Histoires de sexe français Histoires de sexe hétéro Histoires de tromper

ma mère , 25 ans d'amour – Chapitre 8

ma mère , 25 ans d'amour - Chapitre 8



Depuis son désir de maternité frustré , la semaine qui suivait la fin de ses règles , ma mère avait un comportement amoureux plus fort lorsque nous faisions l’amour . Cela dura jusqu’à sa ménopause , un peu après ses 48 ans .

L’hypothèse émise par sa gynécologue était que sa grossesse non désirée et son avortement avaient créé chez elle une sorte de blocage qui venait de disparaître avec moi . Son désir de maternité remontait à la surface chaque mois pendant sa période ovulatoire .

Il a fallu qu’elle soit une femme pour pouvoir être ma mère , mais c’était ma mère que j’aimais et je faisais l’amour à ma mère .

J’étais son amant , son compagnon , mais c’était à son fils qu’elle écartait ses cuisses , c’est la semence de son fils qu’elle récoltait , c’était un enfant de son fils qu’elle aurai voulu.

Dans ces moments là ma mère était encore plus " chaude " et disponible . Une femelle en chaleur cherchant l’accouplement pour la fécondation et la reproduction .

Pendant cette période , sa poitrine déjà très ferme , l’était encore plus . Les globes de ses seins plus durs , et les bouts encore plus sensibles . Je caressais son corps , ou plutôt je l’effleurais du bout des doigts sur toute sa surface .

En lui tenant les poignets croisés au-dessus de sa tête d’une main , avec ma langue mouillée je lui excitais les tétons pendant qu’avec les doigts de mon autre main j’effleurais ses flans provoquant la chair de poule , je descendais sur ses hanches , je revenais sur son ventre qui se creusait sous mes attouchements faisant ressortir encore plus son mont de vénus et sa toison frisée .

Quand je voyais son pubis ainsi , je faisais des efforts pour ne pas l’enjamber et l’empaler . Je jouais des doigts dans sa toison , descendais entre ses cuisses qui s’ouvraient sur mon passage et remontais vers sa fente lentement . J’exacerbais ses sens en frôlant les bords de sa vulve ouverte , les contractions de sa grotte rejetaient de sa mouille épaisse et gluante . Quand je touchais son petit bouton rose , cela l’électrisait . Sa respiration devenait profonde, son bassin se soulevait , son ventre réclamait l’accouplement . Quand elle n’en pouvait plus , dans un gémissement elle me disait :

"je t’en prie chéri prends moi , viens dans mon ventre "

Je me calais entre ses cuisses , je ne la prenais pas , je l’empalais .

Depuis nos premiers rapports je ressentais le besoin de me soulager au fond de son ventre pour lui faire sentir mes coulées de sperme contre son utérus .

Nos orgasmes étaient fulgurants , en quelques va et vient c’était spasmes , frémissement et explosion pour chacun .

Un jour son plaisir a été si fort qu’elle a failli me désarçonner , m’a lacéré le dos et mordu l’épaule . Il n’y a qu’en refaisant surface qu’elle a vu que je saignais .

Amoureuse , elle l’a toujours été , de façon sans doute plus forte dans ces moments là . Pour la rassurer sur mes sentiments envers elle , lors d’une étreinte très forte , après son plaisir et avant le mien , j’arrivais à me retenir un peu , je lui ai dit de me regarder dans les yeux et déclaré que si jour il devait y avoir un accident avec une de mes graines , ce serai dans son ventre que l’accident aurai lieu et pas ailleurs , et tout en la regardant je me suis vidé les bourses .

Vers la fin 1989 , je me suis rendu compte que ma mère s’était épanouie amoureusement , sentimentalement , et très libérée sexuellement . Elle se rattrapait de 20 ans sans réel plaisir . Le sexe était devenu pour nous indispensable à l’expression de nos sentiments . Je dirai même qu’entre ma mère et moi le sexe était une activité régulière et nécessaire à l’équilibre de notre couple , comme d’autres pouvaient faire du jogging ou du vélo .

Elle a quand même reconnu que le fait de ne pas avoir d’enfant était un mal pour un bien ; car nous n’aurions pas pu nous consacrer autant l’un à l’autre et avoir autant de moments intimes .

Ma mère s’est vite affranchie du carcan des interdits ou des choses que la morale réprouve afin de provoquer mon désir pour mieux satisfaire ses envies de sexe .

Pour l’été 1990 ma mère s’était achetée , outre un nouveau bikini qui ne cachait pas grand chose , quelques petites robes en coton plus faites pour la plage après la bronzette que pour sortir . Les robes lui arrivaient à mi cuisses , une jaune , une rouge et une blanche . Toutes lui allaient super bien sans la mouler de façon indécente , et mettaient ses formes en valeur . La rouge me plaisait particulièrement , arrivant à mi cuisses , décolleté en V , boutonnée sur tout le devant , le dernier bouton juste au niveau de son minou . Dans cette robe elle était tout simplement bandante , et elle le savait .

Elle rentrait du travail un peu après 17 heures et moi après 18 heures . Je sonnais à la porte toujours d’une façon particulière afin qu’elle sache que c’était moi .

Elle m’ouvrit la porte en restant derrière , la referma . j’en était bouche bée . Devant moi elle portait sa mini robe rouge , sans rien dessous , les 2 premiers boutons défaits , la robe s’ouvrait sur deux superbes seins , sous le tissus les tétons pointaient , en levant ses bras autour de cou , un bref instant entre les 2 pans de sa robe j’ai aperçu le triangle sombre de sa toison . En moins de temps qu’il m’a fallu pour décrire la scène j’étais en érection . Ses bras autour de mon cou , de mon bras gauche je l’ai prise par la taille , de ma main droite j’ai déboutonné sa robe jusqu’à ce que mes doigts prennent contact avec ses seins , ses hanches , son ventre et sa toison . Dans la paume de ma main , son pubis venait à ma rencontre .

Je l’emmenais à reculons vers le canapé tout en déboutonnant mon jean et baissant mon slip quand à moitié allongée les cuisses déjà largement écartées elle me murmura à l’oreille sur un ton faussement réprobateur pour m’exciter encore plus :

"Chéri pas maintenant s’il te plait , il faut que je prépare le repas "

La regardant dans les yeux , à genoux entre ses cuisses que je n’ai pas eu à forcer pour qu’elles s’écartent encore plus , mon sexe glissé dans son sillon , mon gland s’est décalotté en plongeant dans sa grotte . Son ventre allait et venait à ma rencontre . Planté en elle jusqu’à la garde je ne bougeais pas , les yeux dans les yeux en continuant à onduler du bassin elle me dit doucement :

"Mon chéri je suis à toi , je t’aime , donnes moi encore ta semence "

Impossible de tenir , ses cuisses écartées au maximum, calée sur ses talons , son ventre soulevé à ma rencontre , je n’ai rien pu faire , le visage dans son cou , un bras passé sous ses reins je la serrai contre moi , et en quelques secondes j’ai déchargé toute la semence que mes testicules avaient mis en une vingtaine d’heures pour se remplir .

L’excitation avait dû décupler la force de mes giclées , elle devait les sentir , ses yeux et sa bouche se sont ouverts plusieurs fois de suite , sans transition elle a joui , me serrant contre elle en m’embrassant , le ventre agité des spasmes du plaisir de sentir ma semence s’étaler en elle .

Elle avait prémédité son coup , voulant me retirer , elle m’en empêcha ; plongeant sa main sous les coussins elle avait saisi un tampon périodique et son applicateur ; dès mon retrait elle plongea le dit tampon dans sa grotte pour garder ma sève plu longtemps , me dit elle .

Un long câlin face à face s’en est suivi accompagné de caresses et de mots d’amour .

On peut dire de façon un peu cru qu’en 1 an à peine ma mère était devenue une sacrée baiseuse , ne reculant devant rien pour assouvir ses envies ; et il n’était pas question que je la freine .

Ne vivant pas que d’amour et d’eau fraîche , debout elle a boutonné sa robe partiellement , sans remettre de culotte , et nous sommes allés dans la cuisine pour le repas du soir qu’elle avait bien entendu préparé.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire