Après une première expérience un peu particulière avec François et Nasser, Sabine s’était découverte. Elle se pensait capable de se donner à n’importe qui même si elle en éprouvait une grande honte et un certain dégoût. Afin de limiter ces sentiments, elle voulait choisir elle-même ses partenaires et le faire à la maison. Elle pourrait les choisir plaisant et, dans le cocon de sa maison, sans risque d’intrusion inopportune comme la première fois.
Quelques semaines après la première expérience, elle me proposa de retourner dans le premier club pour choisir le prochain homme qui aura la chance de la prendre. Nous nous sommes habillés l’un et l’autre de façon assez prude et nous sommes rendus au club. Comme la première fois, il y avait peu de couple. Le nombre d’homme était toujours aussi important. Sabine semblait perturbée et je décidais de ne rien faire pour l’aider. Je l’ai prise par la main et l’ai entraînée au fond du club vers les coins privés.
Là, nous avons vu une femme prise par un homme tandis qu’un second regardait la scène en se masturbant. Autour d’eux, un groupe d’homme regardait sans vergogne. Sabine se mit à frémir.
« Tu aimerais être à sa place, n’est-ce pas ? Lui demandais-je
— Non pas vraiment…
— Pourquoi ? Tu n’es pas une salope ?
— Oui mais…
— Alors, tu n’aimerais être prise par un inconnu devant une foule de pervers qui te matent ?
— Non…
— C’est faux… Tu ne mérites pas mieux… Tu mérites d’être traitée comme ça… »
Sabine baissa la tête. En la relevant vers le couple en action, je vis que son regard était embué. Il était temps de passer à la suite des opérations. Sabine et moi nous sommes mis à la recherche d’un homme qui pourrait satisfaire à nos critères mais Sabine ne savait pas que ceux-ci étaient différents. Quelques minutes plus tard, Sabine me fit signe. Elle avait repéré un homme qui semblait lui plaire. De mon côté, j’en avais repéré un autre depuis un moment.
« J’y vais…
— Tu es sûr ?
— Oui, je lui fais un petit mot et je le glisse dans sa poche… Qu’est-ce que tu en penses ? »
Sur un bout de papier, je venais de griffonner le mot suivant :
« Bonjour,
Je suis le mari d’une grosse chienne qui cherche des bites en grand nombre. Ce soir, en vous voyant, elle m’a demandé de vous proposer d’être son prochain amant. Si ça vous tente, appelez-moi pour que nous réglions les détails. »
Et j’ai mis mon numéro de téléphone.
En lisant le mot, Sabine blêmit et ses yeux s’emplirent encore de larmes. Sans lui permettre de me retenir, je suis parti vers l’homme qu’elle avait choisi. Au passage, j’ai glissé le mot que je venais d’écrire dans la poche de l’homme de mon choix. Puis je suis allé vers celui qu’elle avait choisi avec qui j’ai échangé des banalités. Puis, je suis retourné vers Sabine et lui ai proposé de rentrer. Elle accepta, soulagée. En rentrant, je l’ai sodomisée puis ai joui dans sa bouche, l’obligeant à tout avaler avant de la laisser dormir.
Dès le lendemain, mon téléphone sonna. C’était la voix hésitante Alphonse. D’abord surpris par la proposition, il voulait juste s’assurer que ce n’était pas une blague. Alphonse avait « près de 50 ans », divorcé car trompé par sa femme et sans vraiment de vie amoureuse depuis son divorce. Pour l’assurer de la réalité de ma proposition, j’ai pris une photo de ma femme que je lui ai envoyée sur son téléphone. Il reconnut Sabine qu’il avait repérée dans le club. Le rendez-vous fut pris pour le week-end suivant. Lorsque j’ai annoncé la nouvelle à Sabine, elle se mit à pleurer de honte.
Pourtant, le soir prévu, Sabine accepta de se préparer comme je le lui demandais. Elle mit sa robe bleue à manches courtes avec une paire de bottes à talons. Elle se maquilla outrageusement insistant sur ses lèvres et ses yeux. Pendant qu’elle se maquillait, je suis allé la voir. Passant mes mains sous sa robe, je décelais un sous-vêtement.
« Tu n’as pas besoin de ça, ma petite salope », lui dis-je en retirant sa culotte.
La sonnette de la maison nous rappela à l’arrivée de notre invité. Je laissais Sabine finir de se préparer et allais accueillir Alphonse. Il était vêtu comme le parfait premier de la classe, une chemise d’un autre temps ne cachait pas son ventre proéminent. Il s’était pointé avec un bouquet de fleurs comme si il allait à un rendez-vous galant. Aussi, quand Sabine entra dans le salon, en voyant notre invité, elle eut un mouvement de recul. Il vint me voir.
