Elle étala ensuite de la mousse sur toute la partie situé entre mon nombril et les dix bons premiers centimètres du haut de mes cuisses et rasa tous les poils qui s’y trouvait.
La démarcation entre la partie rasé et l’autre était franche et flagrante.
Ensuite elle me fit me retourner, écarter les fesses puis me demanda de me pencher en avant, chose que je fis.
Elle recommença la manuvre avec la mousse à raser et le rasoir sur le tour de mes fesses jusqu’à en être satisfaite.
Puis elle me demanda de continuer de prendre ma douche en rinçant bien les parties rasés.
Elle quitta la douche en me laissant seul, et je constata qu’elle n’y était pas aller de main morte avec mes poils.
En effet tout les poils situé entre mon nombril et vingt centimètre au dessus de mes genoux avait disparu.
Il n’y en avait plus un seul, même caché dans un petit recoin.
Ma peau était lisse et douce, sur mon sexe, sur mon cul, sur mon bas-ventre et sur le haut de mes cuisses.
Lorsque je sortis de la douche, je me sécha et me regardais dans la glace. Cela faisait vraiment bizarre a voir.
Catherine revins dans la salle de bain et me déposa un crème sur le lavabo.
-"Passe toi de cette crème sur les parties que je t’ai rasé, ça évitera que ça te gratte." me dit elle avant de repartir en fermant la porte.
Je fis ce qu’elle me dit et m’étala cette crème en grande dose pour éviter tout risque de démangeaison puis j’enfilais un peignoir et me dirigea vers la cuisine.
Catherine m’y attendais un verre de jus d’orange en main.
Je remarqua un sac de voyage à ses pieds mais celui-ci semblait plutôt vide.
Elle me tendit un verre de jus d’orange et alors que je le buvais elle me dit:
-"Tu m’as fait plaisir, ce soir, et j’ai envie de te faire plaisir à mon tour, mais je travaille tôt demain et je pense qu’il va falloir que j’y aille."
-"Nooon," lui dis je, " reste encore avec moi, et puis après toute l’excitation que tu m’a procuré ce soir, tu ne peux pas me laisser dans cet état là?!!"
Elle me regarda et me sourit. Elle semblait réfléchir.
-’’ Bon je veux bien rester un peu plus tard pour te faire plaisir mais à deux conditions".
-"Accordé!" lui dis-je sans réfléchir.
Elle sourit.
-"Attends, je ne te les ai pas annoncés! Tout d’abord, ça sera à ma façon et avec mes règles. Et ensuite puisque je reste pour toi, on va dire que tu me devras un gage."
-"D’accord,pas de souci, mais ne me laisse pas comme ça ce soir!".
Elle me prit par la main et m’amena dans ma chambre.
-"Allonge toi" me dit elle.
Elle se mit a fouiller dans mes affaires pendant que j’enlevais mon peignoir et elle revins rapidement avec deux cravates.
Elle m’attacha chacun de mes poignets aux montants de mon lit de façon à ce que j’ai les bras bien écartés.
-"La règle d’aujourd’hui est : tu ne dois pas me toucher." m’annonça t’ elle .
Mon érection commençait à revenir.
-"Je reviens tout de suite me dit elle en quittant la chambre.
Quelques minutes plus tard, elle revins avec la tenue qu’elle m’avait laissé à l’hôtel hier.
La voir dans cette tenue ne rendait évidemment pas le même résultat que sur moi.
Elle était beaucoup plus sexy. Son jean lui moulait le cul à la ^perfection et sa chemise mettait bien en valeur ses seins.
J’eus soudain peur qu’elle se soit rhabillée pour rentrer chez elle en me laissant attaché toute la nuit voir plus.
Mais non.
Elle mit un peu de musique de la radio puis commença à se déhancher sous mes yeux.
Voir son petit cul se tortiller devant moi, de droite à gauche me fit bander très rapidement.
Elle se rapprocha du lit en continuant ses mouvements qui se faisait de plus en plus sexy.
Elle déboutonna les boutons de son chemisier en commençant par ceux du bas.
Elle fit exprès de laisser fermé un bouton au niveau de ses seins pour ne pas tout dévoiler d’un coup.
Je pouvais apercevoir son nombril et son bas-ventre mais rien de sa jolie poitrine encore.
Elle se rapprocha encore et était désormais au bord du lit.
Je tira sur mes liens mais ceux-ci tinrent le coup.
Elle savait faire les nuds malheureusement pour moi.
Catherine se retourna et me fit profiter du déhanché de son fessier puis me fit de nouveau face.
