En couple depuis quelques années avec Sabine et marié depuis peu, j’avais envie de lui faire partager certaines de mes envies et de mes fantasmes. L’un d’entre eux se réalisa au-delà de mes espérances… mais aussi au-delà de mon souhait.
Sabine est une femme de taille moyenne, avec une longue chevelure bien brune, un sourire à croquer, des yeux en amande d’un vert éblouissant. Elle arbore une paire de seins assez gros mais qui ne rendent pas sa silhouette disproportionnée. Ses fesses sont fermes avec juste ce qu’il faut de mollesse pour donner envie de s’y blottir. Son sexe, bien qu’entretenu, arbore une toison abondante pour couvrir ses lèvres charnues. Autant dire que j’étais ravi qu’elle soit à moi…
Pourtant, lorsque nous faisions l’amour, je lui disais souvent d’imaginer que l’homme lui donnant du plaisir n’était pas moi mais un autre. Cette envie, elle la balayait d’un revers de la main à chaque fois. Mais avec de moins en moins d’ardeur.
Un soir, après l’un de nos câlins, ce sujet revint sur le tapis.
« Je t’aime à toi. Pourquoi aurais-je envie d’un autre homme ?
— Puisque tu m’aimes, tu peux comprendre que j’ai envie que tu réalises mes fantasmes.
— Je te comprends mais il faudrait que jaie envie d’un autre homme.
— Me faire plaisir ne suffirait pas à t’exciter assez ?
— J’en sais rien…
— De toute façon, je ne suis pas sûr d’en avoir réellement envie. On peut toujours aller voir d’autres couples si tu veux…
— OK mais juste par curiosité alors… »
Et nous voilà, quelques semaines plus tard, devant un des clubs libertins de la région. Cette expérience fut assez peu probante. Peu de couples, plusieurs hommes seuls, selon Sabine, pas très ragoutants d’ailleurs, une ambiance un peu glauque… Nous sommes rentrés à la maison franchement déçus et nous promettant de ne plus jamais revenir dans ce genre de club. Seul point positif, une discussion avec François, un homme qui, lui aussi, paraissait déçu par sa soirée. Voulant visiblement oublier cette soirée, j’avais omis que je lui avait passé mon numéro de téléphone.
Aussi, c’est avec une grande surprise que j’ai reçu son coup de fil quelques temps après. Il avait découvert un club bien plus sympa même si plus éloigné. J’ai réussi à convaincre Sabine de nous y rendre en compagnie de François. Nous devions nous retrouver dans un bar avant d’aller dans le club. Sabine avait, pour l’occasion, revêtu une tenue qui m’étonna grandement. Elle portait une robe à bretelles assez courte noire avec des escarpins à talons. Le tout était recouvert d’un gilet léger pour couvrir ses épaules. Un maquillage léger et ses cheveux laissés tombant sur ses épaules clôturaient joliment le tableau.
« Il te plaît le François, non?
— Pourquoi tu dis cela ? Je me suis faite belle pour toi mon homme… »
Arrivés au bar, François complimenta Sabine et me félicita pour avoir la chance de vivre avec elle. Les verres commandés, et l’alcool aidant, la conversation devint plus cordiale, voire amicale. Sabine, un peu pompette, commença à lâcher des secrets un peu inavouables sur notre couple. Se sentant, un peu partie, Sabine dit qu’un café lui ferait le plus grand bien. François nous proposa alors d’aller chez lui afin de prendre ce café et se remettre les idées en place avant d’aller dans le club.
Quelques minutes plus tard, nous étions tous les trois chez lui. Sabine et moi étions côte à côte sur le canapé. François était dans la cuisine en train de faire les cafés. Je me penchais alors vers Sabine :
« Je suis tout excité à l’idée d’aller dans ce club…
— Effectivement, répondit Sabine en posant sa main sur ma braguette gonflée.
— Arrête ! On nest pas tout seul…
— Et alors, ce n’est pas ce que tu veux ?
