Je n’ai pas tardé à jouir tellement la situation était forte, j’ai posé mes mains sur la tête de ma mère et appuyer très fort au moment où l’éjaculation est arrivée et ma mère comme à son habitude a tout avalé sans rien cacher de son plaisir… Françoise aussi à reçu une sacrée décharge en pleine bouche, qu’elle a même suffoqué tellement il l’a inondée!
Nous sommes ensuite passés au salon et avons commencé les choses sérieuses…. Ma mère est partie dans sa chambre changer de tenue tandis qu’Abou et moi nous nous occupions de Françoise. C’est une femme tellement belle et d’une sensualité naturelle. Abou a baissé les bretelles de sa robe délicatement et défait son soutien gorge et laissé ses deux gros et beaux seins lourd se revigorer d’être sortis. Françoise portait un porte-jarretelles rouge avec des bas noirs et un string en dentelle brésilien rouge et noir. Elle était entre nous deux et nous nous occupions chacun de l’un de ses gros seins blanc laiteux. C’était la première fois que je les voyais et je voulais profiter un maximum de ce moment alors avant de me jeter dessus, je l’ai sous-pesé et souligné du bout du doigt. Elle me regardait avec insistance et feulait alors qu’Abou appliquait une succion bien marquée de son côté. J’étais aux anges et je commençais moi-même à le mordiller, le lécher, le sucer, l’avaler, l’aspirer de tout mon souffle, je voulais que ce sein soit mien pour un moment et je lui imposais à mon tour un certain traitement qui ne la laissait pas indifférente. Ma mère arriva et Abou, avant même que j’ai eu le temps de relever la tête s’est levé et la prise dans ses bras, ma mère l’a complètement déshabillé et a voulu elle aussi s’occuper et goûter à cette queue énorme. Françoise me déshabilla aussi rapidement et je l’ai basculée afin de lui bouffer sa chatte, je voulais y goûter absolument c’était vital… Mes premiers coups de langues ont été avec retenus, je voulais sentir son parfum intime et je lui ai dit que sa chatte était délicieuse avec un parfum très agréable! Abou me fit des compliments sur ma mère et sa façon si personnelle de sucer… Dans ma position, en relevant les yeux je pouvais voir ma mère de son côté, accroupie en bas et porte jarretelle noir jouissait déjà de ne pouvoir prendre cette queue tout entière dans la bouche tellement elle était grosse. J’ai retourné Françoise, l’ai mise à quatre pattes et lui ai bouffé le cul et la chatte, elle jouissait fort et a eu son premier orgasme. Abou avait maintenant mis ma mère sur le fauteuil et lui bouffait également la chatte comme il se doit et ma mère gémit sous les coups de langue certainement très affûté d’Abou. Il s’est ensuite relevé et a placé sa bite à l’entrée de sa chatte et est rentré doucement, centimètre par centimètre afin qu’elle s’habitue à la taille de son membre. J’ai fait de même avec Françoise, je me suis calé derrière elle et observait son formidable cul avec les bretelles du porte-jarretelles rouge fendre sa peau bien blanche. Je bandais très dur et j’ai frotté mon gland à l’entrée de sa chatte ruisselante de désir, elle gémissait et me priait de la prendre tout de suite. J’ai fait durer le plaisir de façon presque malsaine tellement son envie était forte. Je voulais qu’elle en crève d’envie vraiment et mes très légers allers-retours ont eu pour effet de la mettre dans un tel état de d’attente et de transe que lorsque je suis rentré complètement et à fond jusqu’au col de l’utérus, elle a hurlé un OOOOUUUUIIIIII si fort qu’Abou s’est retourné et ma mère aussi afin de voir ce qui se passait!
PRENDS-MOI !!! criait-elle et la synergie s’est si bien créée entre les deux couples que ma mère aussi criait sur Abou de la prendre sans ménagement sauf que lorsqu’Abou commence à y aller fort… Il faut être prêt à recevoir! Ma mère gueulait tellement il la défonçait et Françoise emmenée aussi par l’énergie de groupe me demandait de la traiter de salope, de pute, de sac à foutre et de la défoncer! Je ne me suis pas fait prier et je l’ai insultée, lui ai claqué les fesses si fortement, que la marque de chacun de mes doigts apparaissait clairement sur ses fesses. Abou et moi les avons installés sur le grand canapé toutes les deux et les avons prises en levrette encore pendant qu’elles s’embrassaient. J’appuyais très fort pour la faire cambrer au maximum, je lui ai craché sur le petit trou avant de lui dire que j’allais l’enculer comme il faut, Elle criait OUUIII VAS-Y BAISE MOI… DEFONCES MON CUL DE SALOPE!!!! Je suis rentré doucement dans son colon tout étroit tandis que ma mère n’en finissait plus de jouir sous les coups de boutoir d’Abou. Ma mère lui dit qu’elle voulait aussi se faire enculer comme une pute! Abou me regarda et confirma qu’il avait rarement vu une telle furie et baiseuse! Il faisait aller et venir son majeur dans le cul de ma femelle de mère et déjà il me semblait qu’elle avait orgasme sur orgasme… Mais lorsque que sa queue est vraiment venue à la rencontre de son petit trou du cul alors là j’ai cru ne jamais l’avoir vu gueuler de cette façon… à part avec Molosse certainement!
Quant à moi je m’activais toujours dans le cul de cette charmante Françoise qui ne cessait de gémir… je commençais à arriver au bout, mais il n’était pas question de finir maintenant alors me vint une idée folle. Je suis partie chercher dans la cuisine un concombre que j’ai lavé et que j’ai apporté et j’ai fait positionner nos deux charmantes salopes cul-à-cul avec le concombre dans la chatte et nous nous sommes fait sucer pendant un moment… le temps de recharger un peu les batteries mais c’était son compter le caractère fougueux de nos deux chiennes à disposition ! Françoise dit à ma mère que la dernière à nous faire jouir devrait prendre une double pénétration, Abou et moi. Ces salope avait de la ressource Françoise s’est mise à me pomper tellement fort que j’ai joui le premier… Mais le concombre faisait aussi son effet et Françoise a joui en même temps que moi et Abou est venu pratiquement derrière moi à quelques secondes… Ma mère aussi a joui très fort et je pense qu’elle se réjouissait déjà de ce qui l’attendait!
Abou, s’est installé sur le canapé et ma mère est venu s’empaler sur sa queue énorme, tandis que je me plaçais derrière le cul subliment bandant de ma mère et suis rentré pratiquement sans effort tellement Abou l’avait avant dilatée! Nous avons commencé nos va et vient, ma mère déjà hurlait sa jouissance et Françoise est venue s’accroupir sur l’accoudoir en cuir épais du canapé, au-dessus du visage d’Abou qui en profitait pour lui bouffer la chatte pendant que les deux se gouinaient encore. Ma mère avait du mal à entretenir ses embrassades avec Françoise tellement nous l’avons malmenée… La jouissance était trop forte et elle a eu trois orgasmes successifs. Repue, elle descendit et laissa sa place à Françoise qui voulait bien sûr aussi goûter à nos deux queue en même temps! Mais Françoise s’installa dos à Abou et par conséquent face à moi… C’est Abou qui était dans le cul de cette salope qui en fait n’attendait que cela! Et moi dans sa chatte à la baiser tout en la regardant dans les yeux… nous étions hypnotisé tous les deux par le rythme des va et vient et son visage malgré tout se déformait sous le plaisir et la douleur provoquée par nos queues qui ne lui laissaient aucun répit! Après deux gros orgasme et quinze minute de ce traitement, elle était repue et nous nous sommes dégagés. Ma mère s’est jetée sur la bite d’Abou. Françoise m’a enfourné et cette fois-ci je voulais jouir sur son visage. Je voulais qu’elle prenne tout mon foutre sur son visage d’ange et j’ai attrapé ses cheveux et ai accéléré la cadence si bien que j’ai baisé sa bouche sans ménagement. Au moment de jouir, Françoise a senti que la coulée de sève arrivait et elle-même, l’a retiré de sa bouche, m’a regardé dans les yeux et dit : VAS-Y JOUIS MAINTENANT SUR MOI, JE VEUX QUE TU M’INONDES DE TA SEMENCE… GICLE SUR MON VISAGE! J’ai joui d’abord sur son visage à gros coup de jets, plusieurs saccades sont venues se répandre sur son front, ses cheveux, ses joues, son nez… puis elle a pris ma queue dans sa bouche tout en me regardant et m’a pompé furieusement encore comme pour en extraire tout ce qu’elle pouvait contenir!
Ma mère aussi a eu le droit à son feu d’artifice surtout qu’Abou a déversé des litres de sperme, c’était incroyable de voir ça, ma mère n’a jamais pu tout avaler tellement la quantité était importante… Mais le plaisir aussi fût de grande quantité! Ils ont passé la nuit entière à la maison et sont repartis le lendemain vers midi.
Cela restera un très grand souvenir pour ma mère et moi. Je n’ai jamais revu Abou et Françoise… c’est une autre histoire!