.Je mappelle Laurent, jai trente ans.
Ma mère bosse en tant que responsable des stocks dun entrepôt alimentaire. Je vais parfois laider dans des coups de bourre, à porter des caisses, ce genre Il faut dire que je suis plutôt costaud, 1m85, 90 kilos de muscles très légèrement enrobés. Accessoirement, je suis châtain, yeux bleus, pas trop moche.
Ce jour, cétait une fin daprès midi dun vendredi, jétais allé aider. Puis jétais rentré chez moi mais une fois sur place, je métais rendu compte que javais oublié mes clefs de maison. Jétais donc retourné à lentrepôt pour les récupérer. Jespérais que ma mère y serait encore. Et de fait, lentrepôt était encore ouvert. Je rentrai et commençai à chercher mes clefs Cest alors que jentendis des voix venant des stocks. Par curiosité, jallai voir
-Non, arrête, Roger, ça suffit.
Cétait la voix de ma mère, elle était comme embarrassée.
-Bah ! Allez Simone, ten as envie, ça se voit. Et là ya plus personne.
Là cétait la voix de Roger, un employé de lentrepôt.
Intrigué, je jetai un il en catimini, caché derrière un rayonnage de denrée et ce que je vis me paralysa :
Roger, la soixantaine sèche, tripotait carrément ma mère, qui sen défendait faiblement. Ses mains pressaient ses gros seins au travers de son chemisier, il lembrassait dans le cou :
-Non Roger, tu es marié, ce nest pas bien, protestait mollement ma mère. Tu es marié, et puis je dois rentrer.
-On sen fout de ma femme, on est bien là, non ? négociait Roger, avec ses mains qui pressaient maintenant le gros cul de ma mère.
Ma mère avait 56 ans et des formes bien girondes. Gros cul, gros seins, et pas très grande. Elle était brune, coupé mi court. Et là elle rougissait sous les essais de Roger. Cela me choquait mais en même temps cela me fascinait. Je naurais jamais pensé voir ma mère si sage dans ce genre de situation. A ma connaissance, il ny avait pas dhomme dans sa vie depuis plusieurs années, et ça ne lintéressait plus.
Je restai caché, à observer.
Roger se montrait vraiment entreprenant, dans son genre. Il sortit carrément sa bite de son pantalon pour montrer à ma mère comme il bandait et il bandait fort, en effet. Sa verge était longue, épaisse et gonflée, surgissant dune masse de poils grisonnants. Jen restai estomaqué et ma mère aussi, elle rougit :
-Tu es fou, Roger, arrête !
-Allez, ça te plait Simone, tu la dévores des yeux, ma bite.
Ma mère ne savait plus où se mettre, et Roger enchaîna, en la mettant à genoux plus ou moins de force :
-Dévore la avec ta bouche, plutôt. Ça fait combien de temps que tas pas sucé un mec hein ? Vas y, tu la veux ça se voit.
Ma mère rougissait de plus belle, perdue, à genoux face à cette grosse bite :
-Oh Roger, non, ce nest pas bien
Cétait très faible comme dénégation. Ma mère aimait-elle se faire ainsi un peu forcer ? Cela me captivait et en même temps ça commençait à mexciter !
La tenant par larrière de la tête, Roger lui mit sa bite dans la bouche. Et sous son emprise ma mère le suça. Dabord timidement, mais, entendant manifestement les râles de bonheur de Roger, elle le fit ensuite avec plus dapplication. Elle le pompait bien, salivait sur son gland, léchait les bords gonflés de sa bite, léchait ses couilles waa putain ! Ma mère suçait un gars comme une salope ! Caché derrière mon rayonnage, javais une érection.
-Ho ouais, tes bonne Simone, disait Roger. Tu caches bien ton jeu mais tes une bonne suceuse en vrai ! Il bandait comme un âne dans sa bouche, faisant des vas et viens entre ses lèvres qui bavaient. Tes une bonne salope !
Ces derniers mots choquèrent manifestement ma mère – et moi aussi ! – et elle sécarta de lui :
-Oh non Roger, me dis pas des choses comme ça, ce nest pas bien !
Je ne pouvais néanmoins rater quelle ne disait ça que pour la forme. Ma mère était-elle toute excitée, en vrai ? Roger ne sy trompa pas :
-Ok je dirais plus des choses comme ça mais mets toi à laise, déjà.
-oh non, non, arrête.
Ma mère avait beau protester très mollement elle se laissa déshabiller par Roger. Il lui ôta son chemisier et son soutien-gorge, dévoilant ses gros seins blancs, lourds, qui tombaient un peu sur son petit bide de vieille. Puis il défit carrément le pantalon de ma mère et le baissa en même temps que sa culotte ! Putain je voyais ma mère à poil ! Elle avait des fesses bien volumineuses, tremblantes de cellulite ça et là, et waou !… un pubis très poilu, une vraie jungle !
Le cur battant, je ne pouvais mempêcher de malaxer ma bite dure au travers de mon pantalon.
