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Ma maman – Chapitre 3

Ma maman - Chapitre 3



De retour de vacances, j’ai repris le chemin du lycée et ma mère de son travail. Nous étions très heureux dans notre quotidien. J’étais toujours très serviable, nous partagions tous : les tâches ménagères, la préparation des repas, le ménage, la lessive, les sorties. Et bien sûr, plusieurs fois par semaine nous nous retrouvions nus dans le salon de l’appartement, dans notre position fétiche pour nous donner du plaisir.

Je trouvais maman de plus en plus coquine, entreprenante. Elle jouissait souvent bruyamment. Je pense même que nos voisins de palier l’ont entendue parfois.

Nous nous exprimions sans retenue durant nos séances de fellation et de cunnilingus. Je guidais maman pour avoir un maximum de plaisir et parallèlement, elle en faisait de même. Elle me demandait de lui aspirer ou mordillait son clito, de lui pincer les tétons… Souvent, elle avalait toute ma semence et me nettoyait le sexe avec soin. Moi, je buvais tout son jus.

Je pelotais tout son corps. J’adorais lui pétrir les fesses, lui empoigner les seins, lui aspirer les tétons, lui lécher les pieds, lui écarter ses fesses pour lui titiller l’anus avec mes doigts ou ma langue.

Ma mère est très réceptive et plus les semaines ont passé, moins elle a été coquine. Elle était devenue cochonne. Pour mon plus grand bonheur, son appétit sexuel était sans limites.

Lorsque Noël est arrivé, nous avons réveillonné en tête à tête en prétextant à la famille que Sabrina était de garde.

J’attendais avec impatience le moment où nous allions échanger nos cadeaux. Je lui avais réservé une petite surprise.

Lorsqu’elle a ouvert ses paquets, elle a découvert dans le premier une tenue ultra-sexy (tanga, jarretelles et porte-jarretelles, soutien-gorge, le tout en magnifique dentelle) et dans le second un jouet pour adulte (un gros sexe).

Merci beaucoup, mon chaton, les sous-vêtements sont magnifiques, je les adore. Quant au jouet, c’est gentil, mais je n’en ai pas besoin. Ton zizi peut me combler largement.

Après ces mots, maman s’est levée, elle a enlevé ses vêtements un à un avec plein de sensualité et d’érotisme. Un vrai strip-tease digne d’une professionnelle. Je bandais comme un taureau. Puis elle a enfilé les sous-vêtements. Elle s’est approchée de moi, m’a déshabillé, m’a fait allonger sur le dos, a écarté la ficelle de son string et m’a chevauché pour s’empaler sur mon sexe. Elle a balancé son bassin d’avant en arrière, délicatement, calmement.

Progressivement, ses mouvements ont été plus rapides, plus amples. Elle gémissait, elle râlait. Ses yeux étaient fermés. Sa respiration était rapide. Ses mouvements sont devenus désordonnés. Son corps a été parcouru de spasmes. Elle s’est mise à crier :

Ooohhh ouiiii Brieuc ! C’est bon ! Je jouiiiiis, je jouiiiis ! Je suis au paradis. J’aime ton zizi puissant dans mon sexe.

De mon côté, c’était l’ivresse, je laissais échapper des râles de plaisir. Je lui léchais les seins. Je lui empoignais les fesses, je lui griffais le dos, je lui écartais les fesses pour caresser son petit trou.

Et j’ai craché toute ma semence dans le sexe de mère.

Pour la première fois, je pénétrais maman.

C’était son cadeau, elle m’a annoncé qu’elle prenait la pilule afin que l’on puisse profiter sans contrainte et sans retenue. Elle m’a susurré à l’oreille :

Je t’appartiens, je veux satisfaire tous tes désirs, tous tes fantasmes.

Moi aussi maman, j’aime te faire l’amour, c’est le plus beau jour de ma vie.

Les mois ont passé. Rares ont été les jours où nous n’avons pas fait l’amour.

Parfois, nous avons eu des situations cocasses.

