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Ma mère, pute et soumise – Chapitre 2

Ma mère, pute et soumise - Chapitre 2



Apres avoir été le témoin involontaire des dépravations de ma mère, je commençais à fantasmer sur elle. Je l’imaginais soumise à des hommes, se faisant défoncer à la chaîne dans des gangs bangs sordides qui se passerait au fond d’une cave. Ma mère mettait toujours des jupes courtes et des chemisiers. Toujours en talons aiguilles, je constatais à plusieurs reprises qu’elle était toujours attirante et que, quand elle se promenait dans la rue, elle ne laissait pas les hommes, de tous âges, indifférent. En ce qui me concerne, a partir de ce moment la, je ne pus que m’intéresser aux femmes d’âge mure. Les années passèrent.Je faisais la connaissance d’Annie sur un site de rencontre. Elle a 62 ans. Très vite, je lui racontais l’expérience que j’avais vécue et Je lui parlais de mes fantasmes et elle semblait tout aussi excitée que moi. Elle accepte souvent d’assouvir mes fantasmes qui sont de plus en plus pervers. Parfois, nous imaginons tous deux des scénarios ou ma mère tient toujours le rôle principale : le rôle d’esclave sexuel ! Annie rêve de pouvoir en faire sa soumise, de l’humilier, de la soumettre.

Un soir, en rentrant du travail, je découvre Annie assise dans le fauteuil du salon, habillée en veuve. Chapeau a voilette, tailleur noir, bas noirs et talons aiguilles. Ses jambes sont croisées très haut découvrant l’attache du porte-jarretelles. Elle se leva et vint vers moi. Sans aucun préliminaire, elle s’agenouilla mes pieds, sa jupe remontant sur ses cuisses. Fébrilement, elle s’attaqua à ma braguette, murmurant :

— Imagine que je suis ta salope de mère et que je vais te sucer..

Elle sortit ma bite et donna de petits coups de langues dessus. Elle la lèche de haut en bas, me faisant frissonner. La voilette vient effleurer ma bite tendue comme un ressort. Elle plongea sur ma queue et l’avala tout entière manquant de s’étouffer. Je donne des coups de reins, voulant m’enfoncer encore plus loin dans cette bouche accueillante. Elle poussa un gémissement et me titilla le gland avec sa langue. Ma bite fait des allers-retours entre ses lèvres pulpeuses. J’aperçois ses gros seins à travers l’échancrure de son tailleur. N’en pouvant plus, je me retire et relève Annie que je pousse en direction de la table du salon. Je la retourne et la courbe dessus. Je lui relève la jupe découvrant qu’elle ne porte aucuns sous-vêtements. Complètement excité, je la pénétrais. Elle poussa un petit cri en sentant mon sexe s’agiter dans sa chatte. Les mains crispées sur la table, elle gémit à chaque coup de queue. Mon ventre va claquer contre ses fesses. Je la pistonne violemment faisant bouger la table.Les mains crochées sur ses hanches grasses, je la besognais la faisant couiner de bonheur. J’accélérais mes coups de reins. Annie me sentant sur le point d’exploser me pris dans sa bouche, me suçant comme une folle. Je déversais mon sperme dans sa gorge en grognant.Annie, à genoux devant moi, avala ma semence, en me regardant avec une lueur perverse.

Ca devint vite une habitude..Nous imaginions, ma maîtresse et moi, des jeux érotiques basées sur la domination et la soumission ou toujours ma mère avait le beau rôle.Ou plutôt, le mauvais rôle étant donné que nous l’imaginions attachées, godées, bâillonnées, contrainte d’obéir aux pires perversions. Annie ne manquait pas d’idées, je dois le reconnaître. Un jour, nous décidâmes de suivre ma mère. Dans le but, inavouable, de trouver quelque choses à lui reprocher de façons a ce que nous puissions la soumettre à un chantage.Pendant plusieurs jours, je « filochais » (comme ont dit chez les flics) Marie. Un jour, elle sortit de chez elle, vêtue d’une jupe plissée noire avec un chemisier blanc et des bas blancs. Ses talons aiguilles crème claquaient sur le trottoir. Je la suivi discrètement, les yeux rivées sur sa chute de reins. Elle traversa le centre-ville, rentrant dans un immeuble. Tel un détective privé, je restais en planque, prenant mon mal en patience..

Elle ressortit deux heures plus tard accompagnés d’un homme que je supposais être son amant, fallait pas être sorti de Saint-Cyr pour comprendre ça.Au fil des jours, je compris que ma mère avait plusieurs amants qu’elle rencontrait régulièrement. Un jour, j’eus le culot d’aborder un de ses amants, un grand type, style « ouvrier ».D’abord inquiet d’être abordé par le fils de sa maîtresse, je le mis vite en confiance et lui demandais des détails sur sa relation avec Marie.

