Je mappelle Melissa, j’ai 19 ans. Je suis actuellement étudiante en médecine à Paris.
Mon histoire débute quelque mois auparavant,, alors que je ne suis qu’encore en terminale. Depuis 8 ans, je partage tout avec Juliette, ma meilleure amie, de mes peines de cur à mes satisfactions en passant par mes problème et mes fantasmes. Souvent, nous nous retrouvions après les cours pour discuter (nous habitions tout près).
Cétait au début du printemps. Je sortait d’une relation amoureuse d’un an et demie durant laquelle javais connu ma première fois, une année auparavant avec un mec qui me draguait depuis deux ans, et à qui j’avais enfin dit oui. Nous avions fait l’amour après 6 mois de relations. J’avais rapidement pris mon pied, il faut dire que ses cunnilingus me faisaient jouir comme une folle. Mais depuis deux mois, nous nous étions séparés et il me manquait beaucoup. Juliette m’aidait à m’en sortir en me réconfortant, elle qui avait connue la même situation 6 mois auparavant. Je venait régulièrement chez elle après les cours et nous discutions beaucoup.
Un soir alors que nous parlions de tout et de rien, Juliette me sembla différente. Je ne lui avais pas consacré beaucoup de temps ces derniers mois et je me rendit compte qu’une profonde maturité se dégageait dans son attitude. Elle était rayonnante. Alors que j’était célibataire je me suis posé la question l’espace d’un instant "Ras le bol des mecs, pourquoi ne suis-je pas attirée par les filles ?". Il est vrai qu’en sait instant j’avais envie dêtre une lesbienne, de ne plus être draguée incessamment par de gros lourds et de jouir de nouveau, chose qui ne métait pas arrivée depuis deux mois (je ne parvenait pas à l’orgasme en me touchant, faute d’excitation), dernière fois ou j’avais connu un rapport sexuel.
Cet pensée disparue presque aussi rapidement qu’elle était venue mais ne tarda pas à revenir plus tard, lorsque j’était seule dans mon lit. Je repensait à Juliette, je la voyait sur la plage l’été dernier, étendant son corps au soleil, faisant bronzer ses seins. Je ne lavais vue jusque là que comme une amie. Je me mit à mater ses photos sur les réseaux sociaux. Qu’elle était belle. Je continuait à la mater ainsi lorsque je remarquai que jétais en train de mouiller ma culotte. Lentement je posait mon ordi, et glissai la main sous mes sous vêtements. Je caressait ma toison pubienne puis descendit lentement vers on clitoris, tout dur d’excitation. Une main sur un sein, l’autre sur ma chatte, je commençais à me caresser. Au fur et à mesure que je me caressait, je dut d’abord retirer ma culotte, trempée. Je retirait la main de mon sein et m’introduisit un doigt dans le vagin. J’avais désormais une main qui stimulait mon clitoris, l’autre ayant maintenant deux doigts pris dans ma chatte. Que ce fut bon. Une grosse flaque de mouille se dessinais sur mes draps lorsque je commençais à gémir. Etant plutôt clitoridienne, je me concentrait sur ce petit bouton tout dur, mon autre main passant de mon vagin à mes seins. Voilà bien longtemps que je n’avais pas connus d’excitation pareille. Mes gémissement s’intensifiaient lorsque j’imaginait Juliette nue et j’atteignit un orgasme que je n’avait plus connu depuis que mon copain m’avais quitté, à un point qu’il me fit hurler, cris que je dut étouffer pour ne pas être entendue par mes parents et ma petite sur.
Très satisfaite par cette masturbation, je me promit de recommencer.
Je m’endormit rapidement en me promettant de tout mettre en oeuvre pour procurer à Juliette, un plaisir semblable à celui que je venait de connaitre…
à suivre…
