Nota : cette histoire est globalement imaginaire, mais contient de vrais morceaux de vécu dedans 🙂 A vous de deviner lesquels !
Marina est une très jolie femme de 34 ans, que j’ai rencontrée il y a six ans dans mon milieu professionnel – je suis directeur marketing dans la mode et mon travail me met en contact avec beaucoup de femmes, souvent avenantes. Pour moi, Franck, qui suis d’une nature à fantasmer, c’est à la fois merveilleux et, quelque part, un genre de torture : je ne suis pas trop mal physiquement et pour mes 46 ans, mais d’une nature assez timide. Je ne suis pas le genre de gars qui emballe à tout va… Pourtant, j’ai réussi à séduire cette adorable poupée qui avait 28 ans à l’époque, un caractère bien trempé, et un sacré tempérament au lit. Enfin, je ne suis pas très honnête : c’est plutôt elle qui m’a séduit. Parfois je me demande si ce n’est pas mon statut social qui l’a attiré… peut-être est-ce là aussi mon manque d’assurance qui me fait douter de moi.
Nous nous sommes finalement mariés il y a deux ans. Marine ne veut pas d’enfants, ce qui me va bien car j’en ai déjà deux et je n’ai nulle envie de repartir dans les couches. De son côté, c’est un peu le syndrome Arielle Dombasle : elle veut garder un corps parfait, et ne se sent pas un instinct maternel très développé.
Avec Marina, le sexe est assez explosif. Si l’on traverse parfois des semaines "sans", en général nos rapports hebdomadaires sont au nombre de 2 environ; elle aime expérimenter : m’enculer avec un gode-ceinture par exemple, puis me faire lécher l’engin, uriner dans ma bouche ou se faire uriner sur le sexe… dépasser les interdits ne lui déplait pas, et nous avons même, parfois l’occasion de sortir dans des soirées privées échangistes. La voir se faire pénétrer par des inconnus, les embrasser, est à la fois jouissif pour moi et l’occasion de coups au coeur terribles. Je me dis souvent "c’est la dernière fois", ayant eu du mal à supporter de voir sa bouche délicate explorée par une langue inconnue. Mais elle aime cela, et à chaque fois, je recraque car je sais aussi que la voir défoncée par d’autres bites va me faire bander comme un salaud.
Lors de nos périodes abstinentes – qui tiennent en général à son état de fatigue, ou à des épisodes de stress professionnel – Marina est maintenant directrice de collection dans une maison italienne, je me rabats sur le porno. J’en regarde beaucoup depuis des années, toujours à la recherche de choses plus bizarres – c’est un peu le problème avec la consommation de porno, il en faut toujours plus pour que l’excitation demeure.
Amateur et pratiquant d’uro depuis longtemps, avec Marina mais pas seulement, recherchant des vidéos dans ce domaine, j’ai fini par tomber sur des productions allant bien au-delà. J’ai découvert des films français, allemands, japonais, brésiliens, professionnels ou amateurs, où les participants jouaient avec leurs excréments.
A la base, ce n’est pas une chose qui m’attirait; à chaque fois qu’un peu de merde est sortie du cul d’une compagne ou amie de circonstance, à l’occasion d’une sodomie, l’odeur a plutôt été un facteur incommodant. Mais l’idée m’excitait – surtout, l’idée que ça puisse plaire à ma partenaire de me chier un peu dessus.
J’ai eu quelques premières expériences light, et avec Marina, nos doigtages de cul mutuels pouvaient bien entendu se solder par un peu de salissure. Entre ces prémisses et mon habitude grandissante de me masturber devant des films scato, j’ai commencé à fantasmer de plus en plus sur cette pratique.
Je ne me masturbais pratiquement plus que sur mes vidéos préférées, tout en cherchant constamment de nouvelles images sur internet, surtout amateur. Rapidement, je ne fus plus excité par les vidéos trop pro, ou souvent on pouvait deviner que la merde était factice et plus ou moins bien imitée. Le top, c’était les vidéos approximativement filmées, où un couple, ou plusieurs, se laissaient aller les uns sur les autres, extrayant de leurs viscères des étrons qui semblaient bien réels, bien moulés et grumeleux, puis jouaient avec ce caca de multiples manières. Mes héroines se nommaient Mégane, Nelly Preston, Bea Schnuckel et quelques autres, avec une mention spéciale pour cette dernière, petite baby doll germanique capable des pires dégueulasseries malgré sa gueule d’ange.
Je rêvais évidemment d’amener ma propre petite salope à ces extrémités fécales. En 69, je fouillais de plus en plus activement son trou du cul, lui demandant de pousser, me délectant de ses pets, et l’encourageant lorsque je sentais une crotte coulisser le long de mon doigts. De mon côté, je poussai aussi lorsqu’elle me doigtait l’anus, et bien souvent, après avoir joui tous les deux, je la voyais se précipiter dans la salle de bains pour se laver les mains.
Pourtant, elle s’en tenait là. Je n’osai aborder frontalement la question d’une vraie séance de défécation mutuelle. Quelque part, j’avais aussi une forme d’hésitation : Marina était une sorte d’icône pour moi, peut-être avait-elle peur, et moi aussi, qu’elle ne casse son image en exhibant l’anneau de son cul se boursouflant pour finir par éjecter une masse odorante de merde ? Et en même temps, c’est justement l’idée qu’un tel canon se livre à une chose aussi ignoble qui m’excitait.
Et puis, quand je regardais mes films scato, j’avais fini par concevoir dans l’acte de chier sur quelqu’un une forme de beauté sublime, d’intimité "ultime", d’offrande inconcevable et donc délicieuse. Je voulais donc posséder cette ultime intimité de Marina, en observant son cul pendant qu’elle défèque, puis en chiant aussi sur elle.
