Quinze jours après mon dix-huitième anniversaire. Mes parents me préparent une petite fête.
Ma mère, ne souhaitant pas cuisiné, a commandé un repas de fête à un traiteur.
Mon père me demande de mhabiller convenablement.
Vers dix-neuf heures, je suis au salon et mes parents tardent à descendre, Je regarde la TV pour passer le temps. En entendant du bruit, je coupe le son et jentends mes parents occupés à faire lamour. En entendant crier ma mère, je su quils avaient terminés. Je remets bien vite le son et fais semblant de navoir rien entendu. Je suis un peu jaloux de mon père, mais, bon, cest sa femme !!!
Après une dizaine de minutes, mon père arrive en costume, cravate. Quand à ma mère, elle arrive habillée dune longue robe noire avec un décolleté qui laisse voir une bonne partie de son opulente poitrine. Ils membrassent tous les deux pour me souhaiter un bon anniversaire, ma mère me frôlant la bouche plus que dhabitude. Elle se retourne pour aller chercher le champagne. Je vois alors son dos. Sa robe est découpée jusque au bas de ses reins. Jécarte les yeux et mon père voyant mon regard me dit cette phrase surprenante
« Elle est belle ta maman et très sexy avec ses belles formes »
Surpris, je le regarde, mais lui me fait un clin dil. Je lui dis que cétait ma mère et que je devais la voir comme ma mère.
Il me répond :
« Bien sur cest ta mère, mais si tu la regardes comme une femme, tu ne la trouves pas jolie ? »
« Bien sur quelle est jolie et surtout dans cette robe, mais je ne peux pas oublier que cette femme est ma mère »
« Oui bien sur » me répond-il
Ma mère, revenant, avec le champagne, nous servis un verre et nous avons trinqué à mes dix-huit ans.
Javais bien du mal à ne pas regarder le décolleté de ma mère.
Après, nous sommes passés à table, et après un très bon repas et après avoir débarrassé la table, nous sommes passés au salon pour boire un cognac.
En nous resservant un deuxième cognac, un sein de ma mère séchappe du décolleté. Mon père se lève pour laider à remettre le sein à sa place, du moins, je le croyais. Mais au lieu de recouvrir le sein, il découvre lautre et maman se retrouve seins nus devant mon père et moi.
Un peu gêné, surtout à cause de la présence de mon père, je ne sais pas quelle attitude prendre.
Je suis surpris du manque de réaction de ma mère. Elle sassoit et mon père en fait autant.
Mon père mexplique rapidement quil est au courant pour notre relation mère et fils ou maîtresse et amant.
Il me rassure, tout de suite, en me disant quil a connu la même situation avec ses parents.
Maman me raconte, quétant au courant de la situation de mon père, elle la mit au courant de notre relation incestueux.
Cest pour ça quelle ma accueilli dans la chambre parentale, avec laccord de mon père.
Dun coup, je respire un peu mieux. Je lui demande alors, pourquoi il nen a pas parlé avant.
Il me répondit quil attendait un grand moment et ce soir, cest le bon moment.
Bon assez parlé, me dit-il en se levant.
Ma mère se lève également et enlève complètement sa robe. Elle se retrouve nue devant mon père et moi, car Annie, ne porte pas de culotte.
Mon père sapproche delle et commence à lui malaxer un sein. Il minvite à en faire autant. Avec le regard approbateur de ma mère, jen fais autant.
Je lui souffle à loreille, extraordinaire, merci maman, quel magnifique cadeau danniversaire. Mon père, ayant entendu, me dit dattendre, que je nétais pas au bout de mes surprises.
Bon, nous allons nous déshabiller également, me proposa mon père. Nous enlevons nos vêtements et nous nous retrouvons nus tous les deux devant Annie, en bandant. Je découvre la bite de mon père, un peu plus courte que la mienne, mais avec un diamètre supérieur. Ma mère les compare. Elle nous dit alors :
» Voila pourquoi jaime faire lamour avec mes deux hommes. Lun va plus loin et je le sens bien au fond de mon vagin et lautre me rempli la chatte par sa largeur. Je suis impatiente de me faire bourrer par mes deux amours.
Elle sagenouille devant nous, et nous pompe chacun notre tour. Quel bonheur, ma mère est vraiment une merveilleuse suceuse. Je jouis le premier, dans sa bouche évidement. Elle a à peine le temps davaler ma semence, que mon père jouit également, et elle avale avec délice le sperme de mon créateur.
