Mon objectif était maintenant clair. Il fallait maintenir maman dans la course. Jallais matteler à lui faire comprendre quil était dans notre intérêt de poursuivre cette aventure. Jallais évidemment faire limpasse sur les propositions de Michel sur mon compte au casino et plutôt jouer la misère à ma mère.
Après avoir parlé à ma mère, cette dernière, au final, était daccord pour continuer un peu. Cétait un début
Quelques jours après, Michel ma téléphoné, affolé. Il ma dit que Julio était comme fou. Michel avait proposé un scénario qui ne lui convenait pas du tout, quil trouvait trop soft. Michel lui a dit quil fallait y aller crescendo, doucement, mais Julio nétait pas du tout daccord. Michel a été obligé de donner le numéro de téléphone de ma mère. Michel a ajouté de faire attention car Julio était un psychopathe. Jai tout de suite dit ça à ma mère qui semblait effrayée.
« Quallons nous faire mon chéri ?
« Je ne sais pas maman, pour linstant il ne ta pas contactée, sil te contacte, on verra bien ce quil veut »
Quelques heures après, alors que nous étions dans le salon, le téléphone portable de maman sonna. Numéro privé. Ma mère me regarda, fébrile, je lui dis de répondre.
Elle décrocha tout en branchant le haut-parleur.
« Monique, cest Julio, écoute moi sale pute, je vais venir demain chez toi quand ton mari sera parti. Je men fous si ton rejeton est là, dailleurs ça va mexciter quil regarde. Tu te mettras juste en porte-jaretelles, en string et des belles chaussures à talons. Laisse tomber la robe ou la jupe. Juste en porte-jaretelles. Tu mas compris ? »
Comme ma mère ne répondait pas, figée, Julio reprit : « Tas compris sale pute !!!! Sinon je vais rendre une petite visite à ton mari.»
Ma mère a sursauté : « Oui monsieur »
« Très bien, à demain alors !! »
Julio avait lair davoir complètement focalisé sur ma mère. On sest regardé. Ma mère ma dit :
« On na pas le choix mon chéri, tu te rends compte sil en parle à ton père ? »
« Oui je sais maman ».
Le lendemain, toujours le même rituel, après que mon père fut parti, on prit le petit déjeuner avec maman. Ensuite elle partit dans la salle de bains. Elle ne semblait pas terrorisée.
Environ trois quarts dheure après, jai entendu le bruit des talons à létage et ma mère descendre lescalier. Wouah Elle était effectivement juste en porte-jarretelles noir, des bas noirs et des escarpins noirs, avec les seins à lair. Jusquà ce que cette histoire commence, je navais jamais considéré les seins de ma mère comme ça. Mais il fallait bien admettre que ces trucs énormes excitaient tous les hommes. En plus, bien quétant lourds, ils ne tombaient pas trop.
Elle est venue sassoir à côté de moi sur le canapé, en attendant larrivée de Julio qui ne se fit pas attendre longtemps. A 10 h 30, on sonna à la porte. Ma mère se leva et alla ouvrir. Je regardais ses fesses et ses jambes galbées de jolis bas.
Juste après avoir ouvert la porte, Julio est entré, comme un fou, il a pris directement ma mère par le cou et la tout de suite mise à genoux. La porte était encore ouverte. Pendant quil maintenait la tête de ma mère dune main, il dégrafait son pantalon et sortit sa queue quil mit violemment dans la bouche de ma mère. Et là il commença à lui baiser la bouche dune force !!!! Il me regarda en même temps et me dit : « Regarde comment elle me suce ta mère, ah ah ah »
« Allez suce salope ». A un moment il sortit sa bite, se pencha un peu vers ma mère qui en profitait pour reprendre de lair. Et là il lui cracha au visage. Ma mère ne sy attendait pas, elle a eu un mouvement de recul avec un air de dégout. Julio se tourna vers moi, tout sourire.
Il remit sa queue dans la bouche de Monique et continua ses va-et-vient violents.
Il sortit sa queue, pris ma mère par les cheveux et la fit se positionner à quatre pattes, toujours dans lentrée, face à moi qui me trouvais toujours sur le canapé.
Il lui donna plusieurs claques sur les fesses. Il était comme possédé, les yeux exorbités. Les fesses de ma mère rougissaient à vue dil. Elle criait à chaque claque qui devait quand même lui faire mal. Ensuite Julio sadressa à moi : « Regarde maintenant ce que je vais lui faire à ta pute de mère ! »
Il se mit à genoux derrière ma mère et commença à lui bouffer la chatte et le cul. Ma mère fermait les yeux, silencieuse. Julio se remit debout, cracha sur main et se lubrifia naturellement la bite. Il fléchit les jambes, et positionna sa queue devant lanus de Monique. Il la pénétra doucement, en me regardant.
« Putain quest ce quelle est serrée, elle ne doit pas souvent se faire enculer la bourgeoise.. »
Ma mère grimaçait un peu plus à chaque centimètre supplémentaire de queue quelle prenait dans son cul.
Il lui donnait maintenant de bons coups de butoir. Ma mère gueulait comme une folle. Javais peur que les voisins entendent. Julio continuait, y allait encore plus fort, comme si les cris de ma mère le motivaient encore plus. Il finit par sortir du cul de Monique et la reprit par les cheveux. Elle était toujours à genoux et lui était debout face à elle en train de sastiquer le manche devant le visage de ma mère.
« Ouvre la bouche espèce de chienne, sors ta langue !!! » Et Julio gueulait en lui balançant sa purée épaisse sur la langue, une partie était allée sécraser sur le front et la joue de maman.
Il semblait satisfait : « Ah quest ce que cétait bon Vas-y relève toi » Il prit en même temps les cheveux de ma mère pour la relever.
« Va te laver maintenant » Et il lui mit encore une grosse claque sur les fesses alors quelle repartait vers la salle de bains.
Julio vint sassoir à côté de moi après sêtre rhabillé.
« Ta mère, cest la femme qui mexcite le plus au monde. Non mais tu as vu ce cul, ses nibards ??
Je suis sûr que tu as envie de te la faire »
« Mais non pas du tout, cest ma mère tout de même »
Julio na pas répondu. Il sest contenté de rire.
« Bon allez il faut que jy aille. Tu diras au revoir à ta mère. Je la rappellerai, jai ses coordonnées maintenant. Allez salut ».
Ma mère revint dans le salon une demi-heure après en peignoir de bains et sassit à côté de moi.
« Je suis vraiment désolé maman de ce que Julio ta fait subir »
« Ne tinquiète pas mon chéri, jassume mes responsabilités de mère et dépouse ».
« Maman, je peux te poser une question très indiscrète ? »
« Avais tu pratiqué la sodomie avant aujourdhui ? »
Ma mère se mit tout de suite à pleurer.
« Non mon chéri, cétait la première fois de ma vie que je me faisais sodomiser ».
Je nen revenais pas, ma mère, à 54 ans, était encore vierge du cul. Et pour sa première fois, on ne pouvait pas dire que les conditions avaient été géniales.
« Mais ce nest pas ça qui me fait pleurer mon chéri. Ça me gène de te le dire, mais je pense que vu ce que lon vit depuis quelques semaines, je peux te lavouer quand même. En fait, le pire, cest que jai aimé ça. »
Alors là jétais sur le cul. Je nen revenais pas. Ma mère commençait à apprécier. En fait ça cétait bon pour mes affaires.