Caché dans l’ombre, en chaussettes, je vois par l’encoignure de la porte se découper les silhouettes de Serge et Elodie.
Devant le salon, ils se tiennent face à face. Lui, grand, la dominant de ses larges épaules, ses mains sur les hanches d’Elodie, elle fine, longiligne, accoudée sur sa poitrine, les mains posées autour de son cou. Ils se sourient et gloussent de satisfaction.
"Il gèle dehors, tu n’as pas eu froid … au cul?" Lui redemande-t-il avec un clin d’oeil.
« Oh que, non! Je suis brûlante de partout jai besoin dun pompier !
Je suis là pour vous servir. Mais avant de léteindre je vais tenflammer plus fort, ha ha et passer ma lance sur tout les feux.
Jespère bien »
Il sembrassent longtempset serrant leurs ventres lun contre lautre. Leurs lèvres se séparent enfin et Serge fait glisser ses mains sur les fesses dElodie. Elle me tourne le dos, pose le front sur son épaule et se laisse faire. Il fait remonter la jupe, découvrant ses cuisses, puis ses deux fesses mises au jour.
« Découvrons ce feu si brulant !
Oh, que oui »
Serge glisse ses mains sur les fesses dElodie avec délice, prenant le temps de son plaisir, faisant glisser puis malaxant les muscles à pleine main. Elodie savoure en silence les caresses de son amant. Elle respire fort par la bouche. Il lembrasse de nouveau, une longue minute, tout en lui caressant les fesses et bientôt la raie. Sa main va chercher plus profond entre les fessiers. Elle se soumet en écartant les pieds et courbe son cou sur la poitrine de Serge. Elle soupire. De dos, ses longues jambes bottées de noir jusquau dessus des genoux, la main large de Serge écartant et fouillant son entre-fesses, elle est soumise au désir du mâle. Tandis que je la connait plutôt, active et malicieuse, elle semble passive, subjuguée par la virilité un peu massive de Serge. Ses cheveux chatains courts, dégagent son cou, je ne vois pas son visage perdu sur la poitrine de Serge. Celui-ci, la tient maintenant , bassin plaqué contre le sien et joue un peu des hanches, lui faisant sans doute sentir son érection. Toujours, immobile, la large main de Serge, empoignant sa fesse gauche, et lançant deux doigts inquisiteurs vers son fondement. Elodie balance ses reins à la rencontre de ceux de Serge. Lui la main gauche sactivant toujours entre les fesses de ma femme, envoie sa main droite chercher en avant. Elle pivote alors légèrement, la cuisse droite un peu relevée cherchant un appui, que son pied finit par trouver sur la table de salon. Serge fourraille entre les cuisses et Elodie semble apprécier. Sa tête est un peu rejetée en arrière, de profil pour moi, les lèvres ouvertes. Elle tressaille lorsque ses doigts la pénètrent. Serge sourit largement et fait un clin dil dans ma direction, tandis que ma femme sabandonne à ses doigts avec un long soupir. Il la tient serrée entre ses deux mains, lune plantée dans son vagin, lautre fouillant entre ses fesses, cherchant le centre de la cible. Je me rend compte confusément que cela dure depuis un bon moment. Je jette un il à ma montre : cela fait bien dix minutes quelle est entrée, et ils sont toujours debout dans le salon. Quant à moi, cest fou, je bande douloureusement dans mon slip trop serré.
Elodie soupire des : « Cest bon, Oh cest bon, ooh jaime ». Serge, souriant mais concentré agite ses doigts en la fouillant, tirant des sons mouillés de son entre-jambe. On dirait un musicien jouant du violoncelle. Il trouve un rythme, la soulevant presque entre ses deux mains, elle gémissant, les cuisses écartée, son pied gauche toujours sur la table basse, elle monte et descent mouillée sur les doigts de Serge au rythme quil lui impulse : floc floc floc. Son halètement est maintenant rythmé : Aha, Aha, Aha Je le vois chercher plus profond de la main gauche, qui profite des montées et descentes dElodie pour forcer lanus. Loin de se défendre, elle va à sa rencontre fesses bien écartées, deux gros doigts enfoncés bien profond entre ses chairs. Je la vois maintenant de profil, bouche ouverte, geignant de plaisir, la main droite de Serge fourageant sa chatte, et la gauche atteignant enfin son but, elle pousse une sorte de miaulement aigu, pendant qu’il doigte son anus. Son bassin sagite davant en arrière cherchant à amplifier ses sensations en approfondissant les pénétrations.
