Ce matin, le réveil fut long. Je ne savais pas où jétais ni pourquoi javais cette désagréable sensation dappréhension. Quand jouvris les yeux, je ne distinguai pas lhabituel désordre de ma chambre, mais la spacieuse chambre bien rangée de mes parents et Mes parents, ma mère Maman, oui ça y est, je me souviens maintenant ! Lentraînement, la neige, le voisin, maman. Ma mère sodomisée, souillée, et notre dérapage de la veille. Lexcitation ressentie hier soir avait annihilé toutes mes peurs, et javais franchi une ligne, un ravin avec ma génitrice. Dès que cette pensée me vint à lesprit, une érection incontrôlable se fit sentir sous mon boxer, déformant dangereusement le tissu noir. Que devais-je faire ? Continuer sur ce chemin incestueux, ou alors arrêter pendant quil était encore temps, lirréparable nayant pas encore été commit. Je me décidai à sortir du lit où, il faut bien lavouer, javais passé une des meilleures nuits de mon existence. Je descendis dans la cuisine me préparer mon petit déjeuner, blanc duf, poulet et pain de seigle au menu (eh oui tous les événements de la veille nenlève en rien ma passion du combat, je dois garder une diète exemplaire).
Je passe ma journée à réfléchir et je suis de plus en plus hésitant à poursuivre cette relation avec ma mère. Vers 17h, jentends la porte dentrée souvrir et japerçois alors maman. Très mal à laise, je mapproche delle et lembrasse sur la joue pour la saluer.
— Bonjour mon chéri, me dit-elle comme si rien ne cétait passé
— Salut mman, ça va ? Dis-je légèrement hésitant
— Très bien et toi ? Tu as bien dormi ?
Lorsquelle prononça ces mots, ma mère me fit un clin dil, je ne sus pas comment réagir et cest elle qui brisa le léger silence qui sinstallait.
— Tu nas pas lair bien, tu repenses à hier soir ?
— Oui un peu
— Tu ne veux plus que je sois ta salope ? Pourtant lidée me plaisait bien.
— Eh bien, euh
— Tu sais quoi ? Nen parlons plus, tu te décideras ce soir après que Thierry soit parti. Mais si tu décides darrêter là, je te demanderai de ne pas en parler à ton père, jaime jouir et lui aime travailler, ce nest pas vraiment compatible.
— Oui oui, ne ten fais pas mman.
Je crois que ma mère était déçue, elle essayait de ne pas le montrer mais son visage exprimait de temps à autre une moue légèrement triste. Je ne voulais pas décevoir maman, mais javais peur de ce que pouvait avoir comme conséquence une relation incestueuse. Jétais tiraillé entre la morale et lexcitation. La morale lemporta. A contrecur, je préparai mes affaires et parti en direction du dojo. Perdu dans mes pensées, jarrivais seulement au coin de la rue quand jentendis le bruit dune porte claquer. Je levai la tête et aperçus Thierry sortant de chez lui, sifflotant et heureux. Il se dirigeait en direction de ma maison. Maman lattendait, prête à recevoir la semence de ce type, à jouir sous les assauts répétés de son sexe, dilatant son anus Comme ce matin, la seule pensée de ma mère criant son plaisir suffit à mexciter. Je ne pouvais pas laisser passer cette occasion. Maman me croyait parti et elle nen saurait rien, je ne serai pas obligé daller jusquau bout, je les espionnerai comme hier soir. Oui, voilà, je me cacherai et les observerai, ensuite je quitterai la maison sans bruit, ni vu ni connu. Je fis demi-tour et arrivé à la maison, je passai par le garage pour ne pas me faire voire.
