Cet été-là je restais seul avec ma mère dans notre maison près de Paris, située au milieu d’une forêt. Je venais juste d’avoir 18 ans, j’étais en pleine forme physique. Nous n’avions pas de voisin ni de voisine et les seules visions féminines étaient les courbes et la féminité de ma mère. C’était une femme sexy proche de la quarantaine, brune de type méditerranéen. Elle avait des courbes splendides, surtout son derrière cambré et ferme attirait l’attention. Elle s’habillait de manière assez sexy avec des robes moulantes la plupart du temps. Je regardais son postérieur et ses seins à la dérobée et cela me procurait de grands émois. Ses cheveux étaient noirs et ondulés et ses yeux marron tiraient sur le vert. Souvent que nous allions faire des courses les hommes se retournaient sur son passage, voire faisaient des commentaires entre eux. Même mes copains de lycée la regardaient avec des yeux pleins d’envie.
Mon père était souvent en déplacement professionnel à l’étranger. Mes parents s’étaient mariés tôt.
Un matin je sortais de la salle de bain et je m’habillais dans ma chambre, ma mère rentra et me vit nu. Je continuais à m’habiller en faisant semblant de rien. Elle me regarda de bas en haut et me dit :
— Tu as un très beau corpsooo je regarde cette quéquette, elle est déjà bien grossetu es un homme maintenantun vrai.
J’adorais qu’elle emploie ce terme « quéquette » qu’elle utilisait lorsque j’étais gamin.
Elle poursuit :
— J’aimerais bien la voir bien dure tu me la montreras ?
J’étais très gêné mais quand même interloqué et troublé.
Je répondis timidement : « euhoui. Si tu veux »
Elle reprit :
— Je n’en ai pas vu beaucoup tu sais.
Elle ritet sorti.
Bien sûr j’y pensai longuement et jetais très troublé. Je m’imaginais lui montrer ma bite en érectioncela me transportait de sensations.
Nous n’en parlâmes plus durant le reste de la journée.
Dans la soirée j’y pensaiscela me donna une érection mais je n’osais rien faireplus j’y pensais plus j’avais envie de lui montrer. Bien sûr je bandais comme un taureauun moment je m’approchais de la porte de sa chambre j’aurais aimé lui montrer mon sexe en érectionmais je n’osais pas, je partis me coucher.
Ma queue était dure, j’avais une envie folle de me masturber, mais je résistais, quelque chose me disait que ce n’était pas bien et qu’il fallait que je me réserve.
Le lendemain matin se déroula normalement puis nous partîmes faire des courses. Elle était habillée d’une combinaison moulante de couleur bordeaux. Ses fesses cambrées étaient mises en valeur, et attiraient le regard des hommes. Je la suivais en marchant derrière elle, le regard fixé sur son postérieur. Certains hommes la complimentaient, en lui disant « hummm bonjour jolie madame ». Arrivés chez le libraire, un homme de la cinquantaine, celui-ci semblait connaitre ma mère, l’accueillit chaleureusement. Il lui faisait des compliments également et la regardait sous toutes les coutures. Elle semblait habituée des lieux et de ses manières.
En lui montrant des livres, il mit sa main sur sa taille puis alors qu’elle se dégageait, il passa sa main sur ses fesses. Ils continuèrent à discuter à deux mètres de distance. Elle s’éloigna en souriant, le libraire gémit doucement « humm à bientôt » en regardant ma mère s’éloigner. Puis nous quittâmes le magasin. Elle lui promit de revenir bientôt en lui jetant un grand sourire.
J’étais outré et gêné de constater que ma mère avait été si peu farouche, et qu’elle s’était quasiment laissé faire par cet homme qui en plus semblait la connaitre. Dans la voiture elle se remaquilla et s’admira en faisant un cul de poule avec sa bouche.
Elle aimait plaire aux hommes c’est sûr.
En rentrant je me jurais que ce soir je lui montrerais ce qu’elle voulait.
Dans la soirée elle était assise sur le canapé au salon, en discutant au téléphone avec sa copine Lydia.
J’entendais des bribes de conversation :
— Tu sais je suis tellement en manque que j’ai été chez Richard le libraire.
—
— . Oui celui qui a les mains baladeuses
—
— Eh bien il en a profité bien sûrquel salop ce type.
—
— Dans le fonds, je me laisserais bien faire.
—
— Oui, je sais c’est moi la salope.
Elle riait en disant cela.
— Bon aller je te laissebises.
J’étais outré d’entendre ma mère parler comme ça. Je me disais qu’il fallait que je fasse quelque chose.
Je rentrais dans le salon. Ma mère me regarda en souriant.
— Tu ne dors pas ?
— Non, euhtu sais tu m’avais dit que tu voulais que je te montre quelque chose
— Euh nonde quoi parles-tu ?
— Euh tu sais, hier, tu m’as dit que tu voulais…euh…que je te montre…ma…enfin quoimon….
— Elle réfléchit……ah oui…. Petit coquintu veux mon montrerton…euh…ta…
— Ma quéquette.
Elle rit….
— Ooo et alors ? tu vas me la montrer ?
— Oui…j’en ai envie.
Je baissai mon short et mon slip :
— Regarde…
— Oooo elle est très belle mon chérimais je voulais la voir toute dure souviens toi….
— Euh ouiil faut que je la caresse alors…
— Aaaa te caresser devant moi ? Bien sûr, commence…j’ai envie de voir ça…
Elle riaitje m’enhardis et commença à me masturber devant elle, je n’eus pas trop de temps à attendre avant qu’elle ne devienne dure.
— Aaaa…c’est bien comme ça…ooo qu’elle est belle …hmmmmapproche toi que je la regarde de plus près…
Je m’approchai d’elle et je me masturbai à quelques centimètres de son visage.
— Tu le fais le soir dans ton litavant de t’endormir ?
— Ooo oui maman, tous les soirs…
— Ah bon et tu penses à quoi… ?
— Euh à des femmes……très belles…
— Ah bon de quel genre sont-elles ces femmes… ?
— ….. Dans le même genre que toi maman…
— … petit coquin…tu ne penses pas à ta maman quand même… ?
— Oooo si tous les soirs maman….
— Il ne faut pas penser à sa maman en faisant ça petit coquin
— Je sais mais c’est plus fort que moi….
— Et tu penses à quoi exactement ?
— Je pense à tes fesses et à ta bouche…
— Petit coquin ! Tu termines et après c’est fini d’accord… ?
— Oui mamans’il te plait pour terminer, fais-moi juste un petit bisou sur la bite….
— Ooo le petit coquinbon juste un seul d’accord…
Ma mère s’avança et déposa un bisou sur mon gland alors que je me masturbais de plus en plus vitetant et si bien que je finis par jouir…mon sperme tomba sur le tapis.Je jouis intensément. Ma mère souriait et sortit un mouchoir.
— Allez je t’essuie…tu en avais plein de…lait concentrémon chéri. Heureusement que je me suis retiré à temps !
Elle rit.
— Bon allez va te coucher…petit coquin, mais c’était la première et dernière fois d’accord… ?
À suivre, si vous le souhaitez