Histoires de non consentement Histoires de sexe français Histoires de sexe lesbien

Ma femme, Helas… – Chapitre 1

Ma femme, Helas... - Chapitre 1



Longtemps, jai désiré que ma femme ait une relation sexuelle avec un autre homme. Non pas le désir dun voyeur, mais simplement lidée que je nétais peut-être pas le meilleur amant, et quelle méritait de connaitre mieux.

Nous nous sommes connues très jeunes, elle avait 16 ans, moi 18. Cétait vraiment lamour romantique, lémoi des premiers baisers, la découverte petit à petit de lautre. Nous habitions à 400 km lun de lautre, nous nous rencontrions que tous les quinze jours au mieux, le WE, un dimanche

Nous étions tous deux très studieux. Donc ces petites parenthèses amoureuses étaient notre rayon de soleil. Elle était très belle, tout le monde la voyait sépanouir, jen étais très fier. Quant à moi, jétais le beau ténébreux, qui surprenait ses amies.

Nous avons attendu deux ans pour vraiment faire lamour. Cétait comme un jeu, nous avons beaucoup ri ! Très rapidement, nous nous sommes mariés, les enfants sont venus, la vie sest déroulée. Paisible, animée, joyeuse, assez rangée quand même.

Elle est vraiment devenue une femme, resplendissante. Fine, 1m70, des jambes magnifiques A la fois belle, très classe, mais aussi mutine, joyeuse avec les amis. Je peux dire quelle aimait vraiment séduire, voir le regard intéressé des hommes, les sentir pleins dhumour pour lui plaire, mais uniquement à titre de jeu. Je nétais pas jaloux. Il me semblait évident, à moi, pour elle et pour eux, que les frontières étaient claires. Et dailleurs, elles nont jamais été franchies. Cest une femme très dynamique, franche et directe. Je peux dire que jai été son seul homme, comme elle a été ma seule femme. Mais cela nous donnait un peu de piquant !

Dun point de vue intime, nous étions très classiques. Rien de spécial justement. Une ou deux fois par semaine, assez rapidement. Dans le silence. Ce silence ma toujours angoissé : jentendais ses soupirs, son émotion, mais rien de plus après mon instant de plaisir. On sessuyait elle est sensible à la propreté – puis la nuit venait.

Petit à petit, léchange avec des amis, la vision de film, tous les témoignages auxquels la société moderne nous expose, ont fait naître un doute en moi : Est ce quelle se réalisait pleinement en tant que femme ? Dun certain point de vue, il me semblait que nos rapports étaient raisonnables, que les débauches qui nous étaient exposées nétaient ni naturelles, ni souhaitables. Mais dun autre côté, je pouvais penser au contraire quelle passait à côté démotions fortes et nécessaires, et que je prenais le risque que les découvrant peut être un jour, elles détruisent notre union. Et aussi, parce que je laime profondément, il me semblait naturel quelle connaisse le meilleur.

Cette idée est donc devenue de plus en plus prégnante dans mon esprit. Je me suis dit quil était souhaitable quelle connaisse un autre homme.

Vous présenter cela dune façon quasi clinique nest pas tout à fait honnête. Car cette idée mexcitait aussi, je dois lavouer. Limaginer moins sage, limaginer . Mais janticipe Le regard des autres hommes sur elles me plaisait de plus en plus, jaurais aimé les encourager Lencourager elle

Lors dune soirée qui terminait un séminaire de travail, jai rencontré un homme très sympathique, Claude, prestataire dans lhôtel où cela se passait. Jétais passablement éméché. Et plus très maitre de mon discours. La discussion a dévié, Claude prétendait quil pouvait séduire toutes les femmes quil voulait. Je trouvais cela bien prétentieux, et assez irrespectueux. Vous lavez déjà deviné, je lui disais que mon épouse ne rentrait pas dans sa catégorie. Discussion, cognac, photo montrée de mon épouse, armagnac, le défi était conclu entre nous. Il était convenu, ma femme étant professeur dAnglais, et donnant des cours particuliers, quil lappellerait pour bénéficier de ses services. Il devrait tout me raconter, mais ne jamais lui dire que lon se connaissait. Je lui ai donné son numéro de téléphone.

