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Ma fille, sa copine, mes rêves – Chapitre 1

Ma fille, sa copine, mes rêves - Chapitre 1



Bonjour à vous : Je m’appelle Hélène, et je ne peux que vous exprimer mon désarroi devant l’histoire que je vais vous raconter, et qui a remis en cause mes valeurs, mes relations, ma vie… je ne sais plus que choisir, entre me détester et me déchaîner…

Tout a commencé il y a quelques semaines : j’étais rentrée plus tôt de mon travail de consultante pour aller courir ; après m’être changée et avoir attaché mes longs cheveux roux, je suis tombée nez à nez avec ma fille Gaëlle qui rentrait des cours. J’ai juste eu le temps de dire bonjour à ma fille avant qu’elle aille directement dans sa chambre, ce qui n’est pas dans son habitude… or je vis qu’une copine l’y attend ; je ne fis pas de commentaire et décide de les laisser tranquilles.

Quand je revins, après m’être interrogée sur l’identité de l’"intruse", je m’attendais à voir une de ces filles timides comme beaucoup des copines de ma fille. Gaëlle tient beaucoup de moi avec sa silhouette menue, ses cheveux roux (un peu plus bouclés et clairs que les miens) et son visage allongé, elle fait très "première de classe" avec ses lunettes. Elle a tendance à avoir des amies très discrètes, introverties…

Et pourtant, quand je rentrai, c’est une jeune femme bien différente que je croisai sur le pas de la porte accompagnée de ma fille :

"Ah te voilà Maman… voici Lou, tu n’as pas pu la croiser tout à l’heure je crois" me dit ma fille, surprise de mon arrivée

— Bonjour madame ! j’ai honte de moi, je vous ai vu brièvement et je ne suis même pas allé vous dire bonjour…"

Je restai sans voix pendant une seconde. Lou était lexact opposé de ma fille : des cheveux blonds bouclés qu’elle portait en une petite frange, des yeux bleus pétillants, des pommettes parsemées de taches de rousseur juvéniles… même ses dents décoraient un sourire craquant.

Après avoir détaillé ainsi son visage, éblouie par sa chaleur, je remarquai comment elle était habillée : un pull blanc à rayures, rentré dans son jean moulant de façon à faire ressortir sa poitrine… décidément, la façon dont les adolescentes s’habillent aujourd’hui… je ne dirai pas provocante, mais sacrément sexy tout de même…

Ce n’est pas que ma fille n’était pas jolie, bien au contraire ; j’étais bien trop fière de sa rousseur, de son nez fin qui rendait évidente la filiation entre elle et moi. Seulement elle n’était pas coutumière des garde-robes moulantes, préférant des chemises ou des robes aux t-shirts provocants, jupes courtes et autres décolletés. Ce qui rendait d’autant plus troublant le fait qu’elle soit si amie avec un personne si… fraîche, ouverte, sexy…

Car je fus amenée à la croiser de nombreuses fois, jamais très longtemps mais assez pour qu’on fasse un peu connaissance. Elle avait toujours un mot gentil pour moi, même si elle passait le plus clair de son temps seule avec Gaëlle ; elle n’était jamais fermée à la discussion, pas du tout le genre prétentieuse ou hautaine. Elle rayonnait, c’est le mot juste. Même ma fille commençait à se décoincer un peu en sa présence.

Un autre après-midi libre durant lequel je pus aller courir pointa le bout de son nez. Je rentrai donc me changer, et voyant dans l’entrée des affaires de Gaëlle et Lou je décidai de me mettre rapidement en tenue et repartir discrètement pour ne pas les déranger.

Cependant, en passant devant la chambre de ma fille, j’entendis des bruits étranges, une sorte de halètement… en poussant légèrement la porte, mes yeux furent absorbés par la vision de deux rondes et belles fesses blanches ; mes yeux suivirent le corps nu en passant par les hanches, remontèrent vers un dos ou perlaient quelques taches de rousseur, pour finir dans une chevelure blonde et légèrement bouclée, que je connaissais bien… et qui était plongée entre les jambes de ma fille, qui poussait les cris étouffés que j’avais entendus !

Lou fourrait son nez dans la chatte de ma fille, dont les cris s’étouffaient dans sa gorge avant de mourir dans l’air de la chambre… qui commençait à sentir la mouille comme je venais de m’en apercevoir. Gaëlle avait les yeux fermés, ses doigts crispés sur les oreillers de son lit, mais elle ne semblait pas détester ce que Lou lui faisait… Elles avaient conservé chacune quelques vêtements, mais le jean baissé aux genoux de Lou me donnait une vue parfaite sur ses fesses qui bougeaient, lui donnaient son impulsion pour aller fouiller le minou de ma fille, qui elle avait gardé son haut (bien que débraillé, j’imagine aisément pourquoi…).

Mon Dieu, ma fille se faisait brouter le minou ! Par une copine que j’avais appris à bien connaître ! J’avais quelques expériences lesbiennes quand j’étais encore jeune, mais jamais je n’aurais imaginé ma fille dans une telle situation…

"Oui, oui, ouiiiiiiiiii !!!!!" ma fille ouvrit soudainement les yeux dans sa jouissance, ce qui me força à me réfugier par réflexe derrière la porte, hors de vue. Je restai un peu ébahie, mais repris mes esprits pour enfiler ma tenue de jogging et sortir en contournant la chambre.

Quand je revins de mon parcours de course, je trouvai les filles dans le canapé, sages comme des images. L’image du visage de Lou sur le sexe de ma fille, en train de recueillir sa mouille, me frappa directement… mais j’arrivai quand même à faire un sourire instinctif et à bafouiller les salutations d’usage. Encore marquée, je fonçai dans la douche, repli stratégique et nécessaire vu ma gêne…

Je me défis de mes vêtements au milieu des miroirs de notre salle de bain. Les sous-vêtements enlevés, je contemplai un instant mon reflet : j’avais réussi à faire oublier mes quelques rides avec un corps plutôt en forme, avec des seins en poire généreux et des fesses fermes, bien musclées. Je rentrai dans la douche après avoir inspecté mes fesses. Mais alors que je goûtai les gouttes d’eau chaude, je surpris quelqu’un posté à l’extérieur de la porte (qui s’était comme par magie entrouverte) : un bras était apparu sur le miroir en face de la porte, et à la pensée d’être observée je poussai un petit cri de sursaut et me retournai subitement. Las, la main disparut prestement, je ne vis personne derrière moi.

Aurais-je rêvé?

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