— Je croyais qu’on allait juste regarder…
— Moi, je ne vois rien pour l’instant. Elle est cachée sous tes vêtements, me dit-elle en commençant à me caresser à travers le pantalon. »
C’est alors que François revint avec les cafés. Il se posa sur le fauteuil. En voyant Sabine retirer sa main, il lui dit qu’elle pouvait continuer, que ça ne le gênait pas. Sabine reposa sa main et repris sa caresse. Enhardi, j’ai posé ma main sur son genou et ai commencé à la caresser. Doucement, je remontais vers le haut de ses cuisses couvertes du fin tissu de ses collants. C’est alors que j’eus la surprise de sentir la fin du collant qui était, du coup, un bas. Sabine avait mis des bas pour l’occasion. La petite attache laissa présager un porte-jarretelles. Je montais encore plus haut et touchais la peau douce de Sabine. Je fus arrêté par le contact de la dentelle de la culotte de Sabine. Une voix vint alors me susurrer à l’oreille : « Romain, tu as oublié François ? ». Et, effectivement, tout à mes caresses, j’en avais oublié notre hôte. Mais Sabine me demanda de continuer.
Mes doigts glissèrent alors sous la dentelle de la culotte et se frayèrent alors un chemin au travers de poils de ma belle jusqu’à son petit bouton que je trouvais déjà gonflé. Sa fente était déjà humide et j’y glissais sans aucune difficulté. Sabine, rejetée en arrière, profitait de mes caresses en gémissant. Je passais alors aux pieds de Sabine pour lui retirer sa culotte. La robe relevée aux hanches, elle se laissa faire. J’ai pu alors voir le porte-jarretelles que je soupçonnais. Elle souleva les fesses pour me permettre de lui enlever sa culotte sans difficulté. Je suis venu me rassoir à ses côtés posant la culotte sur la table basse. J’ai repris mes caresses sur le sexe humide de ma belle. Sabine, à moitié allongée sur le canapé, ouvrit largement les cuisses exposant à François la vue de son sexe poilu.
« Je peux ? Demanda François, un peu timide
— Oui, mais vas-y doucement, lui répondis-je malgré un regard un peu désapprobateur de Sabine. »
Il s’agenouilla entre les cuisses de Sabine. Doucement, il caressa le sexe de Sabine que j’avais laissé libre. Sabine, sans quitter François des yeux, visiblement inquiète, sortit mon sexe de mon pantalon et entreprit une branlette si puissante que je dus l’arrêter peu après. Sabine se mit à gémir et je réalisais que mon fantasme était en train de prendre forme. Un homme était en train de branler mon épouse sous mes yeux. Mon cur se mit alors à battre très fort et une forme inconnue de jalousie me prit.
C’est à ce moment que François décida de se lever et de sortir son sexe de son pantalon. Il attrapa Sabine par la nuque et l’attira vers lui. Sabine, remua la tête comme pour refuser mais François força ses lèvres et pénétra sa bouche. Elle commença à sucer ce sexe tendu avec application. A côté d’elle, j’avais le sexe bandé sorti à l’air et n’avait droit ni à une caresse, ni même à un regard. Je regardais ma femme faire une fellation à un autre homme, visiblement un peu contre son gré.
Puis François sortit de la bouche de ma femme et la prit par la main.
« On va dans la chambre pour la suite, dit fermement François.
— Romain, je ne sais pas, sanglota Sabine…
— Fais ce que tu as envie ma chérie. Si tu veux tout arrêter, on s’en va. »
Mais François ne tint pas compte de cette conversation et entraîna Sabine avec lui. Dans la chambre, il assit Sabine et m’invita à venir devant elle. Visiblement soulagée de ma présence, elle me prit en bouche et commença à me sucer avec toute la douceur dont elle sait faire preuve. François passa derrière Sabine et fit glisser ses bretelles sur ses épaules. La robe tomba un peu dévoila la poitrine nue de ma femme qui avait oublié de mettre un soutien gorge. François se mit à malaxer les seins de Sabine en insistant sur ses mamelons qu’il darda.
« Elle suce bien ta femme, lança François. Tu as de la chance d’avoir cette petite salope à la maison! »
Cette phrase aussi insultante qu’inattendue, eut raison de ma résistance et j’ai joui dans la bouche de Sabine qui avala toute ma semence.
