Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe noir Histoires gays

Ma mere me fait réviser – Chapitre 1

Ma mere me fait réviser - Chapitre 1



Je m’appelle Francois. J’ai 21 ans, je suis a  la fac ou j’etudie la chimie et je vis toujours chez mes parents. L’histoire que je vais vous raconter a  present a ete ma premiere grande experience sexuelle. Pas grand seducteur, j’ai eu une copine pendant quelques mois, ce qui a ete une belle histoire, qui s’est arretee a  19 ans, et c’est tout. L’histoire qui suit s’est deroulee l’an dernier, a  peu pres a la meme date, en decembre.

La neige tombait ce vendredi-la , sur le chemin de la fac. J’aime regarder les empreintes de pas dans la neige, on peut y voir beaucoup de choses. Par exemple, la personne qui marche les pieds en canards, celle, tres sure d’elle, qui fait de grands pas et enfonce bien les talons, ou encore la nana qui a ose venir avec des talons aiguilles. Il faut etre malade !

La journee s’est passee sans histoire. Cours le matin assez soporifique, repas au Restaurant Universitaire (le "RU"), j’ai juste ete tres surpris de voir mon ex dans le hall de la fac en revenant pour le cours de l’apres-midi. Il arrive que l’on se croise dans la fac, elle a un an de moins que moi et etudie aussi la chimie, mais elle est d’habitude d’un style classique : jean, pull, baskets, queue de cheval… Ce jour-la , elle etait comme transfiguree. Elle portait une tenue a base de cuir bien noir, etait passee chez le coiffeur, avait aussi l’air de porter un soutien-gorge type push-up qui permettait a  sa poitrine de marquer une vallee de peau dans le col en V de son veston. Mais ce qui m’a le plus frappe, c’etait le fait qu’elle portait des chaussures a  talons aiguille. Je ne la savais pas capable d’un tel changement de genre.

J’ai chasse cette vision de ma tete, puis je suis retourne en cours pour de la chimie organique. Une matiere que je deteste et qui me le rend bien. Justement, pour le prouver, le prof a rendu les copies du dernier devoir. J’ai eu un petit 4/20. En gros, avec un tel coefficient, a deux semaines des examens, c’etait un peu le 21 decembre 2012 avec un an d’avance. Dans les autres matieres, je n’etait pas bon ni mauvais, j’etais juste moyen. J’arrive a passer de justesse la moyenne. Autant dire qu’il me fallait travailler dur pour passer les partiels. Je me sentais depite. A la fin du cours, je suis alle voir mon prof pour discuter de mon devoir. On a parle pendant un quart d’heure a vingt minutes.

En sortant de l’amphi, la fac etait deserte. Tout le monde etait parti profiter du week-end. Dehors, il faisait nuit noire et il neigeait beaucoup. On n’y voyais goutte dans cette tempete. J’ai ajuste mon echarpe, remonte la fermeture eclair de mon manteau et suis sorti. Je n’avais fait que quelques dizaines de metres quand j’ai apercu des empruntes de pas correspondant a des chaussures a talons aiguille. Elle n’etait que tres peu recouverte de neige, et avec la quantite de neige qui tombait, elle devait etre toute fraiche, pas plus d’une minute ou deux. La piste, accompagnee d’une autre constituae d’empreintes plus larges avec de gros crampons, s’ecartait du chemin, s’enfoncait dans la pelouse et faisait le tour du batiment. Pourquoi allait-elle la-bas ? Il n’y avait rien. Pas de parking, de chemin ni de raccourcis, rien qu’une incurvation du batiment. Pousse par la curiosite, j’ai jete un rapide coup d’oeil alentours – personne – et j’ai suivi les traces furtivement.

J’ai apercu des silhouettes dans l’ombre du batiment, a un endroit surplombe par le toit du batiment et donc avec moins de neige. Je me suis approche en me cachant derriere les buissons, jusqu’a pouvoir discerner les silhouettes. L’une d’elle etait un grand jeune homme qui ne me disais rien. Il me ressemblait un peu, mais avec 30kg en plus. L’autre personne, je l’ai reconnu a la voix, etait bien mon ex. Ils etaient colles l’un contre l’autre, leurs sacs poses plus loin contre le mur. Ils s’embrassaient langoureusement en se caressant le dos. Puis, les mains du mec sont progressivement passees sur les hanches de mon ex, sur son ventre, et on remonte jusque sur ces deux bosses rondes que je connaissais bien. Au bout d’un moment, sa main est descendue et est passee sous le pantalon en cuir de la fille. Elle a commence a se tremousser et a gemir. Je n’arrivait pas a croire que j’etais en train d’epier mon ex dans un moment intime, a quatre pattes dans la neige derriere un buisson.

