Suite et fin de mon histoire avec ma mère.
Elle allait retourner vivre avec mon père, maintenant qu’il était riche. C’était normal.
Mais elle m’avait promis que rien ne serait changé entre nous, que nous continuerions à nous voir, faire l’amour ensemble.
Lorsqu’elle me rappela, après plusieurs jours d’absence, sa voix me réchauffa le coeur.
— Mon chéri, tu veux venir manger à la maison ?
— Il y a papa ?
— Bien sûr. Mais j’ai envie de te voir.
En arrivant chez mes parents, la première chose que je remarquais était la belle Jaguar garée devant l’entrée. La nouvelle voiture de ma mère sans doute. Je rentrais dans la maison, toute décorée à neuf, avec des objets d’art sans doute hors de prix. Ma mère était assise dans le salon. Elle portait une robe magnifique, très courte, qui laissait apercevoir ses splendides cuisses. J’étais sûr qu’elle ne portait pas de culotte.
— Hé bien, maman, tout va bien pour toi, on dirait. Tu n’as pas perdu de temps pour commencer à dépenser le fric de papa…
— C’est vrai…Mais ne sois pas méchant avec moi, s’il te plaît. Depuis que ton père a gagné au loto, j’avoue que j’en profite bien. Mais je t’aime aussi tu sais. Passer ces jours avec toi a été une expérience superbe. Tu me manques !
Elle s’avança vers moi, se colla à moi.
— Viens, ton père est parti pour deux heures, on a tout le temps. J’ai envie de toi.
— Maman, c’est complètement amoral !
— Pourquoi ? Ton père ne me touche plus. Tu es un amant largement meilleur que lui.
L’argument était flatteur. La tentation immense. Je décidais alors de lui céder, une fois de plus. Maintenant qu’elle pouvait profiter de la nouvelle richesse de mon père, je n’avais plus de raison de douter de sa sincérité en ce qui concernait son attirance pour moi.
Nous sommes montés dans sa chambre. Là, elle s’est déshabillée et s’est allongée nue sur le lit. J’étais très impressionné : ma mère était magnifique. Ses seins majestueux, sa vulve extraordinaire. Dans quelques minutes je pénètrerai ce sexe avec un plaisir immense. Ma mère aussi semblait émue. C’était la première fois que j’allais la prendre dans le lit conjugal, le même dans lequel j’avais sans doute été conçu. Cette idée l’excitait beaucoup.
— Viens, prends moi sans attendre, mon chéri !
C’était un ordre auquel je me soumis volontiers. Je grimpais sur le lit, entre les jambes écartées de ma mère, et je rentrais ma queue dans la vulve offerte. Ma mère était déjà trempée et je glissais en elle avec une facilité déconcertante. La baiser ici, dans sa chambre m’excitait moi aussi spécialement. Je bandais comme un fou
Faire l’amour avec elle fut une fois de plus délicieux. J’allais et venais en elle avec un plaisir immense, et elle se laissait aller à jouir sans retenue.
Nous étions un peu limités par le temps, craignant que mon père ne revienne plus tôt que prévu. Mais cela nous laissa malgré tout la possibilité de nous régaler dans plusieurs positions aussi agréables les unes que les autres. Ma mère était d’une souplesse remarquable pour son age. Elle arrivait à faire le grand écart. Elle arrivait même à mettre les deux jambes derrière sa tête. Dans cette position, on ne voyait plus qu’une chose : son sexe cyclopéen. La baiser dans cette position était génial.
Après un moment d’incomparables plaisirs, me retenir fut cependant de plus en plus difficile.
— Vas y, mon chéri, jouis dans ta maman ! Je sais que tu aimes ça !
Son vagin était le plus délicieux que je connaisse et jouir à l’intérieur fut en effet le plaisir le plus suave qu’il m’ait été donné de ressentir….
Après l’amour nous sommes restés un moment enlacés, nus, l’un contre l’autre.
— J’aime trop faire l’amour avec toi, mon chéri. Tu reviendras souvent ?
Elle n’avait pas été une mère exemplaire, distante, peu affectueuse. Mais c’était une baiseuse extraordinaire.
— Promis, maman.
Je réalisais que j’étais pour elle aussi le meilleur amant possible : toujours présent et disponible, tout en étant insoupçonnable : comment mon père pourrait il se douter qu’en son absence c’est moi qui était dans son lit en train de baiser sa propre femme ? Etre l’amant de ma mère était une situation assez pratique. Nous pouvions ainsi avec elle nous isoler très facilement pour baiser sans retenue, en toute discrétion.
C’est ce qui se passa pendant des mois. Je passais de plus en plus de temps à la maison, ce qui étonna mon père. Mais il ne pouvait se douter de rien.
Parfois je restais même dormir. En pleine nuit, ma mère venait me rejoindre dans ma chambre d’enfant. Nous faisions alors l’amour à nouveau en silence, suavement, pendant que mon père, dans la chambre à côté, profondément endormi, ronflait.
Et puis cet été, ma mère me proposa de partir en vacances avec eux aux Seychelles, dans un hôtel de luxe. J’acceptais avec empressement. L’idée de partir en vacance avec mon père et ma mère/amante était quelque chose d’assez pervers qui me plaisait vraiment. J’aurais ainsi en permanence le cul de ma mère à portée de main.
Nous avons ainsi passé 15 jours de rêve sur ces iles paradisiaques. Là bas, ma mère et moi, nous nous sommes retrouvés souvent seuls. Il se trouve que c’était exactement la période de la coupe du monde de foot et malgré toute sa richesse mon père restait un amateur de foot invétéré. Il passait ainsi plus de temps devant la télé de la suite de l’hôtel qu’à la plage avec nous. Ca nous laissait beaucoup de temps avec ma mère pour nous balader, nous baigner nus sur des plages désertes et… faire l’amour.
Au magasin de l’hôtel, ma mère avait acheté plusieurs petits maillots de bain très sexy, ultra minimalistes, qui laissaient quasiment tout deviner de ses charmes, jusqu’aux formes de son sexe. Les clients masculins de l’hôtel restaient médusés d’admiration en la voyant. Mais mon père, lui, ne semblait même pas s’en aperçevoir. Il préférait regarder Griezmann et ses copains taper dans le ballon…
Lorsque l’équipe de France joua son dernier match, avec ma mère nous étions sur une plage de sable blanc, enlaçés l’un contre l’autre, mon sexe à l’intérieur du sien. Et au moment précis où la France marqua le dernier but qui lui permis d’être championne du Monde, moi j’éjaculais dans une jouissance immense.
— Quel beau but mon chéri ! C’est toi le champion du monde !