le sexe, elle me doigtera la fente et le cul et puis m’infligera un 69, et je la laisserai faire avec délectation !
Et toi, tu es à l’écart en train de jouer au voyeur, tu regardes avec délectation ta petite femme se faire baiser sauvagement pendant que tu te branles frénétiquement, et si tu as de quoi, tu nous filmes.
Ça fera des souvenirs de vacances !
— Tu es tarée, Cécile, je ne peux pas cautionner ça ! »
Voilà ce qu’elle m’avait dit.
Le problème avec Cécile, c’est qu’elle a une grande bouche et ne connait pas ses limites Après tout, avec la méchanceté qu’elle éprouve à mon égard, si elle a envie de se retrouver dans la merde
L’un des deux jeunes, m’adressa la parole.
« Écoute mon ami, je suis certain qu’elle te plait Eva ! J’ai vu comme tu l’as matée tout à l’heure !
Tu sais cette fille c’est une bombe atomique ! Tu peux pas t’imaginer ce qu’elle est bonne au pieu!
Alors on pourrait faire une espèce de « deal »disons, toi avec Evapendant que nous trois, moi, mon père et mon frère Marco, on fait la conversation à ta petite femmeà l’abri, loin des regards !
Tu vois ce que je veux dire ?
— Ben oui, mais votre copine, elle sera vraiment d’accord pour que je fasse l’amour avec elle?
— Écoute, c’est pas ma copine, c’est ma sur, mais elle est chaude comme la braise ! D’ailleurs ta petite femme lui plait beaucoup.
Elle aime les femmes ton épouse ?
— Ma femmeelle n’aime rien du tout ! Malheureusement pour moi !
— T’inquiète, mec, on va te la changer »
C’était de mieux en mieux, je me sentais attiré dans un piège…
Le seul espoir était que Cécile prenne la mouche, quand on allait lui annoncer qu’elle allait partouzer enceinte avec des inconnus, devant son mari ! Et le vieux enfonça le clou !
" Alors si on allait leur annoncer la bonne nouvelleet après si on allait s’amuser dans les étangs là-bas, sur la plage près des jeux en bois, on pourrait se faire une bonne petite fête au clair de lune. Toi avec Eva et nous trois avec ta femme
— Ben c’est un peu glauque quand même, vous voulez partouzer ma femme qui est enceinte ?
— T’as tout compris mon gars, on va la prendre par tous les trous !
Tu vas voir le nombre de fois qu’elle va jouir ! »