Très discrètement, je mavançais vers le salon où je pus apercevoir ma mère et son amant sembrasser. Ils ne perdaient visiblement pas de temps. Maman sétait changée, elle portait une mini-jupe noire lui arrivant très haut sur les cuisses ainsi quun chemisier blanc largement décolleté. Ce dernier laissait entrevoir les seins imposants de ma mère. Je reportai mon attention sur le jeu de langue qui se déroulait sous mes yeux. Tels deux serpents, leurs langues semmêlaient littéralement, les bruits de succion parvenaient jusquà mes oreilles. Thierry soupesa les seins de maman et vint rouler ses tétons entre ses doigts, ce qui eut pour effet dactiver les gémissements que javais entendu la veille. Il plaça alors une main sous la jupe de maman, qui se mit à onduler du bassin. Jentendais distinctement les clapotis que faisaient les doigts de Thierry dans la chatte de ma mère. La situation mexcitait énormément et jentrepris une lente masturbation.
Au bout de quelques minutes ma mère se leva et enleva complètement son chemisier, elle se positionna à califourchon sur Thierry qui put lui bouffer ses énormes seins. Tout en les malaxant, il suçait les tétons qui durcissaient à vue dil. Maman se laissait aller et commençait à émettre de puissants gémissements. En se positionnant ainsi, sa jupe déjà très courte sétait complètement relevée. Préparation précipitée ou oubli volontaire de sa part, maman ne portait aucun sous-vêtement, on distinguait clairement la raie de ses fesses et son petit trou serré qui luisait déjà de la mouille dégoulinant de son intimité. Une main sur un sein, une main sur les fesses, Thierry faisait tournoyer son index autour de lanus luisant de ma mère. Cette parcelle de chaire était très élastique car après seulement quelques tours, son doigt disparu dans ce trou gourmand, puis ce fut autour dun deuxième, et dun troisième doigt de disparaître également. Ce sympathique voisin commença alors un mouvement de piston avec plus de la moitié des doigts de sa main gauche dans lanus de ma sublime maman qui appréciait grandement le traitement. La combinaison des stimulations pectorales et anales entraîna un violent orgasme chez maman qui hurla de plaisir. Son amant se leva alors, et se déshabilla entièrement, laissant apparaître un sexe assez court mais dune épaisseur impressionnante.
Maman approcha sa bouche de cette matraque et entreprit une fellation digne dune star du porno. Le mouvement, le bruit de succion, le regard de chienne, tout y était, ce qui valut à Thierry des grognements danimaux. La langue de ma mère dansait autour de cette tige, passant sur le gland luisant, puis redescendant le long de la verge, pour ensuite venir caresser les grosses couilles pleines de foutre. Je nen pouvais plus, ma mère était si belle, si excitante que je nallais pas tenir longtemps, je stoppai donc ma masturbation quelques minutes.
— Ahhhh salope tu suces biiiiiiiien !! dit Thierry gémissant à moitié
— Hummm tu hummm aimes hmmm que je suce hummm comme une hmmm salope !
— Oh oui tu es ma salope, ma pute je vais te baiser comme jamais !!
Sur ces mots, Thierry bloqua la tête de ma mère et entama de puissants et rapides va-et-vient dans la bouche de maman. Il lui défonçait la glotte et plusieurs fois ma mère faillit vomir, crachant de longs filets de bave. Elle était telle une chienne obéissant à son mètre, elle se faisait baiser et ne pouvait pas protester, les réflexes de régurgitation faisaient couler des larmes des magnifiques yeux verts de maman, entraînant des coulées noires de mascara. Tout cela renforçait encore plus limage de salope soumise que dégageait ma mère. Thierry était proche de lorgasme quand il se figea, appuyant la tête de maman contre son pubis, les yeux fermé et la bouche ouverte, il cria son plaisir en éjaculant dans la bouche de ma mère, qui neue dautre solutions que davaler ce sperme chaud et épais.
Les deux amants sécroulèrent alors sur le canapé sans dire un mot, on entendait seulement leur respiration se calmer progressivement. Ce fut une sonnerie de téléphone qui rompit le silence. Cétait le téléphone de Thierry, et ce dernier grimaça lorsquil regarda lidentité de lappelant.
— Oh tient chérie !! Pourquoi mappelles-tu ? Tu es pourtant de nuit à lhôpital. Dit-il agacé
— Eh bien le directeur du service ma demandé de remplacé une collègue demain, je suis donc libre cette nuit.