Javoue que je suis rentré un peu malade chez moi, en me demandant si je nétais pas fou et regrettant vraiment cette conversation.

Quelques jours après, Claude mappelait pour mindiquer quil avait convenu de cours hebdomadaires, 2 heures chaque mardi à 14h (dailleurs pour la petite histoire, il était convenu que nous devions partager par moitié le coût des cours).

Et ma femme mannonçait le soit même quelle avait un nouvel élève, qui commencerait les cours la semaine suivante. Jétais très mal à laise. Je trouvais tout cela idiot, du temps perdu pour tout le monde. Je trompais ma femme en le lui disant rien, je trompais Claude en le mettant dans une situation sans espoirs. Inutile de dire que cette situation influençait plutôt négativement nos rapports physiques.

Le premier cours eu lieu. Je nétais pas impatient de recevoir un appel de Claude. Dailleurs, il mit du temps à mappeler. Il mindiqua bien évidemment que rien ne sétait passé, aucune ambiguïté. Simplement, il trouvait mon épouse très mignonne, très bourgeoise et bien faite, et ne regrettait pas notre défi. Je lui demandais, un peu choqué, de se calmer.

Cela dura plusieurs semaines ainsi. Claude semblait prendre ses cours danglais au sérieux, ses comptes rendu étaient très neutres, tout me semblait donc rentré dans la normalité, et cela me rassurait. Mais je lui fis quand même part de mon désir darrêter de financer par moitié ses cours.

Peut-être cela le décida-t-il. Enfin, il me raconta la semaine suivante une scène étonnante. Il sétait enfin décidé à avancer. Durant le cours, il joua lhomme distrait, peu concentré. Elle sen étonna. Il lui dit : « vous allez trouver cela un peu bête et men vouloir De quoi ? Je vous trouve vraiment ravissante, et très désirable, cela trouble vraiment ma concentration, excusez-moi, cest très physique ». Elle ne sen offusqua point, et lui demanda se ressaisir. Mais il continua son petit jeu. Elle se leva alors, (les cours étaient donnés dans le salon, chacun dans un canapé face à face, la table basse les séparant pour porter les documents), disparue quelques instants dans la cuisine, et revint avec un rouleau de Sopalin, et dit tout de go « Allez-vous soulager aux toilettes, vous pourrez reprendre ensuite avec plus de concentration ». Cétait très direct, même humiliant pour lui, mavoua-t-il. Il essaya de protester, elle dit que cela ne pouvait pas continuer ainsi, elle comprenait ses besoins physiques, elle ne les partageait pas, mais il fallait vider labcès. Il comprit que cétait cela ou rien, et sexécuta. Il mavoua quil pensait très fort à elle à ce moment-là, quil en était très excité. Cela ne me laissa pas indifférent. Jétais à la fois heureux du détachement de mon épouse, avec un petit pincement de déception.

Plusieurs semaines, la scène se renouvela. Au milieu du cours, il allait sisoler

Il sut quand même faire un peu évoluer la situation. Un jour quil sapprêtait à sisoler, il revint et lui dit «Vous savez, quand je suis seul, sans vous voir, cest plus difficile, me permettriez-vous de me soulager ici ? Comment cela, en me regardant ? Oui, mais je serais très rapide, très chaste, je ne vous demande rien, restez naturelle, faite ce que vous voulez ». Elle ne répondit rien, il sassit sur le canapé, sexcusa encore, ouvrit son pantalon, pris un morceau de Sopalin, fit sortir son sexe en le cachant autant que possible avec le Sopalin. Il commença à se caresser en la regardant, yeux mi-clos, et jouit rapidement. Il mavoua que cétait très fort. « Mais comment était-elle ? Absolument froide, elle regardait ses notes. A-t-elle regardé ton sexe ? Non je ne crois pas, cétait très frustrant et humiliant ». Il sest levé, est allé nettoyer ce que nécessaire, et le cours a repris.