Pendant que lon récupère un peu, ma mère sinstalle sur le divan, les jambes bien écartées et commence à se masturber devant nous. Je ne perds pas une minute de ce spectacle et il ne faut pas longtemps pour que je bande à nouveau. Mon père met un peu plus de temps à récupérer. Maman arrive à lorgasme rapidement. Nous buvons un autre cognac.
Annie, ayant besoin dun peu plus de récupération, nous propose que mon père et moi, nous nous faisions une pipe pendant quelle souffle un peu.
Quoi, tu veux que je suce papa, pendant quil me suce, mécriais je ! Ecoute, cest étrange, comme situation. Elle me dit que mon père a fait la même chose avec son père et quil aimait beaucoup ça, pas vrai Léon ! demanda telle à papa. Et en plus, tu mas dit que tu aimais le gout du sperme. Cest le moment de goûter à un autre que le tien. Tu verras, pour en avoir souvent avalé, et ayant goûté le tien, je peux te dire que tu vas lapprécier.
De plus, ça va mexciter au plus au point et cest vous qui allez en profiter.
Vous me prendrez tous les deux en même temps, toi, dans mon cul et ton père dans mon vagin.
Lidée denculer ma mère, me réjoui au plus au point. Je me décide donc et me rapproche de mon père. Nayant jamais sucé une bite, mon père commence à sucer la mienne. Il fait ça aussi bien que ma mère. Je me mets au dessus de lui, je prends ça bite dans ma bouche et je commence également à le sucer. Apparemment, je me débrouillais bien, car tout en me pompant, je lentendais gémir. Moi aussi, je me suis mis à gémir. Ma mère était complètement excitée et applaudissait et nous encourageait.
« Le premier qui reçoit du sperme de lautre me laisse lembrasser pour que jen profite et puis ça sera au tour de lautre » . Évidement, cest moi qui joui le premier, au bout de quelques minutes, dans la bouche de papa. Aussitôt, ma mère vient récolter une partie de mon sperme dans la bouche de mon père.
Puis un peu après, mon père vient dans ma bouche et jen laisse couler le long de mon menton ne sachant pas tout avaler. Maman membrasse et en prend une partie dans ma bouche, puis lèche mon menton pour récupérer le jus de mon père. Quel pied, jai pris avec mon père.
Nous allons nous rincer un peu, puis tout en restant nu, nous installons dans le salon. Tout en tripotant Annie, Léon et moi, nous discutons de ce qui cest passé. Mes parents me demandent quels sont mes sensations. Je crois que je ne connaîtrai pas souvent ça ou alors, il faudra que je fasse lamour avec des hommes et des femmes.
Mon père me rétorque quavant de rencontrer ma mère, il a continué longtemps avec ses parents. Mais quand jai rencontré Annie me dit-il et que jai fait lamour avec elle, jai stoppé ces rapports avec tes grands parents.
Cest quand tu as eu 16 ans, que ça à commencer à me turlupiner, ajoutât-il.
Jen ai parlé à ta mère. Elle ma dit quil nétait pas question de me forcer à faire lamour avec eux.
Puis la suite tu connais. Elle ajouta également, il faut dire que plus tu grandissais, plus lidée de faire lamour avec toi me hantait. Vers tes 15 ans, jai mis souvent des décolletés un peu plus profond et des robes un peu plus courtes et surtout avec des bas à jarretelles, connaissant leffet que ça faisait sur les hommes. Ça a bien fonctionné et jen suis ravie, termina telle
Ma mère nous dit quil commence à se faire tard.
Léon et moi rouspétons en disant quelle nous a promis de se faire prendre par ses deux hommes en même temps.
Elle souri en disant quelle navait pas oublié, quelle voulait voir notre réaction.
Pour notre facilité, nous montons dans la chambre de mes parents. Elle dirige la manuvre. Elle sinstalle sur le lit et nous demande de soccuper delle. Pendant que mon père lui fait minette, moi, je moccupe de ses seins, car je sais que les bouts sont très sensibles. Quand elle se sent assez excitée. Elle sassoit au bord du lit, prend nos bites en bouche et nous suce pour nous mettre en forme, travail inutile autant pour papa que pour moi, vu notre état dexcitation. Elle me demande de me coucher sur le lit. Elle sinstalle sur moi, son dos contre mon ventre. Elle prend mon sexe et le dirige vers son trou de cul. Cétait assez dur de la faire entrer, mais dès que mon gland est passé, le reste de ma bite suit facilement. Je lencule jusqu’à le garde, quel sensation. Elle me demande de ne pas bouger. Mon père connaissant la suite, se coucha sur nous, face à ma mère, la pénétra et rempli son vagin avec sa grosse bite. Il se trouva entièrement dans le sexe de ma mère. De sentir la pénétration du sexe de mon père au travers de la fine peau qui sépare lintestin du vagin, me fis un effet terrible. Léon donna le signal et nous commençons nos va et vient. Cétait terrible, dêtre dans le cul de ma mère, de la pistonner en même temps que mon père et de sentir en même temps le sexe de mon père contre la mien.
