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Ma femme est une salope, mais pas que… – Chapitre 2

Ma femme est une salope, mais pas que... - Chapitre 2



Chapitre II

S’il subsistait encore des doutes dans mon esprit, cette fois, avec ce qu’il m’avait été donné de voir, ceux-ci venaient de définitivement s’estomper.

Non pas que j’ignorai que ma femme et ce depuis toujours me trompait, mais que les  interrogations que j’avais encore en ce qui concerne le fait qu’au moins un de mes ouvriers se livrait à des batifolages avancés avec Colette, étaient fondées.

Je me demandais aussi jusqu’à quel point il n’aurait pas été impossible que si pas tous les deux, au moins elle savait ou supposait que j’étais là à les observer. Son penchant avéré consistant à me voir me faire humilier trouvant ici tout son sens avec Bruno, mon ouvrier et donc supposé être mon subalterne à minima respectueux tant envers son patron que sa patronne.

Le soir au dîner, Colette ne sembla pas être différente des autres soir. Elle me parlait comme si de rien n’était et le fait de lui poser la question de savoir si son après-midi s’était bien passé, ne révéla en elle rien de spécial si ce n’est un petit sourire coquin. Petit sourire coquin qui de toute façon venait à chaque fois ponctuer son absence de réponse quand je voulais savoir de quoi avait été faite sa journée.

Le lendemain, je restais aux ateliers avec quelques ouvriers, dont Bruno, en vue de préparer des pièces pour un chantier à venir, plus facile à façonner avec nos machines que sur place.

Bruno ne laissa rien paraître, hormis un petit air assez sûr de lui qui se traduisait presque imperceptiblement par son regard qu’il soutenait face au mien. Sans doute devait-il se dire en se rappelant la veille, qu’il avait bien profité de la femme de l’homme qui se tenait devant lui et qui était en plus son patron.

Pour lui, ce devait être la première fois qu’il passait réellement aux actes, même si je savais pertinemment bien que lui tout autant que les autres avaient des vues sur leur patronne et qu’ils n’étaient pas en reste pour le lui faire remarquer en de petits gestes ou réflexions parfois graveleuses quand elle passait à leur portée. Chose qui amusait Colette.

C’était d’ailleurs assez révélateur de leur état d’esprit tant envers moi qu’envers elle, une sorte de non-respect en mon chef et qui s’était installé depuis longtemps maintenant. Tellement présent qu’il en était devenu contagieux car, régulièrement, j’avais des apprentis en fin d’études des écoles technique des alentours, qui venaient en stage d’entreprise et, étant le plus souvent sous l’autorité de mes ouvriers, ces derniers leur transmettaient comme tout naturellement leurs points de vue et d’envie quant à ma femme. A tel point que le mot se donnait entre apprentis, qui bizarrement ne rechignaient jamais, que du contraire, à venir faire leurs stages dans mon entreprise. Et pour causse, la belle Colette était pour eux une réelle source d’inspiration que leur futur métier. Mais nous y reviendrons d’ailleurs plus tard et beaucoup plus en détail dans au autre chapitre.

J’étais occupé à expliquer les plans à mes ouvriers quand soudain la porte de l’atelier s’ouvrit. Colette apparu en entra. Elle était vêtue d’une petite jupe plissée qui laissait voir le ton halé de ses longues jambes chaussée de talons semi-aiguille et d’un petit top dos nu qui lui laissait voir, par pure coquetterie, les fines bretelles de dentelle rose fushia de son soutien-gorge. Elle devait sortir de son coiffeur, car sa chevelure défaite était légèrement permanentée et lui tombait au ras des épaules tel une crinière, peu maquillée comme à son habitude, elle n’en avait pas besoin, seul son rouge à lèvres assorti en un peu plus foncé à sa lingerie faisait ressortir son si joli sourire. Elle tenait la poignée de la porte dans une main et le l’autre nonchalamment baissait juste assez ses lunettes de soleil pour me regarder en s’exclamant : « Et bien alors mon chou ! Tu as oublié ? ».

Effectivement, pris par mon travail et n’ayant pas regardé l’heure, j’avais oublié que des clients devaient venir pour finaliser un devis. C’était elle qui en quelque sorte les avait débauchés, avec son talent si particulier et si convainquant en lequel je ne doutais plus depuis longtemps. Sachant qu’elle en usait et en abusait pour son propre plaisir tout comme elle faisait celui de ses employeurs, dans le cadre de son travail en dilatante au sein d’une société d’immobilier en attendant de fonder la nôtre, pour venir en complément de mon entreprise de bâtiment.

Il va sans dire que là aussi il y aurait beaucoup à en dire et nous le ferons, notamment en ce qui concerne les visites que je qualifierais de privilégiées avec nombre de ses clients afin d’obtenir des contrats, réussite qu’il n’était plus nécessaire de mettre en doute tant les signatures pleuvaient dès qu’elle s’en occupait.

Arrivèrent les clients. Deux hommes d’age mûr, la soixantaine bien tassée tout comme leurs comptes en banque lui aussi bien nanti. Très classe dans leurs complets 3 pièces d’une autre époque, ils avaient fait fortune dans l’investissement immobilier. L’un était un peu plus fort que l’autre mais tous deux semblaient encore bien alerte. Leur politesse, surtout envers Colette, rivalisait avec leur tact à ne pas exhiber outrancièrement le fait qu’ils soient des hommes d’affaires ayant réussi. Ils étaient sobres et distingués.

Tout naturellement, Colette se proposa de les accueillir.

Elle les fit entrer dans le petit bureau jouxtant les ateliers à peine séparés d’eux par une porte dont une partie était vitrée. Une grande fenêtre sans stores ni rideaux donnait quant à elle sur l’allée, les dépendances et le parking privé.

Assis à mon bureau dos à cette fenêtre se tenaient en face de moi les deux clients avec lesquels j’avais déjà discuté, mais chez eux cette fois là.

Bien évidement Colette les connaissant également mais je ne sais jusqu’à quel point bien que je pouvais m’en douter tant ce contrat avait peu de chance au départ de d’échoir en ma faveur et qui, après plusieurs visites des bâtiments avec Colette, avait fini de les convaincre que j’étais l’entreprise qu’il leur fallait.

Elle se tenait debout à côté d’eux, un peu nonchalante une main posée tout aussi nonchalamment sur le dossier de la chaise de celui qui était le plus près de la porte des ateliers. Après des banalités échangées pour lesquelles Colette savait montrer le plus grand intérêt quand il s’agissait des clients, s’en vinrent les discussions finales du devis. Quelques points devant être encore précisé, ils relevaient plus de la compétence et de l’expérience que j’avais sur le sujet, bien que pour montrer à mes clients que je prenais à cur leur projet et les rassurer, je fis, bien malgré moi et après coup me rendant compte que c’était bien là une très mauvaise idée, appel à Bruno qui lui, leur détaillera la façon dont l’équipe s’y prendrait car dans l’esprit du client, le patron sait ce qu’il convient de faire mais est aussi là pour gagner de l’argent alors que l’ouvrier est quant à lui et par nature, moins enclin à des considérations purement mercantiles que celle de son patron.

Bruno entra donc, l’air sérieux, presque un peu surjoué et se positionna un peu en retrait de Colette et des clients qui devaient se tourner sur leur chaise pour le regarder. Certes le bureau n’était pas très grand mais il n’était pas non plus étriqué et il y avait encore bien de la place que pour qu’il vienne se coller à Colette qui elle avait toujours une main sur le dossier de la chaise d’un des clients.

Bruno s’expliqua avec moult détails. J’allais le renvoyer à ses occupations mais un des clients m’interpella en me demandant si cela ne me dérangeait pas qu’il puisse rester au cas où il y aurait encore des précisions à lui demander, d’autant que les discussions n’étaient pas tout à fait encore terminées. j’acquiesçai non sans remarquer avec un certain agacement le sourire narquois qui venait de se dessiner sur le visage de Bruno. Colette sentant monter en moi cet agacement dit alors : « Eh bien dès que nous aurons fini nous passerons avec ces messieurs dans le patio pour prendre une tasse de thé ou de café ».

Je repris donc la discussion de la finalisation de ces devis et ce en la présence bien malgré moi de Bruno, qui ne décollait pas de Colette.

Au bout d’un moment, je la vis quelque peu se redresser. Ne voyant pas en totalité sur pied Bruno que Colette cachait en partie, je ne pouvais que supposer qu’il en profitait pour la toucher, chose qui avait du la surprendre. Mais comme cela n’avait pas l’air de la gêner outre mesure elle resta en place sans s’éloigner de Bruno. Chose qu’elle aurait très bien pu faire si cela l’avait incommodé.

Pourtant, tout en me regardant avec ce même sourire narquois, Bruno se tourna quelque peu de sorte  qu’il était de 3/4 de sorte que le bras libre de Colette soit en face de lui à presque lui toucher la braguette de sa salopette et de manière à ce que je puisse voir son bras disparaître derrière ma femme.

A n’en pas douter il la tripotait et elle, ne bougeait qu’à peine. Comment son bras était positionné, il devait lui caresser les fesse parce que je voyais par moment bouger un peu les plis de la courte jupe plissée de Colette. Ensuite son bras se repliait et il devait alors être occupé lui masser le dos. J’en fus convaincu quant à un moment je vis apparaître les doigts de sa main posé et caressant une épaule de Colette, essayant pour le moment vainement d’en faire glisser la bretelle de son soutien gorge.

Je dus me faire violence pour ne pas intervenir car cette fois ci cela se passait implicitement en face de moi et qui plus est en présence de mes clients. Mais sans doute devait-il compter justement sur leur présence que pour en profiter en toute quiétude, sachant que je n’étais pas forcément un fier représentant de la gente masculine mais plutôt un soumis et un lâche et que de toute façon je n’oserais rien faire qui risquerait de mettre en péril la finalisation de ce quand même gros contrat, contrat que je savais pertinemment obtenu non sans que ma femme n’y soit pour quelque chose. Mes clients n’étant pas dupes et eu égard leur age avancé, il n’en était pas moins certain qu’ils avaient du honorer Colette comme il se devait et que la réelle finalité de ce contrat, hormis faire plaisir au mari, verrait sa femme devoir encore être le pôle de tout leur intérêt pour sans doute encore de nombreuses fois.

Il ne me restait alors plus qu’à observer et voir jusqu’où Bruno poserait les limites.

Chose que je vis bien assez vite. Quant à Colette, elle n’intervenait que très peu dans les discussions, juste assez que pour justifier sa présence et aussi marquer le pas quant à la nécessité de celle-ci jusqu’au bout, le plus souvent en me regardant droit dans les yeux.

Il n’était pas pour autant question pour elle que Bruno soit son complice mais juste son jouet qu’elle utiliserait à discrétion et qu’elle laisserait faire selon que ça lui plaise ou non. La connaissant cela aussi faisait partie de son jeu de séduction qui me voyait être moi également son jouet mais pour d’autres raisons et à commencer par le plaisir qu’elle pouvait éprouver en me voyant me faire humilier, à fortiori par l’un de ses ouvriers et cette fois devant moi sans que je ne puisse mais plus certainement que je ne veuille intervenir. Acceptant implicitement par là même tout ce qui en découlerait car au final, c’était elle qui menait la danse.

Même si je pouvais me douter que mes clients avaient sans aucun doute déjà « baisé » ma femme et sans assurément pas qu’une seule fois, je ne pensais pas qu’ils étaient eux aussi complices ou jouets pour cette rencontre. Il me semblait que c’était seul l’opportunité qu’avait eu cette discussion de devoir faire intervenir Bruno qui faisait que quelque part je ne pensais pas que cela ne soit pas limité qu’à lui. D’autant que sa présence n’était prévu et que malgré tout, chaque visite avec Colette ne signifiait pas pour autant baise et autres joyeusetés. Les clients présents semblant suffisamment absorbé par nos discussions.