En novembre de cette année-là, nous avions une série de défilés à gérer en Europe et c’était une "période sans". D’une part, nous étions souvent loin l’un de l’autre, et d’autre part, nous étions constamment épuisés. Je me livrai donc à mon habituelle et frénétique saison de la branlette, en éjaculant jour après jour dans la contemplation de Nelly Preston en train de se faire chier dans la bouche, de Bea Schnuckel en train de laper le cul merdeux d’un vieil allemand, et autres performances excrémentaires.
Et puis, il s’est passé quelque chose.
Marina était à Milan, comme souvent, et j’avais décidé de faire quelques papiers administratifs. J’avais besoin d’un certificat que je ne retrouvais pas, et je me suis décidé à regarder si Marina ne l’avait pas rangé dans le secrétaire qui lui servait de bureau à la maison. Dans l’un des tiroirs, je vis un petit post-it qui me donna un coup au coeur : il était juste indiqué "sc2017" dessus. Je savais très bien ce que signifiait ce code : c’était le mot de passe qui protégeait l’un des dossiers de mon ordinateur; un dossier bien précis, celui de mes vidéos scato – j’en stockais près d’une cinquantaine, mes préférées. Ce code, je ne l’avais jamais écrit nulle part. J’examinai mon ordinateur et finis par découvrir assez rapidement qu’un logiciel espion y était installé : le genre de petit logiciel discret qui transmet les frappes du clavier à l’indélicat trop curieux. Et de toute évidence, l’indélicat était une indélicate. Je la savais douée en informatique – c’était même une vraie petite geekette, mais je ne l’imaginais pas ainsi – et d’ailleurs, pourquoi ?
Je m’aperçus que le petit logiciel était installé depuis deux ans et je compris : à cette époque, Marina m’avait soupçonné d’une infidélité – à tort – avec une secrétaire, Catherine. De toute évidence, elle a voulu en avoir le coeur net, mais au lieu de tomber sur des mots d’amour, elle a récupéré des mots de passe et noté celui-ci. Avec le keylogger, le petit logiciel en question, elle savait également ce que ce mot de passe pouvait ouvrir.
Ayant moi-même une passion pour le bidouillage informatique, je retournai le logiciels espion contre son instigatrice : s’il mémorisait et transmettait toutes mes actions, il avait sans doute aussi mémorisé les siennes, si elle était venu fureter sur mon ordi. Je recherchai méthodiquement les éventuelles traces de manipulations pendant les périodes où j’étais absent.
Bingo.
Depuis plusieurs mois, presque à chacune de mes absences hors de la ville, il y avait des opérations enregistrées par le logiciel. Et à chaque fois, le répertoire protégé avait été ouvert et utilisé.
Il n’y avait pas de doute : en mon absence, Marina venait regarder mes films scato. En regardant les horaires, il était facile de voir qu’elle y restait un long moment : une, deux, voire parfois trois heures en soirée ! Elle devait se masturber comme une folle en regardant ces femmes et ces hommes se chier dessus, et manger leurs excréments.
Je ne savais que faire. D’un côté, je me sentais honteux et découvert. De l’autre, je me disais qu’on en était au même point, et que ce serait l’occasion de lui proposer de passer à la pratique.
Après de longues hésitations, je me contentai de placer le post-it sur l’écran de son propre ordinateur.
Marina est rentrée le surlendemain. Elle a vu le post-it, forcément, mais n’a rien dit le jour même. Il y avait une atmosphère un peu bizarre. Le lendemain matin, je posai ma main sur sa chatte, lorsqu’elle fut réveillée. Elle choisit ce moment pour crever l’abcès.
— Ok, bon… finissons-en. J’ai vu le post-it que tu as du trouver dans mon tiroir. Pourquoi tu l’as mis là ?
— Pour que tu me parles de ce code…
Je voulais voir ce qu’elle avouerait, donc je restais évasif. Elle tenta une diversion.
— Je l’ai trouvé écrit quelque part dans tes affaires. C’était à l’époque de Catherine. J’étais méfiante, j’ai dû le noter là en me disant que ça pouvait servir.
Elle mettait un peu de vérité dans son mensonge, c’était mignon.
— C’est un mot de passe, mais je l’ai créé il y a bien moins longtemps que ça, et jamais écrit nulle part…
— Bah écoute, je n’ai pas pu l’inventer. Si tu ne l’as pas écrit, j’ai du te voir le taper, ou quelque chose comme ça.
Je décidai d’en finir.
— Marina chérie, je connais le fin mot de l’histoire. Mais ça serait plus élégant que tu me dises la vérité…
Elle pouvait penser que je bluffais. Ou pas. Elle réfléchit un moment, puis quelque chose la décida.
— Après tout, je t’aime. La vérité, c’est mieux, tu as raison. J’ai récupéré ce code parce que j’ai espionné ton ordi à l’époque de Catherine. Avec une petite bidouille. Et je n’ai rien trouvé d’autre, rien de compromettant, et j’en ai déduit que je t’avais soupçonné pour rien. Voilà.
— Après avoir trouvé le post-it en cherchant un certificat de douane, j’ai fouillé mon ordi et ai trouvé ton keylogger, en effet. Mais la vérité, c’est mieux quand c’est complet, mon ange.
Silence. Marina étant une maligne, elle a enchaîné les déductions : si j’avais trouvé le keylogger, j’avais aussi pu retracer toute l’histoire. Elle abandonna l’affaire.