Il la tient au dessus du sol, empalée sur ses doigts, elle geint continument en agitant son bassin sur ses mains. Je suis ébahi de la voir céder ainsi et accepter passivement, sans parler, les initiatives de Serge. Je bande fort et jai sorti ma queue, je me caresse lentement essayant de me retenir. Au bout dun instant Serge la fait tourner et je peux voir de dos mon épouse prenant les deux doigts de son amant dans le fondement. Il sembrassent à pleine bouche et culbutent enfin sur le canapé, elle dessous, lui dessus, haletants. Serge na pas laché le bassin dElodie et continue de la branler, elle lembrasse à pleine bouche et enfourne sa langue dans sa bouche. « Cest bon, Oh cest bon, ooh jaime encore, encore » continue-t-elle.
Je suis vraiment sidéré de la scène et décontenancé de la voir si passive, car je la connais entreprenante en amour et me guidant pendant laction.
Ils restent lun sur lautre un moment, toujours embrassés et Serge caressant intimement ma femme, Elodie secouant la tête de droite à gauche et gémissant, soupirant. A la fin, Elodie pousse un gémissement de satisfaction qui dure une éternité et finit en aigu : « ououhhh ouououhh . Aaaahhhh iiiii oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mooon Diiieu!». Tous deux respirent vite en se caressant. Enfin Elodie semble retrouver ses esprit et dit en sasseyant à demi : « et si on soccupait de lobjet du délit ?
Comme tu veux, je nattend que ça » rétorque finement Serge. Comme il se redresse aussi je peux vori que sa chemise et sa ceinture sont défaites et que son torse est apparent, poilu, bien musclé, Elodie fait glisser le tissu sur ses épaules et le complimente : « Que tu es fooort ! Jadore ». Avec un air attentif Elodie finit de défaire le pantalon de Serge qui laide en soulevant son bassin du canapé, elle fait glisser son shorty ensuite, découvrant le sexe érigé de belle façon, au-dessus dune paire de couilles sombres à lallure tonique. Elodie ne cache pas son contentement : « encore plus beau que dans mon souvenir tu bandes comme Justin Bridoux là ! Quel saucisson magnifique. Oh mon dieu, ma main a du mal à en faire le tour. »
En effet, Serge arbore une trique du diable, longue et épaisse, dont jai du mal à estimer la taille, mais au vu des mains dElodie, lencerclant avec peine et laissant dépasser un gland large et cramoisi bien au-dessus delles, il me semble quil dépasse aiséement les fameux 20 cm qui qualifient pour une grosse bite. Fascinée par la tige, Elodie ressemble à une petite fille contemplant un cornet de glace, immanquablement ses lèvres se portent timidement sur lengin, faisant le tour du gland énorme et violacé, quelle lèche et savoure consciencieusement. Yeux fermés au début, elle senhardit et le fixe dans les yeux tandis quelle enfourne le cornet plus à fond dans sa bouche. Elle fait coulisser ses lèvres sur la verge qui semble encore augmenter de volume. Serge soupire entre ses dents : « oh vas-y ho vas-y continue oh ho ». infatigable, Elodie enfourne à fond ses lèvres déformées, atteignant la moitié de la hampe, ce qui représente sans doute 12 cm de verge enfournés jusquà sa gorge. Serge ferme les yeux tandis que ma femme continue sa gorge profonde, avalant le gland soigneusement en fin de pénétration. Soudain Serge se cabre et geint, je comprend qu’il jute dans la bouche de mon épouse qui continue son allée et venue puis garde la tige en bouche et se repaît de la semence de son mâle. Car je le comprend cest lui son mâle, elle ne sest jamais laissée aller ainsi avec moi. Subjuguée, dominée, elle adore son amant et on sent comme elle va lui appartenir sans retenue. La soirée, je le sais ne fait que commencer pour ces deux-là et pour moi. Je gicle dans ma main et sur la moquette, en me mordant les lèvres pour garder le silence.