Ce que je vis devant moi fut le plus grand choc de ma vie. Je n’avais pas de mot. Ma mâchoire s’était ouverte en grand et ma langue était presque pendante. Je me délectai de la vision fantasmagorique qui me brûlait les rétines, comme soudain animées d’un feu ardent.
Lucile était diablement sexy. Sa tenue était un appel au sexe. Et pour un père, presque un appel au viol. Comment résister à cette tentation… ?
Ma fille était perchée sur les mêmes hauts talons que tout à l’heure. Elle portait un haut moulant en latex noir brillant qui lui recouvrait la quasi-totalité du corps du bas-ventre aux épaules. Seules trois ouvertures étaient faites : une dans le dos, sur toute la longueur, et deux au niveau des seins, les compressant comme des petits obus. Les tétons pointaient vers moi, fiers et luisants. J’avais une envie folle de les téter et de les mordiller.
Pour le bas, des portes-jarretelles étaient reliées à des bas noirs fins et légèrement transparents. Le nylon était troué à plusieurs endroits, comme si quelqu’un les avait violemment arrachés. Mais le plus beau restait ce qui faisait le lien entre le haut et le bas. Une pièce de lingerie minimaliste, un shorty en nylon transparent qui recouvrait parfaitement les fesses de ma petite fille, avec un mot inscrit sur chacune d’elle : « Fuck Me ». Ce cul était un appel à la sodomie profonde !
Le détail en plus qui faillit m’achever fut la vue de sa chatte. Le shorty était légèrement ouvert sur le devant et laissait apparaître les fines lèvres de son intimité, serrées l’une contre l’autre. Je pouvais même discerner une brillance sur le bout de son sexe.
Je n’en pouvais plus ! Je remarquai aussi que Lucile portait un collier en cuir noir autour du coup, d’où pendait une petite chaîne argentée. Ses mains gainées de gants en nylon noir ultra-fin achevaient cette tenue de débauche.
Lucile me fixait intensément, observant la moindre de mes réactions. Elle tourna sur elle-même deux fois et finit par prendre la parole.
— Alors Daddy ? demanda-t-elle timidement, le rouge aux joues.
J’hésitai quelques secondes à lui répondre, devais-je vraiment dire ce que je pensais d’elle ainsi vêtue ? Oui. Bien sûr que oui ! Je lui avais promis. Et elle m’avait fait la promesse en retour de ne pas se vexer. Je devais le faire, assumer mes engagements.
— Tu es vraiment la plus bandante de toutes les filles que j’ai pu voir de ma vie ma chérie. Tu as l’air d’une salope prête à tout pour se faire salement baiser comme une vulgaire pute !
Je me levai, et vins me caler derrière elle pour que nous soyons tous deux face à la glace.
— Tes seins de jeune fille en chaleur, poursuivis-je en arrêtant mes mains à quelques centimètres de ses deux globes de chair, sont propulsés en avant de façon tellement obscène et provocante que j’ai juste envie de les malaxer et de triturer les tétons pour te faire défaillir de plaisir…
— Papa euh…
Lucile tenta de m’interrompre, mais je la coupai aussitôt, emporté par mon discours.
— Tes jambes fines d’adolescente dans ces bas troués te donnent un air de prostituée qui s’est fait défoncer par une dizaine de mecs dans un gangbang ultra-violent !
— Stop… Pap…
— Et ton cul ! continuai-je, inarrêtable, en tournant ma fille pour la mettre de profil face à la glace. Ton cul de gamine parfaitement moulé dans ce shorty si sexy. Tu n’imagines pas à quel point j’ai envie d’exécuter les instructions sur tes fesses ! Je te prendrai là, plaquée contre le mur, en sodomie profonde, comme tu le demandes.
Lucile versa sa première larme. Mais je continuai. Je devais aller au bout de mes pensées. Elle l’avait voulu, elle allait tout entendre.
— Et regarde-moi cette petite chatte. Ta vulve est luisante ! Regarde ! insistai-je en lui montrant son reflet dans la glace.
Elle ne répondit rien, mais je la vis lever les yeux furtivement pour vérifier ce que je disais.
— Tes petites lèvres sont toutes excitées ma chérie ! Ta petite chatte mériterait de se faire farcir par une grosse bite. Si c’était avec la mienne, je te l’aurai planté d’un seul coup et t’aurai baisé comme une chienne, propulsant mes coups de pine dans ton intimité comme un sauvage, prêt à te déflorer comme tu le mérites.
— Je t’en supplie… Daddy…
— Et ne me dis pas que t’es pas une salope ! Tu n’aurais pas porté ce collier pour le rappeler sinon. Regarde cette petite chaîne d’ailleurs. Elle est juste là pour montrer que tu es une petite chienne soumise et prête à tout pour se faire ravager les trous de…
— Stoooop !!!
Je dus m’arrêter. Lucile m’avait plaqué sa main sur la bouche.
Je pus voir des larmes de détresse et une expression de colère sur son visage.
— Plus un mot, je t’en prie…, murmura-t-elle la voix tremblotante.
Je compris soudain que j’étais allé trop loin. J’avais accepté de jouer son jeu, mais les règles m’avaient dépassé. J’avais perdu tout contrôle, comme je le prévoyais. Ma fille ne s’en remettrait probablement pas…
— Désolé ma chérie, m’excusai-je d’une petite voix douce. C’est pour ça que je ne voulais pas le faire. Je savais que ce serait trop dangereux.
— Ne t’excuse pas. Surtout pas, chuchota Lucile en essuyant ses larmes.
— Quoi ?
