Je me réveillais tranquillement le lendemain, mais toujours avec les évènements de la veille en tête. J’avais également un fort besoin de me vider, alors je commençais à me toucher. Peut-être pourrais-je cette fois-ci me débrouiller tout seul ? Mais après ¼ d’heure de vaines tentatives, je me résignais à devoir me faire aider une nouvelle fois. On est dimanche, il est 9h30, Emma doit-être en train de se réveiller. J’hésite un peu, mais je me lance et me dirige vers sa chambre. Je gratte un peu à la porte et l’entrouvre doucement.
— Emma, c’est papa. C’est l’heure de se réveiller
— Mmmm, quoi déjà ? Fit-elle en se frottant les yeux.
Manifestement, elle n’aurait pas dit non à une grasse matinée plus longue, elle avait du mal à ouvrir les yeux.
— En fait, je crois que j’ai encore besoin de toi, ma chérie.
— Tu as envie de te masturber ? me demanda-t-elle la voix enrouée.
— Oui, ma puce. C’est bizarre mais en fait c’est plus un besoin qu’une envie. Je sens qu’il faut que je me vide.
— D’accord.
Emma retira son T-shirt et me dévoila de nouveau ses deux petits seins. Comme elle somnolait toujours, elle gardait automatiquement ses yeux clos. Je sortis ma queue et commença mon affaire.
— Tu peux me toucher aussi si tu veux papa.
Je ne me fis pas prier, je m’asseyais à ses côtés et commença à lui caresser sa poitrine. Mon sexe durcissait petit à petit et je commençais à prendre du plaisir à peloter ma fille. Je voulais essayer de raccourcir ce moment, histoire de l’embêter le moins possible, mais comme la veille, il me manquait encore un petit quelque chose.
— Oh ma chérie, tu es vraiment une très jolie jeune fille.
— Merci papa, tu t’en sors ?
— C’est comme hier, j’ai du mal à terminer, pourtant j’ai l’impression d’être super excité. Te voir comme ça me procure des sensations que j’avais oubliées depuis longtemps.
— Il t’en faut un peu plus alors. Descends ta main.
Emma retira sa couette découvrant le bas de son corps. Elle portait une petite culotte toute mignonne.
— Tiens papa, c’est que pour toi, j’espère que cela suffira.
— Oh ma chérie, tu ne sais pas à quel point je suis reconnaissant.
— Chut, ne t’en fais pas. En attendant continue de me toucher … entre mes jambes si tu veux.
Là, j’étais vraiment excité. J’accélérais mes mouvements. Je posais ma main sur la culotte d’Emma, et commença à lui caresser sa chatte à travers le fin tissu. Les caresses que je lui prodiguais lui faisaient effet également. J’entendais de petits soupirs et de petits gémissements. Je sentais son entrejambe se réchauffer sous mes doigts et je soupçonnais que son minou commençait à mouiller. Je ressentais ses grandes lèvres se dilater sous mes gestes et parfois, au gré de mes caresses, je me surprenais à découvrir le haut de sa culotte pour entrapercevoir une petite toison sur le haut de son sexe. Juste quelques petits poils bien taillés m’ont fait monter le jus et encore une fois, l’orgasme m’a totalement fait perdre tout contrôle et je me déchargeais sur le ventre de ma petite fille. Un filet de sperme alla se nicher sur la culotte. Je m’en voulais encore d’en avoir mis sur sa lingerie.
De nouveau, Emma brisa le silence :
— C’est bien papa, je suis fière de toi, par contre il faudra revoir la visée, hihi !
— Désolé ma fille, j’en ai encore mis partout sur toi
— C’est pas important, ça ne me déplait pas non plus tu sais, et puis pour la culotte on a un lave-linge.
— Oui mais quand même je devrais faire plus attention.
— En tout cas on a appris une chose, c’est qu’il t’en faut un peu plus à chaque fois. Maintenant que j’ai compris ça, on pourra anticiper tes besoins et tes réactions je pense.