— Ta mère ? C’est une sacrée salope, tu peux me croire ! Elle est très soumise, elle aime se faire dominer.Y à des femmes qui prennent leur pied que comme ça.

Le soir, je racontais tout ça à Annie..

— Elle aime être dominée ? On ne va pas la décevoir..

Et un plan diabolique fut mis au point..

J’ai mis la photo de ma mère sur Internet, sur un site d’esclaves soumises louées par leurs maîtres. Ce genre de sites pullule sur le Web.Sous la dénomination « Bourgeoise en cours d’éducation cherche mâles TTBM (très très bien montés) pour gang bang. »

Très vite, j’eus des volontaire, surtout des blacks ce qui excitait prodigieusement Annie qui imaginait déjà Marie gueulant sous les coups de pines.Je lui achetais un gode ceinture en prévision de la voir enculer ma mère.

Nous sommes samedi soir, J’ai invité ma mère à venir manger chez moi. 5 blacks sont déjà arrivés et je les ai cachés dans la chambre d’à coté avec Annie qui pour l’occasion, c’est habillée « dominatrice ». Elle est vêtue de cuissardes en vinyles et d’un bustier à moitié transparent. Elle a même déniché un fouet.Coup de sonnette.Ma mère entre et me fait la bise. Elle est habillée très BCBG ; Ce qui m’excite encore plus. Une jupe noire, courte, sur des bas noirs et des talons aiguilles. Elle ne porte rien sous son élégante veste blanche. Je lui propose un verre et elle accepte une coupe de champagne. Elle s’assoie dans le canapé avec moi. Elle croisa les jambes, sa jupe remontant très haut sur les cuisses. Je me demande si elle a mis des bas.la connaissant, sûrement. Elle me demande ou en est ma vie amoureuse. Je lui parle d’Annie qu’elle ne connait pas. Quand je lui dis qu’elle a 62 ans, ma mère s’insurge :

— Quand même ! Tu pourrais prendre une fille de ton âge ! Ce genre de femmes, tu sais, c’est des salopes !

Entendant cela, Annie folle de rage sortit de la chambre accompagnée des « invités » tous vêtues d’une cagoule pour éviter d’être reconnus. Ma mère se leva précipitamment, affolée !

— Mais, mais, Anthony, qui sont ces.

Elle ne trouve plus ces mots, terrorisée par la présence des ces hommes cagoulés.

Annie s’approcha de ma mère et lui agrippa les cheveux !

— Petite salope, ça se fait sauter par tous les trous et ça veut donner des leçons de morales.

Elle tira sur les cheveux de maman qui couina. A petit coup de fouet sur ses fesses, elle la contraignit à s’agenouiller à terre.

Cherchant du secours, elle me lança :

— Mais enfin.Anthony, fais quelque chose !!!

— Ton fils ! s’exclama Annie, il sait que t’es une grosses salope, il t’as vu te faire défoncer comme une chienne par deux types quand il était enfant !

Devant cet aveu, ma mère blêmit..Annie la redressa et ouvrit la veste blanche découvrant un soutient gorge blanc en dentelle contenant avec peine l’opulente poitrine de ma mère. Elle baissa d’un geste rageur les balconnets et commença à mordiller les pointes de ses seins. Marie tenta de se dégager mais je vins porter secours à ma maîtresse en ramenant les bras de ma mère dans son dos. Je lui liais les poignets avec une paire de bas que j’avais pris soins de cacher. Les blacks commencèrent à se déshabiller, leurs sexes sont déjà en érections, impressionnants, énormes.Farfouillant sous sa jupe, Annie écarta le string et plongea deux doigts dans la vulve de maman qui sursauta !

— Non, pas ça.

— Te fous pas moi, traînée, t’es trempée.

Elle me montra triomphante ses doigts maculés de mouille. Je m’accroupis et soulevant carrément la jupe, je découvris les bas noirs accrochés au porte-jarretelles. On ordonna à Marie d’enlever son string et elle s’exécuta, rouge de honte. Annie s’occupa de la veste. Ma mère se retrouva la chatte à l’air, jupe troussée, en bas et porte-jarretelles devant 5 blacks montés comme des ânes.

