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Ma nièce – Chapitre 3

Ma nièce - Chapitre 3



’Ma nièce’, chapitre 3.

Résumé des chapitres précédents : dans le premier chapitre, j’ai débarassé mon adorable nièce de vingt ans de son inutile pucelage. Dans le deuxième chapitre, ayant trouvé la chose agréable, elle en a redemandé alors que nous étions dans la piscine. Initiation à la fellation, à la pénétration en levrette, et enfin debout dans la douche. La coquine y prend sacrément goût !

CHAPITRE 3 : LE REVEIL

Des bruits de départ me réveillent au matin, moteurs, portail qui se referme. Mais bon sang quelle heure est-il ? Oh, déjà ? Tout le monde est parti à la messe, me laissant, misérable de peu de foi, garder la maison. Hummm ! Que cette nuit était bonne ! En me couchant, je n’ai pas pu m’empêcher de repenser à Marine, au plaisir que j’ai eu avec elle à la piscine et sous la douche : cette fille est vraiment faite pour baiser ! Elle est vraiment un régal, à la fois naïve et délurée, sans expérience et experte, complètement désinhibée, trouvant d’instinct son plaisir et le mien, offerte et disponible, curieuse de tout. Ces pensées m’avaient quelque peu émoustillé, mais je me suis contenté de quelques caresses et je me suis retenu d’aller plus loin.