Le soir, jai essayé de faire lamour à ma femme. Cette scène lavait elle excitée? Visiblement pas, elle était un peu lasse, nous navons rien fait.

Claude cependant passait quelques étapes. Un jour, il lui demanda si elle voulait bien légèrement ouvrir son corsage. Avec un peu dirritation, elle le fit. Il mavoua que voir la naissance de ses seins, le soutien gorges, . Cela lexcita au plus haut point, il se faisait violence pour en rester là.

Elle restait toujours aussi froide, avec des tenues convenables, peut-être un peu plus de jupe

Elle accepta ainsi un jour de légèrement écarter ses cuisses Mais tout cela semblait pour elle des pitreries de gamin, quil fallait satisfaire pour avancer. Lui ne cachait plus son sexe, il le sortait triomphant, et quelques fois il lui sembla voir le regard de ma femme sattarder sur lui.

Il y eu un petit évènement qui semblait montrer une évolution des choses. Il lui demanda un jour décarter légèrement son chemisier. Il découvrit que contrairement à dhabitude, elle navait pas de soutien gorges. Il vit là une intention favorable, tout en pudeur. Il insista, elle écarta le chemisier sur à la pointe des seins, sans les découvrir. Il lui semblait que pour la première fois, elle témoignait dun peu démotion, très fugace. Il sapprocha, elle le repoussa aussitôt en lui rappelant que tout cela lui pesait, quil faudrait en finir, quelle néprouvait strictement rien pour lui, et comprenait simplement sa maladie, et ne faisait cela que parce quelle le trouvait très sympathique par ailleurs.

Il était désespéré, me dit quil ne la comprenait, que cétait un échec, quelle était frigide et mécanique, et me souhaitait bien du plaisir. Vexé, il voulait abandonner. Cela aurait été raisonnable, mais bêtement, je donnais une autre voie aux évènements. Ma petite voie démoniaque prenait le dessus. Je me résolu, sans rien dire à Claude. Dautant plus que je doutais quand même de plus en plus de la version de Claude : Peut-être rien ne se passait comme il me le racontait

Je me libérai du travail le mardi après-midi. Je les vis par la fenêtre du jardin. Le Sopalin était sur la table, cela me fit un coup au cur. Jattendis. A un moment, il prit le rouleau, commença à se dégrafer. Il lui dit quelques mots, je vis quelle-même déboutonnait quelques boutons de son chemisier.

Aussitôt, je courus à lentrée, pour ouvrir la porte brutalement et les surprendre. Il était assis, surpris, son sexe énorme, dressé, et elle, poitrine presque totalement à lair

Coup de tonnerre dans la quiétude de laprès-midi Je lui demandais brutalement se sen aller, nous ne nous connaissions pas. Elle se couvrait la poitrine, les bras en croix, et se mit à pleurer

Une fois seule, je lui demandais ce que cela signifiait. Elle me promit quil ne sétait rien passé, me raconta sa version du début, qui était dans les faits la même que Claude, mais différente bien sûr dans les motivations. Claude lui était apparu comme un macho typique, dominateur et manipulateur, elle avait voulu lui montrer sa force, et lhumilier. Victoire féministe ! Elle me confirma quelle insensible au charme dun autre homme que moi, sétait laissé entraîner dans cet espèce de défi de contrôle de soi. Je lai pris dans mes bras, la consolait, lui expliquait que ce Claude devait être un malade psychiatrique, je comprenais son défi de femme abaissée qui veut prendre le dessus. Objectivement, elle avait gagné. Je lui reconfirmais toute ma confiance.