Et les humiliations commencèrent..Les seins ballotant, Marie doit avancer à quatre pattes dans l’appartement, le cul rougi par Annie qui lui donne des coups de fouet tous en l’insultant. Elle lui a passé un collier avec une laisse autour du cou pour la promener comme une chienne..Maman avance péniblement sur le carrelage, ses bas sont filés. Elle me jette un regard implorant mais je suis trop excité pour songer à la secourir.Tirant sur la laisse, Annie, prenant son rôle de dominatrice très au sérieux, amena ma mère au milieu du cercle formé par les 5 blacks. Ordonnant à ma mère de les sucer. Maman voulut protester.Quelques coup de fouet la fit taire. Elle avança à genoux vers une des bites qui arrivait à mi-cuisses du type !!! Elle l’empoigna et le mit dans sa bouche avec une grimace de dégoût. Le black agrippa ses cheveux et s’engouffra dans cette belle bouche BCBG.Il fit coulisser son membre imposant entre les lèvres rouges de ma mère qui hoqueta, manquant vomir de dégoût..Annie c’est accroupie derrière elle et lui a plonge ses doigts dans sa chatte, elle lui déniche le clitoris et la branle en agitant sa main violemment ! J’ai pris mon appareil photo numérique et je fais quelques clichées..Ma mère pompe la bite d’ébène qui coulisse entre ses lèvres.Elle suça plusieurs queues, la bouche déformés par l’épaisseur des bites. Elle se comporte comme une chienne, pompant, suçant, salivant sur les queues.Un des blacks positionna son énorme braquemart entre les seins de ma mère et se fit faire une branlette espagnole.On oblige Marie à branler des bites de ses mains manucurés….Ma mère halète cherchant à reprendre sa respiration des qu’une bite sort de sa bouche, aussitôt remplacée par une autre.

Annie releva maman et la courba en avant. Bien campée sur ses talons aiguilles, elle dut sucer un des types pendant qu’un autre la pénétrai, ses mains accrochés a ses hanches ; Il lui donna de violent coups de reins, son corps tressautant a chaque coups de boutoirs..Annie c’est approché de moi et s’emparant de ma bite en érection, elle me demande si ça m’excite de voire ma mère se faire baiser comme une chienne. Elle me dit que dorénavant, ce sera notre esclave, qu’on va lui en faite baver.Elle sera livrer pour des gangs bangs.Louer a des pervers.Avec un sourire pervers, elle me poussa vers Marie, toujours ramoné par le black. Marie leva les yeux, de la soumission plein le regard et plongea vers ma bite, me suçant comme une possédée.sous les rires d’Annie qui s’exclama :

— Je le savais bien que c’était une chienne ta mère.

Une queue dans le vagin, ma bite dans sa bouche, elle me lança un regarde perdue. Le black faisait coulisser sa bite dans un mouvement tantôt lent, tantôt rapide.Maman poussait des gémissements plaintifs. Je sentais sa langue s’enrouler autour de mon gland.Le black qui le besognait libera son sperme qui s’écrasa sur le dos de ma mère..Un autre pris sa place.la bourrant sauvagement.

Cela dura ainsi de longues heures, maman fut prise la chaîne comme une vulgaire pute. A quatre pattes sur le carrelage, elle dut subir les multiples pénétrations des ces 5 blacks déchaînés.Elle gueula comme une possédée quand on l’encula a tour de rôle.Je l’ai enculé aussi, mon gland a déchiré son trou du cul et maman a gémit tout le temps ou je la sodomisais. On la laissa un moment, le temps de récupérer. Annie se l’appropria. Maman fut contrainte de lui lécher la fente, elles se gouinèrent devant nous. Annie enfila son gode ceinture et baisa ma mère par tous les trous, la faisant hurler de jouissance. Je pris des photos, beaucoup de photos.

Annie, les mains agrippées aux hanches de ma mère était en train de la défoncer a grand coups de reins quand elle se retira et décréta qu’il était temps d’en finir.Maman fut positionner a genoux et nous tout autour, la queue dans nos mains, se masturbant.Les traînées de sperme giclèrent allant s’écraser sur le visage de Marie. Elle en reçue des litres !!! Dans les cheveux, sur ses lèvres, les filaments coulèrent sur son menton.Ses seins furent maculés de sperme.

Les 5 blacks sont partis.La nuit est tombée…Annie et Marie s’embrassent a pleine bouche devant moi. Maman a gardé son collier et sa laisse. Annie lui donne des instructions.

— Tu seras notre esclave soumise, une bonne petite chienne ! Tu viendras nous voir tous les week-ends et chaque fois tu devras nous obéir… On va mettre les photos que ton fils a pris sur le site ou t’on annonce est parue, on va vite trouver d’autres volontaire, tu seras leur vide-couilles.

Maman baisse les yeux, totalement domptée !

Voila comment ma mère est devenue ma pute soumise.Il y a eu d’autres rencontres, d’autres perversions dont ma mère a été la victime (consentante je vous rassure).Peut être qu’un jour, je vous les raconterais..

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