Comme nous étions dans les années 60 et que ma mère ne prenait pas la pilule, il nétait pas question de jouir dans son vagin. Entre deux orgasmes, maman me dit que je pouvais jouir dans son cul. Après plusieurs orgasmes de ma mère, mon père jouit le premier et bien entendu dans la bouche de maman, mais il men donna aussi vu que ma bouche était à côte.
A ce moment, jai explosé dans les intestins de ma mère.
Je me suis retiré et mon père a léché le cul de ma mère, pour récolter mon sperme qui ressortait.
Quelle soirée, Merci papa, merci maman
Mais nos soirées ont continué longtemps
La suite racontera mes relations homosexuelles avec mon père, ma défloration anale, la première pénétration dans le cul de mon père, tout en continuant nos rapports avec ma mère.
Des parties de jambes en lair à 3, ou bien uniquement avec mon père ou avec ma mère.
Et notre trio se formait souvent, presque tous les Week-end, sauf quand ma mère était indisposée.
Un soir que ma mère était grippée, Jentends mon père demander à ma mère, sil pouvait me rejoindre sans elle. Maman lui répond quil ny avait pas de problème. Elle lui dit quelle lui devait bien ça, vu quelle mavait fait lamour pendant 1 an sans lui. De plus, dit-elle, je suis trop malade pour participer.
Aussitôt, mon père monte me rejoindre dans ma chambre.
Il frappe à la porte, puis entre. Il me salue puis mexplique que ma mère étant malade, il lui a demandé son accord pour me rejoindre. Si tu es daccord, nous allons faire lamour nous deux, entre mecs.
Je navais jamais été enculé, je redoutais que mon père veuille le faire.
Je lui dis que javais des appréhensions, que ça devait être douloureux, surtout vu la largeur de son sexe.
Il dit que si je ne voulais pas quil mencule, il ne le ferait pas. Mais lui désirait se faire enculer par son fils, comme il avait été enculé par son père.
Ayant de toute façon envie de jouissance, je lui dis que jessayerai pour voir.
Nous nous déshabillons et nous nous couchons tête bêche. Chacun porte en bouche la bite de lautre, comme javais lhabitude de la faire, mais avec maman pour témoin. Nous nous suçons mutuellement et après plusieurs minutes de ce traitement, je jouis dans la bouche du paternel. Recevant ma semence, mon père lâcha la sienne dans ma bouche que je déglutinais avec gourmandise, jadorais le sperme, celui de mon père et le mien.
Etant épuisés, nous enfilons un short et un tee-shirt, nous descendons saluer maman et voir si elle navait besoin de rien. Elle nous demande comment ça allait mon père lui explique nous venions de terminer une fellation commune. Elle me demande de mapprocher et sens lodeur du sperme de mon père, puis elle fait la même avec son mari.
Quel dommage que je sois malade, nous dit-elle, mais avec la meilleure volonté du monde, je nai pas de force pour participer.
Je demande à ma mère, quand mon père la prend par dans le cul, est ce que cest douloureux. Elle me dit que la première fois, ça été un peu difficile, à cause de la largeur de la bite de ton père. Mais dés que le gland est passé, le reste suit naturellement. Et alors, me dit-elle quel pied se sentir cette grosse bite senfoncer dans tes intestins. Cest plus fort que dans le vagin.
Je lui explique que papa aimerais menculer, mais que jhésite un peu. Elle me dit que mon père avait été très doux avec elle, lors de son dépucelage anal.
Puis étant très fatigué, elle sendort.
Nous remontons dans ma chambre. Nous enlevons nos petits vêtements, nous reprenons notre position pour remettre en forme nos bites. Quand je bande, mon père, après avoir enduit ma queue et son trou de cul de vaseline se met à quatre pattes et me demande de lenculer. Japproche mon gland de son anus. Appuyant un peu, mon sexe pénètre facilement dans le cul de papa. Il commence à gémir et me demande de menfoncer le plus possible dans derrière. Quand je suis à fond, je lui demande si je dois faire comme avec maman. Il me répondit par un oui étouffé. Je commence mon va et vient dans les entrailles de mon père. Cest aussi bon que dans cul de maman. Il me demande alors de le masturber en même temps. Jattrape sa grosse biroute et tout en lenculant, je le masturbe.
