Résumé des 4 premiers chapitres. Un chien pour ma chienne + un chien sympathique
un chien si sympathique + le chien de ma chienne
Louise a voulu un gros chien. Julie, jeune veuve, notre voisine saccouple avec Médor. Louise a des soupçons. Au cours dune rencontre Julie montre à Louise comment elle procède avec le chien. Louise tricote des chaussettes pour chien. Son mari intrigué guette le moment du coït entre le chien et son épouse. Il convoque Julie et un étranger désireux de se « faire » Louise. Lhomme entre le premier mais se sauve, qua-t-il vu ? Le mari veut le retenir
Ma femme est-elle aussi une chienne ?
— Julie, rattrape-le et ramène-le. Promets nimporte quoi, sois persuasive. On ne peut pas le laisser partir comme ça raconter partout ce quil a vu. Vite
— Je pourrai coucher avec lui ?
— As-tu besoin de ma permission, obsédée ? Ah ! Cest vrai, il croit que tu es ma femme ! Bof, ça pourrait lexciter davantage si tu sais le provoquer et lui réclamer le secret sur tes rendez-vous. Il sera tout fier de me cocufier. En même temps je te servirai de protecteur sil devient encombrant. Vite.
Julie dévale lescalier. Jentre dans mon salon et je vois Louise à quatre pattes montée par Médor. Elle avance pour décrocher le wagon, mais le chien est solidement arrimé, les deux pattes avant encerclent le bassin de son humaine femelle, sa tête est allongée sur le dos de sa maîtresse, sa gueule bave abondamment et sa salive dégouline sur les côtes secouées de frissons. Il est collé au sexe pénétré et ses pattes arrière patinent dans le vide. Le vagin de Louise semble dilaté, le chien tente en vain de quitter ce con transformé en piège sexuel, ses efforts tirent au jour le conduit féminin. Mon entrée stoppe le petit train du plaisir. Louise tourne la tête maperçoit de ses yeux troublés de volupté, sourit de soulagement :
— Cest toi ? Je croyais quil y avait un voleur ! Mais que fais-tu là, tu nes pas au travail ?
— Non, je regarde pour la première fois laccouplement dun chien et dune femme, je minstruis.
Jai bien vu deux fois les ébats amoureux de Julie et de Médor, Louise nen sait rien, elle peut donc croire que je découvre cette pratique unanimement condamnée par les gens bien.
— Oh ! Cest vrai. Ne crois pas cest un accident euh !
Je connais la chanson, Julie me la chantée ! Jentre dans le jeu :
— Je sais : tu nettoyais le tapis, nue comme dhabitude pour ne pas tacher ta culotte, à quatre pattes parce que la terre est basse, croupe déployée pour taérer la figue et Médor le vilain obsédé a sauté sur ton dos par surprise et ta bourrée
— Ah ! Tu as tout compris !
— Évidemment. Notre chien est très intelligent, nest-ce pas. Il a pris des précautions pour ne pas te griffer : avant de te saillir il a enfilé des chaussettes. Cest bien Médor tu es plein dattention pour ta maîtresse, tu la défonces mais en douceur.
— Au lieu de te moquer de moi, aide-moi, retire-le.
— Mais non, il faut laisser faire la nature. Quand un chien réussit à envoyer sa verge dans le sexe de sa femelle, quand la grosse boule de la base franchit entièrement le vestibule et va se caler dans le vagin, sa boule enfle et il se met à éjaculer son sperme. Apparemment il a fini de cracher car à chaque poussée une part de jus passe autour de son gonflement et lors du mouvement de retrait il éjecte un paquet de liquide visqueux.
— Non, il menvoie encore des salves chaudes dans le ventre. Mais cest un accident
— Jai compris ! Qui lui a enfilé les chaussettes ? Qui a tricoté les chaussettes de protection ? Tu ne réponds pas ? Reconnais que tu as soigneusement préparé ton accident.
— Bon, je voulais imiter Julie, je voulais être aimée de mon chien plus quelle ! Cest tout. Je ne cherchais pas mon plaisir, je voulais juste en donner à Médor pour me lattacher davantage
— Tu es une grande sentimentale, tu manquais daffection; ton mari ne ten donnait pas assez. Mais celle de ton chien valait bien plus. Pour lobtenir tu tes donnée à lui : cest tellement naturel. Mission parfaitement réalisée, on ne peut pas être plus solidement attachée à un être que tu e les par le sexe et ça, cest du solide.