Pas un bruit dans la maison, et je me lève aussi nu que j’ai dormi, une légère érection matinale pour tout vêtement, mais ça ne risque pas de déranger qui que ce soit, hormis un chat ou des petits oiseaux qui me regarderaient par la fenêtre. Les portes des chambres sont toutes ouvertes, les volets aussi, tiens sauf ceux de la chambre de Marine qui a dû se réveiller à la bourre. M’approchant pour les ouvrir, je découvre qu’en réalité elle est encore au lit, dormant profondément… La tête du lit étant tournée vers la porte je vois la masse soyeuse de ses cheveux coulant autour de son front nu, à la peau joliment ambrée, le bout de son nez qui dépasse, et une épaule ronde à moitié découverte par le grand t-shirt qui lui sert de chemise de nuit. Hummm… elle est à croquer, cette fille-là ! Je vais pour lui déposer un baiser tout à fait innocent sur le bout du nez, mais en m’approchant, je découvre que son drap est tombé au pied de son lit, et que son t-shirt est remonté pratiquement sous ses aisselles, dévoilant son corps nu, ses seins dont les coups de soleil ont un peu diminué, son ventre bien bronzé, sa toison claire sur son bas-ventre pâle. Mon esprit s’enflamme immédiatement et ma bite se redresse, je fais trois pas de plus et choisis de déposer un baiser nettement moins innocent sur cette toison si douce et si tendrement offerte. Marine n’a aucune réaction, preuve qu’elle dort bien (conséquence de nos parties de jambes en l’air d’hier ?), mais ça me frustre un peu, ou bien tout simplement j’ai envie d’un peu plus… Toujours est-il que je me penche à nouveau sur son ventre, et profitant qu’une de ses jambes pend sur le côté du lit, je pose mes lèvres sur celles de sa chatte. Je respire l’odeur douce de son corps tiède, où pointe à peine celle un peu plus pimentée de son sexe. J’embrasse sa vulve du haut en bas, et ma langue en remontant parcourt sa fente hermétiquement fermée. Cette fois, Marine réagit, ouvre à peine les yeux et découvre ma tête entre ses jambes. Elle devine tout de suite d’où vient cette sensation de caresse excitante et murmure : ’hummm, c’est bon, c’est divin d’être réveillée comme ça !’ Pour offrir totalement son sexe à ma bouche, elle laisse pendre son autre jambe de l’autre côté du lit, écartelée. Attend, Marine, il y a mieux que ça ! Je lui prends doucement les chevilles et les remonte, l’installant comme une grenouille, les genoux remontés et les cuisses grandes ouvertes. Elle m’a laissé faire, confiante, et se retrouve maintenant toute offerte, le sexe légèrement béant, le clitoris pointant un peu entre les lèvres. Oh, toi, petit clito, ça va être ta fête ce matin ! Je bande terriblement à ce spectacle, et je suis obligé de me déplacer légèrement à cause de la raideur de mon sexe appuyé au bord du pied du lit. Je pose à nouveau mes lèvres tout en bas de sa chatte, et d’un coup de langue, je remonte jusqu’à son clitoris. ’Han !’ Marine se cambre sous la surprise, mais tend son ventre vers mes lèvres. Du bout de la langue, je titille son bouton qui pointe de plus en plus fort, sortant de son capuchon plissé. Alternant lèchements et suçottements, j’entraîne Marine dans des mouvements convulsifs du bassin, accompagnés de soupirs, de petits cris de plaisirs, au rythme de ses sensations. Son clitoris est tendu comme une bite de petit garçon, je le prends dans ma bouche, je le suce, je l’aspire entre mes lèvres, ma langue en explore tous les recoins. Mes lèvres redescendent, je rentre ma langue dans la fente béante et goûte les sécrétions mielleuses de Marine. C’est qu’elle a bon goût, en plus ! Je me régale de son jus, glissant ma langue au plus profond, parcourant les parois de son vagin. Elle pose ses mains sur ma tête, alternativement suivant et guidant mes mouvements, et je suis ses pressions de toute la mesure de ma langue. La bouche grande ouverte, elle geint à voix haute, elle a les seins tendus, le ventre contracté : qu’elle est belle, quand elle fait l’amour ! Mes lèvres remontent le long de sa fente, atteignent son clitoris rose que je reprends dans ma bouche. A nouveau, je le suce, le lèche, ma langue s’enroule autour de lui. Marine geint et râle en continu, elle ne contrôle plus les mouvements de son ventre qui oscille à la recherche d’un plaisir total. Doucement mais soudainement, je mordille son clitoris : Marine se cambre violemment, s’arc-boute, et elle jouit d’un coup, la respiration coupée, tendue comme un arc. Je ne donne plus que de tout petits coups de langue, qui l’agitent à chaque fois d’une décharge électrique et tend un peu plus son corps. Laissant enfin échapper l’air de ses poumons, elle repose ses reins sur le lit, les bras ballants, totalement comblée. Je remonte un peu, embrassant au passage sa toison, son ventre, y essuyant au passage mon menton couvert de sécrétions et de salive, je glisse ma langue dans son nombril, ce qui la fait rire, d’un petit rire frais et clair. Je continue mon ascension jusqu’à ses seins, entre lesquelles j’enfouis mon visage, je les embrasse et j’en suce les bouts. – ’Oh, ce que c’était fort, ce que c’était bon, ta langue dans mon ventre !!! J’adore ça ! Et toi ?’ – ’Bien sûr moi aussi j’ai aimé ! Tu sais quoi ? Tu as très bon goût.’ Le compliment inattendu la fait rougir, à l’évocation de ma langue fouillant dans son sexe et y goûtant ses sécrétions les plus intimes. Mais elle enchaîne, pour changer de conversation : ’tu sais, ta bite m’a quand même manqué !’ Ohhh ! Marine, quelle cochonne ! – ’Mais ça n’est pas un problème, ma grande, je peux réparer ça.’ Je continue à remonter vers son visage, mon gland vient toucher sa vulve. En écrasant un peu mon ventre sur le sien, je pénètre facilement son sexe bien huilé… – ’Oh, encore ?’ Mais c’est plus une invite qu’un reproche ! – ’Tu ne veux plus ? Je croyais que ma bite t’avais manqué ?’ – ’Hummm, si, viens dans mon ventre, viens, viens vite et fort !’ dit-elle sur un ton gourmand. Je me soulève un peu en me remontant, et d’un coup, je la pénètre jusqu’au plus profond de son sexe. ’Ouch !’ réagit-elle, avec tout de même un léger mouvement de recul du bassin, un peu estomaquée par ma pénétration sans ménagement. Il lui faut quelques secondes pour admettre mon membre dans son vagin, mais d’elle-même elle entame un mouvement de reins qui me fait aller et venir en elle. Tiens, c’est la première fois que nous faisons l’amour ’normalement’, couchés dans un lit, et moi sur elle… Je la laisse ainsi conduire le mouvement un moment, tout au plaisir de la sentir me faire l’amour, et je joue même un peu le voyeur. Je suis ses gestes, ses réactions, son visage, son souffle, sa poitrine qui se soulève, ses seins qui durcissent, leurs aréoles qui s’élargissent. Fichtre qu’elle est bandante ! Je ne peux plus me retenir, et j’accompagne ses mouvements, parfois les amplifie, parfois les contrarie. Par moment elle me laisse faire, par moment elle reprend les rênes, par moment elle m’accompagne. Je joue à ne la pénétrer que du bout du gland et à sortir complètement d’elle, mais ça nous excite tellement tous les deux que je renonce vite à ce petit jeu pour ne pas jouir tout de suite. J’ai envie que ça dure un peu plus. Et de fait, ça dure longtemps. Longtemps nous jouons avec nos sens, avec la montée de notre plaisir. Marine ne mesurant pas encore très bien l’approche de mon orgasme, je suis parfois obligé de la tempérer un peu, mais elle sent bien le sien, et elle apprend à faire durer le plaisir. Nous nous arrêtons même parfois de bouger et restons l’un dans l’autre sans bouger, à nous dire des mots doux, à nous embrasser. Les mouvements de l’un coupent rapidement la parole à l’autre et nous continuons à jouer à la limite de l’orgasme. Mais ça ne peut pas durer éternellement, et quand Marine dans un souffle dit ’j’peux plus, j’peux plus !’, je sais qu’elle va se laisser aller au plaisir. Je me rue en elle, je précipite mes mouvements, et je la vois sombrer dans un plaisir qui dure, qui dure… Je me retiens encore le temps qu’elle reprenne un peu ses esprits, et je recommence doucement mes mouvements jusqu’à lui offrir ma propre jouissance, sans aucune retenue. – ’Oh, c’est beau, c’est beau…’ balbutie-t-elle alors que mon sperme finit de gicler dans son ventre. J’ai l’impression d’en déverser des litres en elle ! Brisé, je m’écroule sur elle, collant mes lèvres aux siennes, submergé par une gigantesque vague de tendresse partagée. Il nous faut encore de longues minutes de bisous avant de nous décider à nous relever pour aller prendre notre petit déjeuner, tous les deux un peu tiraillés par la faim. Fichtre, quels dégâts ! Il faut que Marine change ses draps, mon sperme a largement coulé de son ventre, et une vaste auréole plus que suspecte s’étale au beau milieu !

— La suite dans ’ma nièce (4)’ !

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