Finalement, nous avons fini par rire ensemble de tout cela, comme des gamins ! On fait lamour comme autrefois, très doux. On a aussi convenu que les cours avec Claude devaient évidement prendre fin

La vie a repris, tranquille. Nous ne parlions plus de cette histoire, la page était tournée.

Cependant, nos rapports physiques étaient de plus espacées, et insatisfaisants. Il était clair que cela lui pesait vraiment. Elle ne me cédait que par compassion, ce qui me rendait triste, et assez frustré, car je craignais sans cesse de lui faire mal, ce qui était souvent le cas, malgré mes précautions.

Un soir où nos rapports avaient été particulièrement décevants, jabordais le problème avec elle. « Que ce passe-t-il entre nous ? Ce nest pas quelque chose qui va mal entre nous, mais franchement, je comprends que tes besoins sont bien plus forts que les miens. A dire vrai, je trouve cela animal, et assez sale. » me répondit-elle ». « Jai quand même limpression que les choses se sont dégradé depuis cette expérience avec ce type, Claude. Tu y penses souvent ? Non, jamais. Dis-moi la vérité ? Non, je ne pense pas vraiment à lui. Cela veut dire quoi, pas vraiment ??? Tu penses comment alors ? A quoi ? ». Elle me répondit « Je garde dans ma tête limage de son sexe, et cela me dégoûte. Jy pense durant nos rapports, cest vrai et franchement, cest sale. ».Jétais abasourdi. La conversation sest arrêtée là. Jy ai réfléchi durant les jours suivants. Que faire, que sest-il passé ? Comment guérir cela ?

Quelques jours après, un soir où elle se refusait à moi, avec beaucoup de tendresse, je ré abordai le sujet. En fait, lui dis-je, le problème est que tu nes pas allé au bout de ta maîtrise. Cest une bataille incomplète, car tu ne sais pas la fin. Comment cela, répondis-t-elle, que veux-tu dire ? Je veux dire, que ta victoire aurai été complète si tu avais dominé Claude, et su prendre son sexe en toi, en lui montrant ton indifférence. Simplement lui montrer ta maîtrise absolue. Et maintenant, parce que cela ne sest pas fait, cette image de son sexe prend une proportion sans rapport avec ce petit bout de viande. Son sexe nest ni animal, si sale, nest réellement rien, cela ne devrait pas compter pour toi, et tu devrais aller au bout pour ten rendre compte.

Elle était pensive Mais tu sais, je nen ai aucune envie, bien au contraire. Je sais bien mon amour, mais envie ou détestation, tout cela est trop excessif. Si Claude était en ce moment dans ton sexe, que ressentirais-tu ? Rien, encore moins quavec toi, car je ne laime pas. Alors pourquoi y penser ? Je ne sais pas. Il faut que tu fasses cette expérience, je tassure, que tu banalises la chose réellement, que cela soit chassé de ton esprit, pour que nous retrouver tous les deux, car mon sexe à moi est comme celui de Claude, la différence est simplement mon amour. Elle comprenait bien mon raisonnement, Mais elle massurait quelle ne pourrait pas. Je lui dis que cela ne pouvait pas continuer ainsi, je lui demandais cela comme un petit sacrifice, mais on ne pouvait pas rester ainsi. Tu me quitterais ? Mon amour, te quitter, non, mais une autre femme finira par mattirer Elle finit par accepter le principe. Nous nous sommes mis daccord que je contacterai Claude, que je laccompagnerai dans cette expérience en étant présent, quil fallait que cela aille vite et que lon en parle plus.

Jappelais Claude. Il navait pas eu de mes nouvelles depuis plusieurs mois, il fut assez surpris. Je lui expliquai la chose. Je me fis traiter dhomme compliqué, ma femme de frigide irréversible Il nétait pas du tout tenté. A force dinsister, il accepta le principe de venir un mardi après-midi, à 15 heures, à la maison.