J’avais froid, mais les deux amants avaient trouve un bon moyen de se rechauffer, puisque j’ai vu le mec deboutonner le pantalon de mon ex, le baisser jusqu’a mi-cuisse, glisser sa main sous sa culotte noire, pendant qu’elle-meme faisait la meme chose. Apres avoir masturbe un moment la bite a l’air de son copain, celui-ci a envoye la culotte de mon ex rejoindre son pantalon. J’arrivais a deviner qu’elle s’etait rasae le pubis depuis notre rupture un an plus tot. Le bassin totalement decouvert, elle a dit quelque chose a son copain, trop bas pour que je puisse comprendre. Puis elle s’est retournee, s’est penchee en avant, et le mec a place son penis entre les fesses de mon ex. Il a place ses mains sur les hanches de sa partenaire, et son penis a disparu. Ils sont restes quelques instants bassin contre bassin, puis le mec a commence quelques mouvements de va-et-vient. J’entendais mon ex gemir. Quand elle se redressait, son copain lui massait genereusement la poitrine. Puis, les gemissements de mon ex sont petit a petit devenus plus insistants, et son copain a pousse un grand rale. Il se sont immobilises, les bras du mec enserrant le bassin de la fille. J’ai su qu’il etait temps pour moi de deguerpir.

Sur le chemin du retour, ma tete etait remplie d’images. Je ne pouvais penser a autre chose qu’a ce que je venais de voir et l’attitude que j’avais ose avoir. J’etais terriblement excite. Du coup, je suis arrive a la maison beaucoup plus tard que d’habitude. Seule ma mere etait presente. C’est une femme d’une quarantaine d’annee passee, de taille moyenne, brune aux cheveux un peu boucles, et de corpulence legerement superieure a la mienne.

— Ou est papa ? ai-je demande.

— Il est parti pour le week-end pour ses affaires, a repondu ma mere. Il rentrera dimanche.

— Et Johanna, elle va venir ?

Johanna etait ma soeur. Elle a l’age de mon ex a une semaine pres.

— Elle va arriver le 23 pour une semaine. Moi, je ne bouge pas d’ici. Par contre, toi, tu rentres tard. Ou etais-tu ?

— A la fac. Je suis reste un peu apres le cours pour discuter avec mon prof, c’est tout.

Ma mere me regarda d’un oeil accusateur.

— Tu as eu une mauvaise note, c’est ca ?

— Quoi ? Non.

— Francoooiiis…

— Bon, OK, euh… J’ai eu 4 en chimie orga.

Je vous laisse imaginer la litanie qu’elle m’a sorti apres ca. Pas normal, deux semaines avant les partiels, notes tres justes, etc. Du coup, elle m’a obligee a aller reviser dans mon bureau en declarant qu’elle verifierait et que je ne mangerais pas si je n’avais pas revise. Elle venait aussi de rentrer du boulot, etait claquee, et n’avais pas envie de faire a manger tout de suite, donc j’ai du temps devant moi pour reviser avant le repas. J’ai mange un biscuit pour casser la faim et je suis parti dans ma chambre. J’ai allume l’ordi et j’ai charge le fichier du cours precedent de chimie orga. J’ai lu dix minutes, puis j’ai commence a avoir mal a la tete. Il faut dire que je sortais de cours, je n’avais pas fait de pause – je me comprends. Je me suis donc leve et place devant la fenetre pour regarder la neige tomber. J’ai alors repense a mon ex tout à l’heure et j’ai rapidement eu une erection. Je me revoyais accroupi dans la neige, derriere ce buisson. Je revoyais mon ex faire l’amour avec son nouveau copain, je revoyais ce mec jouir en elle.

J’etais tellement excite que j’ai decide d’aller sur Internet. Mon ordi fait face à la porte de ma chambre, j’ai donc laisse ouvert le PowerPoint de mon cours et j’ai commence a visiter des sites interdits aux enfants. les sites ajoutes a mes souvenirs de la sortie de la fac m’ont pousse a me masturber, doucement d’abord, puis en insistant. A ce moment-la , j’ai entendu la porte de ma chambre s’ouvrir. J’ai sorti la main de mon jean et j’ai affiche mon cours a l’ecran.

