20 heures, comme d’habitude, rien à la TV, on décide une soirée lecture en chambre.
Ma femme sort de la salle de bain, dans une tenue qui appelle à tout sauf au recueillement de la lecture.
Je suis couché la tête sur son ventre et nous discutons de tout et de rien.
On se raconte nos petits secrets sans retenue.
Je lui demande de me dévoiler quels sont ses fantasmes…
Elle part dans une histoire qu’elle a vécue il y a dix ans quand elle avait encore 35 ans avec mon cousin, de 18 ans alors, qui était venu avec nous en vacances à la côte belge en août 2002 avec nos deux enfants de 7 et 9 ans.
Nous étions dans notre appartement à Coxyde, pour un mois et j’avais dû revenir, pour un problème d’inondation assez grave dans notre villa à Bruxelles, une semaine les laissant seuls.
Mon jeune cousin avait un faible pour mon épouse, il l’épiait sans cesse.
Mon épouse, ayant été élevée dans un milieu de filles, se promenait souvent assez légèrement vêtue dans l’appartement n’y voyant pas malice.
Elle nous exposait ses charmes souvent à son insu.
Exemple, le soir à la télévision, étant déjà en pyjama, se penchant pour nous servir le café, l’échancrure de sa veste nous laissait voir ses seins dans toute leur splendeur.
Une autre fois, rentrée de la plage, ayant ôté son slip de bain humide, attendant que les enfants aient libéré les douches, mettant de l’ordre dans l’appartement, se penchant pour ramasser des jouets, on pouvait voir ses fesses et les lèvres de son sexe.
Mon cousin, puceau, par ces spectacles volés devait sûrement nourrir ses fantasmes nocturnes.
Ma femme m’explique d’ailleurs qu’elle avait alors, lors des lessives observé des taches sur les draps qui ne laissaient aucun doute quant à ses activités nocturnes.
Elle en avait été émue, et même ça l’avait troublée. Elle avait gardé ce secret pour elle.
Seule avec lui, un soir, devant un film à la TV, elle lui avait demandé où, il en était avec ses copines et il lui avait avoué qu’il ne connaissait personne, qu’il n’avait encore jamais fait l’amour à une fille.
Ayant toujours rêvé d’initier un jeune à l’amour, elle était troublée.
Toute la nuit, seule dans son lit, elle avait fantasmé sur cette initiation et s’était caressée à en mourir.
Elle le désirait, elle voulait être son initiatrice et lui apprendre l’amour.
Le matin, son choix étant fait, elle allait le provoquer, faire monter la tension en lui, lui donner envie d’elle.
A la plage, elle avait enfilé un superbe maillot rouge très échancré qui dévoilait ses seins à quasi chaque mouvement.
Il était près d’elle à l’affût de chaque exposition.
Elle était couchée sur le sable, les jambes repliées ouvertes en V, et où il était il pouvait voir le fond du maillot épousant comme une peau son mont de vénus.
Elle était en émoi, elle se sentait mouiller et ce qui devait arriver arriva, une tache devenait visible au travers du maillot trahissant son excitation.
Le soleil étant agressif, elle lui demanda s’il pouvait étaler de l’huile sur son dos.
Il jubilait de l’occasion qui lui était donnée de la toucher.
Elle se mit sur le ventre et elle se mit dos nu, attendant ce petit massage volé.
Il avait les mains douces, il n’oubliait aucun recoin, il descendit même très bas, plus bas que permis.
Il était en érection et ce n’est pas son maillot confettis qui pouvait le cacher. D’ailleurs, voulait-il le cacher ?
La relation prenait une autre tournure.
Le reste de la journée, tout fut bon des deux côtés pour faire monter le Désir.
Je soir venu, les enfants couchés, ma femme sortit le grand jeu.
D’abord, elle lui offrit un pousse café corsé.
Elle avait revêtu une robe portefeuilles ouverte très très haut avec un croisement qui montrait plus de ses seins qu’il n’en cachait.
Lui en short bandait à fond.
Il mangeait du regard mon épouse.
Il fallait faire le premier pas.
Mon épouse lui demanda en regardant son short si elle était la cause de son émoi !
Le feu était mis.
Il se rapprocha et lui dit qu’elle était belle, qu’il ne pensait qu’à elle, que tous les soirs il se masturbait son image en tête.
Mon épouse était aux anges, elle se sentait fondre.
Elle lui demanda de venir se coucher près d’elle dans le fauteuil et elle lui caressa le visage.
Lui avait une main sur sa cuisse, et lui aussi la caressait.
Il aventura sa main dans la fente de la robe à la découverte de la zone.
Ma femme avança sa main vers le ventre du cousin qui bandait ferme.
Elle glissa sa main sous le short et la plaqua au-dessus du slip sur sa verge.
Qu’elle est longue, qu’elle est dure dit-elle …
Avec ça tu vas faire des ravages.
Il ne bougeait plus, il aimait cette nouvelle sensation.
Elle massait cette tige, l’écrasant, l’excitant.
Il jubilait.
Il en éjacula avec puissance tellement c’était bon.
Surprise, mon épouse l’embrassa tendrement en le réconfortant et en lui disant que c’était normal, que la première fois que l’on sent une main de femme sur sa verge, le cérébral est puissant et force l’éjaculation.
Cette éjaculation l’avait mise en appétit.
Tout son fond de slip était mouillé.
Elle lui demanda s’il voulait la voir nue.
Oui, oui, oui.
Elle écarta les pans de sa robe, il avait devant son nez, un bassin de rêve moulé dans un slip blanc.
Il caressa de ma main la cuisse très haut et massa l’entrejambe avec douceur surpris de l’humidité.
Elle lui expliqua que quand une femme est excitée par un homme, elle mouille.
Enlève mon slip et regarde.
Chose faite, il découvre le sexe dune femme en pleine maturité.
Il approche sa tête et il peut sentir l’odeur de l’intimité d’une femme excitée.
Du doigt il examine, il découvre, il écarte les lèvres, il voit un vagin, il peut voir un clitoris excité sorti de sa gaine.
Le régal !
Il apprend à faire jouir une femme, il est bon élève.
Ma femme aime ces mains inexpérimentées qui cherchent à la faire jouir.
Jouissance cérébrale aussi.
Il rebande.
Ma femme en veut plus et lui descend short et slip, le voilà nu, la verge en haut, fier.
Ma femme le prend en bouche, sensation nouvelle.
Il vient d’éjaculer, il pourra résister mieux au traitement.
Elle lèche le gland, donne de petits bisous, le prend carrément.
Il aime.
Il a toujours une main, des doigts qui stimulent mon épouse là où il faut.
Ca monte chez tous les deux.
Ma femme le couche sur le fauteuil et lui dit je vais faire de toi un homme.
Il n’attend que cela.
Elle monte sur lui et descend doucement, elle a sa verge en main, elle la guide en elle, il entre, il s’enfonce, c’est doux, humide, chaud, il s’enfonce, il est au fond, c’est génial.
Ma femme se déchaîne, elle joue du bassin, elle veut qu’il éjacule en elle, elle sera sa première femme, cérébralement le plaisir l’envahit, elle n’en peut plus, elle sent qu’il va être à elle, elle sent la verge qui durcit, elle sent qu’il éjacule en elle? Le pied