Je me souviens d’un week-end passé chez mes grands-parents (les parents de ma mère) où nous nous sommes retrouvés lors de notre dernière nuit en secret dans l’étable près de la maison. Ma mère est arrivée en petite nuisette. Je l’ai plaquée contre le mur pour la peloter. Je lui ai sucé les tétons qui sont devenus tout dur. Elle adore cela. Je l’ai fait se retourner et pencher en avant. J’ai remonté sa nuisette au-dessus de sa taille. J’avais une vue imprenable sur son cul que je vénérais. Comme souvent, je commençais par lui masser les fesses, les malaxer, les pétrir. Puis, je les écartais pour voir son anus et sa chatte qui dégoulinait. J’ai sorti mon sexe de mon pyjama et j’ai pris ma mère en levrette. Je l’ai pilonnée sans ménagement, sauvagement, brutalement. Ses fesses claquaient sur mon ventre. Elle criait de plaisir. Je pressais son anus avec un doigt pour l’assouplir.

Puis, tout en poursuivant mes va-et-vient rapides, j’ai introduit un doigt dans son petit trou qui s’est un peu dilaté. Je pouvais sentir mon sexe à travers la paroi qui séparait ses deux grottes du plaisir. Je faisais tourner mon doigt dans son cul. Ma mère se tordait, grognait et finit par crier :

Encooooore mon chaton ! Fais du bien à maman ! Ooohhh ouiiii ! Encoooore!

Je me suis retiré de ma mère. Je lui ai bien écarté ses deux fesses et je l’ai sodomisée pour la première fois. Rapidement, nous avons pris beaucoup de plaisir, ma mère a eu plusieurs orgasmes.

Nous avions des spectateurs : les vaches et le chien « Gaspar » de mes grands-parents. Plus ma mère jouissait et plus Gaspar jappait. Soudain, la cour s’est allumée, mon grand-père a gueulé :

Il y a quelqu’un ??? Il y a quelqu’un ???

Oui, oui papy. C’est moi Brieuc. J’ai entendu le chien aboyer et comme je ne dormais pas, je suis descendu jusqu’à l’étable.

Rien d’anormal ?

Non, ne t’inquiète pas, je calme Gaspar et je retourne dans mon lit.

Ça marche. Allez ! Bonne nuit. Ne tarde pas, vous avez la route demain. Même si tu ne conduis pas, tu dois rester éveillé pour tenir compagnie à ta mère.

T’inquiètes papy. Je m’occupe toujours bien de maman.

Ma mère était transparente :

T’imagines Brieuc, si ton grand-père nous avait surpris.

Oui maman. Mais regarde, cette situation ne m’a pas calmé.

Mais oui mon chéri, tu as encore le zizi, tout raide. Viens voir ta maman adorée. Je vais arranger ça.

Elle a posé ses deux genoux au sol et m’a prodigué une fellation de première classe. Gaspar nous a regardés tendrement en silence. J’ai éjaculé par saccade de grosses quantités de sperme dans la bouche de ma mère, elle a tout avalé avec avidité et gourmandise.

Et comme d’habitude pour finir, j’ai le droit à un sourire généreux et plein de tendresse dans son regard.

Aux vacances d’avril, nous avons décidé de retourner camper dans le sud Bretagne pour retrouver notre plage naturiste et profiter du soleil (eh oui ! ça arrive en Bretagne !!!).

Dès notre premier jour de vacances, nous sommes retournés sur notre plage. Nous avons posé nos serviettes au même endroit que la fois précédente.

On dit que le monde est petit. Cela s’est vérifié. L’homme qui, l’été dernier, avait bien maté les formes avantageuses de ma mère et qui devait connaître son anatomie par cur a été étendu sur sa serviette, tout près de nous. Et de nouveau, il louchait constamment sur ma mère qui cette fois-ci s’était rapidement débarrassée de ses vêtements.

Je le fis remarquer discrètement à maman :

Regarde maman, ton admirateur est de nouveau aux premières loges. Il n’arrête pas de te mater.

Oui, j’ai remarqué. Et après tout, ça ne me dérange pas. Je t’avoue que ça m’émoustille.