— Ca je ne le voulais pas; cest un accident.
— Parce que tu nas pas pris ton pied en recevant sa queue et son sperme en toi ? En tout cas, tu es sa chienne en ce moment. Sil savait parler, il te dirait son amour !
— Je texplique. Jai voulu le caresser et jouer avec lui.
— Et pour cela il fallait te foutre à poil ? Tu en es sure ?
— Julie fait comme ça !
— Quen sais-tu ?
— Elle ma fait une démonstration complète.
— Et tu mas dit au retour : « Mon imagination me joue des tours. Franchement, tout est normal. Rien à signaler. Cest juste une affaire de tempérament. Louise est plus joueuse que moi, cest tout et Médor aime ça. »
— Je ne voulais pas te scandaliser.
— Tu appelles ce collage « jouer ». Il faut un sacré tempérament pour se foutre à quatre pattes et pour tendre son cul à un chien. Sois fière, tu as du tempérament, comme Julie. Pourquoi aurais-je été scandalisé de savoir que Julie copulait avec notre berger allemand ? Pourquoi se scandaliser de ce que tu trouves « normal ».
— Eh! Bien, parce que cela ne se fait pas.
— Ça ne se fait pas, mais cest normal ? Je ne comprends pas ton discours. Tu as vu Julie se faire tringler ?
— Oui je lai vue exactement coincée comme moi. Je savais que si je nempêchais pas sa boule dentrer je serais prisonnière.
— Mais que fais-tu là sous mes yeux ? Tu oublies le malheureux chien cloué dans ton sexe. Tu ne sens rien ?
— Les sensations les plus fortes sont passées. Puisque tu veux tout savoir, il a joui et ma secouée de façon extraordinaire avant ton arrivée.
— Mais vous êtes encore bien unis. Je touche ses testicules. En tirant il a fait ressortir environ deux centimètres de tube rose de ton vagin. Oui mais je distingue nettement la grosseur qui bute sur la porte trop étroite de ton sexe. Médor a beau sefforcer de reculer, le passage ne souvre pas. Attends, je prends quelques photos pour immortaliser cet instant.
— Pas de photos, tu es fou !
— Un peu je lavoue, fou de rage de te voir prise par un chien. Louise est veuve et se console comme elle peut. Suis-je mort à tes yeux ? Est-ce la raison de ton rendez-vous chez Lulu ? Voulais-tu remercier ce type en jouant à la chienne avec lui dans la chambre quil avait réservée pour senvoyer en lair avec « une chaudasse » pour employer sa façon de te désigner ?
Elle pleure. Puis elle préfère changer de sujet et revient à la situation présente. Le chien pèse sur son dos, mes reproches pèsent sur sa conscience.
— Tu crois que je le retiens ? Jaimerais quil sorte maintenant. Tu ne voudrais pas chercher des glaçons et en frotter nos sexes.
— Tu te contracteras encore plus. Le résultat nest pas assuré. Non patiente. Je veux jouir du spectacle jusquau bout. Ton gars de chez Lulu est entré le premier, mais il na pas supporté dêtre devancé par Médor, il est parti en courant. Jespère que Julie le ramènera. Sinon lidiot risque de raconter à tout le monde dans quelle posture normale il ta vue. Les voisins vont tadmirer. Dailleurs jentends des voix.
— Quoi ? Qui vient ? Après les photos des témoins ! Que je suis malheureuse.
— Jai invité du monde pour ce spectacle. Julie arrive avec ton rendez-vous de chez « Lulu ».
— Oh! Non ! Que jai honte !
— Honte ? Tu te moques : tu as longuement préparé ton coup. Tu nas pas eu honte de penser à te laisser grimper par notre chien, tu tes remise au tricot pour éviter les traces du passage sous ton chien mâle, lidée dêtre étreinte par ses pattes ta excitée. Tu savais que « cela ne se fait pas » comme tu dis, mais cest pourquoi tu as brûlé de désir. Assume, naie pas honte.
— Je voulais juste faire une expérience. Dis-le, dis que je suis une salope !