François, enleva alors la robe de Sabine et l’invita à s’allonger sur le lit. J’eus alors la vision de ma femme en porte-jarretelles, bas et escarpins allongée sur le lit d’un autre. Cet autre lui écarta les jambes d’une main lorsqu’elle tenta de les rapprocher. C’est dans cette position qu’elle le regarda se dévêtir et enfiler un préservatif. Moi, je m’étais écarté du lit comme abasourdi par ce qui venait de se passer. J’étais encore habillé et seule ma verge qui avait perdu sa dureté sortait de mon pantalon. Lorsqu’il fut nu, François s’allongea sur ma femme et la pénétra sans même un mot. Je voyais les mouvements de bassin de François et imaginais ce sexe aller et venir dans le sexe poilu de ma bien-aimée. Je ne pouvais quitter des yeux cette scène et je commençais à ressentir de la honte et de la jalousie. Une autre était en train de baiser ma femme sous mes yeux… et je ne faisais rien… juste regarder ce spectacle dégradant…
Mon regard se posa alors sur le visage de Sabine. Ses yeux étaient emplis d’une sorte de tristesse qui me déchirait le cur. Elle tendit la main vers moi pour que je m’approche d’elle, ce que je fis. Je me suis assis à ses côtés et elle saisit ma main fermement. J’accompagnais ma femme tandis que François la besognait avec application. Heureusement pour mon égo mais pas pour Sabine, il ne semblait pas bien doué. Si Sabine gémissait, ce n’était visiblement pas par plaisir. Son regard fixé sur moi ne laissait pas penser à du plaisir mais plutôt une sorte de gêne, d’embarras. Aussi, quand François se leva, je crus déceler un certain soulagement.
Celui-ci fut de courte durée car François installa Sabine à quatre pattes sur le lit. Il humidifia ses doigts puis les glissa sur la croupe de Sabine.
« Il va m’enculer… murmura Sabine.
— Quoi ? Répondis-je, franchement étonné.
— Il me prépare. Il va m’enculer. »
Cette pratique, Sabine ne l’accepte que peu souvent avec moi. Je ne sus pas comment réagir. Voulait-elle que j’agisse ? Voulait-elle que j’arrête tout ? Voulait-elle simplement que je sache qu’elle était prête à se faire sodomiser par un autre devant moi. Ses questions dansaient honteusement dans ma tête et, quand j’aperçus le regard apeuré de Sabine, je compris trop tard son souhait. Son visage se crispa. Mon regard se porta alors sur les fesses de Sabine. François, en tenant ma femme fermement par les hanches d’une main, pointait son sexe à l’entrée du petit trou de cette dernière. Puis il poussa et le petit cri de Sabine m’indiqua qu’il avait pris possession de son anus. Le visage marqué par la douleur de cette pénétration, Sabine encaissa les coups de butoir de François. Il agrippait Sabine et faisait des aller-retour puissants entre les fesses de la femme de ma vie. Très vite, il se fixa contre Sabine et eut un orgasme bruyant. Je sentis chacun de ses spasmes, qui accompagnaient les jets de sperme dans le préservatif, comme des coups de poignards. Il se retira et quitta la chambre pour nous « laisser en amoureux ». Cette phrase, il l’a dite en ricanant comme pour nous humilier un peu plus.
Ma femme s’écroula alors sur le lit, face à moi.
« Mais tu bandes !
— Oui, lui répondis-je penaud, en m’apercevant de mon érection.
— Fais-moi jouir, je t’en supplie… »
Je me débarrassais de mes vêtements et rejoignais ma femme sur le lit. Allongé dans son dos, je m’introduisis en elle. Ses poils noirs humides autour de son sexe bouillant me laissèrent entrer sans difficulté. Pendant que je prenais me femme dans la chambre de cet autre, je ne pouvais enlever de mon esprit qu’un autre sexe était en elle quelques minutes plus tôt. J’avais honte de n’être que le deuxième à passer en elle ce soir. Mais je savais que Sabine prenait plaisir à cette pénétration. Elle aime être prise ainsi, amoureusement. Puis revint à mon esprit cette sodomie que Sabine venait de subir et une jalousie irrépressible s’empara de moi. Presque comme un robot, je ressortais de son sexe pour me diriger vers son petit trou. Elle ne bougea même pas quand je commençais à en forcer l’entrée. Son anus, déjà préparé par François, m’avala avec avidité. Tout en brutalisant le cul de ma femme, je glissais ma main entre ses poils soyeux. Caressant son petit bouton, je fis grimper Sabine à toute allure. Un orgasme vint couronner cette étreinte. Les contractions de son anus déclenchèrent mon plaisir et je me vidais par jets entre les fesses de Sabine.