— Tu n’as pas à t’excuser. C’est moi qui ai voulu ça ! Je savais bien que je te demandai beaucoup, sûrement trop…
— Je ne sais pas quoi dire, vraiment, je me suis laissé emporter et…
— Tu as été sans filtre, je sais. C’est le moins qu’on puisse dire, ajouta-t-elle en esquissant un léger sourire timide sans me regarder dans les yeux.
— Désolé quand même ma belle. C’est que c’est difficile de te voir comme ça. Je suis un homme, et mes envies sont réelles. Même pour toi, je ne peux pas le nier, dis-je en baissant la tête.
— Ne t’en fais pas pour ça Daddy.
Lucile me releva la tête d’une main.
— Jamais je ne t’en voudrai, je te l’ai promis. Je ne suis pas vexée. Je suis même, dans un certain sens, euh… flattée que tu me trouves aussi… bandante.
— Ah oui ? m’étonnai-je.
— Bien sûr. Tu es mon père. L’homme de ma vie à jamais. Quoi que tu puisses dire, si ce sont des mots que j’ai provoqués, je ne t’en voudrai jamais.
— Merci ma chérie.
C’était à mon tour de verser une petite larme. Le trop-plein d’émotions m’envahissait à mon tour.
Lucile me prit soudain dans ses bras et me serra fort contre elle. Je répondis à son câlin, gêné, ne sachant où poser mes mains. J’avais terriblement envie de lui palper les fesses, mais je me retins juste à temps en m’arrêtant sur le bas de son dos.
Nous restâmes comme ça une dizaine de secondes et bien entendu, ce qui devait arriver arriva, une érection propulsa le tissu de mon pantalon en avant. Collés comme nous l’étions, je sentis le bout de mon sexe buter contre l’entrejambe de ma fille. Sa petite chatte et ma queue n’étaient séparées que d’une fine couche de tissu.
— Euh… ma chérie, dis-je, gêné.
Elle comprit ce que j’allais dire et mit fin à notre étreinte. Elle se recula d’un pas et observa mon érection d’un air troublé.
— Je t’excite à ce point Daddy ?
Je vis qu’elle me demandait ça en toute innocence, mais je ne pus me retenir d’ajouter des propos salaces, presque malgré moi.
— Quand t’es habillée de la sorte, comme une putain, oh que oui tu m’excites !
Je me recroquevillai alors dans un mouvement de recul, les mains sur mon sexe, sentant soudain une vive douleur.
— Aïe !
— ça va pas ? s’inquiéta ma fille, le visage compatissant.
— C’est rien ma belle. Ouille… C’est juste que là, disons que je suis un peu trop excité et je commence à être à l’étroit.
— Oh !
Lucile ne savait pas quoi ajouter. Je la vis perdue, visiblement embarrassée.
— Tu veux pas… euh… ouvrir la braguette ? proposa-t-elle.
— Si je fais ça ma chérie, je risque de dérailler. C’est pas une bonne idée.
Je ne devais surtout pas céder à ça ! Même si ma fille ne pensait pas à mal, tous les voyants s’affichèrent au rouge dans ma tête et je sus que je ne pouvais m’aventurer aussi loin.
— Je comprends oui…
— Il vaut mieux que je sorte, ajoutai-je.
— D’accord Papa. Je te laisse y aller alors. Je serai pas longue, t’inquiète pas.
— OK ma belle.
Avant de sortir, Lucile me serra dans ses bras une dernière fois, dans une étreinte si forte que je sentis à nouveau mon sexe tenter de déchirer le tissu de mon pantalon pour s’enfoncer dans la petite chatte qui se présentait devant lui.
— Encore merci, murmura-t-elle dans mon oreille avant de relâcher mon corps.
Nous nous séparâmes et je sortis de la cabine, me jetant presque sur le fauteuil pour vite dissimuler mon érection. Heureusement, la boutique était quasi déserte et personne ne semblait m’observer.
Cette soirée de folie allait enfin arriver à son épilogue. J’allais pouvoir retrouver mes esprits et me calmer. Reprendre les commandes de ma vie, oublier ces derniers instants. Je devais oublier, ou une folie incestueuse pourrait s’emparer de moi. Jamais je ne devrai laisser cela arriver. Je m’en fis le serment solennel à moi-même. Le père modèle que j’étais avait eu un bref moment de déviance, mais il réapparaissait maintenant. Plus fort que jamais. La queue débandée et sereine.
J’attendais Lucile depuis déjà dix minutes. Je la vis d’ailleurs enfiler ses petites bottines, mais elle ne sortait toujours pas. Que pouvait-elle bien faire ?
Je n’eus pas besoin de me poser la question plus longtemps. J’entendis le bip de mon téléphone et la légère vibration qui me signifiait que j’avais reçu un message. Je me saisis du portable et vis sur l’écran quelque chose qui m’inquiéta. En surbrillance était écrit « Messages de Lucile non lus ».
J’ouvris le message et mon sang ne fit qu’un tour.
« Merci infiniment. Je sais que je t’ai mis à rude épreuve ce soir. Je m’en rends bien compte. Mais malgré tout ce que j’ai pu mettre sous tes yeux, tu es resté un homme bon et respectueux. Je suis tellement fière de toi et heureuse d’être ta fille. Pour te remercier, j’estime que tu mérites une petite attention de ma part. Alors je t’offre ceci… »
Je vis une photo s’afficher en dessous.
« … J’espère que cela permettra de nourrir tes fantasmes. Je t’aime tellement Daddy ».
La photo montrait un selfie du corps de Lucile dans sa dernière tenue. Sur le cliché, elle posait de face, un sourire étincelant sur ses lèvres qui prenaient la forme d’un cur, comme si elle m’envoyait un baiser.
Je levai alors les yeux et vis Lucile qui sortait de la cabine. Sur son visage d’ange, le même sourire gorgé de désir et de sensualité que sur la photo.
Tout ne faisait que commencer entre nous…