Les jours suivants, j’essayais, en l’observant, de percevoir un indice, une attitude ambigüe, qui confirmerait sa complicité, mais à l’évidence, elle ne me montrait aucun signe d’encouragement.
Au contraire même, dès qu’elle revenait du travail, elle se changeait aussitôt, enfilant les vêtements les plus amples possibles ne laissant rien paraitre de ses formes. Nous allions régulièrement voir mon père qui se remettait tout doucement. A ce rythme, il serait de retour parmi nous avant que je n’ai pu faire quoi que ce soit avec maman.Je n’avais plus le temps de tergiverser.
De toute façon, complice ou pas, maman avait une nature soumise, et ce n’était pas elle qui prendrait la moindre initiative pour aller plus loin. Elle aimait subir, donc, il fallait que je fasse progresser les choses de mon propre chef.
Mais comment. ? La forcer jusqu’au viol ?… pas question. je ne voulais pas de ce style de sexualité entre nous.
Il me fallait agir de manière plus soft, mais rester suffisamment persuasif et décidé pour qu’elle n’ait aucune envie de refuser. Je sentais instinctivement que si je lui montrais mon désir irrépressible pour elle, maman ne se refuserait pas à mes fantasmes, parce que c’était sa nature profonde de se soumettre, et que sa position morale sur l’inceste, volerait en éclat devant son envie de se soumettre sexuellement à son fils. Et puis je comptais aussi sur son abstinence forcée pour favoriser mes desseins.
Bien décidé à prendre les choses en main, préparé mentalement à prendre le dessus sur elle, j’attendais de pied ferme son retour du boulot. Quand elle franchi la porte d’entrée, j’étais prêt.
Après quelques banalités échangés concernant nos journées respectives, et alors qu’elle s’apprêtait à monter dans sa chambre pour mettre ses larges nippes, je l’interpellais :
— tu vas faire quoi maman ?
— Je monte me changer mon chéri.
— tu vas pas encore mettre ces affreux vêtements !! Tu as l’air d’un sac là dedans. Moi j’aime bien quand tu es habillée plus féminine.
-.Mais. Chéri.
— Je veux que ce soir, tu restes habillée comme au bureau, c’est pas juste que seuls tes patrons te voient bien habillée et pas moi !!!
— . mais. je ne me sens pas à l’aise dans ces vêtements que j’ai porté toute la journée.
Elle ne m’a pas envoyé balader !!! Elle essaye de négocier !! Et bien négocions.
— D’accord tu peux aller te changer, mais tu mets les habits que tu avais prévu de mettre demain pour aller travailler, l’ensemble en daim OK ?
-. je n’avais pas prévu cet ensemble.
— Bon. tu sais quoi, on va monter et on va choisir ensemble ce que tu vas mettre ce soir !
-. euh. d’accord mon chéri.
— Vas prendre ta douche et appelle moi après.
— Oui missié fait elle en souriant.comme missié voudra.
Et elle monte joyeusement à l’étage faire ses ablutions.
Dés qu’elle n’est plus dans mon champ de vision, je m’affale sur le canapé, abasourdi !!!
Ça a été si facile !!!! Aucune colère, aucun refus, rien !! Juste des arguments certes recevables mais qui en aucun cas ne remettraient en cause la finalité du débat. Elle va s’habiller pour moi. pire elle va me laisser choisir moi-même sa tenue. Je me mets à bander rien qu’en pensant à ce qui va se passer dans quelques minutes.
Ce qui m’a également agréablement surpris c’est l’air joyeux qu’elle avait à la fin de notre conversation, comme si un poids avait disparu de son estomac.Comme si le fait d’être sous mon autorité la soulageait. C’est ça !!! Mon père n’étant plus capable de jouer ce rôle depuis plusieurs semaines, elle était perdue. En agissant ainsi, j’ai rétabli un équilibre en elle, ce qui explique son soulagement !!!
Apres cette discussion, je sais que j’ai gagné, sans même réellement combattre, et que j’arriverais à lui imposer ce que je veux, sans beaucoup de résistance. A commencer par la tenue ultra sexe que je vais lui faire enfiler ce soir !
Enfin si elle en a une, parce que ce que je lui ai vu porter est certes féminin, mais à ma connaissance elle n’a pas de tenue hot. Ou bien je ne les connais pas. Nous verrons ça ensemble tout à l’heure. Je suis maintenant parfaitement calme et je pense que je vais bien m’amuser en m’ingéniant à la mettre mal à l’aise, à la pousser, à voir jusqu’ou je peux aller avant qu’elle ne se rebelle et refuse. A voir si elle refuse quelque chose. Je réfléchis vite, froidement, d’abord le haut, puis la jupe, et ensuite, les dessous. Oui, je vais lui demander de me montrer aussi ses petites culottes et ses soutifs, peut-être même vais-je découvrir des fanfreluches que je ne lui connaissais pas.
Je ne suis pas particulièrement fétichiste, je ne suis jamais allé fouiller dans son armoire, cherchant ses dessous sexy. Je ne suis jamais allé non plus fouiller son linge sale pour renifler ses petite culottes imprégnée de son odeur intime, mais je trouve hyper excitant de l’amener, elle, à me présenter ses dessous et a me laisser choisir le bout de tissu qui lui couvrira la chatte.
Surtout que maintenant, sa chatte étant épilée, la transparence de la culotte choisie me permettra d’admirer enfin ses lèvres intimes. Et cela, elle le saura en ouvrant son tiroir à lingerie.
J’étais en plein milieu de mes fantasmes quand j’entendis la voix de maman qui m’appelait
— Chéri. !!! J’ai fini ma toilette tu peux venir !!!
. Le jeu allait vraiment commencer maintenant..
( à Suivre.)