Après quelques minutes, je sens mon sperme monté lentement. Je préviens mon père que jallais bientôt jouir. Il me demanda de bien rester à fond, dans ses intestins au moment de ma jouissance.
Après quelques va et vient de plus, je jouis en menfonçant à fond dans le cul de père. Celui-ci se mit à crier et il lâcha son sperme en même temps que moi.
Il sécroula sur le lit avec moi au dessus restant encore un peu dans le cul de mon père.
Etant trop épuisé, nous sommes descendu boire 2, 3 cognacs. Mon père ma demandé si jétais toujours partant pour ma défloraison anale, lalcool aidant, je lui répondis par laffirmatif.
Après une demi-heure, nous nous sentions près pour le dernier acte de notre soirée entre mecs.
Jallais passer à la casserole.
Nous nous recouchons sur le lit et nous nous suçons pour remettre nos bites en forme. Il fallut un peu plus de temps pour rebander correctement.
Quand mon père banda, il prit un pot de vaseline, en mit sur un doigt et lenfonça doucement dans mon cul. Cétait étrange mais pas désagréable. Il enfonça son doigt à fond, fit quelque va et vient puis le retira. Je me sentis un peu frustré, mais aussitôt, je senti mon père remettre de la vaseline, Il menfonça alors deux doigts en même temps. Ca fut un peu plus difficile, mais quand ses doigts arrivèrent dans mes entrailles, jai vraiment beaucoup aimé cette sensation. Il laissa plus longtemps ses doigts dans mon cul et chaque fois quil les ressortait, je sentais quil les écartait pour bien préparer mes entrailles à recevoir sa grosse bite.
Estimant que jétais prêt à me faire dépuceler, papa sorti ses doigts. Pendant quil enduisait sa biroute de vaseline, je me masturbais un peu, car je bandais mou.
Alors le dernier grand moment arriva. Je me remis à quatre pattes. Mon père approcha son gland de mon anus et je le senti contre ma rosace.
Tout doucement, je senti le sexe de mon père entrer dans mon cul. Ce nétait pas fort agréable au début. Cela devenait même un peu douloureux. Je le signalai à mon père. Il me dit que le plus dur était passé, son gland était déjà dans mon cul et que le reste allait suivre naturellement. Effectivement, dun seul coup, le sexe de mon père entra entièrement. Il resta sans bouger pendant quelques secondes Quelle étrange sensation que de sentir une bite, NON, la bite de mon père enfoncée dans mes intestins. Quand il commença à aller et venir, jai cru défaillir. Je navais jamais ressenti rien de pareil.
Au bout de quelques minutes, mon père prit mon sexe en main et me masturba. Il continua à me pilonner le cul, puis dans un cri de jouissance, lâche son sperme dans mes entrailles. Senti le jus de mon père arrosé mes intestins, je jouis également. Quel pied, mon père se retire et je sens la semence chaude de mon père ressortir de mon anus.
Je suis complètement épuisé. Mon père regagne sa chambre et moi, je mendors sans avoir le courage de me laver.
Le matin, ma mère, se sentant, mieux monte pour voir comment je me porte. Elle me trouve endormi dans le sperme de mon père. Tout en me caressant le visage elle me réveille gentiment. Quand jai repris mes esprits, ma mère me demanda ce que javais ressenti. Je lui ai dit que cétait incroyable cette sensation davoir une grosse bite dans son cul. Elle me dit quelle ressentait également plus de sensation quand mon père ou moi lenculions. Elle me dit que cétait deux sensations différentes. Avec ton père, me dit-elle, sa bite est plus large mais plus courte. Sa biroute est plus serrée dans mes intestins.
Avec toi, continua a-telle, elle moins grosse, mais bien plus longue. Elle est moins serrée, mais va bien plus loin dans mes entrailles, la sensation est plus forte.
Elle me dit que comme jaimais ça, le weekend prochain nous recommencerons devant elle. Mais quelle apporterait une variante. Pendant que jenculerai mon père, ma mère menculera avec son vibromasseur, quelle nutilise plus étant donné quelle a tous ce quil faut sous la main. Il me fit un gros patin, me demanda de me laver, de descendre les draps sales et en sortant, me fit un clin dil.
Nos relations mère, père et fils durèrent jusqu’à mon mariage et quand mon père décéda, de temps en temps jallais lui rendre visite seul et je lui faisais lamour. 2 ans après, elle tomba malade et nos rapports sexuels sarrêtèrent.
Jespère que mon épouse sera comme ma mère, aussi complaisance, pour faire autant avec mon fils plus tard. Mais ça ne dépend pas de moi.
Merci papa, et surtout merci maman.