— Ah… bon, si tu le dis
— J’ai déjà ma petite idée pour notre prochaine séance.
J’avais du mal à croire ce qui se passait. Ma petite fille unique était en train d’organiser mes séances de masturbations. J’ai personnellement du mal à me projeter dans l’avenir. Pour moi, la solution de me caresser avec ma fille était une solution provisoire, mais je pense qu’elle n’est pas du même avis. En même temps, j’avoue honteusement prendre un certain plaisir à la tripoter, la caresser et à vider mon sperme sur son corps de jeune fille. Jusqu’où ira-t-on dans ces séances ? Combien de temps cela va-t-il durer ?
Bref, la matinée se passa tranquillement. Il fait chaud et après le repas du midi, nous nous préparons à une petite sieste. C’est un petit rituel que l’on a entre nous depuis un bon moment maintenant. En vacances au soleil, nous avons pris l’habitude de dormir ensemble les après-midis de grosse chaleur. Malgré cette habitude, le contexte actuel changeait la donne, forcément.
Mais nous arrivâmes quand même à nous endormir, comme d’habitude. C’est au réveil qu’il y eut une modification de notre routine.
Emma se réveilla en même temps que moi et me dit :
— Ca va papa, bien dormi ?
— Oui ma puce, très bien
— Tu as envie ?
— Euh… et bien… Je ne peux pas encore te le demander, ça me gêne.
— Je te le répète encore, ça ne me dérange pas. Alors tu as besoin de te soulager ?
Je ne pouvais répondre par la négative, à écouter ma fille parler comme ça, ma verge se tendait lentement.
— Oui ma chérie, j’aimerais bien pouvoir me vider s’il te plait
— Et ben voilà, tu vois c’est pas compliqué.
Emma enleva le haut, dévoilant sa jolie petite poitrine, puis se mit sur le dos :
— Viens devant moi papa
Je me plaçais, à genoux en face d’elle ne sachant pas où elle voulait en venir.
— Comme tu as besoin toujours d’un petit truc en plus, même si je vois que tu es bien parti, tu n’as qu’à retirer toi-même ma culotte, ça te ferait un peu d’effet j’espère.
Je n’en croyais pas mes oreilles, ma fille m’invitait à la déshabiller. Je ne pouvais pas refuser. J’attrapais sa culotte par les côtés et Emma souleva légèrement son bassin. Je faisais glisser sa lingerie le long de ses cuisses et je pus admirer le petit abricot de ma fille. De belles lèvres surmontées d’un petit capuchon couvrant son clitoris. Une petite ligne de poils bien taillés prenait place sur son pubis. Ce fut un moment magique.
— Approche-toi, me fit-elle
J’approche mon bassin, ma queue est à quelques centimètres de son sexe. Machinalement, et surtout à cause de ce que j’étais en train de vivre, je commence à me caresser.
— Approche encore, papa
— Mais je vais finir par toucher ton… enfin ta…
— Oui papa, tu peux.
J’approchais et Emma attrapa ma verge pour la coller sur son minou et commença à la balader entre ses lèvres. J’étais dur comme je ne l’avais jamais été auparavant. Je sentais sa vulve s’humidifier petit à petit. De temps en temps, Emma concentrait ses mouvements sur son clito. Elle était elle aussi en train de se masturber et aussi en train de prendre son plaisir
— Mmmm, ouiiiii, hhuuunnn
Ses gestes étaient appuyés. Lorsqu’elle passait mon gland à l’entrée de son trou, je m’efforçais de ne pas mettre un coup de reins pour m’enfoncer en elle. Et pourtant toutes les conditions étaient réunies pour.
Je n’ai jamais été autant excité. La chatte de ma fille ouverte juste sous mes yeux me rendait fou. Elle se frottait le bouton avec le frein de ma queue, je n’en pouvais plus. Je voyais le bout de ma queue mouillé par le jus de ma fille :
— Ma chérie, si tu savais comme c’est bon ce que tu me fais
— Je sais, papa, j’en profite aussi. Mmmmm
— Je vais pas tenir beaucoup plus longtemps, tu sais
— Alors lâche-toi si tu en as envie. Détends-toi et laisse-toi aller. Je vais tout faire pour t’aider
Elle colla mon gland juste sous son clitoris, et commença à exercer des vas et viens avec sa main le long de ma tige, de plus en plus vite et en serrant sa main de plus en plus fort.
— T’inquiète pas papa, tu peux tout vider sur moi
— Oh, Emma !!!
Ses paroles, une nouvelle fois, me firent basculer. J’éjaculais de toutes mes forces sur le sexe de ma petite fille adorée. Je giclais sur son pubis une 1ere fois, puis les autres jets moins puissants se rependaient sur son clito pour dégouliner le long de ses lèvres. J’avais encore une fois l’impression de vider tout mon corps mais la quantité sortie était quand même moindre que la 1ere fois. J’ai tout de même bien arrosé son minou.
— Mmmm papa, bien visé cette fois-ci me dit-elle avec un sourire en coin
Je ne savais plus trop quoi penser. Emma tenait encore ma queue qui restait toujours bien rigide. Encore une nouvelle sensation pour moi.
— Ca va mieux papa ?
— Oui ma chérie, merci
— J’ai l’impression que tu n’es pas encore rassasié. Tu as encore une érection.
— Euh, je pense que ça va se tasser, non ?
— Ne prenons pas de risques, et puis moi… tu sais… j’ai pas vraiment terminé
— Mais… tu veux … tu veux jouir aussi ?
— Bah oui, tu me dois bien ça. Tu m’as demandé tout à l’heure comment me remercier, et ben c’est comme ça que je veux l’être
— …
— Allez approche-toi de moi
J’avançais une nouvelle fois mon bassin et Emma mit ma verge à l’entrée de son vagin.
Droit dans les yeux elle me fit :
— Vas-y en douceur s’il te plait, au début.
Emma s’offrait à moi, les jambes écartées, elle mettait son intimité à ma disposition. Totalement abandonnée à ses pulsions et ses envies, je culpabilisais de céder à cette tentation. Profiter du corps de ma fille, au plus profond d’elle-même, était un cap dans notre relation. La pénétration vaginale qui s’annonce mettra un terme à toute ambiguïté, la relation sexuelle incestueuse sera consentie et validée. Mon sperme était d’ailleurs toujours collé à son pubis, une partie restait sur ses lèvres et les faisait briller.
Je sentais mon gland appuyer sur sa vulve et je finis par mettre un léger coup de reins pour l’insérer dans l’antre chaud et humide de ma fille.
Elle était un peu serrée, je fis mine de me retirer pour ensuite appuyer un peu plus fort et rentrer mon sexe dans le sien, naturellement lubrifié.
Emma poussa un petit cri lorsque je commençais à m’introduire plus profondément. Qu’est-ce qu’on est bien à l’intérieur ! Ma verge est comprimée par le vagin d’Emma, j’ai l’impression de vivre une deuxième masturbation de suite, mais dans un univers encore plus accueillant que les mains de ma fille. J’effectue des allers-retours dans la chatte toute douce de ma fille, elle mouille juste ce qu’il faut. Les jambes écartées, elle est toute pour moi et j’en profite sans aucune gêne. Je vois mon sexe rentrer et sortir du sien, cela amplifie mon excitation.
Emma prend un certain plaisir à se faire pénétrer, je me rappelle que c’est pour elle que je me suis introduit alors je commence à accélérer mes mouvements afin qu’elle puisse profiter un maximum. Cela fait son effet
— Oh oui, papaa… Mmmm… oui, c’est trop bon… continue comme ça… haaaan, je vais jouir Papa, t’arrête pas.
Je ne voulais pas qu’elle jouisse si vite, alors je ralentis mon mouvement quelques secondes, et profitais du spectacle en faisant plus de mouvements amples. J’enfonçais ma queue de plus en plus profondément dans le sexe d’Emma qui criait quand je venais buter au fond de son vagin. Je mis ses jambes sur mes épaules afin de la pénétrer au maximum. J’accélérais mes mouvements, ma verge luisait de la mouille de ma fille, elle était vraiment dure, et je sentais Emma au bord de l’orgasme :
— Jouis ma fille, jouis. Papa est en toi.
— Haaaaaaaaann, haaan, haaaaaaan !
Je sentais son vagin se contracter autour de ma bite, quel orgasme venait d’avoir ma fille !!
Voir Emma dans cet état et le vivre en étant à l’intérieur d’elle, m’a donné envie de jouir une deuxième fois. Je fis quelques va et viens dans son trou pour pouvoir me finir totalement
— Oh ma chérie, je viens aussi, tu es tellement belle
— Oui Papa, lâche-toi. J’ai envie que tu fasses ça sur mon visage s’il te plait papa
— Mais… quoi ??
— J’ai envie de gouter ton jus, j’adore ça, vise bien ma bouche.
Je me retirais de son minou et m’approchais de son visage. Emma regardait ma queue avec insistance et entrouvrait la bouche. Je déversais ce qu’il me restait de semence dans la bouche de ma fille. Quelques gouttes tombaient sur ses lèvres, qu’elle ramassa d’un coup de langue pour ne rien laisser filer.
J’approchais ma queue du visage d’Emma, et la présenta devant sa bouche. Elle avançait légèrement sa tête pour sucer le reste de jus qui sortait de mon gland. Sentir ses lèvres entourer délicatement le bout de ma verge était une sensation magnifique. Après l’avoir bien essuyée, je m’écroulais à ses côtés, les bourses vidées, j’étais repu. J’observais ma fille, les yeux mi-clos, reprenant son souffle avec encore sur sa joue un peu de mon sperme qui avait échappé à sa bouche. Finalement nous avons continué notre petite sieste, mais avant de nous rendormir je ne pus m’empêcher de la remercier :
— Si tu savais ma chérie, comme je suis reconnaissant
— Ne t’en fais pas papa, comme tu vois, je trouve aussi de quoi m’amuser
— Mais dit-moi, quand j’ai … enfin, quand tu as…
— Quand quoi papa ? N’aie pas peur, après ce qu’on a fait, je crois que tu peux tout me dire
— Oui mais c’est compliqué quand même
— Papa, tu m’as littéralement fait l’amour, tu t’es introduit dans ma chatte et tu m’as joui dessus à plusieurs reprises. Je pense qu’on a brisé un certain tabou.
— Oui bon d’accord, ce que je voulais te demander en fait c’est : quand j’ai éjaculé dans ta bouche, tu as tout avalé après ?
— Rhooo papa, qu’est-ce que tu demandes à ta fille ?
— Mais … je…
— Mais non je te taquine, hihi. Oui papa, j’ai tout avalé, je t’avais dit que je voulais goûter ton jus, c’est pour ça que je t’ai fait viser ma bouche. Hier, tu en avais mis sur mon visage et j’en avais gouté un peu, là je voulais en avoir plus.
— Je ne savais pas que tu appréciais ça. Tant mieux alors.
— Oui j’adore et j’en reprendrais bien une prochaine fois. En attendant j’ai envie de dormir un peu
— Moi aussi, ma puce
Emma se mit sur le côté en position ftale. Automatiquement je me posais tout contre elle. Elle prit ma queue pour la placer dans la raie de ses fesses afin d’être dans une position confortable et me fit :
— Dors bien papa, tu sais que ta queue entre mes fesses…ça va me donner des idées pour plus tard.
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