Je fus sorti de mes réflexions par un plissement plus prononcé de la jupe de Colette qui semblait être soulevée par l’arrière. Bruno devait essayer de caresser les fesses de ma femme de dessous sa jupe. Chose qu’elle confirma elle même en me regardant et en faisant un explicite « Oh ! » mais muet avec sa bouche et en papillonnant des yeux. Il caressait langoureusement les fesses de Colette et comme pour encore mieux me le confirmer, elle se déhancha légèrement afin de légèrement pivoter pour me montrer comme s’il en était besoin que Bruno avait bien la main sous sa jupe assez haut remontée. Restant un moment dans cette position assez ambiguë, il remonta d’avantage la jupe le plus haut possible tout en la coinçant dans la ceinture de celle-ci, haut sur la taille de Colette. Si les clients en venaient à se retourner, ils n’y auraient quasi rien vu et elle aurait eu le temps dans un geste très féminin de se réajuster très rapidement le cas échéant et si tel était son envie.

A ceci près. Alors que Bruno ne m’avait pas que montrer qu’il caressait les fesses de ma femme sous mon nez, qu’il avait, en se penchant légèrement vers elle, été jusqu’à la visiter longuement entre les cuisses, il en était arrivé a maintenant glisser sa main en entier dans la petite culotte de Colette, lui caressant le cul à même la peau. Non content de ça, il entraînait vers le bas la petite culotte de Colette, à chacune de ses caresses qu’il faisait entre ses jambes ou le long de ses cuisses qu’au final, Colette se retrouva le cul nu, la petite culotte tombée sur les chevilles. Mais elle s’en débarrassa totalement dans un geste vif qui du bout du pied la fit glisser et disparaître sous un meuble à classeurs, sans que les clients ne remarquent quoique ce soit. Bruno me montrait à quel point il prenait plaisir à caresser, masser, malaxer le cul nu de ma femme, puis me montrant brièvement son doigt, me fit comprendre qu’il allait la doigter. Colette quand à elle en était à devoir gémir, mais en silence, pivotant un peu plus ses fesses nues vers moi pour que je puisse voir l’avant bras de Bruno  aller et venir dans le sillon de ses fesses, où plus avant sa main fourbissait la chatte de Colette, ses doigts écartaient les lèvres de sa vulve pour y pénétrer, puis revoir un court instant sa main et son doigt haut sur sa croupe pour les regarder à nouveau disparaître, mais cette fois de façon à ce qu’il puisse lui doigter le cul.

Ce petit jeu dura un bon moment et Colette semblait s’accommoder de ces allées et venues du doigt de mon ouvrier tantôt dans son sexe tantôt dans son petit trou. Puis lentement en se pinçant les lèvres elle se redressa. D’un revers discret du poignet, elle vint toucher puis légèrement frotter le dos de sa main contre la braguette de Bruno. Lui, jamais en reste, s’y appuya un peu plus fortement, tandis que sa main qui avait quitté les fesses et l’entre-jambe de Colette réapparaissant timidement sous son aisselle et lui caressant cette fois un de ses seins. Peu à peu je le vis le lui saisir pour bien le lui malaxer, le soupeser, tirant par moment sur le top pour le faire descendre du côté où il la caressait. Faisant de même avec la bretelle concernée de son soutien-gorge. Mais, celui-ci semblant vouloir résister, il ne se démonta pas et d’une seule main experte avec toute la dextérité qu’il dut déployer pour y arriver, lui dégrafa le dit soutien-gorge, libérant ainsi les seins de Colette de son emprise. Il vit aussi tout de suite que les dites bretelles se dégrafaient également et sans coup férir, les libéra elle aussi.

Colette eut alors un large sourire presque moqueur car lui au moins avait vu et compris que ce soutien-gorge pouvait s’enlever sans devoir faire des acrobaties qui aurait alerté nos deux invités client. Elle le laissa le lui retirer de dessous son petit top, chose qu’il fit presque sèchement, la poitrine de Colette en ayant rebondi assez visiblement. Cette fois, le soutien-gorge fini sa course en boule dans une des poches de la salopette de Bruno.

On pouvait, outre le fait de constater que Colette ne portait plus de soutien-gorge, voir la rondeur souple que dessinait le tissu de son top sur ses seins libérés, mais aussi comme à fleur du fin tissu, voir très nettement les deux ronds bien marqués de ses mamelons et surtout, on ne pouvait pas manquer ses deux tétons durs et bien dressés qu’on aurait pu croire qu’ils finiraient par percer au travers du top.

Bruno entreprit aussitôt de caresser un des seins de Colette, d’abord au travers du top, me montrant bien comme si je l’ignorais qu’il était souple et ferme à la fois, bien rond et bien dessiné, il les malaxait voluptueusement, les soupesait, en pinçait légèrement le mamelon puis le téton. Il retira la main de dessous l’aisselle de Colette puis du bout des doigts vint faire sautiller son autre sein, titiller son téton, lui faire rebondir son nichon en y plaçant les doigts bien en dessous. Puis il recommença son périple de l’autre côté, mais cette fois en ayant glissé sa main sous le tissu du top. Je vis alors comme un fantôme portant un drap un peu trop serrant, ses doigts et sa main se mit derechef à caresser, malaxer, soupeser le sein de Colette de dessous son aisselle.

Le petit top, n’ayant pas de bretelles et n’étant maintenu que par un faible élastique cousu dans la large encolure n’était à proprement parler retenu que par le haut de ses bras et le galbe de sa poitrine et Bruno, m’attendit pas longtemps pour essayer de le faire glisser lentement sur la peau de la poitrine de Colette. Peu à peu, le tissu se tendait et finissait pas descendre lentement mais inexorablement jusqu’au moment où apparu sur le bord ourlé de celui-ci, tel un levé de soleil, le début de la rondelle plus sombre de son mamelon, tranchant avec la couleur plus halée de la peau de son sein, et celle de son petit top.