— Ok. J’ai trouvé ce que tu planquais sur l’ordi.
— Et tu en profites depuis des semaines, et pas qu’un peu.
— Tu serais mal placé de m’en faire le reproche.
— Je peux te reprocher d’avoir bidouillé ma machine, de m’avoir espionné, et toi, tu peux me reprocher de t’avoir caché cet aspect de ma vie fantasmatique. Mais c’est tout. Moi ce qui m’intéresse maintenant, c’est ce qu’on va faire de cette passion partagée.
Elle eut un sourire en coin que j’eus du mal à interpréter. Puis elle reprit la parole.
— J’avoue que je me suis bien excitée là-dessus, mais c’est mon côté voyeuse qui l’a emporté. L’idée que des gens puisse se dégrader comme ça, oui, ça m’excite. Mais moi, je n’ai aucune envie de me dégrader, et encore moins de te voir le faire. Ca casserait tout.
C’était un peu le scénario catastrophe que je craignais. Bien sûr, j’avais rêvé que ça se termine par une déclaration d’amour scatologique du type : "oh mon chéri cela fait des semaines que je nous imagine déféquer l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, et même pourquoi pas inviter ma meilleur amie chrystel pour lui chier dessus aussi" (oui, dans mes rêves éveillés, j’avais intégré sa copine Chrystel, un canon de 26 ans avec des jambes de 2 kilomètres : c’est un peu la faute de Marina, car sachant que Chrys m’excite, elle en rajoute sans cesse. "Chrystel ne met jamais de culotte", "Chrystel me fait des allusions sur un plan à trois avec toi", etc, et à chaque fois elle se moque de moi parce que je marche à fond).
Mais non, c’est l’hypothèse noire qui s’est confirmée. Et comme je connais ma femme, je sais qu’il est inutile de discuter : elle est du genre à tenir une position juste pour ne pas se déjuger. Au mieux, il fallait que j’attende une autre occasion, ou une perche tendue. Je lui donnai raison pour sauver les apparences.
Puis j’attendis.
Si je prétendais que cette histoire n’a rien changé entre nous, je mentirais. Nos rapports sexuels étaient toujours quelque peu pollués par cette histoire latente de scatologie, et nous ne nous fouillions plus le cul avec le même entrain. Les séances de sexe se sont alors espacées et après quelques mois, étaient devenues rares. Les soirées et sorties échangistes ont continué quelques temps, mais cette source de plaisir s’est tarie elle aussi.
Même si je connaissais le mécanisme à l’oeuvre, une chose me chiffonnait : je connaissais Marina, et si pour ma part je pouvais pallier l’absence de sexe avec elle par une pratique masturbatoire qui confinait parfois à l’addiction, j’avais le plus grand mal à imaginer que ma femme puisse se contenter de se tourner le bouton pour assouvir sa faim de pénétration : cette femme avait besoin de se sentir ramonée par une bite efficace, selon ses propres termes.
L’hypothèse qui commençait à grandir en moi était confortée par mon expérience passée : par deux fois j’avais vécu avec des femmes qui avaient fini par se lasser de la chose, et par deux fois, j’avais fini par comprendre que "je n’ai pas envie" signifiait en réalité "je n’ai pas envie avec toi". Et tandis que je me languissais d’un rapport en trompant mon ennui avec de la pornographie, elles me trompaient moi avec de vraies bites en chair, mais pas en os, puisque comme on le sait ce n’est pas un os.
Je n’avais toutefois guère de moyens de prouver cette forfaiture, car nos précédentes péripéties l’avaient rendues méfiante. Localiser son iPhone ou piéger son ordinateur, mission impossible. Pour essayer de faire fortune bon coeur, je me mis à faire des rêves candaulistes éveillés. J’imaginais les sorties de Marina, ce qu’elle pouvait faire avec un amant, voire deux. Je l’imaginais dans des scénarios bizarres, sales.
Et puis, l’idée de ma femme en plein délire scato ne m’avait pas quitté, et malgré ses dénégations, je me plaisais à l’imaginer excitée par une telle dépravation. Parmi les "outils" dont j’avais doté mon imaginaire, il en était un bien réel, à défaut d’être tangible : je l’écoutais, chaque matin, chier. Elle était d’une régularité de coucou suisse : 20 minutes après s’être réveillée, son cul demandait à pondre. Je me masturbai en imaginant son anus se dilater, hésiter, faire quelques mouvements de va-et-vient puis faire place à une luisante merde que j’imaginai recueillir dans mes mains. Ce rituel, même s’il ne me laissait pas le temps d’éjaculer car elle était rapidement de retour pour filer dans la douche attenante à la chambre, était immuable, sauf lorsque l’un de nous deux était en déplacement.
La machine se grippa un mardi. Marina s’était levée, était allée se préparer son café, j’avais déjà sorti ma bite pour me branler au son de l’étron, mais rien. Constipée sans doute – ce sera partie remise pour demain. De fait, l’étron Marinien fut au rendez-vous le mercredi, puis le jeudi, etc. Cette exception se reproduisit de temps en temps, j’en prenais mon parti.
Puis, un jour, l’évidence me frappa. Le trou dans l’emploi du temps merdeux était toujours un mardi. Tous les mardis, le seul bruit que j’entendais en provenance du WC marital était le léger bruissement de la Sainte Urine – ni plouf, ni éjection sonore de merde molle. Il n’y avait guère de possibilités pour expliquer une telle coïncidence, et la déduction qui s’imposait me frappa en plein coeur : chaque mardi, Marina faisait l’étron buissonnier. Celle qui se refusait à mes propositions de jeux excrémentiels, et désormais à mes jeux tout court, non seulement se faisait probablement défoncer les entrailles par des queues inconnues, mais faisait l’offrande d’au moins un caca hebdomadaire à un, voire plusieurs heureux élus, qui peut-être avaient eux-mêmes le privilège d’emmerder l’amour de ma vie.
