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Ma femme au dessert – Chapitre 2

Ma femme au dessert - Chapitre 2



Sa langue me fouillait comme si elle voulait traverser ma gorge.

— ? Ton baiser est brulant, lui dis-je. Nos deux voisins ont les yeux posés sur tes hanches. Ils ont arreté de manger et j?ai l?impression que la seule vue de ton corps, meme de dos, suffit à leur appétit ?.

Elle quitta mes lèvres et se rassit en prenant son temps.

Elle commencait à saisir le moment comme on saisit une image dans son imaginaire en lui donnant les valeurs rebelles des fleurs sauvages. Elle ne voulait pas reculer devant ses fantasmes. Ces hommes voulaient payer pour la découvrir. Ils avaient fait le premier pas et instaurer de ce fait le fondement du jeu, sexe et argent. Mais les règles du jeu, elle voulait les maitriser et les rendre perceptibles sans conteste. Cette sensation lui faisait du bien. Elle continua allégrement son repas en parlant de tout et de rien, sans manquer de jeter de temps en temps un coup d??il vers la table voisine où les deux inconnus buvaient leur café en parlant à voix basses. Les masques qu?ils portaient cachaient en partie leur visage, mais on pouvait voir quand même que le plus agé devait approcher la soixantaine. L?autre était jeune, une vingtaine d?années au maximum. Peut-être le père et le fils ?

Quand la corbeille de fruits arriva sur notre table, Maria me tendit ses lèvres en se soulevant légèrement de son siège. Elle me sussura qu?il était grand temps de réactiver le désir de nos voisins.

— ? C?est gagné ! lui dis-je. Ils ont arrété de parler et leur yeux sont rivés à ton fesses ! ?

Elle poussa un haletement de paisir car elle savait que derrière son dos, les deux mâles en bavaient pour son cul.

— ? Que vas-tu faire, lui demandai-je ? Jusqu?où veux-tu aller ? ?

— ? Mon chéri, je vais leur en donner pour leur argent et satisfaire par la même occasion mes propres fantasmes. J?ai envie de faire bander ces hommes jusqu?à l?explosion de leurs sens. Et tu vas m?y aider ! Tu vas voir comment ta petite femme peut devenir une chienne en chaleur quand on lui en donne l?opportunité. Tu le sais très bien d?ailleurs. Ces deux inconnus masqués avec les regards qu?ils jettent sur moi sont une source de plaisirs à découvrir ?.

Sur ces mots, elle saisit dans la corbeille une banane qu?elle se mit à éplucher lentement. Elle se tourna légerement, juste assez pour pouvoir les regarder et surprendre les éclairs de désir qui brillaient dans leurs yeux. Elle passa une langue délicate sur la pointe du fruit et le reposa sur la table sans le mordre. Elle continuait à regarder les deux hommes avec insistance?le silence des mots.

La réaction ne se fit pas attendre et une nouvelle enveloppe arriva jusqu?à notre table sur un petit plateau que portait le garçon de salle.

Cette fois, ce fut elle qui s?en saisit.

Elle parcourait des yeux le bristol avec un sourire qui traduisait bien le contenu et le sens de la missive. Je la voyais par instants lever la tête pour regarder les deux auteurs. Elle avait instaurer le langage des silences, des petits gestes, des regards?

Une nébuleuse de sensualité flottait autour de son corps.

Elle se tourna et se pencha vers moi dans un murmure :

— ? Ces deux là sont de vrais cochons ! Ils sont prèts à payer très cher pour pouvoir jouir de mon corps et m?arroser de leur semence. Ils veulent me voir faire des choses obscènes?ils te demandent de m?enculer, là, au milieu de la salle. Ils m?écrivent que mon cul les obsède depuis notre entrée ! ?

En me disant cela, elle se pencha un peu plus, posa ses paumes sur ses rondeurs arrières et les pétrit sans vergogne face aux deux hommes qui en salivaient de désir.

? -? Ils veulent que j?agisse comme une chienne ! Ils vont être servis ! Je vais défaire quelques boutons du fond de ma robe pour mieux écarter les jambes. Je veux que tu te masturbes sous la table. Cela va m?exciter encore plus. Je t?aime. ?

Le couple du fond venait de partir et nous restions tous les quatre avec le garçon de salle qui avait bien vu le manège et qui devait se régaler par avance de ce qui allait se passer dans pas longtemps.

Il faisait très chaud en cette nuit d?été et de fines perles de sueur brillaient autour des yeux de Maria. Son masque lui collait à la peau.

Elle se posa bien en face des deux hommes.

La tension monta d?un cran dans la pièce.

Maria ramena d?un geste ample ses cheveux d?ébène sur son cou et se baissa pour atteindre le dernier bouton au bas de sa robe noire. Elle commenca à dénuder ses genoux puis le début de l?entre-cuisse. Je pus m?apercevoir qu?elle avait mis des collants noirs. Elle adorait mettre des collants même les nuits d?été. Elle adorait qu?on la possède dans la violence en déchirant ces attributs.

Quand elle arriva au sommet de ses cuisses, elle s?arreta et se redressa en pointant bien ses seins versl?avant. Les deux hommes purent deviner une poitrine opulente et aggressive.

Maria était déjà dans un état d?excitation intense. Je le voyais surtout aux deux pointes déjà bien dressées et à son souffle qui prenait un rythme plus court avec un miaulement rauque qui remontait du fond de sa gorge.

Elle s?adressa sensuellement au garçon de salle pour lui demander de débarasser la table voisine et de lui apporter un coussin. Puis, se tournant vers nos voisins qui avaient posé leurs mains sur leur sexe :

— ? Maintenant c?est à votre tour de faire sauter les boutons qui restent ! Vous en connaissez le prix ! C?à m?excite les billets que vous allez poser sur mon corps pour le dénuder complètement. C?est le coté un peu pûte qui sommeille en chaque femme et que vous avez réveillé en moi. Et cette nuit la musique du papier va me rendre très cochonne. C?est ce que vous voulez ! Vous me l?avez écrit avec beaucoup de franchise. Très, très cochonne même ! Vous allez pendant longtemps penser à ce moment et je suis sure que jamais vous n?oublirez. Je vais vous faire durcir la queue comme jamais . ?

Elle pris deux bananes dans la corbeille qui était toujours sur notre table et franchit lentement les trois mètres qui la séparait de la table des deux hommes.

Les mots de Maria avaient allumé tous mes sens charnels et ma main caressait avec force mon sexe qui commençait à rougir de plaisir.

En se déplaçant, Maria faisait bouger ses deux seins qui pointaient en avant par des dards qui prenaient des dimensions affolantes. Elle posa les deux fruits face aux hommes qui ne la quittaient plus des yeux et alla s?asseoir au bout de la table. Elle se coucha sur la nappe et apputa la tête sur le coussin en regardant fixement les mains des deux inconnus qui allaient et venaient sur deux membres déjà bien tendus. Les yeux de Maria brillaient à la vu de ces queues. Celle du plus agé était sombre et grosse, très grosse même ; L?autre était d?un rose profond, presque aussi grosse et d?une longueur qui necessitait les deux mains pour la couvrir en partie.

(A Suivre)

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