— Ah bon, tu remplaces une collègue demain, eh bien à tout de suite alors, je tattends chérie.
— A tout de suite, bisous.
Thierry raccrocha et jeta son téléphone de dépit sur le canapé, il expliqua alors à ma mère pourquoi il devait partir. Leur partie de baise ne faisait que commencer, ils étaient alors stopper net dans leur élan lubrique. Se promettant de remettre rapidement leurs petits jeux, les deux amants se quittèrent, laissant maman seule et sur sa faim. Enfin pas si seule, car je suis présent et compte bien me lancer dans cette dangereuse aventure avec la plus belle des femmes.
Sans prendre autant de temps que la veille, je fis irruption dans le salon, quand elle me vit maman me fit une gros sourire et me dit :
— Alors comme ça tu tes enfin décidé !! Tu nous as donc regardés ?
— Oui je ne pouvais pas louper un spectacle aussi excitant, malgré le fait quil ait été interrompu
— Oui jai été coupé dans mon élan et jai besoin de jouir encore.
— Ne tinquiète pas pour ça ma salope, tu vas jouir avec ton fils !
Toutes nos appréhensions, notre timidité avait volé en éclats. Je parlais à maman comme elle le méritait, comme à la chienne quelle était. Je sorti ma verge et mapprochai de ma mère toujours vêtue de sa mini-jupe. En comparaison avec Thierry, mon sexe était presque aussi large, mais beaucoup plus long. Maman écarquilla les yeux à la vue de cette belle queue bien dure, et lenfourna dans sa bouche. Ce fut la sensation la plus délicieuse que je ressenti depuis le début de ma vie. Maman faisait couler beaucoup de salive, elle lapait ma queue telle une chienne affamée qui ne sétait pas nourri depuis des jours. Je sorti ma queue de sa bouche et la bifla, maman fut paralysée et ne bougea plus. Elle avait dit hier soir quelle serait ma salope soumise, alors elle devra lêtre :
— Pourquoi tu tarrêtes de sucer salope ? Je ne tai pas ordonné darrêter alors continue, et doigtes toi en même temps, lui ordonnais-je.
Notre petit jeu dura bien une trentaine de minutes pendant lesquelles je lui ordonnais de me sucer, de lécher mes couilles et mon petit trou. Elle sexécutait royalement bien, sappliquant à satisfaire le moindre de mes désirs.
— Tu es une vraie chienne maman cest bien. Mais tu penses que jai oublié ce qua dit Thierry hier ? Aujourdhui ça devait être une soirée sodomie, donc tu vas y passer.
Je mis maman à pattes et sans préparations préalables, je lui enfonçai entièrement mon sexe au fond de sons anus. Le cri quelle poussa fut déchirant, il lui fit monter les larmes qui coulèrent sur ses joues. La douleur était très intense, mais elle se mêlait au plaisir procuré par mes fougueux coups de reins. Maman pleurait de douleur et de joie, son anus étroit menserrait la queue si fortement que je nallais pas tarder à me vider dans ses entrailles. En levrette, je la saisi par la gorge tout en lui murmurant des mots crus à loreille, je la baisais comme une vulgaire pute. Son excitation à son paroxysme, son corps se raidit sous un orgasme foudroyant, je ne pus me retenir plus longtemps et jexplosais dans lanus de ma mère. Je ressortis mon sexe couvert de semence, un long filet blanchâtre sécoula alors du petit trou de ma mère qui pleurait non plus de douleur mais de satisfaction. Nous nous embrassâmes longtemps et très sensuellement, après plus dune heure à jouir lun de lautre.
Nous avions franchi linfranchissable, maman et moi avions fait lamour. Enfin cela ressemblais plus à une partie de baise, mais nous avions eu notre premier rapport sexuel, et quel rapport !! Faire pleurer sa propre mère de plaisir, le tout par le cul avait été le plus beau moment de ma vie. Cela ne faisait que commencer, il me fallait encore explorer dautres « angles » de la si jolie anatomie de maman, des « angles » pas toujours très droits