Cette découverte, dans un premier temps, enrichit mes rêves éveillés. J’avais un peu de matière concrète pour l’imaginer jouer avec ses matières fécales. A cette époque, je jouissais très vite – la seule évocation de Marina chiant devant un inconnu ou le regardant chier me faisait gicler en quelques minutes. Mais dans un coin de ma tête, l’obsession grandit : il fallait que je la voie faire – au sens propre. Ou sale, enfin, je ne sais plus !
L’avantage d’avoir un peu d’argent est de pouvoir se payer du personnel. J’eus recours à la bonne vieille ficelle du détective privé pour découvrir où elle allait, qui elle voyait, et comment la surprendre. Bon détective, il découvrit que le mardi était alternativement consacré à un jeune allemand qui travaillait dans la mode comme nous, ou à une femme prénommée Béatrice, de mon âge. Ce point me surpris un peu car dans le libertinage, Marina ne prêtait guère attention aux filles – à leur grand désespoir d’ailleurs. Elle voulait des bites (et des belles, elle avait horreur des vilaines bites). Il faut croire que pour les jeux scato, Marina aimait la diversité des genres. Il ne pouvait pas décrire les activités pratiquées, car je lui avais demandé de s’en tenir à qui, et où. En fait, je voulais aussi éviter qu’il voie ma femme en train de déféquer sur un mec, ou de manger de la merde. Cocu, passe encore, mais je ne me sentais pas prêt à soutenir le regard du détective me tendant les photos de ma femme couverte du repas de la veille de je ne sais qui.
Ma chance fut pur le "où". Marina était une casanière : elle aimait se créer des petites habitudes. Pour ne pas éveiller les soupçons (raté), elle retrouvait ses shit-friends dans un hôtel situé un peu plus loin que ses bureaux. Elle pouvait ainsi garer la voiture à son travail, dans un parking où le gardien pouvait attester de son arrivée, puis rejoindre l’hôtel à pied. Selon le détective, qui l’avait observée pendant six mardis de suite (six semaines qui m’avaient paru interminables), elle prenait toujours la même chambre, l’unique suite royale de l’hôtel Bellevue. A chaque fois, le détective l’avait vu entrer dans l’hôtel avec un sac de sport, puis l’un ou l’autre de ses comparses, également avec un sac de sport. Je ne sais pas comment il a pu obtenir le numéro de chambre et n’a pas voulu me révéler sa méthode. Je suppose qu’un graissage de patte s’est invité dans l’histoire, partiellement financée par les 6000 euros que la plaisanterie m’a coûté.
Peu après, je contactai le Bellevue pour louer la suite royale. Marina n’utilisait pas mon nom de famille et par conséquent, il n’y avait pas de risque que la réception fasse le rapprochement. Cette grâce me fut accordée, et je pus ainsi visiter la chambre pour en inspecter l’organisation. Je remerciai, pour une fois, ma bonne étoile : le bâtiment de l’hôtel était initialement un petit immeuble de bureaux, et la totalité des plafonds, chambres comprises, était constituée de dalles amovibles. Rien de plus simple que d’y dissimuler un équipement de surveillance.
Je relouai la suite quelques jours plus tard. Une fois dans la chambre, je sortis de mon bagage deux caméras espion – de vrais petits bijoux de technologie, dont l’objectif était situé au bout d’un cordon d’endoscope, relié à un petit boitier qui pouvait être alimenté soit par le secteur, soit par une batterie externe. J’avais prévu deux batteries grande capacité qui seraient capables de tenir plusieurs heures en mode prise de vue. Je cachai les éléments volumineux dans le faux plafond, et creusai légèrement deux des dalles pour que l’objectif soit affleurant et presque invisible. La première caméra filmait, en grand angle, la chambre et le lit, et la seconde, la salle de bain qui intégrait les WC (une suite royale sans WC séparés et avec des fonds plafonds en dalles de bureau ne devait pas avoir des avis bien fameux sur TripAdvisor, mais je m’en fichais). La prise de vue était mémorisée sur une carte SD de grande capacité, et le tout pouvait être programmé en date et heure pour déclencher et stopper les caméras en mode détection de mouvement – elles ne filmeraient que pendant les périodes d’activité.
Tout était prêt pour enregistrer automatiquement les deux prochains mardis, et je réservai à nouveau la chambre entre et après les deux séances suivantes de ma petite salope cachottière, afin de venir relever le résultat sur la carte SD.
Je me sentais comme un genre de 007, dans un film qui aurait pu s’appeler Quantum of Salace.
Attendre le mardi suivant (j’avais pu louer la chambre le soir même de la petite fiesta de mon épouse : de toute évidence, elle réservait la chambre en « day use » et la libérait donc dès la fin de ses ébats) fut une sorte de torture. Vers 15h, alors que Marina était encore à son travail, je me rendis à l’hôtel en veillant de ne pas passer trop près de ses bureaux. Et puis, je fus à pied d’oeuvre : je sortis de mon grand sac mon petit escabeau télescopique, soulevai les deux dalles qui me donnaient accès au boitier mémoire et m’installai confortablement sur le lit pour copier et visionner les deux films sur mon portable.
