Les courses du matin me plaisent de plus en plus. Je trouve toujours des femmes prêts à discuter de tout et de rien. Jaime les entraîner vers ses rivages que bien souvent elles ne connaissent que par ouïe dire. Dès fois jai la chance de la semaine. Hier jai rencontré Rosine, une nouvelle dans le quartier. A peine plus grande que moi, aussi rousse que je suis brune. Ce sont ses yeux verts qui mont attiré dabord. Fardée à peine, les lèvres prometteuses, bref elle mattire. Je suis invitée chez elle pour le café. Pleine despoir je suis assise dans un profond divan qui sent encore le neuf. Pour sa part nest normal, pour moi cest le début.
Le café oublié, elle vient près de moi pour parler chiffon. Jarrive à détourner à peine la conversation vers les dessous. Je lui dit ne rien porter sous ma robe. Elle me montre vite fait sa culotte : une uvre dart de broderie.
Je reconnais la valeur de la chose, jy pose même la main rien que pour toucher le tissu. Pour une fois je me laisse surprendre. Elle prend ma main la pose carrément sur le slip. La main à plat sur le pubis, je me sens gênée comme pour ma première fois.
— Tu sais, tu peux toucher.
— Je nose pas trop;
— Ose, jaime ça.
Ainsi elle avoue quelle aime que je la touche. Moi jaime toucher les filles, leur faire des choses câlines. Tant pis pour elle, je vais lui faire subir les derniers outrages quune femmes puisse donner à une autre.
Jégare un doigt tout seul sur sa fente. Oh, je ne lai pas fait exprès. Pourtant même si jai lair fautive, je me laisse aller à mes instincts. Je sens mon ventre se crisper : jai envie delle. Je la veux. Là sa fente souvre à peine. Je sens un début dhumidité.
— Non, il ne faudrait pas que
— Que quoi;
— Que vous. que tu ailles plus bas.
— Dommage jaimerai de faire connaître dautres chose quune queue.
— Cest pas bien.
— Mais cest bon.
Elle ne va pas me faire perdre mon temps à discuter, ou elle veut ou cest non. Pour moi cest oui, jai envie delle;
Je continue le début de mes privautés. Rosine se laisse faire enfin. Je peux entrer dans sa fente aux délices. Elle est toute humide. Mes doigts glissent sur elle. Certains hommes diraient quelle est bonne. Moi je ne pense quà son corps à venir contre moi. Ma tête est contre la sienne, nos chevelures se mélangent. Je lembrase rapidement puis profondément quand elle maccepte. Nos langues jouent un long moment.
Ma main comment ses caresses : sa chatte est douce. Je la goûte avec mes doigts, elle me donne envie de la lécher complètement tellement le goût est excitant. Cest le plus dur pour une première fois.
Le majeur en avant sur ce que je trouve : son clitoris Je la masturbe un moment : elle ne proteste pas. Cest à la fois agréable et angoissant cette première caresse : elle peut me rejetterai avec une gifle, patienter ou accepter. Rosine accepte la caresse. Il faudrait être difficile pour ne pas apprécier ce que je fais aux filles, depuis le temps.
Ce que jattendais arrive enfin, elle écarte ses jambes. Je suis libre daller où je veux, daller dans tous ces coins stupéfiants à caresser. Ma paume est sur une cuisse. Elle es douce, presque trop. Elle me fait trop mouiller.
En passant deux doigts sous cette fameuse culotte, je trouve des poils, ce qui me va, au
moins elle est naturelle.
Lhumidité de son sexe ne me trompe pas, elle a envie elle aussi. Ses lèvres me semblent trop gonflées. Le bouton lest autant. Il plie sous la légère pression de mon doigt. Je prend un plaisir énorme à la branler. Elle en prend au moins autant. Elle emprisonne ma main entre ses cuisses serrées au moment où elle éclate en orgasmes.
— Rosine, à toi de me caresser.
— Je noserais jamais faire ça à une fille.
— Je viens de te le faire. A mon tour de jouir.
Je ne sais si mon « discours » la convaincue, en tout cas je sens un main venir sur mes seins. Elle me pelote parfaitement. Seule, sans que je demande la suite, elle est sur le nombril. Je baisse le jean lui offrant ma féminité. Enfin elle met sa main sur moi, sur ma figue mure, trop mure qui coule.
Ma fente est ouverte. Elle en trouve larrivée. Pourvu quelle arrive en bas un peu plus tard après mavoir donné un bel orgasme.
Deux doigts caressent de chaque coté du clitoris, à croire quelle sait comme me faire jouir. Je pars assez vite, trop vite : elle continu sur le sexe avec deux doigts dans le canal. Je ne sais ce quelle touche, elle me fait encore jouir. Elle descend encore plus bas. Elle ne va pas oser aller jusque là.
Elle caresse doucement le tour, insiste jusquau moment ou mon anus souvre seul La caresse ultime me donne le dernier frisson.
Rosine nest pas satisfaite.
Nous sommes nues dans ma chambre. Nos seins se caressent lentement. Cest doux. Nous nous embrassons comme de jeunes amoureux. Je ne sais pourquoi jattends moi la suite alors que je lai abordée. Elle devient plus folle que moi, elle me veut. Ses lèvres sont partout sur mon corps. Je louvre comme elle veut. Son corps écrase le mien : elle est pourtant plus légère quun homme.
Sa bouche descend toujours, elle me suces les orteils, les uns après les autre. Sa langue vient entre mes jambes. La douceur de lintérieur de mes cuisses lattire. Elle touche tout mon sexe. Que je la veux sur moi, en moi.
Elle passe sa langue sur mon abricot. Cest bon, jen veux encore. Non quelle ne me lèche pas encore? Par pitié, un instant, madame le bourreau. Sans pitié elle me donne sa bouche. Elle mangue ma chatte. Cest bon, je vais mourir. Encore, lèche moi encore, encore plus. Rosine entre deux doigts dans le petit trou. Cest meilleur quune bite.Mon Dieu sa langue va me faire partir encore,
Qu’est-ce que je vais dire à mon mari quand je raconterais mon après midi. Pas tout encore une fois : il me baisera à fond comme il sait faire quand je lui raconte mes aventures féminines. Je nose pas lui raconter mes baises avec dautres que lui, il est jaloux.