Nous lattendions ce jour-là. Nous étions très nerveux. Ma femme allait de droite à gauche, elle sétait habillée sans aucun effort. Jupe banale, chemisier banal, tout banal. Elle me disait quelle avait limpression daller chez le gynéco. Pour ma part, jétais complètement désorienté, dans lincertitude. La paralysie devant linconnu. Pas excité au fond. Paralysée. Statique

Claude sonnât. Jallais ouvrir. Il entra. Tee shirt sur un corps dhomme sportif, jeans bien coupé, chaussures impeccables, Cétait vraiment le beau mec. Cela me déstabilisa, ménerva même. Ce bel homme, ma femme en face, ce beau couple, cela ne me plaisait pas du tout au fond.

Petite bise à ma femme, qui chercha à léviter. Je proposai quelque chose à boire, il prit un coca, ma femme demanda un whisky Elle avait vraiment besoin de courage

Après quelques banalités, Claude engagea de lui-même la conversation. Il sexcusa auprès de ma femme de sa conduite passée, elle répondit quelle avait une part de responsabilité, lui repris sur le thème quil comprenait quil fallait mettre un terme à la chose tel que je le lui avais expliqué. Il lui dit très clairement quil était là pour assumer la situation quil avait créée. Cétait cela rien de plus, répondit elle. Vous le désiriez, je suis daccord, mais vous allez vous rendre compte du ridicule de penser que toute femme peut vous désirer. Il avait vraiment un air dépité, confus, très gêné.

Je me levais, pris ma femme par la main, et demandait à Claude dattendre notre signal. Nous allâmes dans notre chambre. Ma femme hésitais, trouvais cela vraiment pesant. Je lui dis que maintenant, il fallait en finir, et conclure sa victoire

Dans la chambre, elle sallongeât sur le lit. Je fermais les volets, tirais les rideaux, créai la pénombre. Je me mis à côté delle.

Je vis la porte sentrouvrir. Claude sans attendre entrait. Jembrassais ma femme dans le cou, la rassurait par des mots doux, encourageants, très chastes. Cela semblait plus lénerver quautre chose A un moment, elle sentit la présence de Claude. Il est là ? Oui lui dis-je

Elle décala son regard et vit Claude. Il sétait complètement déshabillé. On voyait tous ses muscles, il était très bien bâti. Beau torse, belles jambes. Entre ses jambes, son sexe était là, triomphant, totalement dressé. Cela mimpressionna. Les images maintes fois passées dans ma tête revenaient, tout devenait réalité. Un homme, excité, dominant, puissant, désirant sapprocher de ma femme Je tremblais de tout mon corps Ma femme cacha son regard dans mon cou. Ne crains rien, lui dis-je cela va se faire doucement Cest dégueulasse répondit-elle.

Je la caressais doucement, ma main sur ses cuisses remontait. Je défie lattache de sa jupe. Lui très doucement la retira

Elle serait si fort ses cuisses

Je la rassurais par milles mots. Ne montres pas ta crainte, cest toi qui domines, tu vas lui montrer quil ne compte pas Retires toi-même ta culotte, pour lui montrer ton indifférence. Elle prit son courage à deux mains, et retira sa culotte, avec le maximum de maîtrise delle même

Il se mit à quatre pattes sur elle, sans la toucher. Elle était sur le dos, son visage dans mon cou.

Son sexe je ne voyais que lui Il sapprochait de son ventre putain, vas-y pensais-je Et elle, froide comme toujours.

Doucement, il posa son sexe sur son ventre. Je dis à ma femme : cela va ? Oui, ça va mieux, tu as raison, il est vraiment ridicule Mais je préférerais quil arrête, il va me faire mal, je ne veux pas quil aille plus loin, cela me dégoûte. Lui ne comprenait pas nos murmures, on ne voulait pasIl descendit son sexe, plus bas, doucement

« Il faut complètent te libérer de ces images, aller au bout. Laisses faire, écartes un peu tes cuisses, il sarrêtera si cela te fait mal.