« Ce n’est pas celui que j’ai choisi.
— Non, effectivement…
— Qu’est-ce qu’il fait là lui ?
— Il vient te baiser. Et il va te baiser.
— Mais, je ne veux pas. Il est moche et gros.
— Je ne te donne pas le choix. C’est ce qui se passe quand on est une chienne comme toi. On baise avec tout le monde. »
Elle baissa la tête et commença à sangloter alors que je la poussais vers Alphonse en lui précisant que notre invité adorerait une « petite pipe ». Sabine, après avoir fait taire Alphonse, l’assit sur le canapé. Elle s’agenouilla devant lui et lui dégrafa le pantalon. Le sexe d’Alphonse était encore mou quand elle lui mit un préservatif pour le prendre en bouche. Elle faisait aller et venir ses lèvres bien rouges sur la verge d’Alphonse qui ne tarda pas à grossir. Après quelques succions, Alphonse ne peut plus se contenir. Il poussa un cri rauque et jouit. Sabine se releva et je lui demandais de retirer le préservatif et de remettre les vêtements de notre invité en ordre.
Il s’excusa d’être venu trop vite. Je lui dis que ce n’était pas grave puisque Sabine attendrait qu’il reprenne des forces pour la suite. En attendant, je proposais quelques verres pour détendre l’atmosphère. Je demandais à Sabine de nous servir. J’en profitais pour faire remonter la robe de Sabine pour exposer les fesses de mon épouse au regard libidineux d’Alphonse. Il n’en perdait pas une miette et commençait à suer d’excitation. Afin de corser un peu la chose, je décidais de retirer complètement la robe de Sabine. En dessous de celle-ci, elle portait un soutien-gorge en dentelle blanc. Je l’invitais à s’assoir sur le canapé aux côtés d’Alphonse. Et c’est ainsi, en bottes et soutien-gorge que nous prîmes quelques verres. Alphonse ne quittait pas des yeux les seins de Sabine et, dès que Sabine ouvrait les cuisses, son regard plongeait dans la touffe de poil pubien de mon épouse.
Lorsque j’ai senti qu’Alphonse était prêt à repartir, j’ai sorti mon sexe de mon pantalon et ai dit à Sabine de venir me prendre en bouche. Voyant qu’elle se levait, je décidais de lui demander de venir à quatre pattes, « comme une bonne chienne ».
« Non, s’il te plaît…
— Alphonse, vous voulez bien voir Sabine tortiller du cul pour venir jusqu’à moi et me sucer ?
— Euh… Mais si Sabine ne veut pas…
— Sa tête s’y refuse peut-être mais elle aime être vue comme ça et prise comme une salope. N’est-ce pas, Sabine ? »
Pour seule réponse, Sabine se mit à quatre pattes et vint vers moi.
« Vous voyez Alphonse, une véritable petite chienne…
— Je vois et ses formes donnent vraiment envie de la… enfin… on se comprend…
— Mais si vous en avez envie, allez-y. Elle n’attend et ne mérite que ça. »
Je vis alors la bouche de Sabine s’ouvrir pour laisser passer mon gland. Dans ses yeux, j’ai pu sentir sa honte d’être ainsi exhibée à un homme qu’elle ne désirait pas mais qu’elle savait qu’elle allait devoir satisfaire. Cet homme, Alphonse, se mit à genoux derrière elle et sortit son sexe. Après s’être couvert, il commença à caresser Sabine.
« Elle n’est pas… prête… Je crois qu’elle ne veut pas…
— Mais si, ne vous inquiétez pas, allez-y… »
Alphonse attrapa Sabine par les hanches et s’enfonça en elle, forçant un peu l’entrée. Sabine me suçait avec beaucoup d’application et se mit à pleurer silencieusement quand Alphonse fut au fond d’elle. La jalousie, la honte, la trahison que j’avais ressenties lorsque Sabine avait été prise par François et Nasser quelques semaines plus tôt s’étaient transformées en une perversité. J’aimais savoir que Sabine se donnait à contrecur à un homme qu’elle ne désirait vraiment pas. Alphonse, ce gros bonhomme, bien vieux dans sa tête et en manque depuis longtemps, profitait au maximum de la situation. L’absence de désir de Sabine ne semblait plus prévaloir. Seul son plaisir d’être dans le sexe d’une belle femme bien plus jeune que lui semblait importer à ses yeux.
