Les vibrations de la 2cv mastiquent le jouet intime que j’ai entre mes fesses. je commence à bander. Marie s’en aperçois, elle rie à gorge déployée.
— Tu es toujours aussi sensible?
— Non Maîtresse, c’est…. vous…
— Hummm, je vais bien m’amuser. Tu me plaît bien, toi et ta bite, ton petit trou et ta paire de couilles…. Oh que oui….
Elle roule en direction de sa villa. Villa sans aucun vis à vis, que des vignes et de la forêt de chênes liège.
Une fois arrivée, tu iras prendre une douche. Tu tessuieras comme il faut et tu m’attendras debout, face au miroir.
Après la douche et m’être essuyé, Je nattends pas longtemps, elle arrive derrière moi et me passe une huile à l’odeur indéfinissable, mais agréable. Elle insiste sous les aisselles, mes fesse, mon anus et mon sexe, qu’elle décalotte.
— Voilà, tu es prêt. Attend moi dos à la croix. Le temps de me préparer, j’arrive.
Une claque sur les fesses et je marche en direction du donjon. Les portes sont ouvertes. Je m’installe donc… Quand je la vois arriver, c’est comme dans un film, au ralenti. Elle est magnifique, mais ne porte pas de masque, mais un diadème rouge dans les cheveux.
— Bon, tout d’abord, il faut que je t’explique… Veux tu vraiment m’appartenir, m’être dévoué et m’obéir ?
— Oui, Maîtresse, je le veux….
Elle saisit un paddle mais recouvert de caoutchouc. Un premier coup sur les tétons, puis une avalanche de coups brutalement portés partout sur mon corps, tout mon corps, les fesses, les testicules, ma verge…
— J’attend des personnes cet après-midi, à partir de 16 heure. Quatre pour être exact. Je vais tinstaller confortablement pour que tu puisse utiliser ta bouche et ta langue en toute liberté. Bref, ils viennent ici pour se faire sucer. Tu as 1/2 heure par mec pour les faire dégorger et jouir en bouche. Un à un il passeront, puis s’en iront. Pas de main, juste la bouche et la langue. Bien compris?
— Oui, Maîtresse…
j’avais répondu oui, une envie de me sauver me passe par la tête, mais mon hésitation s’ajouté à mon excitation, l’envie de partir sestompe avec l’envie dobéir. Je lui appartient…. Je suis à elle, Maîtresse Marie…
Je suis installé assis sur une bâche en latex, le cul posé sur cette matière douce, les jambes tendu devant moi et tenues écartelées par une barre attachée aux bracelets de chevilles… On sonne, Maîtresse Marie part accueillir le premier de ses invités. Papotage que je n’arrive à distinguer,puis elle revient.
— Thomas, 17 ans, un petit jeune du village.
Sort, de la salle à manger, un jeune éphèbe. Les cheveux long et complètement nu… il se place entre mes jambes, son viét est de belle taille, se décalotte.
— Laisse toi faire Thomas. Il n’est pas expert. Il est en apprentissage…
Je regarde ce gland violacé, le prend doucement en bouche. Je joue avec son prépuce, me retire, son méat urinaire est trempé. je le bois avec un bruit de sucions. Je le regarde. Il ferme les yeux. Je descends en positionnant ma langue dessous. Je le pompe, de plus en plus vite. Ses mains son maintenant sur ma tête. Ses râles de plaisir mexcitent. Il me pousse la tête pour que je lui fasse une gorge profonde, mais je lui résiste. Je sent qu’il est sur le point de décharger sa semence. Je sent les accoues de plus en plus fort. Je le pompe. Maîtresse Marie s’est installée à côté de nous et lui tire sur les couilles au même que ma bouche.
-ha, ha, ha,ha, je viens, je jouis, oui, je viens.
Un long de sperme chaud viens me taper la glotte. J’ai envie de vomir. je me retire quand un second explose dans ma bouche, puis un troisième. c’est une succession de jets qui viennent me taper l’intérieur des joues, dessous ma langue. Puis se retirant :
— Avale salope, avale tout, bois moi….
Je tourne ma langue dans ma bouche grande ouverte. Son sperme tourne. j’avais vu cela avec des actrices dans des films. il se presse la verge au dessus de mon visage. Je ferme la bouche et déglutie tout. Mauvais goût, non, au contraire, plutôt plaisant. Je me dépêche à le finir, de sucer son gland qui me livre ses dernières gouttes de son nectar. Il fait demi tour, et s’en va, sans un mot. Je me délecte de ce nectar. J’aime !!!!
— Alors, on apprécie. il reste 1/4 heure avant la venue du suivant. tu aimes ?
— Oui, Maîtresse, oui….
— Autorisation de parler, alors cette première pipe, c’était la première ?
— Oui Maîtresse, et je me surprend à aimer cela, le gout, le jet puissant. Le fait qu’il ai joui de mes caresses m’excite…
— Bien, mon serviteur, bien….
On sonne, elle se lève et va accueillir son second visiteur. Re-papotage. Elle réapparaît et me dit :
— Francis, 65 ans, marié, c’est la première fois qu’il va se faire sucer par un homme. C’est aussi mon jardinier.
L’homme arrive, nue. bedonnant et grisonnant il me fourre son engin encore mou dans la bouche. Une odeur d’urine et de sueur me tire un haut-le-cur. Il me dégoutte. Son odeur me répugne… J’ai des spasmes de dégoût, mais continu à le pomper. Il bande mou, il pue, l’horreur… Il décharge sans râle, sans cri, une petite giclée ridicule et il me faut la caresse de Maîtresse Marie pour l’avaler.
— trop bon, il suce mieux que ma femme….
Je peux lire la déception dans le yeux de ma Maîtresse, qui le ramène à la porte manu-militari…. Elle revient,je la sent déçu, peinée.
— Et bien jespère que les deux autres seront plus performant…