C’etait ma mere qui m’apportait mon linge propre.

— Alors, ca bosse dur ?

— Tu n’as pas idee, ai-je repondu.

J’esperais qu’elle ne comprendrais jamais le sous-entendu. Elle est repartie et j’ai tache de poursuivre la lecture de mon cours. Mais mon experience dans la neige me revenait a l’esprit. Alors, a peine cinq minutes passees, j’ai deboutonne mon jean, l’ai baisse, ainsi que mon slip, et je me suis masturbe, en faisant cette fois attention aux bruits de pas dans le couloir. Je me suis leve de ma chaise et me suis penche en avant en m’appuyant d’une main sur le bureau. Je m’imaginais a la place du mec de tout a l’heure, en train de baiser mon ex.

J’ai accelere un peu la cadence et j’ai ferme les yeux. C’etait si bon ! Malheureusement, un bruit horrible m’a ramene a la cruelle et horrifique realite. Un bruit bien pire qu’un claquement de porte ou qu’un bruit de pas dans le couloir. C’etait un bruit pas tres fort, mais dont la signification etait pesante :

— He-hem !

J’ai tourne la tete, et j’ai vu ma mere, dans l’embrasure de la porte, les bras croises.

— Je suis venue sans faire de bruit pour voir si tu travaillais. Je ne suis pas decue.

Elle ferma la porte et s’avanca vers le bureau, pour s’assoir sur le coin de mon lit. Pendant ce temps-la, je m’etais rhabille. Elle me dit :

— Ecoute, je sais bien que tu as eu une grosse journee, mais tu as mal travaille et tu as ramene une tres mauvaise note. Les partiels sont dans deux semaines, s’il y a un moment ou il faut travailler, c’est bien maintenant ! Et toi, au lieu de bosser, tu te masturbes.

J’ai voulu dire quelque chose, mais ma mere ne m’a pas laisse parler et a poursuivi :

— Je sais que tu te masturbais tout a l’heure. J’ai pu voir que tu etais sur un site… pas tres catholique. Je t’ai interrompue dans ta besogne, et maintenant tu continues. J’ai l’impression que tu ne rviseras pas tant que tu n’auras pas eu satisfaction. Je me trompe ?

— Euh… Ben…

— Si tu veux… (elle marqua une pause) Si tu veux, voila ce que je te propose. Je ’aide a te soulager, mais apres tu bosses serieusement. OK ?

Je n’en revenais pas. Ma propre mere me proposait de me masturber elle-meme ! Voyant que je ne disais rien, elle poursuivit :

— Qui ne dit rien consent.

Et elle se mit a genoux devant moi. Elle posa ses mains sur le haut de mes cuisses et les caressa. Petit a petit, ses mains descendaient sur l’interieur, en remontant inexorablement vers mon sexe. Puis elle degrafa mon jean et caressa la bosse de mon slip.

— C’est vrai que ca bosse dur…

— Ecoute maman, tu ne peux pas faire ca, ca me gene, vraiment…

— Ca te gene que je vois ton membre ? Tu sais, je l’ai deja vu.

— Il y a tres longtemps de ca, plusieurs annees. Et a l’epoque il avait pas la meme forme.

— Hum… Il y a deux mois, tu es rentre bourre d’une soiree avec tes amis, et tu es alle te coucher sans te deshabiller.

— Je ne m’en souviens pas…

— Vu l’etat dans lequel tu es rentre, ca ne m’etonne pas.

— Attend, dis-je. Attend, tu n’as quand meme pas…

— Tu n’allais pas dormir avec tes vetements qui puaient la cigarette ! Et tu n’etais pas en etat de te deshabiller toi-meme. Et dans le contexte, il est possible qu’en te deshabillant, ma main en ait devoile un peu plus qu’elle n’avait prevu au depart.

— Quoi ? Tu m’as vu nu ?

— Vu et…

— Non ! Tu ne m’as quand meme pas… touche ?!?

Pas de reponse.

— Plus que ca ?

Je ne savais plus que penser.

— Eh bien, disons que je me suis fait plaisir. Mais je tiens a me faire pardonner. Comme ca, avec mon aide pour tes revisions, je ferai d’une pierre deux coups.

Elle me demanda de m’allonger sur le lit. Une fois en place, elle enleva ses vetements pour rester en culotte et soutien-gorge. Elle vint se placer au-dessus de moi et s’assit sur mon bassin. Je sentais la bosse de mon sexe dur presser contre le tissu qui recouvrait ses levres intimes. Je me sentais tres mal à l’aise. Elle me dit :

— Pose tes mains contre mes seins.

Je ne savais pas que faire. J’ai esquisse un mouvement, puis me suis retenu. Finalement, j’ai pose mes mains sur ses seins et je n’ai plus bouge. Au bout d’un moment, elle a dit que j’etais ridicule, a pris mes mains dans les siennes, et m’a fait malaxer ses seins. Et contre toute attente, j’ai trouve ca agreable. "C’est ma mere", me disais-je, "je ne peux pas faire ca, c’est ma mere". Mais, la notion d’interdit peut-etre, ca m’excitait malgre moi.

J’ai fini par m’exciter tellement que je n’ai plus pense a qui j’avais affaire. J’ai descendu une bretelle de son soutien-gorge, puis l’autre. Elle a retire ses bras. Puis j’ai baisse le corps du soutien-gorge, et pour la premiere fois depuis ma plus tendre enfance, j’ai vu les seins de ma mere. Ils etaient la, juste devant moi. Pendant que je poursuivait mon malaxage sur la peau nue de sa poitrine, elle a commence a onduler le bassin. C’etait agreable. Ca me faisait l’effet d’une petite masturbation. Les mamelons de ses seins etaient devenus durs et pointaient vers moi. Je les ai caresses par de petits cercles, sans oublier de flatter l’areole juste autour. Puis j’ai approche ma tete, j’ai sorti ma langue et je l’ai juste deposee sur un mamelon. J’ai retire ma langue, mais comme ma mere avait pousse un petit gemissement, j’ai ose un petit lechage leger.

Ensuite, ma mere a recule au niveau de mes jambes et s’est penchee vers mon bassin. Elle a caresse la bosse de mon slip mais n’a pas tarde a le retirer.

je fais partie de ceux qui ont un long prepuce. Il depasse le gland d’un petit centimetre. De plus, je ne me decalotte jamais. Ca me fait mal a chaque fois et je ne trouve pas ca agreable. J’ai demander a ma mere d’arreter d’essayer de me decalotter, mais elle m’a repondu :

— Ce qu’il faut, c’est laisser le temps a la peau de s’habituer aux contraintes.

Elle avait un tout petit peu abaisse la peau du prepuce sur le gland.

— Le danger, c’est de forcer. Ca fait des micro-fissures dans la peau, qui perd de son elasticite en cicatrisant. Et apres, tu as un phimosis. C’est pour ca aussi qu’il ne fait jamais decalotter un enfant de force. Mais la, aujourd’hui, tout va bien aller.

Elle prit beaucoup de temps mais parvint a me decalotter entierement. Mon gland, comme libere du prepuce, gonfla un peu plus. Plus rien ne le retenais. Je ne pensais pas qu’il pouvait etre aussi gros. Seulement, ca me faisait un peu mal.

— Pense a autre chose, me dit-elle.

Puis elle s’approcha de moi a quatre pattes et deposa un baiser sur mes levres. Ce baiser etait si delicieux que je n’ai pu m’empecher de le lui rendre. On a donc commence a s’embrasser avec beaucoup de tendresse, d’amour et de passion. Ce simple baiser etait terriblement erotique. J’ai embrasse ma mere sur la levre superieure, puis la levre inferieure. J’ai embrasse ses deux levres en meme temps. Pendant ce temps, j’ai recommence a caresser ses seins. Le haut du thorax, la naissance de ses seins, ses mamelons durcis. Je soupesais ses seins, puis je les ramenait contre son corps en pressant tres legerement, et je recommencais. Puis dans l’autre sens. Puis ma main droite est descendue sur son ventre.