Collés l’un à l’autre nous profitions de ce moment quand le porte de la chambre s’ouvrit. Sabine contre moi se raidit. Des pas s’approchèrent du lit puis on entendit une braguette s’ouvrir. Quand j’ai aperçu le sexe sorti, je compris tout de suite qu’il ne s’agissait pas de François. Je me relevais d’un coup et vis François à l’entrée de la pièce et un maghrébin au sexe sorti à côté du lit.
« Je vous présente Nasser, mon colocataire. Il a entendu qu’on s’amusait bien ici et il veut participer.
— Mais… Tentais-je
— Je lui ai dit qu’il n’y avait pas de problème avec ta salope de femme. Elle aime les bites alors elle n’est pas à une près. »
Abasourdi par cet intrusion, je ne pus pas réagir quand Nasser ouvrit la bouche de Sabine pour y faire entrer son sexe. Il joua quelques minutes avec la bouche de Sabine pour se faire durcir. Sabine ne réagit pas non plus à cette nouvelle intrusion. Elle semblait anesthésiée. Elle suçait avec application Nasser et le fit grossir ainsi. Puis Nasser me fit signe de quitter le lit. Mécaniquement, je lui laissais ma place auprès de ma femme. Il mit un préservatif puis il s’installa, écarta légèrement les lèvres de ma femme et la pénétra sans douceur. Ainsi, en cuillère, il la besogna quelques minutes sans me quitter du regard. J’étais en face de Sabine et voyait son visage résigné. Peut-être se demandait-elle si Nasser serait le dernier ce soir ou si d’autres attendaient derrière la porte.
Soudain, Nasser bascula Sabine sur le ventre. Dans cette position, il l’écrasait de tout son poids. Et cela n’était pas peu dire car Nasser arborait un certain embonpoint. Sabine, qui déteste cette position même avec moi, dut subir la pénétration de Nasser ainsi. Il se rendit compte de la gêne de Sabine et du désamour de celle-ci pour une telle position. Il en profita pour l’humilier un peu plus avec ce type de paroles : « Tu es une bonne salope toi… », « Ça se voit dans tes yeux que tu aimes la bite… », « Tu aimes te faire défoncer devant ton mari par des mecs que tu connais pas. » ou « J’adore les bourgeoises comme toi qui écartent leurs cuisses de chienne au premier venu. » Visiblement par peur de venir trop vite, il bascula de nouveau sur le dos, laissant ma femme tel un pantin désarticulé à ses côtés.
« Vient sur moi que je puisse profiter de la vue de tes nichons de nympho… »
Sabine s’exécuta sans aucune once de joie. Il se mit sur Nasser qui lui enfonça de nouveau son sexe. Elle se mit à bouger sur lui comme un robot, sans envie, sans passion, sans plaisir… par résignation. Son visage était devenu inexpressif et son corps aussi. Il lui agrippa les seins et se mit à les téter avidement. C’est alors que je vis François s’approcher de ma femme et Nasser. Il n’en avait visiblement pas fini car il arborait une forte érection qu’il avait couverte d’un préservatif. Il pencha Sabine, qui ne résista même pas, vers Nasser. Ses doigts prirent de nouveau possession de l’anus de Sabine. Mon sperme facilita la tâche à François. Le visage de Sabine marquait maintenant de nouveau de la peur, de la tristesse… Elle se mit à sangloter quand François l’encula pour la seconde fois. Le spectateur honteux que j’étais profitait de la vue de la femme de ma vie, de mon épouse pénétrée par le sexe et par l’anus. Et je n’étais ni dans l’un ni dans l’autre. Deux hommes se partageaient ma femme sanglotant. Cela me renvoya l’image d’une immense honte… J’étais jaloux, blessé, humilié et bel et bien cocu… doublement cocu… Les deux hommes défonçaient les deux trous de mon épouse avec vigueur. Celle-ci gémissait autant qu’elle sanglotait. J’eus soudainement peur qu’elle jouisse, que ça lui plaise… Ça aurait été pour moi le dernier outrage. Quelques secondes après avoir mis le doigt sur cette peur, celle-ci prit corps devant moi. Sabine ouvrit grand la bouche et laissa échapper un cri profond que je lui connaissais bien. Elle jouissait de cette double pénétration outrageuse. Elle qui avait accepté d’aller dans un club « pour voir » se retrouvait baisée par deux inconnus ou quasiment inconnus devant moi.
Mais ils n’en avaient pas encore fini. Il fallait parfaire le tableau de la dernière des hontes. Ils installèrent Sabine à genoux à côté du lit, face à moi. Ils vinrent se mettre chacun d’un côté, tenant fermement leur sexe bandé. J’étais aux premières loges de la scène qui était sur le point de se dérouler. Sabine, tête baissée, attendait qu’ils finissent enfin. Ils se branlèrent dans sa direction énergiquement. Quand Nasser sentit son plaisir venir. Il agrippa les cheveux de Sabine et lui releva la tête. Elle était en larmes, ce qui ne stoppa pas les ardeurs de Nasser qui jouit sur le torse de mon épouse. Il salit son cou et un de ses seins. Le sperme coula jusqu’à son ventre et ses cuisses salissant un de ses bas. A peine put-elle se remettre de cette première salissure que la deuxième suivit, éclaboussant ses seins, son ventre et glissant sur son sexe, finissant sa course au cur de ses poils pubiens.
Nasser remercia François de lui avoir prêté « la salope » et s’en vint. François me lança la robe de Sabine et m’invita à quitter les lieux au plus tôt.
« Puis-je avoir ma culotte ? Demanda Sabine dans un sanglot.
— Non, lui répondit sèchement François. Je la garde en souvenir de ton cul, ma grognasse.
— Où est la salle de bain qu’elle puisse au moins se nettoyer avant de partir ? Tentais-je sans trop d’espoir. »
Mais François quitta la pièce en ricanant ne laissant peu de doute sur l’état de Sabine à son départ. Je me suis habillé devant Sabine qui ne bougea même pas. Lorsque je fus prêt, j’aidais Sabine à se relever détaillant son corps magnifique maculé du sperme des deux hommes. Je lui enfilais sa robe qui colla au liquide poisseux et nous sommes sortis de la chambre. Nous sommes allés jusqu’à la porte sans croiser qui que ce soit. Dans la voiture, Sabine se mit à pleurer à chaudes larmes, ne pouvant s’arrêter qu’en arrivant à la maison. A peine entrés et sans prendre le temps de se nettoyer, elle souleva sa robe.
« Encule-moi… Je ne suis qu’une pute, je ne mérite pas mieux… »
Enhardi par cette phrase et cette insulte que Sabine s’infligeait à elle-même, je sortis mon sexe déjà bandé et l’enfonçais dans le cul de mon épouse. Cette sodomie brutale et inattendue ne dura que peu puisque je fus très vite au bord de l’orgasme. Elle se mit à genoux et ouvrit la bouche. Elle qui refusait systématiquement les fellations après une sodomie, me prit en bouche pour me faire jouir et avala tout mon jus me nettoyant jusqu’à la dernière goutte.
Sabine, me regardant avec les yeux les plus coquins et embués de tristesse que j’ai pu lui voir jusque là, me dit :
« J’aime baiser. J’aime être prise. J’aime ton sexe, ta bite… Et je veux que tu me fasses connaître d’autres hommes… plein d’autres…
— Tu es sûre ?
— Oui, c’est ce que je mérite… Je suis une salope, juste bonne à être défoncée… Fais-moi prendre par d’autres hommes… Je t’aime, je t’en supplie… »