Nous baisons réellement ensemble quand elle accompagne mes mouvements de va et vient. Les autres filles sont autour de nous pour regarder en se branlant. Pour une fois elles se masturbent chacune pour elle. Je continu mes va et vient quand je sens un truc contre mon cul. C’est ma sur qui veut m’enculer: après tout, c’est à ton tour de te faire mettre par là. Je ne peux pas me dérober, placé comme je suis: elle rentre le gode à fond dans mon anus. Au début je serre les dents, pourtant je me détends un peu tout en continuant à baiser. J’ai la langue de ma cousine dans la bouche, ma bite dans son con et une bite au cul. Étant très détendu, finalement je commence à trouver un certain plaisir à m’être fait mettre. Ma sur suit notre cadence de baise: quand je suis au fond du con elle garde le gode presque à la sortie de l’anus, quand je suis au bord de la chatte, je reçois le gode entier. Je me retiens un bon moment. Finalement la sensation autour de ma bite des spasmes de jouissance de ma cousine entraîne la mienne. Ma sur n’enlève le gode que quand j’ai jouis.
Enfin Noël arrive: chacun sort ses cadeaux. Ma femme a un plug, qu’elle se met de suite; ma sur, des menottes; les cousines ont chacune une paire de masque. Toutes sont étonnées de voir mon anneau pénien, les boules de geisha et les chapelets annaux. Pour l’anneau, elles attendent de voir, le grand succès reste les chapelets annaux. Elles se mettent en position de 69, ouvrent les fesses de l’autre pour bien rentrer toutes les billes. Chacune reviens s’asseoir sur les divans, jambes bien ouvertes: je vois les doigts sur les clitoris. Je remarque surtout que les cordons sont dehors. Je me propose de les délivrer de ces billes. Je commence par ma femme qui avant veut un baiser bien fait sur la bouche: nos langues se mélangent encore: depuis que nous nous connaissons nous nous embrassons toujours avec la même envie de l’autre: elle me prend la bite pour me branler aussi un peu. Je tire le cordon et dès que la première bille arrive elle pousse un cri de jouissance. J’attends qu’elle finisse de jouir pour sortir la suivante. Elle jouit encore, à chaque fois jusqu’à la dernière.
Voyant cela, ma sur et les cousines se mettent à faire comme moi. Elles aussi jouissent comme ma femme.
Je mets mon anneau pénien. Je sens que je bande bien plus fort, ma bite grandie brusquement. Ma femme s’approche du bord du divan, je lui mets, juste à l’entrée de la moule ma bite devenue méconnaissable. Je la lui mets lentement. Elle éprouve déjà un plaisir plus intense que naturellement. C’est quand ma bite bute contre l’entrée de son con que les picots agissent qu’elle perd les pédales. Elle se met à jouir sans arrêt, même si je suis hors d’elle. Je m’en prends à la suivante, ma sur qui n’attendait que ça. Même effet, même cause. Elle aussi jouit sans arrêt. Je suis toujours en forme, à ma grande surprise. J’arrive à baiser les deux cousines qui elles aussi jouissent longtemps. Comme je bande toujours, les cousines se mettent à deux pour me sucer. Si une lèche ma colonne depuis les couilles jusqu’à rencontrer la bouche de sa sur qui elle se concentre sur mon gland. Là je ne peux plus tenir: je jouis dans sa bouche.
Ma femme et ma sur, depuis qu’elles font l’amour ensemble, c’est à dire de suite après mon mariage, vont se partager le double gode. Elles se sont couchées sur le divan, fesses contre fesses. Ma femme tient le gode, pour le mettre dans la chatte de ma sur. Quand elle l’a bien mis au fond, elle le ressort juste un peu pur se le mettre au con à son tour. Sa main droite fait presque les mêmes mouvements que quand elle se branle et pourtant.Je les vois fermer les yeux. Elles imaginent je ne sais quoi en tout cas elles jouissent. Ma femme abandonne la direction: la main de ma sur la remplace. Ce que je ne vois pas c’est qu’elles ont changé d’orifice: je ne le remarque qu’au bout d’un instant: elles se sodomisent. Je bande à nouveau, plus fortement que la première fois. Les cousines veulent en profiter: elles se mettent l’une sur l’autre, les sexe tout près, elle me demande de la baiser à la fois. Elles s’embrassent sans arrêt. Je me mets derrière elle non pas pour le enculer, ce qu’elles de détestent pas, mais pour essayer de les baiser toutes les deux. Je rentre dans le con de plus haut pour en sortir aussitôt rapidement pour aller dans l’autre. Je recommence rapidement. Je ne sais si elles jouissent grâce à moi. En tout cas, elles se laissent aller à un bel orgasme. Je n’ai pas jouis, les filles sont prises entre elle. Je vais pour la première fois me branler avec cet anneau. Je suis assis sur un fauteuil. Je prends dans ma main ma bite, je tâte l’anneau qui me tient bandé. Je prends mon prépuce pour le faire descendre jusqu’aux couilles. J’en suis empêché par l’anneau. Ça ne fait rien, et continue à monter et descendre ma main sur la colonne et enfin je jouis. Je jouis d’une façon plus forte que d’habitude. Je sais que la prochaine fois que je me branlerai-je mettrai?