A ce moment, ma mere s’est retiree et s’est allongee sur le dos. J’ai profite de ce changement de position pour retirer les vetements qui me restaient. J’etais totalement nu a cote de ma mere. Je me suis allonge juste contre elle, et j’ai pose ma main su sa cuisse. Puis l’autre. Je montais et descendais le long de la jambe, plus le temps passait et plus je caressais l’interieur des cuisses. Au debut je n’allais pas tres loin, mais au fur et a mesure de mes caresses, je remontais vers son entre-jambe. Pour exciter ma mere un peu plus, a chaque fois que j’etais trop pres de son intimite, je repartais. Je m’approchais, repartais, et la fois d’apres je remontais plus loin. Puis je suis remonte sur ses seins en passant par le cote de ses fesses. J’ai commence par faire des cercles sur sa poitrine, un sein apres l’autre, puis j’ai alterne en faisant des 8. Je montais jusqu’au cou, puis je descendais tout droit, en passant entre ses seins et en effleurant leur naissance, je caressais le ventre et je me dirigeais encore plus bas… et je remontais. J’ai fait ca plusieurs fois, puis j’ai delaisse ses seins un moment pour me concentrer sur son bassin. Je voyageais entre son bas-ventre et le haut de ses cuisses. Je dessinais des triangles, sans jamais aller plus loin que la zone interdite.

Quand j’ai estime avoir assez joue, je suis descendu sur la culotte. J’ai caresse le pubis, tout en continuant mes jeux a cote, puis j’ai glisse un doigt sous la culotte et l’ai ecartee de son corps quelques secondes avant de la remettre en place. J’ai ensuite baisse sa culotte pour faire apparaitre ses parties intimes, avant de la remettre. Apres ca, j’ai passe ma main sur ses levres au travers du tissu, puis j’ai fini par franchement glisser ma main sous la culotte. Ma mere poussa un gros soupir et repris quelques gemissements. J’ai fait glisser mes doigts le long de ses grandes levres, puis je suis entre un peu, et j’ai cherche a tatons son clitoris. Ma mere commencait a se tremousser sous mon contact. J’ai ensuite glisse un doigt dans son vagin, en allant tout doucement. Une fois entre, je suis reste un peu sans bouger, puis j’ai fait quelques va-et-vient. J’ai mis deux doigts et j’ai continue. J’ai alterne penetration tactile avec masturbation clitoridienne. Pendant ce temps, j’avais pris en bouche le sein de ma mere. Je l’embrassais de partout, je donnais des coups de langue sur son areole. Puis j’ai pris le mamelon dans ma bouche et j’ai suce doucement, comme un bebe qui tete. Ma mere a alors gemis de plus belle. J’ai aspire puis bloque ma respiration pour bloquer le mamelon, et j’ai un peu souleve la tete pour emporter l’entierete du sein avec lui. J’ai continue comme ca, mais ma mere gigotait de plus en plus. Je me suis concentre sur son clitoris, en faisant des mouvements circulaires uniformes. J’ai tache de ne pas donner d’a-coups. J’ai augmente la vitesse progressivement. Ma mere bougeait les jambes dans tous les sens, tournait la tete a droite, a gauche. Elle gemissait de plus en plus fort. Soudain, dans un grand cri, elle s’est redressee, a crie un second coup et s’est laissee retomber, le souffle court.

Elle est restee sans bouger pendant une minute, puis m’a embrasse en me disant merci. Je me suis remis sur le dos, elle a pris mon penis en main et a commence a me masturber. Mon gland etait toujours douloureux. Je n’ai pas bouge, essayant de prendre du plaisir, mais j’ai fini par en faire part a ma mere qui a repondu :

— C’est vrai, je vois que tu as le gland un peu sec. Je vais voir si je peux arranger ca.

Elle a donc depose un petit peu de salive sur mon gland, l’a caresse du bout de la langue, et a finit par l’avaler completement. Je n’avais jamais eu de fellation, c’etait nouveau pour moi. Chaud et humide. Sa bouche, ses levres ne bougeaient pas, mais je sentais sa langue a l’oeuvre. Elle a ensuite commence ses va-et-vient en montant et descendant la tete. C’etait delicieux. Mais au bout d’un moment, mon gland ne supportait plus le contact de ma mere.

— Dans ce cas, dit-elle, il n’y a plus qu’une seule solution. Tu sais quelle est l’unique chose au monde qui soit capable de frotter le gland sans l’irriter ?

— Quoi donc ?

— Les parois du vagin.

Au moment meme ou elle prononcait ces derniers mots, elle s’etait placee au-dessus de mon sexe dresse, qu’elle tenait en main. Elle est descendu et mon gland est entre en contact avec ses petites levres. Elle a ajuste mon penis a l’entree de son vagin, et lentement, elle est descendue, descendue, et je voyais mon penis qui disparaissait, qui disparaissait…

Puis, elle ne put plus descendre. Elle etait arrivee au bout. Ses fesses reposaient contre mes cuisses et mes hanches. Mon penis avait penetre au plus profond du vagin de ma propre mere. Le vagin d’ou j’etais ne. Le vagin dans lequel mon pere un jour, 21 ans auparavant, avait lui-meme joui pour que je puisse en sortir. Les emotions que je ressentais etaient tres fortes.