Cela faisait un moment que Sabine me suçait et qu’Alphonse allait et venait dans Sabine. Je me décidais à proposer l’impensable à Alphonse.
« Alphonse, vous pensez quoi de son cul ?
— Elle a de très belles… fesses…
— Et son petit trou ?
— Pardon ?
— Son trou du cul ? Il vous fait envie son trou du cul ?
— Euh… Je ne fais pas ça…
— Avec des femmes, je comprends. Mais avec une salope comme celle que vous baisez là ? »
Son doigt commença à passer sur ce petit trou et à le masser. Sabine leva alors les yeux vers moi. Ils étaient plein de larmes et j’y décelais une certaine peur. Elle me fit un « non » de la tête duquel je n’ai pas tenu compte. J’ai attrapé Sabine par la nuque et ai redirigé sa bouche vers mon sexe. Alphonse prépara l’anus de Sabine puis il s’y présenta. Il poussa fort pour y entrer ce qui fit crier Sabine. Il s’excusa mais ne prit pas la peine d’attendre avant d’attaquer ses allers-retours. Je sentais la bouche de Sabine crispée autour de ma verge. Alphonse ne se gênait pas pour donner de grands coups de butoir dans l’anus de Sabine. Il haletait bruyamment marquant le plaisir qu’il prenait à sodomiser mon épouse. Mais il ne fut pas long à venir. Il s’enfonça profondément dans ma femme et se vida dans le préservatif. Il sortit ensuite de Sabine et s’avachit dans le canapé. Sabine reprit sa fellation et, comme pour passer vite à autre choses, m’aspira jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche. Elle avala alors tout mon jus.
Une fois remis, j’invitais Sabine à nous resservir et à venir s’installer au sol, sur ses genoux. Sans attendre le moindre geste de ma part, Alphonse se leva et alla décrocher son soutien-gorge. Il s’installa auprès de mon épouse et il commença à caresser ses seins. Il ne m’a fallut que peu de temps pour reprendre des forces.
« On sera plus à l’aise dans la chambre. Sabine, indique le chemin à notre invité…
— C’est par ici… Monsieur, dit Sabine en se levant et en pointant du doigt le couloir vers la chambre.
— Ne m’appelle pas ’Monsieur’, ça fait vieux ma jolie
— Jolie petite salope, ajoutais-je pour remettre les choses dans leur contexte. »
Sabine baissa les yeux et avança dans le couloir en suivant Alphonse. Arrivés dans la chambre, je m’installais sur la chaise où nous posions nos vêtements. Ma femme enleva ses bottes et s’allongea sur le lit en position ftale. Je voyais de la tristesse et de la honte dans ses yeux. Elle savait qu’elle allait devoir subir de nouveau Alphonse. Celui-ci se dévêtit et ce que nous avons vu dépassa de loin ce que nous imaginions. En plus de son gros ventre, Alphonse arborait une épaisse couche de poils sur l’ensemble de son torse, ses jambes et ses bras. Même son dos était un peu poilu. Lorsqu’il retira son slip, c’est une verge de nouveau dressée que se présenta à Sabine.
Il l’invita à se mettre sur le dos et commença à lui caresser le sexe. Très rapidement, il monta sur le lit et s’allongea sur Sabine. Il l’écrasait de tout son poids et Sabine semblait dégoutée par les poils de son assaillant. Pourtant, il n’eut aucun mal à la pénétrer. Il commença à besogner Sabine. Celle-ci, écrasée sous le poids d’Alphonse, me regardait avec insistance. Je voyais toujours dans son regard de la honte mais j’y percevais aussi une forme d’excuse. Elle voulait que je la pardonne de se faire prendre par ce gros bonhomme sous mes yeux. Le plaisir pervers que je prenais à la voir se donner compensait la jalousie que je ressentais. Tout à coup, je vis le corps de Sabine se crisper autour du corps d’Alphonse. Ses jambes s’entortillèrent autour de ses hanches et ses bras entourèrent son dos poilu. Elle ouvrit sa bouche et un son profond en sortit. Sabine venait de jouir de cette pénétration non désirée. Cet homme qui lui déplaisait venait de lui donner un orgasme aussi inattendu que puissant.