On y était. C’était le moment. Je ne me l’avouais pas, mais je savais que quelques instants plus tard, si tout avait fonctionné correctement, je retirerai mon pantalon, mon slip, et je me masturberai comme un fou en regardant les images.
Tout avait fonctionné normalement. Je commençai par recopier les fichiers vidéo sur une partition cryptée de mon ordinateur; cela prit plusieurs minutes, pendant lesquelles je trompai l’attente en lisant quelques mails. Je ne voulais pas perturber la copie en lisant les fichiers. Puis la copie fut terminée, je double-clique sur le premier fichier. VLC se lance et l’image apparait : c’est la caméra de la chambre, première à capter un mouvement. La porte s’ouvre, c’est l’italien qui entre, plutôt pas mal, petite barbe de trois jours, pas un bellâtre mais bonne tête. Je n’éprouve rien vis à vis de lui, pas de jalousie déplacée. Si une femme m’avait proposé ce genre de rencontre, j’aurais accepté sans me soucier de sa propre famille alors pourquoi lui reprocherais-je ce que j’aurais fait aussi ?
Il pose un bagage sur le lit, et en retire ce qui semble être de grandes alèses d’hôpital. Il ne fait guère de doute que la scatologie est de la partie, et ces deux là m’ont l’air très organisés pour pouvoir laisser la suite dans un état acceptable par l’hôtel. Je le vois également poser de grands sacs poubelle dans un coin, des gants de chirurgie, et entrouvrir les fenêtres. Le fichier se stoppe lorsqu’il va dans la salle de bains, la caméra ne détectant plus de mouvement. Je passe au fichier suivant pour cette caméra, ce qu’il va faire dans l’autre pièce ne m’intéresse pas pour le moment. Sur cette nouvelle séquence, il se dirige vers la porte et fait entrer Marina. Il est 9h30; elle aurait du chier il y a près d’une heure et demi mais elle n’a pas l’air mal à l’aise – le corps se fait une raison lorsqu’on manque ce genre de créneau biologique. Elle aussi a un sac de sport dont elle retire ce qui semble être des draps : madame aime son confort et ne veut sans doute pas baiser à même les alèses.
Une fois leurs petits préparatifs faits, l’Italien sort d’un petit sac à dos une paire d’escarpins dotés d’immenses talons aiguilles, et quelques autres accessoires formant une tenue sexy – une tenue de petite pute typique avec collant troué au niveau de la chatte, notamment. Marina et le rital se rapprochent, et commencent à se chauffer. Elle se met à genoux devant lui, détache sa ceinture, baisse son jean. La chemise est ouverte et je vois distinctement le sexe du garçon très gonflé sous le caleçon – Marina passe sa main dessus, mordille la hampe, puis fini par baisser le sous-vêtement. La queue est belle et droite, Marina fait courir sa langue des couilles au gland. Si je pouvais boomer, je pourrais sans doute voir une perle de précum émerger du méat. Soudain, Marina se relève, se déshabille rapidement, met le collant troué, les chaussures de salope et se place à 4 pattes sur le lit recouvert d’une alèse et de l’un des draps apportés par ma femme. Elle pose ses épaules sur le lit, et utilise ses deux mains pour écarter à fond sa chatte et son anus. Je reconnais son style direct. Je monte un peu le son.
Pendant que ma femme se positionnait, l’italien se rapprocha d’un meuble situé à la verticale de mon installation, et je m’aperçus que j’avais manqué un des préparatifs : sur cette petite console, il avait placé une petite caméra cette salope se laissait filmer pendant ses saletés. Je me demandais si je parviendrais à récupérer ces images un de ces quatre. Puis, Rafael (c’était son prénom, en tout cas celui qu’elle venait d’utiliser) se rapprocha du lit, se positionna derrière le cul de Marina et commença à lui bouffer anus et vulve. J’entendais ma partie pute gémir et la voyais se masturber avec sa main droite. Peu après, ils se positionnèrent en 69, elle sur lui, son cul tourné du côté de leur caméra et donc, pile en face de la mienne. Je voyais parfaitement la moule de la cochonne, largement écartée par les deux mains de l’italien. Il lui bouffa les organes un moment, puis je vis l’anus de Marina s’ouvrir un peu. En réalité, elle ne poussait pas encore pour chier mais pour uriner. Je vis un splendide jet bien jaune couler directement dans la bouche de Rafael, qui en avalait une partie, et recrachait le trop plein. Une auréole se formait autour de son visage, sur le drap. De l’autre côté, je distinguais Marina branlant et suçant la bite bien raide. Lorsque Marina cessa de pisser sur le petit salaud, il prit le relais : je vis distinctement son propre jet de pisse s’élever vers le visage de Marina, qui avalait le liquide, en recevait dans les cheveux, sur le dos tant le jet était dru. Pau après, ils baignaient littéralement dans une flaque d’urine, partiellement absorbée par le drap. Je comprenait pourquoi l’italien avait aussi garni le sol de protections.
— Je veux chier, déclara simplement Marina.
Je les vis prendre leur petite caméra, un drap, sortir de la chambre pour entrer dans la salle de bains, et l’image fit une pause. J’avais commencé à me branler comme un fou et je délaissai ma bite pour changer de fichier. Il me fallait passer à l’autre caméra. Je change de répertoire et clique sur le premier fichier correspondant à la salle de bains, l’image démarre. En réalité, je reviens en arrière chronologiquement : Rafael est encore seul, il est entré dans la salle de bains avec des rouleaux d’essuie tout, des sacs poubelles, des gants en latex, et ce qui semble être des produits d’entretien. Je clique sur le second fichier, et je vois alors Marina, dans sa tenue de putain, qui entre dans la salle de bains en tenant son italien par la main. Au sol, le rital a disposé une sorte de grand plastique, sur lequel Marina étend le drap récupéré dans la chambre. Puis, à nouveau, elle se met à quatre pattes, après avoir enfilé une paire de gants; Rafael, qui n’a pas mis de gants, est assis en tailleur derrière son cul et attend.