J’ai cru un moment qu’il n’allait pas s’arrêter et ainsi voir sortir d’un coup sec le téton de Colette hors de son top, mais non, il s’arrêta de le faire descendre, comme s’il savait que ce n’était pas encore le moment ou que le faire maintenant pouvait compromettre la suite. Comme si il était en totale osmose avec elle.

J’en restais presque bouche bée tant jusqu’à présent il n’avait pas hésité à aller bien au-delà de ce à quoi je pouvais m’attendre en pareille situation. Et comme si de rien n’était, par moment Colette, sans les faire se retourner, marquait sa présence aux côtés de mes clients, par de sporadiques et courte réflexions sur les couleurs ou textures qui seraient bien pour ce projet de rénovation. Quant à eux, l’age sans doute aidant, ils ne semblaient apparemment ne pas se douter de ce qui se passait dans leur dos, juste à quelques centimètres pour le plus proche de Colette.

Je savais maintenant Colette toute nue sous sa courte et petite jupe plissée, ainsi que sous son frêle top en partie abaissé d’un côté. Bruno se remit à lui caresser les fesse mais cette fois se tendant vers elle, se mit à l’embrasser silencieusement dans le cou, à lui mordiller l’oreille, puis, Colette tournant la te vers lui, doucement il l’embrassa sur la bouche, de telle sorte que je pouvais le voir lui mettre la langue dans sa bouche. De son autre main, cette fois suffisamment tourné vers elle il lui caressa le sein au plus près de lu avec autant d’entrain de pour le premier.

Je m’attendais à voir cette main finir par plonger dans son décolleté et ainsi en abaisser le top mettant Colette les seins nus et exposés aux regards autres que ceux de Bruno et les miens, mais non. Curieusement, alors qu’il continuait à embrasser et peloter ma femme devant moi, la main sur ses fesses, repassa sous son aisselle et se mit également à lui pétrir l’autre sein. Je m’attendais une nouvelle fois à ce que son petit top en fasse les frais mais là aussi non, que du contraire. A ma grande surprise, il le réajusta en le remontant de façon à ce qu’elle ait les seins correctement couverts. Ce n’avait pour moi à ce stade pas grand sens, à moins que ce ne soit qu’un répit avant qu’il ne l’abaisse d’un seul coup, une nouvelle fois non. Par contre ce que je n’avais pas vu venir, c’est qu’il avait entrepris de lui soulever le top par le bas, il le remonta assez pour que l’on puisse voir le galbe du dessous des seins de Colette qu’il se mit à caresser doucement, glissant parfois les doigts sous le pli qu’ils faisaient avec son torse, les soupesant de nouveau à les tendre que le pli en disparaisse. Il en avait de la suite dans les idées du genre très érotiques ce Bruno. Et assurément Colette adorait ça.

Puis une nouvelle fois la main sous son aisselle disparu. Je crûs qu’il recommençait à lui caresser les fesses et lui fouiller le sillon. Certes il le fit, et longuement en plus mais, il ne s’arrêta pas là. Le fait de lui avoir ainsi remonté le top très haut, faisait que l’on voyait de dessous ses seins jusque son ventre et son nombril et alors que je lui regardais justement son joli petit nombril, je vis la ceinture que formait le haut de sa petite jupe se relâcher, puis descendre doucement. Si je ne pouvais entendre le bouton de celle-ci se faire déboutonner, je n’avais pas non plus entendu la fermeture éclair se faire dézipper. Chose que visiblement Bruno était arrivé à faire dans le silence le plus total et sans doute avec une extrême lenteur.

La ceinture de la jupe ainsi libérée, elle se mit tout naturellement à descendre de par son propre poids, jusqu’à commencer à ralentir aux abords de ses hanches.

Ce faisant, on voyait maintenant le bas ventre de Colette dénudé, ainsi que le haut de son pubis, lisse et glabre. S’en vint alors une main de Bruno qui le recouvrit tout en se mettant à le caresser, descendant jusque sur son sexe, encore caché par la jupe, qui, suivant le mouvement descendait elle aussi à tel point que plus assez retenue par ses hanches et sans aucune intervention de la part de Colette, glissa le long de ses jambes pour finir sa lente course sur ses cheviles.

Bruno retira sa main du sexe de ma femme qui maintenant ne pouvait que difficilement cacher la totale nudité de son intimité. Elle restait là, comme soudainement envoûtée par les baiser et caresses de Bruno, les lèvres lisses et charnues de sa vulve nue, offertes ainsi aux regards de qui la regarderait et qu’elle ne pourrait cacher. Son sexe lisse entièrement épilé ou se montrait sans retenue sa superbe petite vulve bien dessinée, une simple fente entre deux plis légèrement charnus, tel celui d’une gamine ou d’une fillette.

Bruno entrepris alors de terminer ce à quoi il rêvait de faire à la femme de son parton, finir le mettre entièrement nue sa patronne sous le regard médusé de son mari, en lui abaissant le top qui, suivant le même chemin que la petite jupe se retrouva finalement au sol et dont Colette machinalement se débarrassa.

Elle se retrouva donc maintenant entièrement nue et sans possibilité de se couvrir rapidement et correctement. D’autant que ses vêtements même repoussé sous le même meuble classeur, lui était quasi impossible à récupérer rapidement.

De plus Bruno l’ayant aidée pour le coup les avait repoussé du plus loin qu’il pouvait du bout du pied et ils étaient maintenant loin sous ce meuble et de toute façon souillé par la poussière qui n’était pas faite aussi souvent que dans une maison bien tenue. A pire, aurait-elle pu les récupérer, la faible hauteur des pieds, ainsi que l’obscurité y régnant aurait rendu la tâche aussi difficile que grand-guignolesque. Car pour y arriver, quelqu’un aurait du se mettre à plat ventre, même pas à 4 pattes et s’étendre pour en tâtonnant essayer de les repérer avant de les en faire sortir. Ce type de meuble classeur bien que pas très haut, est en revanche très large et surtout très profond, d’où la difficulté et sans doute l’envie inavouée que se retrouvant là, ils étaient inaccessibles sans se donner de le peinne, comme s’ils n’étaient plus là ou dans une autre pièce.

Les tissus en chutant et glissant dessous le meuble avaient cette fois fait un léger bruit assez perceptible pour une oreille avertie, ce qui ne devait pas être le cas, tout du moins de ce qu’il en apparaissait, de ces deux charmants messieurs peut être un peu dur de la feuille. Mais de toute façon, ils finiraient tôt ou tard par ne fusse que se retourner vers Colette, si ce n’est une fois terminé nos discussions, vouloir aller prendre le thé promis et alors, découvrir ma femme mise toute nue aux mains de mon ouvrier. Qu’adviendrait-il alors ?

Mais tel n’était pas encore la question. Pour l’heure il s’agissait pour moi de garder le plus longtemps possible l’attention de mes deux clients et même si je savais qu’une fin inéluctable s’ensuivrait, je ne pouvais à ce moment précis qu’en apercevoir les augures, mais pas en prévoir leurs tournures.

Pour l’instant je me contentais bien lâchement de regarder mon ouvrier, enlacer, embrasser et peloter ma femme toute nue entre ses bras.

Outre cette situation plus qu’humiliante, autre chose m’agaçait, mais je ne savais quoi dire précisément. Cela faisait déjà un bon moment, en fait depuis que Bruno avait commencé à entreprendre ma femme, que quelque chose retenait lui aussi de bref instant tout comme moi, son attention. Je croyais, quand je n’étais pas les yeux fixés sur mes papiers et mes deux clients, comme apercevoir qu’il me semblait tout aussi brièvement qu’il regardait comme par dessus mon épaule. Qu’il regardait par intermittence au-dehors, par la grande fenêtre derrière moi. Je n’en était pas certain mais je n’avais pas envie non plus de me retourner brutalement pour voir ce qu’il se passait dans mon dos et par la même, de donner trop tôt l’opportunité à mes deux clients de se retourner et ainsi pouvoir contempler avant l’heure ma femme dans le plus simple appareil.

C’est Colette, qui semblant sortir de sa presque torpeur un rien lascive, me fit perdre le fil de ces pensées. Outre le fait que Bruno continuait toujours autant et en me le montrant bien à étreindre de toute part ma femme, c’est sa main à elle qui attira mon regard. Déjà très proche de la braguette de Bruno et l’ayant déjà effleurée du dos de la main, elle se mit à la retourner pour la caresser plus fermement du plat de la main. Puis elle me regarda et entrepris de la lui ouvrir.

Je vis alors la main de ma femme, non pas dans la culotte d’un zouave, mais bele et bien d’introduire dans le salopette de mon ouvrier, qui maintenant, braguette béante, devait sentir ses doigts lui fouiller le caleçon et lui caresser les bijoux de famille. Je la vit faire ce que je connais bien de par le fait qu’elle me le fait aussi, c’est-à-dire attraper ses couilles et les lui malaxer, lui glisser un doigt dont l’ongle long et dur s’avance entre ses cuisses jusqu’à aller lui titiller le petit trou, puis revenir et repartir et ainsi de suite, pour finalement faire sortir sa verge en érection, au-dehors de la braguette, puis, se mettre à la triturer et à la branler.

Colette était légèrement penchée vers lui comme si elle voulait encore s’abaisser pour le sucer. Quant à lui ses mains passaient de soupeser ses seins au creux de ses mains à lui caresser la croupe, tout en glissant ses doigts dans le sillon de son cul, maintenant nu et offert. Mais elle s’arrêta, mais assez penchée pour me faire comprendre qu’elle finirait pas le sucer, devant moi. Lui se mit bien face à moi comme pour encore mieux me montrer ma femme occupée à le branler, ses boules elles aussi maintenant sorties de sa braguette.

Je la vis alors ouvrir la bouche et sortir sa langue en la bougeant en cercle comme si elle avait déjà le gland de Bruno en bouche. Et là, je les vis aussi, comme tout deux synchronisés, ne plus me regarder, mais regarder ensemble par la fenêtre. Un doute m’envahis alors et fit vite place à une certaine panique.

Le genre de panique qui fait que l’on sait qu’il ne faut pas faire quelque chose sous peine que cela entraîne des réactions échappant à tout contrôle, mais dont on sait déjà qu’il nous sera impossible de résister, mettant alors en scène ces choses que l’on redoute tant et qui inévitablement se mettront en branle.

Je tenta alors désespérément de ne pas me retourner pour voir ce qu’il se tramait depuis tout ce temps dans mon dos, sans pour autant attirer l’attention de mes deux clients, qui même s’ils étaient un peu âgés, n’auraient pas manqué d’être interpellés par ma conduite assez soudaine et quelque peu impolie. Je fis alors ce que font les gamins dans les salles de classe quant ils veulent regarder sous la jupe de leur nouvelle maîtresse assise à une table, laisser tomber son stylo et le ramasser lentement. Je laissai alors tomber le mien pour enfin constater que de derrière la fenêtre et ce depuis un bon moment, mes autres ouvriers, ceux présents à l’atelier ce jour-là, qui se délectaient de la scène.

Parmi eux, un seul n’avait jamais vu ma femme toute nue et encore moins tenté ou réussi à la peloter. C’était l’apprenti, tout frais émoulu sorti des écoles, en stage depuis trois jours dans l’entreprise. Bien que dans le cadre ce récit on le considérera comme étant agé d’au moins 18 ans, son air juvénile, presque éféminé, semblait le faire apparaitre comme étant bien plus jeune. A n’en pas douté il était encore puceau et même s’il avait sans doute l’habitude de se palucher en regardant des femmes nues denant son ordinateur, on voyait là aussi que c’était bien la première fois que lui était donné de voir d’aussi près et pour de vrai, une vraie "meuf" complètement à poil, une aussi jolie mature ainsi offerte à son regard avide en l’occurence ma femme et sa patronne. Certes il l’avait déjà croisée et j’avais déjà remarqué qu’il la matait avec insistance. Sans doute aussi que ses potes lui avait déjà parlé de la belle Colette, la femme du patron, qu’ils avaient dû fantasmer rien qu’en prononçant son nom, qu’ils devaient trouver ma femme "trop bonne"bref, que leurs juvéniles montées de testostérone les aurait vu s’occuper de Colette tel que dans les vidéos porno qu’ils regardaient régulièrement. Et donc, ses yeux, mais pas que les siens, ébahis, étaient scotchés sur les seins nus, le cul et la chatte de ma femme, de leur patronne. Pas en reste, lui ainsi que d’autres, avaient tous en main leur smartphone, sauf Lucien le plus agé, qui lui se branlait carément, comme il l’avait déjà fait en face de Colette à mainte reprises. Ils prenaient soit, prenaient des photos, soit filmaient leur jolie patronne qui s’était fait mettre complètement à poil par l’un d’entre eux, lui-même continuant à la tripoter et à se faire branler par elle, le tout en face de moi et de deux clients qui visiblement n’avaient pas encore pris part à la fête. Il était certain, comme cela s’était déjà produit par le passé avec d’autres jeunes, mais j’ai déjà mentionné que j’en reparlerais plus en détail dans un autre chapitre, ce qui n’était pour moi encore qu’un  gamin, ne manquerait pas de partager ce qu’il avait pris en photo et en vidéo avec d’autres copains de son age, photos et vidéos qui une nouvelle fois, seraient également partagée et offerte à la vue de tous sur internet. Certains, sans scrupules, ne se privant pas pour renseigner le nom complet de Colette, le mien, celui de mon entreprise, notre adresse, téléphones, e-mails et j’en passe, que qui donna par la suite droit à d’autres péripéties que je ne manquerais pas non plus de relater dans un futur chapitre.

Miraculeusement mes deux clients certes un peu âgé, ne semblaient pas avoir remarqué le coup du stylo et ma brève supercherie, tout comme il était tout aussi miraculeux qu’ils ne soient pas interloqués par la présence de mes autres ouvriers derrière la fenêtre, regardant totalement absorbé autre chose que leur propre présence. A cela je dirais que de par leurs lunettes respectives à la dioptrie sûrement assez élevée, ainsi que de par leur position pas tout à fait face à cette fenêtre, un reflet devait leur renvoyer l’image de ce qu’ils croyaient être eux même, en lieu et place de ceux qui étaient bel et bien là de l’autre côté de celle-ci. Je me disais que finalement cela pouvait bien se terminer, que Colette et Bruno s’éclipseraient discrètement par la porte de l’atelier, peu importe que cela continue ou non, tant que mes deux clients n’en soient pas témoin.

Mais c’était là pêcher par soudain excès de confiance, à la Richard Virenque, à l’insu de mon plein gré, et croire que finalement j’aurais pu espérer avoir un peu de chance, resterait à tout jamais un doux rêve éveillé mais jamais vécu.

Bruno, voyant que j’étais maintenant au courant que les autres voyaient tout depuis le début, voyant aussi que comme à mon habitude et à ma réputation, je le laissais faire, même s’il n’aurait sans doute pas cru au départ que cela aurait dépassé le simple pincement de fesses ou le léger pelotage de nichons, là l’avoir laissé mettre ma femme toute nue en ma présence et celle de deux clients certes un peu aveugles et sourds, il n’allait assurément pas en rester là. Ce que j’avais cru comme étant en soi la finalité de ce qu’il voulait faire avec Colette, n’était en fait que les prémices de ce qu’il voulait réellement faire avec elle et devant moi, à savoir la sauter sous mon nez de cocu soumis. Les deux clients étant en quelque sorte un prétexte pour se mettre en scène lui-même car au départ, rien ne laissait présager d’une telle aubaine, d’autant plus que très certainement, même si je les avais entendu, lui surtout dire qu’il voulait la baiser devant moi, je ne pense pas qu’il espérait que cela se fasse aussi rapidement.

Il était devenu maintenant clair qu’il prenait le dessus tout comme il ne se cachait plus pour regarder les autres et prendre des poses tout en exhibant bien comme il faut Colette. J’eus un peu de répit car cette fois, il se plaça assez discrètement derrière elle. La saisissant par les poignets, bien face à moi et donc aux autres et l’objectif de leurs appareils respectifs, mais toujours sauf Lucien, Bruno vint s’appuyer contre les fesses de Colette et fit apparaître et coulisser le bout de son gland décapuchonné par elle auparavant lors de la branlette, entre ses cuisses à peine serrées, juste sous sa vulve, faisant par ses va et vient légèrement s’entre ouvrir les lèvres de celle-ci et ce de plus en plus vite, faisant également se faire se balancer ses seins nus dans le vide. Le petit jeu dura un moment puis, il la retourna face à lui et fit de même, non sans cette fois bien lui attraper les miches du cul, pour, en les écartant bien, faire profiter moi et les autres, du trou de cul de ma femme que de temps à autre il venait titiller, puis pénétrer d’une ou deux phalanges.

C’est alors, que Colette se sentant observée, se voyant filmée et prise en photo, sentant également le gros sexe tendu et gonflé de Bruno glisser, aller et venir entre ses cuisses et lui labourer la vulve et surtout, sentant une nouvelle fois mais celle-ci bien plus profondément que les précédentes, son doigt s’enfoncer dans son joli petit trou de cul et le ramoner doucement, Colette, ne put retenir un gémissement bien sonore. En tout cas suffisamment pour qu’enfin, mes deux clients se retournent vers elle et la découvre occupée à se faire tringler par l’ouvrier qui leur donnait des renseignements sur la marche à suivre de leur futur chantier, quelques dizaines de minutes auparavant.

Ils ne pouvaient que difficilement détourner le regard de ce corps merveilleux que pourtant ils connaissaient déjà tous deux, bien que très certainement ils le connaissaient de façon bien plus conventionnelle pour des hommes de leur age, tentant bien difficilement de me regarder dans les yeux, mais là aussi le faire tout comme ne pas le faire revenait à m’avouer implicitement la relation qu’ils entretenaient avec ma femme, mais comme je ne semblais pas avoir réagi depuis que Bruno, même s’ils ne s’en étaient pas rendu compte tout de suite, le fait que je laisse ma propre femme se faire ainsi prendre par un simple ouvrier, fût-il des miens, devait les conforter quelque part dans ce qu’ils pensaient de ne pas avoir eu tort de se priver de Colette, voire par la suite de mieux en profiter.

Cependant, ils n’osaient pas en ma présence faire quoique ce soit. Faussement gênés par les rémanences d’une certaine bonne éducation encore présente sans doute. Mais Bruno, de nouveau derrière elle et semblant de plus en plus vouloir la pistonner et la pénétrer cette fois pour de vrai, se tourna vers eux entraînant par la même Colette légèrement penchée face à eux. Le tenant par les bras il la fit se pencher un peu plus encore vers eux. Ses seins lourds et souple se balançant maintenant à quelques centimètres de leurs visages respectifs.

Ils n’auraient eu qu’à tendre un peu le cou pour que chacun d’eux puisse lui lécher et lui sucer un téton. Intérieurement ils devaient se trouver face à un problème plus que Cornélien, tant cette superbe poitrine ainsi offerte devait les tenter, de la toucher. Mais même s’ils ne devaient pas être de marbre, ils n’en firent rien.

Bruno ne s’en formalisa pas, redressant Colette, il l’approcha encore plus proche d’eux, à leur effleurer les genoux et presque comme un maquignon sur la place du marché, il vanta les atouts de ma femme, leur demandant d’approcher encore pour voir en pleine lumière cette belle chatte bien lisse qu’il caressait en même temps qu’il la leur montrait, faisant remonter le plat de sa main sur son pubis tout aussi lisse, faisant se tendre et ressortir bien visiblement les lèvres charnues du sexe de Colette, puis de la retourner et de lui écarter les fesses pour qu’ils puissent bien voir de près son joli petit trou de cul et ça, je suis à peu près sur qu’ils ne l’avaient jamais fait ou qu’elle devait tout simplement le leur interdire, quand Bruno leur dit : « Allez-y messieurs, profitez en, mettez-lui un doigt dans le cul, je viens de le lui faire, et regardez comme son mari semble n’attendre que ça, pas vrai parton que ces messieurs peuvent mettre un doigt dans le cul de votre femme ».

C’est à ces mots que je vis que ces charmants messieurs d’un age respectable tout comme respectable ils voulaient se faire passer auprès de moi sachant qu’ils avaient déjà fait l’amour avec Colette, c’est là que se révéla leur vrai visage de vieux cochons vicieux. C’était maintenant clair, il était évident qu’ils n’avaient jamais pu sodomiser ma femme, mais là, avec l’aide de Bruno, même en passant après lui, les simples mots enculer Colette, leur firent perdre toute retenue.

Sans attendre ce fut au premier qui lui enfonça le doigt dans le cul tandis que l’autre lui en enserrait plusieurs dans la chatte, tout deux de l’autre main cherchant un de ses seins à palper, à malaxer, ou lui caresser les fesses, lui lécher le sillon du cul ou l’anus avant d’y mettre le doigt, bien profond. Ils le faisaient presque nerveusement, comme des adolescents tout en gémissant et en se rependant en des : « Oh oui enfin ! Enfin je vous doigte votre petit trou de cul ! Oh oui Madame Choisez, vous allez enfin me laisser vous enculer ».

J’avoue que regarder ces deux petits vieux s’exciter avec autant d’ardeur sur le trou de cul de Colette m’excitait moi aussi. Bruno quant à lui l’était tout autant et en profita pour amener Colette alors penchée légèrement face à lui, à s’incliner davantage jusqu’à venir lui sucer la bite, offrant par là même, encore mieux son cul au papy. L’un d’eux n’y tenant plus ou ayant peur que cela ne cesse tout à coup, se déculotta et brandissant une bite encore bien raide entreprit sans attendre de presser son gros gland sur l’anus de ma femme. Lentement mais sûrement et sans faiblir, je vis, tout comme les autres sa queue s’enfoncer dans le trou de cul de Colette puis, pendant un long moment se mettre à le lui pistonner. Plusieurs fois il en sorti mais à chacune d’entre elles, il la remit bien profond jusqu’à en faire claquer ses couilles sur les fesses de Colette. Il était devenu rouge et des perles de sueur glissaient de son front dont les rides avait disparu.

Je m’avança pour mieux regarder son gros sexe bien rouge, presque mauve par endroit s’enfoncer puis aller et venir, dans le trou de cul de ma femme.Mais ce que je préférais c’est quand il ressortait. Le trou de Colette se déformant comme pour retenir cette queue qui en sortait. Puis de regarder son gland rouge et déjà humide de sperme chercher de nouveau l’entrée, glisser sur son trou sans pouvoir y pénétrer, ripper sur le sillon de ses fesse puis revenir se presser en se déformant avant de commencer lentement à lui dilater l’anus et le voir peu à peu entrer dans son orifice pour de nouveau recommencer à aller et venir inlassablement, alors que sur un ton de complainte, les yeux fermés et la tête en arrière il psalmodiait le nom de ma femme comme s’il chantait en sourdine un cantique : " Oh Madame Choisez, madame Choisez ! Je vous encule, je vous encule ».