Mais Alphonse, peu au fait des besoins et des limites de Sabine, n’arrêta pas pour autant ses va-et-vient. Au contraire, il installa Sabine en levrette pour la prendre avec plus de vigueur. Sabine, qui supporte difficilement toute pénétration après un orgasme dut subir l’assaut violent d’Alphonse durant de longue minutes. Il m’étonnait par son endurance. Il faisait en sorte de faire retomber la pression assez régulièrement. Je devinais la douleur ressentie par Sabine à son visage. Il était marqué. Elle ne souhaitait qu’une chose : que ça s’arrête. Mais il n’en fut rien. Alphonse sortit de Sabine et s’allongea sur le dos. Il invita autoritairement Sabine à venir le chevaucher. Celle-ci me regarda comme pour chercher un appui mais elle ne vit dans mon regard que ma désapprobation parce qu’elle hésitait. Elle se mit sur Alphonse et une idée folle me passa par la tête.
« Alphonse, cela ne vous gêne pas si je viens avec vous ?
— Euh… Je ne sais pas… Si Sabine veut bien…
— Cette chienne n’a pas son mot à dire. Je veux prendre son cul donc vous allez me sentir près de vous. Si ça ne vous dérange pas, alors je viens.
— Non, s’il te plaît, tenta Sabine
— Tu aimes te faire prendre ! Peu importe le nombre d’homme alors tu ne vas pas me faire croire que tu ne veux pas que je t’encule. »
Sabine baissa la tête, résignée. Je quittais mes vêtements et vint me mettre derrière Sabine. Ses fesses montaient et descendaient imprimant le rythme de son sexe sur la verge d’Alphonse. Je glissais un puis deux doigts dans le petit trou de mon épouse qui s’ouvrit sans difficulté. Je m’installais derrière le couple improvisé et présentais ma verge à l’entrée de l’anus de Sabine. Une fois entré, j’ai senti la verge d’Alphonse au travers de la fine peau séparant l’anus du vagin de Sabine. Cette sensation nouvelle me gêna un peu. Pour autant, savoir que je partageais ma femme avec un homme que nous connaissions aussi peu me procurait de fortes sensations. J’étais toujours aussi jaloux, honteux, trahi par celle que j’aimais mais ma perversité était à son paroxysme. Je savais qu’en plus Sabine venait de jouir et qu’elle ne ressentait pas de plaisir à cette double-pénétration qu’Alphonse et moi lui faisions subir. Je la redressais et glissais à son oreille :
« Je n’arrêterai que quand tu auras joui de nouveau alors fais un effort, salope! »
Je ne sais si ces mots suffirent mais Sabine commença à gémir tout en sanglotant silencieusement. Alphonse tenait toujours le rythme mais le renoncement de Sabine clairement marqué sembla être difficile à supporter pour lui. Quelques minutes plus tard, il jouit bruyamment se vidant par saccades dans le préservatif qu’il avait mis. Je sentais chacun de ses jets à cause de la proximité la proximité de nos sexes. Son sexe finit par dégonfler et il sortit de Sabine. Pour autant, il ne bougea pas et attendit que je finisse de sodomiser Sabine. Fermement agrippé à ses hanches, je donnais des coups de butoirs violents dans l’anus de Sabine qui gémissait de plus belle. Tous à coup, son cul de crispa autour de mon sexe et elle poussa un hurlement de plaisir que je lui avais rarement entendu. Ses spasmes eurent raison de moi et je me déversais au fond du trou du cul de ma chienne d’épouse.
Je suis descendu du lit et Sabine retomba sur le lit reprenant sa position ftale, marquée de honte et de tristesse. Il se mit d’ailleurs à pleurer à chaudes larmes. Alphonse et moi nous sommes rhabillés mais je ne pouvais pas quitter des yeux l’anus de Sabine duquel ressortait par filet le sperme que je venais d’y laisser. Sans un mot pour ma femme, Alphonse quitta la chambre et je le suivis pour le raccompagner jusqu’à la porte.
En revenant dans la chambre, je vis que Sabine n’avait pas bougé ni n’avait arrêté de pleurer. Lorsqu’elle me vit revenir, elle se jeta dans mes bras.
« Pardon, je suis désolée… Tu dois me détester… Tu mérites une meilleure femme que moi…
— Je ne te déteste pas… J’ai honte pour toi. Et tu dois aussi avoir honte d’aimer ça, n’est-ce pas ?
— Oui, j’ai honte…
— Tant mieux. Mais maintenant tu le sauras. Tu baiseras avec ceux que je déciderais. Tu feras comme je le veux, quand je le veux…
— Non, je veux savoir av…
— Tout ce que tu as à savoir c’est que tu es bonne à baiser et que tu baiseras. Pour le reste, je m’en occupe. »
Sabine, toujours blottie dans ms bras se mit à pleurer de plus belle mais elle me susurra un « d’accord » qui me donnait tout pouvoir sur elle.