-Voilà, tes bonne comme ça Simone, dit Roger en remettant ma mère à genoux avec son pantalon et sa culotte aux chevilles. Suce moi encore, maintenant.
Dominée, ma mère obéit et engouffra sa bite dans sa bouche.
De là où jétais, je voyais son gros cul cambré, et les poils de sa chatte entre ses jambes agenouillées. Ny tenant plus, je me déboutonnai et me masturbai. Cétait fou de voir sa mère comme ça, à poil, en train de sucer un vieux !
-Ouais, haaaa, tu suces bien ! commentait Roger, en mettant des coups de reins dans la gorge de ma mère. Elle bavait, salivait sur sa queue, le suçait du mieux possible, tandis quil commençait à lui palper les fesses en tendant le bras
et cest là quil me vit.
Nos regards se croisèrent, tandis quil se faisait sucer par ma mère dénudée et moi jétais en train de me branler ! Ce moment dangoisse me sembla durer un siècle
Mais finalement Roger fit comme si de rien nétait du moins par rapport à elle :
-oui, haa, cest bon ma cochonne, dit-il et en même temps il me fit signe de mapprocher dun air complice.
Ce mec était-il fou ? Il enjoignait le propre fils de la femme qui le suçait à venir ?… en même temps je me branlais, là, signe que tout ça mexcitait et de toute façon, après une brève hésitation, jobéis timidement.
Mais quel con ! Quest-ce que je faisais, là ? Ma mère à poil suçait ce gars, si elle me voyait bite à lair à côté, ce serait le drame !
Roger me rassura dun index amusé posé sur ses lèvres. « Chut ». Jobéis, je ne dis rien, et continuai de me masturber derrière le superbe gros cul de ma mère. Elle le suçait toujours avec application, pompait son gros dard comme une chienne. Moi-même javais une belle vue sur sa chatte, dautant que Roger la fit se cambrer en lui appuyant un peu sur le bas du dos : Ma mère mouillait grave, elle était trempée, ça dégoulinait le long de ses cuisses. Cest quil lavait excitée, le salaud !
Et moi jen pouvais plus dexcitation, non plus ! Quelle bonnasse, ma mère !
-Oh oui cest bon, ma salope, dit Roger dans un clin dil fou vers moi, donnant le rythme sur sa bite à la bouche de ma mère avec une main. Taimes ça, la bite hein !?
-mhmmm mhmmm mhmmm, ne pouvait que répondre ma mère, en pleine fellation. Je voyais Roger la doigter en même temps, et elle tortillait son gros cul de plaisir, dégoulinant de mouille sur sa main. Ma mère était vraiment une salope !
Roger cessa de la doigter pour lui prendre une main et me fit signe dapprocher Toute cette situation était totalement surréaliste ! Jobéis néanmoins, surexcité
et il mit alors la main de ma mère sur ma bite qui bandait !
-Mhmmm mhmmm ? paniqua un peu ma mère, de trouver soudain une seconde bite dans sa main, alors quelle avait déjà celle de Roger en bouche. Elle voulut se retourner, mais Roger len empêcha en la retenant bien face à lui pour continuer de le sucer. Un filet de bave de ma mère tomba au sol. Elle ne devait plus savoir où elle en était, elle ne savait pas le sexe de qui elle touchait présentement.
mais ça ne lempêcha pas de commencer à me masturber
Oh bonheur ! Oh folie ! Ma mère me branlait sans même savoir que cétait moi ! Sa main devenue ferme faisait de rapides allers retours sur ma bite, je me sentais devenir de plus en plus gros !… Je suis dailleurs particulièrement bien membré, presque « trop bien », jai une bite dâne, qui, en érection a une longueur et une largeur incroyables La main de ma mère ne pouvait dailleurs pas en faire le tour pour me masturber, mais cela ne lempêcha pas de continuer, tout en suçant Roger Etait-elle excitée par sa taille ? Sans doute, oui Excitée par deux hommes avec elle ?… Oh oui !… Voulait-elle que je la baise avec ma bite déléphant ?… cétait probable.
Quelle salope, ma mère ! Roger avait assuré !
-Ouais, on est plus seuls, chérie, dit Roger en continuant de forcer ma mère à le sucer sans pouvoir regarder derrière elle. Mais tu la veux dans ta chatte, cette belle bite hein ?
-Non, haaa, cest qui ? haaa, parvint à articuler ma mère en se défaisant un court instant du sexe de Roger dans sa bouche… Mais aussitôt Roger la lui remit en bouche : mhmmm mhmmm ?
-Un ami, ten fais pas Il a une belle bite hein ? dit Roger. Et il va te la fourrer profond, tu veux ça hein !?
Ma mère remua bien un peu des fesses pour montrer une vague forme de refus, faisant tressauter sa cellulite, mais cétait sans conviction. Elle la voulait ma bite Roger me fit signe dy aller.