Je ne veux pas

Tu me las promis ! »

Elle écarta un peu des cuisses. Lui approcha son sexe, se mis dans laxe. Jétais fou quil arrête, non, quil la prenne putain, perfores la, défonces là pour toutes ces nuits de frustration, fais lui mal Très doucement, il joua avec ses lèvres. Ma femme restait insensible. « Tu peux lui dire de faire vite ? » Je lui fis signe davancer. Ses cuisses sécartaient davantage, elle craignait la douleur, comme avec moi. Lui doucement entrait un peu. Il avait mis un peu de salive sur son sexe, constatant la sécheresse de ma femme.

Il entra de deux ou trois centimètres. Il se retira un peu, remis de la salive, et rentra de nouveau, gagnant quelques millimètres en elle

Petit à petit, il gagnait du terrain, ressortant presque totalement à chaque fois.

Tu as mal ?

Non, ça va Il a fini ?

Non, que la moitié

Je regardais Claude. Il donnait de petit mouvement de bassin vers le haut, avec beaucoup de délicatesse

Tu devrais le regarder bien dans les yeux, lui montrer que tu es forte.

Elle retira son visage de mon cou. Il lui fallut beaucoup defforts. Elle fixa son regard. Lui la fixa. Cétait deux regards de défi. Ses petits mouvements sarrêtèrent. Il la regarda bien dans les yeux, elle répondit plein de défi. Bien les yeux dans les yeux, il retira son sexe, la victoire de ma femme semblait totale. Presque sorti, il sarrêta et soudainement, puissamment, il rentra encore en elle, un peu plus profond elle eut un petit cri de douleur, vite contrôlé il marqua un temps darrêt, se retira encore presque totalement, et avec encore plus de force, entra en elle, encore plus loin. Arrêtez, dit-elle dans un petit cri douloureux.

Ne lécoutes pas, vas-y, baise là pour tout ce quelle me ne donne pas Quelle ait mal, quelle te déteste pensais-je

Et il nécouta pas, il recommença. Je voyais toute sa force, ses muscles tendus, jaurais été bien incapable de lutter contre lui une ou deux fois, elle répéta « arrêtez », mais il continuait, était presque au deux tiers de la longueur de son sexe jentendais ses plaintes, ils continuaient cependant à se défier du regard

Soudain, je vis sur son sexe autre chose que sa salive. Une humidité qui nétait pas de lui Je la regardais, elle. Ses yeux maintenant un peu ailleurs, lèvres crispées elle me serait très fort avec ses bras et lui gagnais encore du terrain son sexe était tellement plus long que le mien. A un moment, il du comprendre, ou sentir, je ne sais pas, que je navais jamais pu aller plus loin dans le corps de ma femme, car il dit à voix basse : à partir de là, tu es vierge Et son sexe, de plus en plus humide, senfonçait en elle, et elle, de plus en plus, elle soufflait, gémissait. Tu as mal ? Elle ne me répondait pas. Et il accélérait, plus à fond encore, plus fort et elle écartait ses cuisses encore davantage, et il pouvait aller encore plus à fond Il demanda : jarrête maintenant ? Pas de réponse Alors, il mit sa main et son bras derrière son bas du dos, pour mieux prendre appui, et il entra dun trait au fond de son sexe, écrasant son corps sur le sien. Elle poussa un cri. Brutalement, il ouvrit, ou déchira presque son chemisier, mécartant un peu pour cela.

Ses seins apparurent, beaux. Claude les regardait, sans plus bouger, bien au fond delle. Jétai fou dexcitation prend ma femme, vas-y, regardes ses seins, prend les, caresses les, je te les offres il du comprendre, car il se pencha, et commença à jouer avec les tâtons, les caressa. Elle avait abandonné son défi, les yeux fermées, elle gémissait doucement, comment jamais je ne lavais entendu Cela va ? Pas de réponse. Lui sapprocha delle. Sylvie, lui dit-il doucement, cela va ? oui lui répondit-elle Tu aimes, tu veux que jarrête? Attendez un peu répondis-t-elle. A ce mot, il recula, et la repénétra avec force. Elle gémit à nouveau. Sylvie, il faut me tutoyer. Quand on se fait baiser par un homme, il faut le tutoyer et il lui redonna un coup de rein. Tu es daccord oui

Maintenant, il recommença à aller en elle, avec force.