Oh maman …… petite coquine.

Tu es jaloux.

Non, pas plus que ça. Mais j’aimerais beaucoup qu’on s’amuse avec lui.

C’est-à-dire ???

Suis mes instructions et je t’assure qu’il va bander comme jamais.

Ça marche, je t’écoute.

Mets-toi sur le ventre, et demande-moi de t’appliquer de la crème solaire.

Ma mère s’exécuta. Et me demanda d’une voix suffisamment forte pour que notre auditeur nous entende :

Mon p’tit chaton, veux-tu me mettre de la crème solaire dans le dos.

Mais bien sûr, maman. Où l’as-tu rangée?

Dans le sac, sous le parasol.

OK c’est bon, je l’ai trouvée.

J’ai mis volontairement beaucoup de crème dans le dos de maman. Je l’ai étalée par des mouvements circulaires en parcourant l’ensemble de son dos. Je massais son dos doucement, j’effleurais régulièrement le haut de ses fesses, le flanc de ses seins. Maman frémissait sous mes papouilles. J’entrepris de lui passer de la crème sur ses jambes. Je partais du bas du mollet pour remonter jusqu’au haut des cuisses. Je lui ai demandé à voix basse :

Écarte légèrement les jambes pour qu’il constate que tu es déjà toute mouillée.

Notre curieux n’en perdait pas une miette. Il pouvait maintenant voir l’abricot de maman qui était tout luisant sous l’effet de mes cajoleries. Je continuais de faire glisser mes mains sur son dos, la commissure de ses fesses, entre ses cuisses dodues, aux abords de son sexe dont je pouvais percevoir la chaleur. Ma mère bougeait futilement son bassin, je sentais qu’elle était bien échauffée, aguicheuse.

Après avoir étalé la crème, je me suis replacé sur ma serviette et j’ai observé ma mère allumer notre voisin. Elle redoublait d’ingéniosité pour que le spectacle soit complet.

Elle écartait bien les jambes, elle les croisait décroisait, se tournait, se caressait pour se débarrasser du sable qui collait sur sa peau, ses seins, ses cuisses, et sur son sexe. Puis elle s’est mise à quatre pattes pour prendre une revue dans le sac. Elle a bien pris son temps. Elle exécutait des mouvements d’avant en arrière en feignant de chercher dans le sac. Enfin durant sa lecture, elle changeait constamment de position, les jambes, parfois, tellement écartées que cela était à la limite de l’indécence.

Lorsque la plage s’est vidée et que nous nous sommes retrouvés seuls avec notre nouvel ami, j’ai repris mes caresses et rapidement, j’ai demandé à maman de grimper sur moi pour que l’on puisse exécuter un 69 devant notre voyeur.

Notre exhibition a décuplé notre envie. Le voir debout à nos côtés se masturber frénétiquement nous a complètement transcendés. Ma mère m’a sucé avec avidité et vulgarité. Moi, je lui bouffais la chatte, lui tordais les seins, lui pinçais les tétons, lui claquais les fesses. Nous avons eu un orgasme tous les trois en même temps.

Il nous a quittés sans un mot et nous n’avons pas recroisé son chemin.

Après cette première exhibition, lors de nos sorties, ma mère était toujours vêtue d’une petite jupe légère et elle ne portait pas de culotte. Je pouvais lui caresser les fesses à l’insu des regards. Nous adorons nous retrouver dans des situations où l’on peut nous surprendre à tout moment. Au restaurant, nous nous retrouvions souvent aux toilettes. Maman me suçait et/ou je lui offrais une petite levrette rapide, mais puissante. Il est arrivé que des hommes ou des couples nous matent sur des parkings quand on faisait l’amour en voiture. L’effet était garanti. Maman et moi étions encore plus échauffés, bouillonnants, effervescents, emportés. Les orgasmes s’enchaînaient.

Aussi, une fois, nous nous sommes rendus dans un club échangiste. Nous n’avons pas aimé l’ambiance. On a donc quitté le lieu rapidement.

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