Elle posa ses mains sur son jean et dégrafa les boutons de ce dernier.
Je nota qu’elle avait mis un string.
Elle poussa sur les rebords de son pantalon et celui-ci tomba au sol.
Elle passa sur le devant dut lit et me tourna le dos puis elle se pencha complètement en avant.
J’avais une vue superbe sur son cul.
Ma queue était rouge vifs, jamais je n’avais été tant excité.
Lorsqu’elle se redressa, elle écarta les bras en ouvrant sa chemise en grand.
Elle avait défait le dernier bouton pendant que j’avais l’attention porté sur ses fesses.
Elle referma ses bras et se retourna pour me faire face. Elle fit glisser sa chemise pour me faire découvrir ses épaules tout en continuant de cacher ses seins.
Elle monta sur le lit et m’enjamba pour se retrouver au dessus de mon ventre.
Une jambe de chaque coté de mon torse.
Elle s’amusait à se tortiller en montant et descendant au dessus de mon torse afin de me montrer qu’elle était très proche de moi et pourtant inaccessible.
Cette situation me rendait fou.
Je commençais à remonter mon pied le long de ses cuisses mais lorsqu’elle sentit ma jambe, elle la repoussa.
-"Tut tut, reste sage" me préviens t’ elle.
Mais je ne pouvais pas rester sans rien faire et mon pied remonta de lui même.
Lorsqu’elle s’en aperçu, elle s’arrêta immédiatement de danser.
Elle descendit du lit et referma le bouton de sa chemise qui permettait de cacher ses seins.
-"Que fais-tu?" lui demandais-je déçu et inquiet de la voir s’arrêter.
-"Tu es une vilaine fille, va falloir que je corrige ça!".
Elle retourna dans mes affaires et revins avec deux autres cravates.
Je compris tout de suite ce qu’elle allait me faire.
Je resta calme et docile pendant qu’elle m’attachait les pieds au bord du lit, bien à l’opposé l’un de l’autre.
Cela me tirait un peu d’avoir les jambes tant écartés car je n’avais pas l’habitude de ce traitement mais je ne laissa rien paraître.
Une fois mes jambes attachés, elle se mit à quatre pattes entre mes jambes et commença à remonter, tête contre ma peau.
Elle embrassait mes jambes l’une après l’autre en les caressant simultanément.
D’abord le dessus de mon pied gauche, puis l’intérieur de mon pied droit, ma cheville droite, puis mon tibia gauche.
Ensuite mon genou droit puis ma cuisse gauche, et l’intérieur de ma cuisse droite…
Lorsqu’elle arriva à hauteur de mon bassin elle releva la tête et me fixa droit dans les yeux.
Elle passa son visage au dessus de mon sexe tendu comme jamais.
Tout en continuant de me regarder dans les yeux, elle sortit sa langue et me lécha le bout de mon sexe.
J’eus un frisson.
Elle me sourit et me lécha ma verge dans le sens vertical.
Du haut jusqu’en bas, puis elle remonta.
Elle rapprochait en même temps ses jambes et son corps de mon sexe tout en gardant sa tête juste au dessus.
Elle avait la position d’un chat qui guette sa proie.
Sa langue refit le même trajet deux autres fois.
Elle déposa un baiser sur le bout de ma verge.
Puis un autre…
Et encore un autre….
Puis elle prit mon sexe en bouche d’abord lentement, très lentement.
Ensuite, elle le prit de plus en plus profondément dans sa bouche.
Bientôt, elle le prit complètement en bouche.
Mon rythme cardiaque saccélérait, ma chaleur corporelle augmentait, je perdais pied.
Elle accéléra sa fellation et j’entendis Catherine gémir.
Lorsque j’ouvris les yeux, je vis mon sexe apparaître et disparaître à plusieurs reprises dans la bouche de Catherine.
La main de Catherine, elle, s’activait sur sa chatte. Elle avait déjà trois doigts en elle.
Le tableau était magnifique à voir mais il prit fin.
Catherine releva la tête et repris sa remontée vers le haut de mon corps.
Elle m’embrassa le torse à de nombreux endroits et s’arrêta au seuil de ma bouche ne me laissant que quelques centimètres de ses lèvres.
Je m’inclinais intérieurement, elle contrôlait tout.
Elle resta ainsi pendant quelques secondes semblant scruter mes pensées.
Puis elle fit remonter ses jambes de chaque cotés de mes côtes.
Elle redressa son buste et défit le dernier boutons de sa chemise.
Les deux pans de cette dernières s’ouvrirent laissant à mes yeux une vue imprenable sur sa poitrine magnifique.
Elle saisit mon sexe d’une main et se caressa les seins de l’autre.
Elle me branla légèrement puis orienta mon sexe vers le sien.
D’un mouvement vertical de son bassin, elle vins s’empaler sur moi.
Elle commença ses va et viens tout en se caressant la poitrine.
Puis elle mis ses doigts dans ma bouche et je commença à les sucer.
-"T’aimes ça hein?" me dit elle " Ça sera ainsi, c’est moi qui décide maintenant."
Elle accéléra ses mouvements de bassin et enfonça ses doigts plus profondément dans ma bouche.
-"Hmmm, tu es ma petite suceuse hein? J’aime quant tu es si obéissante, si docile, ça m’excite!".
Ses paroles m’excitèrent également et je me mis à gémir aussi.
-"Bientôt je te ferais vivre des expériences que tu pensais irréalisables et tu aimera ça. Tu veux? Oui hein? Tu aimes déjà! Tu as déjà perdu le contrôle et tu aimes ça! Avoue le!".
Ses paroles résonnaient dans ma tête et mon désir augmentait au rythme de ses va et viens.
Elle lisait dans mes pensées.
Et elle avait raison.
J’aimais ma situation actuelle.
Attaché. A sa merci.
Je lui suçais les doigts avec plaisir parce qu’elle me l’imposait et je n’y voyais aucun inconvénient.
C’était juste jouissif.
Mon fantasme se réalisait.
Elle s’arrêta de bouger et retira ses doigts de ma bouche.
-"Dis le", me souffla t’ elle " dis le moi que tu aimes comment je te traite", Dis le moi".
-"Ou" lui avouais-je.
Elle repris ses va et viens lentement.
-"C’est ce que tu attendais de moi? Que je te traite ainsi?".
-"Oui" lui annonçais-je encore.
Je ne pouvais plus lui mentir.
Et je ne le voulait pas en cet instant.
Comme si j’avais répondu correctement à sa question, elle accéléra un peu plus l’allure.
-"Tu est à moi hein? Ma chérie?".
-"Oui".
-"Dis le moi".
-"Je suis à toi"
-"Dis le, que tu es ma chérie."
L’entendre me parler comme si j’étais une femme était une chose mais le dire moi même en était une autre.
Cela revenait à l’admettre.
Je sentais que si je lui disais ce qu’elle voulait entendre, quelque chose changerait.
Comme si nous étions sur le point de franchir un palier.
La question était: le voulais-je vraiment.?
-"Je suis ta chérie".
Ma réponse dû la satisfaire car elle augmenta grandement la vitesse.
Elle devait avoir envie de cette réponse.
-"Oui ma belle, tu es ma chérie. Tu es et sera ma lécheuse, ma petite suceuse hein?" continua t’ elle " dis le moi j’aime l’entendre".
C’était partit, je ne pouvais plus m’arrêter.
-"Oui je serais ta chérie, ta lécheuse personnelle, ta petite suceuse si tu veux".
Mes paroles semblaient l’amener au bord de l’extase.
-"Oooh oui je le veux, ma petite pute, je veux que tu soit à moi!"
La cadence devenait infernal, j’allais jouir d’un instant à l’autre et ça n’était pas ses paroles qui allaient me calmer.
Elle aussi devenait de plus en plus chaude, elle allait exploser..
-"Hmmm ma chérie, ouii je vais t’apprendre, hmmm je vais te prendre, tu seras à moi! A moi!!! Ouii hmmm c’est ça que tu attendais de moi hein?? Dis le !!! Dis le moi!!!! hmmmm".
-"Ouii, ouiii, je suis à toi, je ferais ce que tu veux hmmm, continue!! Apprends moi! Je veux être à toi! Encore!! J’aime ça!! Contrôle moi!!!".
Nous avons jouis ensemble dans un orgasmes synchronisé incroyable.
Je n’avais jamais autant pris mon pied qu’a ce moment.
Elle s’écroula sur moi, éreinté.
Lorsqu’elle eut reprit son souffle, elle défit mes liens et je mempressai de l’enlacer.
Nous sommes rester comme ça quelques minutes.
Puis elle releva la tête, me serra le menton d’une main et me dit:
-"T’es une sacré garce toi!, On va bien s’ amusé ensemble".
Je rigolais de sa réflexion qui nous promettait de bien belles soirées encore.
Puis nous nous sommes endormi ensemble dans les bras l’un de l’autre.