Elle gémissait de plus en plus fort. Jaurais tellement voulu être lui, la baiser comme cela au lieu de cela, à un moment, elle fit quelques mouvements pour méloigner. Je la gênais je me retirais, avec beaucoup de douleur, de jalousie aussi, et la laissai libre de ses mouvements. Elle enserra alors le torse de Claude, plaqua ses seins contre lui Elle le serrait si fort il approcha son visage du sien sa bouche sapprocha de la sienne. Laisses moi faire, lui dit-il Il comprenait bien que cétait la première fois quelle embrassait un autre homme, quun autre homme la prenait ainsi Et peut-être la première fois tout court Pendant que son bassin doucement venait et allait, le lit en était trempé, ils sembrassèrent. Elle qui avait horreur que nos langues se touchent, voici quelle acceptait la langue de Claude. Elle comprit vite le jeu

Je les regardais sembrasser, les mains de Claude caressant ses seins, son visage, son bassin puissamment actif, et elles. Ses jambes totalement écartées, enserrant les hanches de Claude

La tension montait. Soudain Claude pris les bras de Sylvie, les écarta Il écarta son torse de celui de Sylvie Il continuait à lembrasser, mais son bassin accélérât le rythme. Elle gémissait à nouveau il commença à lui parler « Tu sens comme je te baise ? Tu es une vrai femme, une femme cest pour un homme comme moi, tu es daccord ? Oui » répondait elle « Tu veux mon sexe, oui je suis ton homme, vas-y dis le moi »Et il ralentissait ses mouvements pour attendre la réponse, et elle, qui avait si envie quil continue, lui répondait, « je suis ta femme, baises moi, prend moi » Et lui disait : « ton mari est là, dis-lui que tu es à moi je suis à lui dis-lui avec son prénom, je suis à lui, pierre Tu es une salope, Sylvie»lui dis-je « Claude me dis alors « ce nest pas une salope, cest une vrai femme, très désirable, que les hommes normaux ont envie de prendre, et qui a envie dêtre prise aussi, cest normal. Elle nest pas à toi, mais aux hommes qui peuvent la faire jouir »

Ma femme, Sylvie. Javais les larmes aux yeux, et le sexe tendu

Mais ils ne purent plus parler. Le bassin de Claude pris un rythme extraordinaire. Tous deux soufflaient, et soudain, Sylvie se tendit totalement, poussa un long gémissement, et Claude se cambra en elle.

Son sperme jaillissait en son ventre, son ventre le buvait, jimaginais tout.

Au bout de quelques minutes, si longues, ils reprirent leur souffle. Claude dit à Sylvie « tu es bien ? Oui, cest incroyable, javais jamais ressenti cela tes contractions en moi, comme un homme cest si bon Cest ton premier orgasme Sylvie, ne tinquiète pas, je vais ten donner dautres Oh Claude, merci Pardonnes moi, je ne savais pas tu as rien à te faire pardonner, Sylvie, cest maintenant que tu es une vrai femme. Une femme qui sait ce quest un homme. Et je suis ton homme Merci Claude

Jétais totalement gêné. Je compris que ma place nétait pas là. Je me retirai

Dans le salon assis, triste, je les entendais reprendre leurs caresses. Sylvie ne se retenait plus, elle criait sans gêne aucune, demandait à être baisé, il lui disait des mots cru, Jallais entrouvrir la porte, je les vis, elle plaquée sur le mur, jambes soulevées, lui à la manuvre, je me retirais et sorti de de la maison.

Voilà ce qui marqua une rupture considérable dans ma vie de couple avec Sylvie. Et rien ne fut après avant.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire