Eva se redressa et cria aux hommes :
« À vous les gars, baisez-moi ma copine et donnez-lui du plaisir ! »
Aussitôt les trois hommes montèrent sur la grande table de pierre et entourèrent Cécile fiévreusement, ils lui caressèrent les seins, le sexe, les hanches.
Le vieux caressait avec avidité son gros ventre de femme enceinte.
Ils étaient fous de désir, de concupiscence à caresser la femme d’un autre ; femme enceinte de surcroît, avec ses seins énormes aux pointes distendues, le sexe aux grosses lèvres, inondé de cyprine.
Le tabou à faire exploser : faire d’une honnête femme issue de la petite bourgeoisie, une femme enceinte, qui porte la vie, qui devrait se conformer aux règles de bienséance de la société, une femme délurée, nymphomane, impudique, exhibitionniste ! Une Putain !
Baiser, partouzer une femme enceinte, ils en avaient toujours rêvé, et là, l’occasion : un couple plein de frustrations sexuelles, les conjoints qui se disputent, le défi de la femme humiliée publiquement par son mari.
Un mari sympathique, plein de candeur qui offre sa femme enceinte à des inconnus ripailleurs et obscènes !
Elle s’offrait à eux, sans pudeur, sans retenue, prise dans une furie sexuelle démentielle !
Cécile ahanait de plaisir sous les caresses de tous ces hommes en rut.
C’était la première fois qu’elle allait s’offrir à tant d’hommes en même temps.
Après la séance saphique avec Eva, son vagin demandait plus de sexe encore
Elle avait envie de sentir des bites bien dures la pénétrer dans le sexe, le cul, la bouche.
Elle allait pouvoir assouvir le merveilleux fantasme qu’elle s’était construit depuis toutes ces années, alors que Paul son petit mari n’arrivait pas à la satisfaire complètement et à lui donner le plaisir qu’elle méritait.
Elle allait pouvoir combler le terrible appétit sexuel que lui provoquaient ses hormones de grossesse, et, cerise sur le gâteau, elle savait que son mari, tel un voyeur lubrique, la regardait avec délectation subir tous ces délicieux assauts.
S’il avait bien suivi ses instructions, il la filmait, enregistrait toutes ses perversités sexuelles, ainsi dévoilées à la face du monde.
Que pensait-il du spectacle ?
« Oh ! Mon Dieu Paul, j’espère que tu crève de jalousie, à voir ta petite femme se faire prendre par tous les trous avec délectation ! Tu as vu comme j’ai baisé Eva, comment on s’est brouté le minou ? Tu en aurais rêvé d’être là, à coté de nous ! Et là je vais prendre ces trois bites bien dures, je vais les sucer comme jamais je ne t’ai sucé, toi ! Et puis ils vont me défoncer cul et chatte mmmhuuumm ! Tu vas voir de quoi elle est capable la Cécile frigide, l’étoile de mer, espèce de salaud ! » pensait-elle, en silence
Était -il affolé, désemparé, horrifié par la dépravation de sa chère épouse si prude ?
Etait-il excité, bandant comme un malade, se régalant de la déchéance publique et sexuelle de sa femme ?
Se branlait-il comme un possédé, espérait-il que les « racailles » allaient la conduire vers des sommets de perversion sexuelle, en faire « la putain absolue », rêve éveillé ou inconscient de tout homme quant à son épouse ?
En pensant à tout cela, elle gémissait encore plus sous les caresses.
Elle se serait bien, doigté la chatte si cette dernière n’était pas déjà réquisitionnée par les doigts des trois hommes !
Elle n’avait qu’une envie, montrer tout le film à sa chère mère qui la considérait comme une pauvre fille frigide, incapable de satisfaire un homme.
Elle allait enfin pouvoir exercer sa vengeance sur celle qui l’humiliait depuis tant d’années !
Lui démontrer qu’elle aussi pouvait faire la salope comme sa mère
En effet Cécile n’était pas dupe : elle savait que sous ses airs de pudibonderie, Martine, sa mère, grande blonde très sévère, coupe au carré, lèvres rouge carmin, lunettes d’écailles qui lui donnaient un air de petite salope BCBG, en pinçait pour son mari.
Jamais, en visite, dans la maison familiale, Cécile n’avait laissé son mari seul avec sa mère.
Ce dernier lui avait avoué qu’il était émoustillé par les tailleurs foncés strictes de sa belle-mère, qu’elle lui faisait l’effet d’une dominatrice perverse et qu’il aurait bien eu l’envie de se laisser soumettre par bonne maman
Et c’est vrai qu’elle était trop bonne, belle maman !
Malgré ses 49 ans, une silhouette parfaite, des seins aguicheurs, un petit cul à faire damner un saint et puis ce regard austère, dédaigneux, excitant !
Cécile était persuadée qu’en laissant Paul seul à la maison, elle aurait trouvé, horrifiée, sa mère faire l’amour avec son gendre, et certainement dans la chambre d’ami qu’ils occupaient !
Elle imaginait son mari sur le dos, avec sa mère en cavalier sur lui, en train de se faire baiser vigoureusement.
Paul avec ses mains en train de malaxer les gros seins de Martine, cette dernière gémissant et ahanant avec vulgarité :
« ooouui ! Mon gendre ! Baise la, ta salope de belle-mère. Je vais te donner tout ce dont ta femme est incapable ! Cette petite grue !
Moi tu peux tout me faire, même les trucs les plus vicieux ! »
Pensant à son plan lubrique, Cécile voulait plus d’action de la part des trois hommes :
« Oh ! Les mecs maintenant prenez moi vigoureusement ! »
Le vieux défit son pantalon et présenta une bite de très belle taille devant la petite chatte sans défense de mon épouse : privilège de l’âge, il allait baiser ma femme en premier comme il me l’avait certifié !
Le vieux possédait ma femme et la faisait jouir avec sa grosse queue bien dure !
Marco et Enzo s’étaient rapprochés du visage de ma femme et lui avaient présenté leurs bites tendues, pleines de désir.
Cécile les branlait avec ses deux mains, en leur caressant les couilles, puis elle les rapprocha de sa bouche et tournant sa tête de droite ou de gauche, elle les suçait tous les deux en même temps !
Les deux hommes en profitaient pour lui caresser ses deux gros seins appétissants aux pointes turgescentes .
Elle soupirait et gémissait sous les assauts du vieux entre deux fellations.
Le vieux, la baisant de plus en plus vite finit par exploser dans sa chatte, ses deux fils ne tardèrent pas à éjaculer de longues coulées de sperme dans sa bouche, sur ses seins et son visage.
Les rôles changèrent et ce fut Marco qui bourrina ma femme de son gros mandrin !
Alors Eva se mit à califourchon sur la bouche de Cécile et lui présenta sa petite fente d’amour à lécher !
Cécile honora Eva de différentes caresses buccales, sur sa chatte, qui lui donnèrent beaucoup de plaisir ; celle-ci gémissait sous l’afflux de jouissance que lui donnait son amante.
Puis Cécile fut placée à genoux sur la table, le cul en l’air, la chatte bien dégagée et la tête contre la pierre.
Et Enzo commença à lui caresser les fesses et le petit abricot tout juteux et débordant de sperme
Il doigta le petit illet brun foncé de ma femme, encore vierge de toute pénétration, et avec la lubrification du sexe enfonça très vite un, puis deux doigts dans son cul.
Cécile pensait, ivre de désir :
« Oh mon Dieu, il va me sodomiser, je vais me faire enculer pour la première fois, au milieu de ses étrangers qui me reluquent, qui m’ont partouzée, et mon mari qui me mate et me filmec’est trop excitant ! »
Enzo présenta son gland contre le sexe de Cécile, pour le mouiller, puis il força doucement le petit trou d’amour de ma femme et il poussait, poussait
Cécile s’écria :
« Non arrête ! Ça brule, ça fait mal !
— T’inquiète pas chérie, dans deux minutes tu vas prendre un pied d’enfer ! »
Enzo continuait de s’enfoncer dans le rectum de Cécile qui se dilatait, tandis qu’Eva plaçant sa tête sous le ventre de son amie, lui léchait la chatte pour la soulager !
Enzo était au fond du cul de ma femme, il la limait avec sa bite, il faisait son passage.
Cécile commençait à apprécier la pénétration anale :
« Oui ! Oui ! Vas-y c’est bon , plus viiittte !
— Alors ma salope, c’est bon de se faire enculer ?
— Oui ouuuuiiiii !!! j’adooore me faire prendre par le cul, vas y salaud, donne moi à fond ! »
De ma hutte de chasseur, je filmais la scène de sodomie de ma femme.
Je n’aurai jamais cru qu’elle aimerait autant cela, alors qu’elle me l’avait toujours refusé !
Mais quelle nympho ! Je l’entendais jouir et ahaner sous les assauts d’Enzo et le cuni d’Eva ! Cécile enfin libérée sexuellement ! Quel bonheur !
Le vieux n’avait pas menti, lorsqu’il m’avait dit qu’après avoir partouzé ma femme elle en redemanderait !
Ma si douce et trop honnête femme, devenue une bête de sexe lubrique, j’avais une envie folle d’en profiter moi aussi !
Après avoir joui tous les trois, tout ce petit monde s’allongea et fuma une cigarette, même Cécile, qui en réclama une.
Décidément la « pipe » ne lui suffisait pas
Alors Eva s’adressa à Enzo et lui dit d’aller chercher « Dino » à la voiture
Cécile leva la tête, elle qui pensait la séance de baise terminée.
Moi, j’avais peur de comprendre, j’espérais que Cécile n’allait pas regretter son escapade sexuelle