Moi-même je nen pouvais plus de désir. Rien que de me faire branler par ma salope de mère, ça mavait mis dans tous mes états, je bandais comme une brute. Je voulais la baiser. Son gros cul et sa chatte poilue mexcitaient tellement !
Je me mis derrière elle, et posai ma main sur sa grosse chatte poilue et trempée :
-mhmmm mhmmm, fit-elle, la bite de Roger toujours dans sa bouche. Mais jy vis come des accents denvie. Dautant quelle ne se débattit pas Ma mère voulait se faire baiser par un inconnu.
Bien que cétait risqué, ce serait moi.
Jappuyai mon gland démesuré contre sa fente lubrifiée. Elle bougea son énorme cul tremblant
et je pénétrai ma mère.
-Haaaaaaaaaa, cria t-elle, car Roger ne put lempêcher de se cambrer et de lui échapper avec cette énorme bite qui venait de glisser dans sa chatte. Haaaa ! Elle est énooorme ! Cest énooorme !
Ma mère se faisait baiser par la plus grosse bite quelle avait jamais eue Mais Roger, bien quelle ne le suçait plus, retenait son visage vers lui, afin quelle ne puisse pas se retourner. Elle essayait pourtant, mais il lui tenait fermement la tête vers lui à deux mains :
-Haaaaa ! hoooo ! haaaa ! cest qui ? haaaaaaaa ! cest qui Roger ? haaaaaaaa ! Elle est énorme !
Je baisais ma mère comme un sauvage. Je la pénétrai de mon sexe démesuré dans un rythme rapide, faisant tressauter ses grosses fesses charnues à chaque coup de bassin. Et elle aimait ça !
Cétait chaud et gluant à lintérieur, merveilleux.
-Ça te plait, hein cochonne ? dit Roger à ma mère. Tu aimes hein ?
-haaaaaa ! jouissait ma mère en se faisant démonter. Non, haaaa, cest qui ? hoooo hhhaaaaaaa
Elle transpirait. Entre mes jambes, javais les siennes repliées avec encore son pantalon et sa culotte aux chevilles. Et je la baisais, la baisais, lui en mettait plein sa grosse chatte de vieille !
Cest alors que Roger lâcha son visage dans un sourire amusé et elle se retourna.
-haaaaaa ? haaaaaaaa ? haaaaaaaaaaaaa !!!! Tandis quelle hurlait sous mes coups de bites, elle tomba des nues. Cétait son propre fils qui la baisait comme ça !
-Laurent ? ahana t-elle, haaaa haa han, cest toi ? non, han han ! On ne peut pas ! han han haaaa !
-Tes bonne, maman, mentendis je grogner en continuant de la besogner. Jétais trop bien dans sa chatte. Je la défonçais comme la dernière des putes.
-Haaa haaa hooo, non non, hoqueta t-elle, baisée comme jamais, on ne peut pas, haa han, tu es ho, han mon fils, haaaaa haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa haaaaaaaaaaaaaaa
Là, hurlant dans un orgasme puissant, elle sétait cambrée dans de magnifiques tremblements de sa graisse blanche, et je remplis sa chatte bouillante de mon sperme.
-Haaaa haaaa, hurla t-elle encore, tétanisée par la jouissance, haaaa Laurent, oui ouiiii ouiiiiiiiiii ! Salaud ! A ta propre mère ! Salaud ! haaaaaaaaaaaaaaaa !
Tandis que jachevai de me vider à force coups de reins, Roger en profita pour claquer les grosses fesses de ma mère en plein orgasme :
CLAC ! Taimes ça hein, sale pute ? Te faire baiser par ton fils !
En transe, ma mère gémit :
-ouiiiii, haaaa, ouiiiii, haaaaa !
Jachevai de la baiser mais elle, elle nen finissait pas de jouir. Roger lui claqua encore le cul, avec plus de forces :
CLAC ! Dis le ! Taimes te faire baiser par ton fils !
-Haaaaaa, ouiiii, jaime ! haaaaaa ! jaime me faire baiser par mon fils ! haaaaa ! salauds ! salauds !
CLAC ! Tes une salope hein !? Dis le !
-Haaaaaaa ! Ouiiii, haaaaa, cest bon ! Ouiii ! Haaaaa, je suis une salope ! La salope de mon fils ! haaaaa !
Ces mots me firent carrément avoir un second orgasme consécutif. Je remplis de nouveau la chatte de ma mère de sperme. Elle hurla, en transe, ne sachant sans doute même plus ce quelle disait :
-haaaaaaa ! oui mon fils ! haaaaaa ! Je suis ta chienne ! Baise moi ouiiii ! haaaaaa ! Tas une bite énorme ! Ouiiiiiii ! haaaaaa ! Je suis ta salope ! haaaaaaaaaa !
Et elle finit à quatre pattes, recroquevillée, le souffle court et le regard hagard, tandis que je me retirai delle à la fois honteux et émerveillé.
Roger se branlait encore en nous regardant dun air vicelard.
Ma mère se mit en boule au sol, sa chatte dégoulinant de mon sperme