Je la vois qui se contracte et pousse. Ma queue me fait mal tellement elle bande, je regarde son ventre bouger au fur et à mesure qu’elle tente d’expulser sa merde. Puis, lentement, un caca commence à élargir l’anneau et sort de son cul. Rafael se branle en regardant, puis approche son visage et suce la merde comme si c’était une queue. « Bouffe ma merde », ordonne t’elle. L’italien croque un morceau de crotte et mâche, puis recrache le tout dans sa main et s’en enduit la bite. L’étron finit de sortir et vient s’écraser sur la cuisse de l’homme. Marina pousse encore; l’étron dur ayant libéré le passage, c’est un flot de merde semi-formées qui vient éclabousser l’italien dans un bruit de pets foireux. Lui se branle encore plus fort, en transe de recevoir les excréments d’une si belle femme.
— oui, chie moi bien dessus ma chérie, espèce de pute !
Marina se retourne, plonge ses mains gantées dans le tas de merde, met un morceau dans sa bouche, suce la queue cradingue, étale la purée marron sur ses collants, elle est complètement hystérique. L’italien se met debout,se retourne et se penche en avant. Je vois son visage s’empourprer tandis qu’il pousse à son tout. Marina est hypnotisée par le trou de son cul, elle se masturbe avec ses gants merdeux et quand une première merde masculine fraye son chemin hors de l’anus transalpin, elle approche sa bouche et gobe tout, je vois ma femme en train de mâcher cette merde étrangère, et de toute évidence, elle en avale un peu. Puis un gros étron dur sort à son tour, et vient tomber au sol. Marina ramasse l’énorme moulage, se met sur le dos, écarte les jambes d’une manière parfaitement indécente, et de sa main droite, fourre la totalité de la crotte à l’intérieur de son vagin. Je suis comme un dingue, j’aurais tellement aimé lui saccager le sexe de cette manière
— Défonce-moi la chatte Rafa, vient bourrer cette merde au fond de mes organes tapisse moi l’utérus de ta chiure
J’ai du mal à ne pas éjaculer en entendant ces mots. Je regarde, médusé, l’italien se positionner au dessus de l’amour de ma vie, et pilonner (sans préservatif) ma putain avec sa queue dégueulasse. A chaque va et vient, j’entends un bruit ignoble de succion accompagné de jets de merde hors de la chatte remplie de caca.
— Pisse dedans ! pisse dedans ! hurle t-elle.
Je vois rafael se figer, se concentrer, puis se détendre et je comprends qu’il parvient à pisser et remplir les organes génitaux de ma femme d’urine. Puis pour faire venir les dernières gouttes, l’homme pousse fort et du coup, chie de nouvelles crottes ainsi qu’un tas gluant d’excréments liquides qui giclent partout. L’italien recommence à pilonner ma putain, puis hurle qu’il va jouir. « Mélange tout ! » demande t-elle; je le vois cesser le mouvement, puis ses couilles se contractent et je comprends qu’il est en train de féconder ma femelle. Il sort, un long filet de sperme mélanger à l’urine et à la merde pendouille de son gland. Il s’allonge par terre, tandis que Marina vient se positionner au dessus de sa bouche ouverte.
Marina pousse sur ses organes, et dans la bouche du rital, se déverse un immonde brouet de sperme, de merde, d’urine. Marina a un haut le coeur, l’odeur doit être pestilentielle. Elle se fourre deux doigts dans la bouche et dégueule son petit déjeuner sur le visage du type qui semble épuisé.
Il faut quasiment une heure au couple adultère pour tout nettoyer, ranger, replier, reconditionner dans les sacs plastiques, tout en s’efforçant de jeter le maximum d’excréments par les toilettes. Je n’ose imaginer la puanteur qui doit régner dans la petite salle de bains, dotée heureusement d’une fenêtre grande ouverte. Lorsqu’ils ont fini, tout semble nickel, on sent qu’ils n’ont rien laissé au hasard. Les relief de leur orgie décadente tiennent parfaitement dans les sacs qu’ils ont amenés. Ils se douchent pendant un temps qui me parait infini, en profitant pour baiser encore un peu, il me semble même que Rafael encule Marina pour faire bonne mesure, et Marina pisse une nouvelle fois dans la bouche et sur les cheveux de l’homme. Puis, sans doute pour être sûr que l’essentiel de l’odeur est partie à leur départ, ils restent un moment à se reposer et à discuter sur le lit. Lorsqu’ils quittent la chambre, deux heures trente ont passé, dont moins d’une demi heure de séance merdeuse. La logistique leur a pris l’essentiel du temps
Le film s’arrête, au bout du dernier fichier les concernant. Deux autres fichiers figurent sur les cartes SD, ce sont les femmes de chambre venues remettre la suite en état, en l’occurence pour moi. Elles ne semblent rien remarquer, même si l’une d’elle parait perplexe en entrant dans la salle de bains. Lorsque j’ai récupéré la suite il y a une petite heure, je n’ai rien remarqué non plus, à part un parfum qui flottait encore un peu dans la chambre : celui de Marina, qui aura finalement été plus persistant que leurs déjections.
Je réalise que je n’ai pas joui. J’avais apporté dans mon sac à dos un beau gode vibrant que j’avais l’intention de m’enfoncer dans le cul en regardant ma femme se couvrir de merde, mais je n’ai pas pensé à l’utiliser, trop absorbé par le spectacle incroyable qui m’avait été offert. J’eus une idée : me filmer en train de me fouiller le cul et de me branler dans cette même suite. Ca pourrait servir. Alors je mis mon téléphone en équilibre instable sur on sac à dos, déclenchai l’enregistrement vidéo, et me mis sur le dos, les jambes ben écartées. Je commençai par m’écarter largement l’anus pour la caméra, en poussant un peu, sans aller jusqu’à chier – je n’avais pas envie de me livrer à une séance de nettoyage. Puis je me défonçai le fion avec mon beau gode en position vibration rapide, tout en me masturbant. Je fermai les yeux en pensant à Marina, à son vagin putréfié de merde chaude, à ses muqueuses recouvertes d’excréments puants et je jouis très vite, m’inondant le ventre de sperme brûlant.
Je me rhabillai, remplaçai les batteries et vérifiai l’installation de mes caméras qui devait être nickel pour la séance suivante.
Je ne laissai rien paraître pendant toute la semaine qui suivit – je ne voulais pas, au détour d’une attitude qui pouvait l’étonner, éveiller des soupçons qui lui feraient renoncer à sa séance suivante, ou en changer l’organisation. Par un curieux hasard, Marina souhaita faire l’amour avec moi le week-end suivant, ce qui n’arrivait quasiment plus. Commençait-elle à se lasser de son fougueux et merdeux italien ? Elle me baisa tendrement et je me dis que finalement, tout n’était peut-être pas perdu.
Le mardi suivant vint, et comme prévu, Marina ne chia pas au réveil. La séance était bien au programme, et si tout allait bien, c’est cette Béatrice qui serait au rendez-vous. Je me sentais moins susceptible de jalouser une autre femme, classiquement, aussi je m’apprêtai à vivre ce nouvel épisode voyeuriste avec plus de détachement. Cette fois-ci, je dûs attendre le lendemain après-midi pour "relever les compteurs", car la chambre n’était pas disponible le soir même.
Autour de 15h j’étais sur place, le mercredi. J’avais ramené mon gode, avec la ferme intention de penser à me le mettre dans le cul pendant mon visionnage, mais aussi un grand sac poubelle, une bâche étanche, des gants en latex et mon gel douche. J’avais l’intention de me chier dessus et de m’enduire de merde en parallèle. Je positionnai la bâche, récupérai les cartes mémoire, en copiai le contenu et comme la fois précédente, jonglai avec les fichiers pour suivre les épisodes de la veille. Je fis même une sorte de pré-tri, pour pouvoir enchaîner plus facilement la chronologie et éliminer la partie logistique d’installation des accessoires, alèses et draps divers; j’aurais sans doute les mains merdeuses à un moment donné et plus de mal à cliquer que la semaine précédente.
Je me déshabillai, puis lançai la première vidéo que j’avais sélectionnée. Tout en regardant Marina et cette belle femme plutôt élégante et mince (pourquoi m’étais-je imaginé une sorte d’hommasse glauque ?) monter ensemble sur le lit, je commençai à m’enfoncer le gode dans l’anus et à me masturber.
Elles étaient déjà nues, à l’exception de bas pour Marina et d’un collant ajouré à l’entrejambe pour Béatrice. Je me demandai ce que les deux salopes avaient pu inventer comme dégueulasserie qui pouvait me surprendre par rapport aux acrobaties merdeuses de la semaine précédente avec l’italien. Les deux femmes se léchaient activement en 69, et en regardant plus attentivement la vidéo, j’eus une petite idée de ce qu’elle me réservaient peut-être. Chacune d’elle, dans une synchronicité étonnante et sans doute réjouissante, avait une ficelle bleue qui dépassait de la chatte. Ces deux petites putes avaient leurs règles, et je priai donc pour que leurs jeux incluent cette disposition. Je ne fus pas déçu.
Rapidement, je vis Marina retirer lentement le tampon de Béatrice, qui sortit de son sexe gorgé de sang figé. Le cul de Béatrice était tourné vers ma caméra et la vue était imprenable. Marina fit courir le morceau de coton sur les fesses de sa partenaire, en pressant légèrement : des traces de sang maculèrent rapidement la peau de la femme, et quelques coulures rouges glissèrent jusqu’au corps de Marina comme des ruisseaux de pluie pourpre. Je vis aussi Marina lui lécher le con, indifférente à la présence du sang qui commençait à couler de l’orifice – indifférente ou excitée. Sans doute excitée…
Les deux femmes changèrent de position. La vulve de Béatrice continuait à répandre du sang sur les draps apportés par Marina, sur son corps. Marina se mit à quatre pattes, et là encore on aurait pu croire qu’elle le faisait pour ma caméra (au contraire de l’italien, Béatrice n’avait pas positionné de caméra – elles ne pensaient donc pas être filmées du tout). L’amante de ma femme tira sur le tampon de Marina avec ses dents, jusqu’à le retirer complètement. La protection était nettement moins envahie de règles, ais je pouvais en distinguer au bout et sur l’une de ses faces. Béatrice marmonna quelque chose que je ne compris pas, et fourra ses doigts nus dans la moule de ma putain. Elle le fit sans ménagement, et je compris qu’elle voulait toucher et faire gicler son sang. Après quelques instants, ses doigts étaient rouge vif et la vulve de ma chérie laissait apparaître un filet de sang sombre et épais. Béatrice s’en décora le visage; elle était visiblement sans limites.
Leur jeu suivant fut une variante des surs ciseaux, version Halloween ! Elles se gouinèrent avec furie, chatte contre chatte, se mélangeant leurs règles et, en plein milieu de leur frottement énergique, en se pissant l’une sur l’autre. Elles étaient visiblement en transe, leur entrejambe visqueux de leur mélange de sang, de pisse et de mouille. Je commençai à me dire qu’il n’y avait peut-être pas de jeu merdeux entre elles.
Puis, j’eus une surprise de taille. Alors que les deux femelles se ventousaient comme des escargots sur une vitre sale, la porte de la suite s’ouvrit. J’en fus tellement estomaqué que dans un sursaut, mes sphincters se contractèrent, éjectant brutalement le gode de mon trou et une bonne dose de merde avec. Je reconnus immédiatement l’homme qui était entré. L’italien, pensez-vous ? Eh bien non : l’un des réceptionnistes de l’hôtel, ici en civil – il devait avoir terminé son service.
je vis l’homme, un quinquagénaire correctement conservé sans plus, un peu gros, poser une caméra au même endroit que l’italien, se déshabiller, et venir se positionner debout au dessus des deux femmes qui n’avaient pas interrompu leur badigeonnage ignoble. Sa bite molle commença à pisser sur les deux filles; il visait en particulier leurs cheveux, leur bouche, leur chatte. Une fois sa vessie vidée, le gros homme enjamba Béatrice et Marina et je le vis pousser et devenir cramoisi. Il chia une dose massive de merde sur les deux chattes. Le mélange était indescriptible, et les deux femmes gémissaient comme si elles n’avaient pas joui depuis dix ans. L’homme, ensuite, présenta son cul à tout de rôle aux deux femmes pour qu’elles lui lavent le cul. Son trou était tellement maculé de merde qu’il lui fallut leur tendre plusieurs fois ses fesses à chacune pour qu’il s’estime lavé. Le visage des deux putains était maintenant couvert de sang et de merde. Il les embrassa à pleine bouche, et fut lui aussi, bientôt, dans le même état.
J’étais comme dans un autre monde. En regardant ce gars chier sur ma femme, j’avais récupéré le gode, remis dans mon cul, et je m’était étalé ma merde sur le corps et la bite. J’étais moi-même filmé par mon téléphone et on voyait distinctement ce que je regardai sur la vidéo.
Le reste de leur séance ne fut que dégueulasseries du même ordre. Je vis l’homme enculer les deux femelles, la bite pleine de merde et sans capote, et les enconner aussi. je le vis remplir les deux vagins de sa merde. Je vis Marina et Béatrice lui chier dessus de concert, et remarquai que lui s’efforçait d’avaler de grandes quantités de leurs excréments. Au bout d’une demi-heure de sa présence, les deux femmes et l’homme étaient entièrement recouverts de merde et de beaucoup de sang, car toutes deux étaient en prise avec un abondant flux menstruel. Je n’avais jamais rien vu de pareil, d’autant que l’odeur pestilentielle aidant, tous trois avaient régulièrement des hauts-de-coeur et vomissaient leur petit déjeuner à tour de rôle. Je constatai aussi que le gros cochon finit par uriner, puis jouir dans le sexe de ma femme, qui prit un malin plaisir à laisser couler le mélange de merde, de pisse, de sperme et de sang devant la petite caméra, dans la bouche de Béatrice.
C’est en voyant le sperme ressortir du con de ma petite pute que j’éjaculai à mon tour. Je portai à ma bouche le mélange de merde et de sperme et j’avalai le tout devant mon téléphone qui continuait de filmer.
Je n’eus pas le courage de visionner, même en accéléré, leurs opérations de nettoyage. La complicité d’un membre du personnel était appréciable pour les deux truies emmerdées, car il avait amené un de ces chariots de service garni de tout un attirail de ménage. Ils ouvrirent grandes les fenêtres, et commencèrent leur petit ménage.
Aujourd’hui en arrivant dans la suite, j’avais remarqué une odeur un peu étrange dans l’air. Un mélange de parfum, de merde, et d’une dose massive de désodorisant que le pauvre réceptionniste avait du vaporiser hystériquement pour effacer les traces de son forfait…
Je remballai moi aussi mon matériel et me demandai si je devais laisser la caméra pour filmer d’autres séances. Après tout, je pouvais devenir le voyeur régulier des horreurs de Marina. Pourtant, je récupérai tout l’équipement : malgré la jouissance que j’avais tiré de cette affaire, je voulais en découdre avec cette cochonne, la mettre devant les faits et voir quelle serait la suite.
Il me fallut quelques temps avant de décider quoi faite, comment faire, quand faire. Et finalement, pour décider ce dont j’avais envie. Les premiers jours, je guettais la première occasion pour m’isoler avec mes films, et me masturber en me godant l’anus en regardant Marina se livrer aux pires jeux scatologiques. Voir une femmes si belle et classe – elle avait quelque chose de Carole Bouquet, un genre de beauté froide qui rendait ses pratiques ignobles encore plus dépravées – s’avilir au rang de truie se roulant dans des déjections humaines aux remugles pestilentiels avait quelque chose d’inouï.
J’imaginais divers scénarios, comme celui de poser mon ordinateur près d’elle, à table, monter sur une chaise, baisser mon pantalon et chier devant elle, ou lui faire sur le visage pendant son sommeil ces rêves éveillés participaient plus d’un désir de vengeance qu’autre chose, était-ce ce que je voulais ? Finalement, je compris qu’il ne servait à rien de la prendre frontalement. Il fallait qu’elle comprenne seule qu’elle était découverte, et qu’elle ait le temps de d%