— Je te laisse le choix des mots. Pourquoi as-tu tricoté en cachette, pourquoi nas-tu parlé à personne de ton projet ? Avais-tu peur que je ten empêche ? Cest le signe que tu voulais absolument te faire ensemencer par ton clébard. Entrez, Julie.
— Oh ! Non!
Julie entre, elle tire par la main le gaillard foudroyé par la scène du chien en train denfiler la femme quils convoitaient. Lhomme aurait bien voulu se la faire mais le chien se la tapait pour de bon.
— Ne tinquiète pas Louise, Julie connaît ton vice et ce monsieur ta déjà vue dans cette position : tu las pris pour un voleur. En fait il a été décontenancé lorsquil a constaté que le chien lavait précédé dans ton ventre. Si tu ne tétais pas sauvée chez Lulu lautre jour, tu aurais pu monter à létage avec lui.
— Arrête de dire nimporte quoi. Je voulais le remercier parce quil mavait donné un coup de main.
— Après le coup de main il était prêt à ajouter un coup de bite, nest-ce pas jeune homme ? Vous étiez persuadé davoir un rendez-vous galant.
— Cest vrai, madame est très belle et très excitante. Elle doit être en manque de sexe si jen crois mes yeux. Le chien doit le sentir, lui aussi. Bon sang, vous allez rester attachés combien de temps ? Le chien commence à sennuyer, ça se voit à sa tête triste. Vous êtes bien là, les poils ne vous grattent pas le dos ou les fesses ? Vous vous mettez souvent dans cette position pour vous faire tringler par des chiens? Il faut de lendurance et lendurance sacquière par la pratique.
— Non, cest ma première fois.
Il sadresse à moi:
— Vous le voisin vous devriez filmer la scène, vous pourriez vendre le film.
— Louise, ce jeune homme a bon goût et si tu le souhaites, après Médor il pourra te faire lamour. Cela nous fera un double spectacle. Ne bougez pas je déniche mon caméscope.
— Non, je ten supplie pas de film. Je te répète que cest un accident !
Cette fois Julie éclate de rire. Louise devient furieuse:
— Jai fait comme tu mas dit. Jai dabord préparé Médor, il a aimé la masturbation. Quand il a été chaud, je lai couché sur le dos et je me suis assise sur son sexe. Cétait délicieux, ses pattes sagitaient nerveusement, il gémissait de plaisir.
— Ton mari nest pas capable de te fournir ce service ? Il faudra venir me voir! Dit le prétendant.
– Jai pris la position de la chienne en chaleur, Médor a tout de suite compris et a envoyé ses pattes de chaque côté de mon dos. Jai bien senti coulisser sa verge sur mes fesses. Je lai pris en main pour le guider vers mon trou et jai placé mes doigts entre ma chatte et la boule. Médor sest mis à pédaler comme un fou et à pousser pour entrer et presque aussitôt ma trempé le vagin. Jai joui, joui et encore joui. Il me tapissait le vagin de liqueur chaude et a trouvé dinstinct mon point G.
— Mais tu las lâché parce que tu jouissais trop fort ? Demande linstructrice.
— Non, jai entendu entrer quelquun, jai cru que cétait un voleur, je me suis retournée vers la porte, jai vu une ombre qui fuyait : la surprise et la peur mont fait lâcher ma prise sur le membre glissant et Médor en a profité pour passer à lassaut. Dun terrible coup de bas en haut il s est collé à mes fesses et a projeté la boule dans mon con. Au passage jai ressenti une douleur vive, brûlante mais vite atténuée par les giclées formidables de son liquide. Je répète, cest un accident. Sans lintrus jaurais contrôlé les ardeurs de mon chien.
Létranger shabitue et se permet un commentaire.
— Pas vue, pas prise. Tu pensais pouvoir recommencer indéfiniment. Ton mari cocufié par son chien : quelle belle histoire. Il dort ma dit ton voisin. Le brave travailleur ignore les activités peu banales de sa salope.
-Oh! Ce nest pas parce que je ne peux pas me lever que tu as le droit de minsulter, crétin. Tu avais réservé une chambre pour me baiser ? Je préfère ce chien. Tu ne mauras jamais.
La boule sort petit à petit, je me penche pour mieux observer:
— Ah, je crois quil va bientôt se retirer et te délivrer, Louise.
— Je ne sais pas si tu naurais pas lâché prise à cause de la jouissance, ajoute Julie, grande connaisseuse en matière de coït avec notre chien.
Louise est surtout contrariée par notre présence :
— Mais quest-ce que vous foutez là ? Javais fermé les portes.
— Mon petit doigt ma dit que cétait pour aujourdhui, alors jai voulu voir. Et je me suis dit que si tu te livrais à un chien, tu pourrais aussi te donner à quelquun qui te désire très fort.
Le « crétin » la ramène
— Ouais, mais je ne vais pas faire nager ma quéquette dans les sécrétions dun chien, Dailleurs jai beaucoup mieux que cette chienne, Julie ma promis que si je revenais
Je coupe sa phrase :
— Quoi ? Pas question !
Jappelle Julie
— Agenouille-toi en face de Louise. Tu te souviens, tu mas dit : « Où, quand et comme tu voudras » Eh! Bien ! Cest ici, maintenant et en levrette, devant ma femme accouplée à une bête.
— Jai promis à ton mari, Louise excuse-moi. Tiens, embrasse-moi, ma chérie.
Elles se font face. Létranger me regarde avec stupeur :
— Lui, cest son mari ? Mais, je ny comprends plus rien. Allez-vous faire foutre !
Flop ! La boule est sortie, le reste suit tout violacé et couvert de glaires. Médor est délivré mais pas rassuré par la réunion de témoins. Il accomplit deux tours de sa femelle toujours à genoux et de Julie à laquelle je suis en train de planter mon vit sous le regard effaré de mon épouse. Il va la lécher à grands coups de langue sur la cramouille pour récupérer le trop plein débordant.
— Non, pas ça, tu nas pas le droit, pas avec Julie !
Je réplique :
— Toi et Julie partagez le même chien, vous pouvez bien partager le même homme, ce nest pas plus mal.
Lautre homme se manifeste :
— Et moi, quest-ce que je fous ?
Au point où nous en sommes, que Louise réalise tous ses fantasmes !
— Baise Louise, on verra après. Son cul est libre, choisis ton entrée, cest jour de fête, tout est gratuit.
— Y a une salle de bain? Allez ma poule lève-toi, va te rincer les badigoinces pour redevenir consommable. Tu verras, je vaux ton cabot. Je te ferai gueuler comme une chienne un soir de pleine lune.
Louise nest pas daccord, fait la fine bouche, elle prend une claque sur la croupe.
— Mais je ne veux pas de ce type.
— Tu préfères voir publier tes photos ?
Louise et létranger sortent. Je ninsiste pas derrière Julie. Je quitte le vestibule de sa chatte sans l’avoir réellement pénétrée, nous en étions encore aux plaisirs de la porte. Elle est déçue davoir attendu un coup que je ne me sens pas capable de lui donner. Je ne suis pas assez chien pour la prendre dans ces circonstances.
— Tu laisseras croire à Louise que cétait bon. Tu vas récupérer le zouave dans la salle de bain et tu te consoleras avec lui, mais chez toi.
Léchange est vif mais court :
— Salaud.
— Chienne
— Comme ta putain de femme.
— Hélas.
Louise hurle
— A laide ! Au secours !
Je me rajuste et fonce à la salle de bain. Le type a plié Louise en deux, tête, bras et seins dans la baignoire, fesses sur le bord de faïence, pieds écartés au sol et il secoue vigoureusement deux ou trois doigts dans le vagin encore douloureux.
— Au secours, il me fait mal, je nen peux plus, il me fait pisser et il veut menculer.
— Patron, cest ce que tu mas demandé ! Alors je peux continuer ?
— Noooooon! Hurle Louise
Julie saisit le bras du déçu.
— Viens me montrer ce que tu sais faire. Dis donc, tu es bien monté mon gaillard, mais rentre ta queue, on va chez moi.
Le ballot la suit. Louise tarde à se relever
— Jai mal partout. Où est le chien ?
— Dans son panier. Donne-moi la main, relève-toi. Qui gardes-tu ?
Elle ne comprend pas la question. Je précise :
— Tu as le choix, ce sera lun ou lautre, Médor ou moi. Lun des deux est de trop ici.