Cela m’excitait d’entendre ainsi résonner le nom de ma femme.

Ceux qui ne nous connaissaient pas, de par le fait que nous soyons marié,  l’appelaient tout simplement Madame Steuve. Par contre ceux qui la connaissaient de par son travail ou d’avant notre mariage, continuaient à l’appeler Madame Choisez, son nom de jeune fille sous lequel elle se présentait, sans doute par pure coquetterie voir pour ne pas interférer avec le mien et celui de l’entreprise. Mais j’adorais.

Entendre son nom, lui parler à la deuxième personne du pluriel, lui faire montre d’un respect presque guindé alors qu’elle était nue et se faisait baiser. Je m’imaginais ses très nombreuses rencontres alors que tout en prononçant son nom le ou les hommes, mais pas que, car il y avait aussi des jeunes, mais là aussi nous en reparlerons, lui déboutonnaient son chemisier Chanel et lui caressaient les seins enchâssés dans de la dentelle Aubade ou autres griffes de prestige. Car Colette était toujours tirée à 4 épingles et savait s’habiller, et se laisser déshabiller aussi.

L’autre clients, pas en reste du tout et attendant son tour, bien qu’il eu un peu de peine à se mettre à genoux, avait entrepris de pistonner la chatte de ma femme avec plusieurs doigts. Par moment, il les ressortait tout humide pour les renifler et s’en réjouir. A d’autres, il s’attardaient sur les loches de Colette qui pendaient et se balançaient dans le vide pour les attraper et les lui soupeser.

Par moment il lui attrapait son sein à deux mains, approchant sa bouche brillante de salive pour en humecter le mamelon et le téton qu’il suçait alors bruyamment et goulûment comme un enfant affamé tète sa mère ou sa nourrisse. Quand il le pouvait, il aimait aussi tapoter les nichons de Colette, ou bien encore lui tirer les tétons. Il lui caressait aussi les fesses, lui léchait le creux des reins, la croupe tout en regardant son compère se délecter de sa pénétration anale. Lui avait agrippé Colette par les hanche et à chaque fois qu’il venait taper ses fesses quant il était au fond d’elle mais plus précisément quand il avait enfilé tout la longueur de sa bite dans le cul de ma femme, son gros ventre aussi venait  claquer mais sourdement, atténué par la légère sueur du à son effort.

Bruno quant à lui, n’espérait pas si vite que je puisse voir d’aussi près ma femme lui sucer la bite de la sorte. Par moment il lui prenait la tête comme pour encore mieux lui bourrer la bouche, je voyais alors la déformation que faisait son gland sur l’intérieur de sa joue, tantôt d’un côté, tantôt de l’autre, ou quand il l’enfonçait profondément dans sa gorge avant de la retirer un instant, suintante de salive. Colette alors tout en me regardant, lui léchant le gland de sa langue experte, lui titillant son bout de la pointe de celle-ci, serrant sa verge entre ses doigts pour la lui secouer tantôt lentement, tantôt vivement, de l’autre main je la voyais lui soupeser les bourses, aller et venir le long de son fion, lui faire crisser les ongles sur le dessous de ses couilles, puis aller lui titiller son trou de cul. Parfois c’était elle qui menait le jeu. Elle lui agrippait les fesses après les avoir massées, puis se faisait elle-même une gorge profonde puis laissait filer et ressortir la queue de Bruno entre ses lèvres serrées jusqu’à ce que son gland fasse un gros « Plop » humide. A d’autres moment, il lui frottait sa queue sur le visage, la lui tapait sur les joues, labourait les lèvres entre-ouvertes de ma femme avant de recommencer à la lui fourrer en bouche.

Je ne vis pas le temps passer et en avait presque oublié que les autre zouaves voyeurs étaient, bien que statiquement, aussi acteur de ce qui se passait dans mon bureau avec ma si jolie femme. Eux aussi à n’en pas douter ne mettraient pas longtemps à la sauter et prendraient aussi plaisir à le faire devant moi.

Les petits vieux échangèrent leur place. Mais plus malin, celui qui venait de sortir de son cul s’allongea et amena Colette à, en levrette elle l’enjambe et le surplombe. Il pourrait ainsi pendant que le second prenne lui aussi son plaisir à enculer ma femme, lui enfoncer sa verge tendue dans le sexe et lui pistonner la chatte pendant que son compère sodomise Colette. Ainsi prise en double derrière et Bruno devant,  elle se ferait fourrer tous ses orifices en même temps comme elle l’a toujours adoré. J’étais scotché et fasciné de pouvoir voir ça d’aussi près.

Puis vint le moment où Bruno eut lui aussi envie de prendre sa patronne par derrière. Colette se retourna et entreprit de faire tout ce qu’elle venait de faire à mon ouvrier aux deux papy, les branlant des deux mains et les suçant tour à tour.

Bruno me regarda alors et tout en saisissant le cul de Colette à pleine mains, me regarda et me dit alors :"Regardez patron, j’encule votre femme, je la baise, je la fourre, je la ». Il ne tarissait pas de mots pour me décrire comment il se tapait sa patronne devant moi, son cocu de patron, faible et lâche.

Cela dura encore un long, très long moment, échangeant leurs positions et prenant Colette par tous les trous, puis, sentant sans doute la sève monter, se retirèrent l’un après l’autre, attendant en se branlant que le dernier retire sa queue de Colette, puis, en demi cercle autour d’elle à genoux et maintenant elle aussi légèrement en sueur essayèrent de se synchroniser pour lui éjaculer tous ensemble dessus. Je regardais Colette, ma femme, attendre la tête légèrement penchée en arrière, la bouche entre-ouverte quand un des papy tout en poussant un gé

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