J’ai attrape les fesses de ma mere et les ai caressees, malaxees, et gentiment griffees. Elle a dit qu’elle aimait ca, que ca lui donnait des frissons. Elle s’est penchee sur moi et m’a embrasse. Elle a passe sa langue le long de mes levres avant d’entrer dans ma bouche et de jouer avec ma langue et mes dents. Je lui rendit son baiser passionne. Quand elle quitta ma bouche, elle a commenca a monter et descendre le long de la hampe de mon sexe. Ca me faisait un bien fou ! Et mon gland s’etait tres bien accommode du vagin de ma mere.

Ma mere se retira et s’allongea sur le dos. Je me suis place entre ses cuisses largement ouvertes, j’ai amene mon penis contre le vagin maternel et je suis entre. J’ai commence mes va-et-vient directement, je commencais a bouillir. J’allais de plus en plus vite, j’etais essouffle et je sentais la chaleur me bruler le front.

— Maman, je vais bientot venir.

— C’est bien. Alors, ne t’arrete pas, continue !

— Tu veux que j’ejacule sur tes seins ou dans ta bouche ?

— Comme tu preferes. Sur mes seins, par exemple. Comme ca tu pourras m’etaler ton sperme sur la poitrine, comme tu t’en es si bien occupe tout à l’heure.

J’ai poursuivi mes coups. Je sentais mes bourses qui frappaient le perinee de ma mere. Je sentais la seve monter en moi. J’allais venir, j’allais jouir. Je voyais ma mere devant moi, nue, je voyais ses seins, j’entendais ses gemissements, et j’ai soudain eu un flash. J’ai pense a mon ex dans la neige. Et franchement, j’etais mieux a l’instant present que quand j’etais en couple avec elle. La position qu’elle a prise avec son copain dans la neige ne m’interessait plus, sauf si c’etait avec ma mere. En m’imaginant dans cette position avec ma mere, c’en etait trop.

J’ai esquisse un mouvement pour me retirer, mais ma mere a aussitot croise ses jambes derriere moi, de sorte que je ne pouvais plus sortir. J’essayais de me degager, mais impossible.

— Oui, dit-elle alors. Viens, viens en moi. Je veux ton sexe, je veux ton sperme, tout au fond de mon vagin. Deverse-toi en moi, mon fils ! Jouis en moi ! OUI !

Ces dernieres paroles m’ont acheve. J’ai senti que j’ejaculais. Au premier jet, j’ai compris qu’il etait trop tard, alors j’ai arrete de me debattre et je me suis vide au fond du vagin de ma mere, quelques jets puissants. Nous sommes restes dans cette position plusieurs minutes. Mon sexe n’a pas debande tellement j’avais ete excite par cette scene que je venais de vivre avec ma genitrice. Quand j’ai senti le plaisir remonter en moi, j’ai refait quelques va-et-vient plus lents, par pure gourmandise, avec delectation. Puis, comme il ne faut pas abuser des bonnes choses, je me suis retire, et ma mere a suce ce qu’il me restait de sperme sur le sexe.

Elle m’a dit que je pouvais me reposer ce soir, que je reviserais demain. Puis nous nous sommes nettoyes vite fait sous la douche, ensemble, et nous nous sommes rhabilles. Ma mere est allee preparer le repas et nous avons poursuivi la soiree de la maniere la plus banale possible. Ce soir-la, je me suis couche tot. Le lendemain, j’ai passe toute la matinee a reviser tres dur, comme je l’avais promis a ma mere, et une bonne partie de l’apres-midi.

J’ai arrete mes revisions quand ma mere, pour me feliciter d’avoir autant travaille, est venue dans ma chambre pour me proposer de reviser, sans avoir besoin d’aucun livre, la reproduction des mammiferes.

Ma mere est depuis devenue mon amante, et regulierement, des que mon pere était en deplacement, nous en profitions pour faire l’amour. L’histoire aurait pu s’arreter la, mais ma soeur Johanna est venue pour Noel. J’ai toujours pense qu’elle resterait ma soeur quoi qu’il arrive, et je ne l’avais jamais vue autrement. Sauf que le destin s’en est mele…

Je vous le raconterai dans les moindres details.

Bientot…

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire