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Ma nouvelle – Chapitre 1

Ma nouvelle - Chapitre 1



La première fois que je l’ai baisée c’était pendant une sortie entre copains. Nous étions une bande de joyeux farceurs, elle en faisait parti. Un copain lance une idée idiote: les derniers nus devrons baiser devant les autres. Cette nana me plaisait pas mal. Je m’arrange pour finir le dernier, en tout cas juste après elle qui s’était prise comme une manche pour ouvrir son soutif. Pari perdu, il faut raquer. Donc je m’approche de la donzelle qui pour le coup me parait sexy, baisable, même devant les autres. De toute façon je me doute de la fin: ça va dégénérer en partouze. Autant que je profite le premier des appâts de la fille. Je m’approche d’elle qui me jette un regard suppliant, comme pour me dire de ne pas lui faire de mal. Je ne lui veux aucun mal, au contraire.

Je la prends dans les bras. Elle est comme une morte, ne bouge plus pour me signifier qu’elle ne participera en rien à la suite. Je pose ma bouche sur la sienne, j’essaie de rentrer ma langue. Elle ne desserre même pas les lèvres. Tant pis pour elle si elle refuse de m’embrasser. Je lui caresse les seins en faisant des huit sur sa poitrine. Toujours comme une statue, je me décide à employer les grands moyens: je lui met directement la main là où les filles refusent toujours. Je suis obligé de lui faire écarter les jambes en passant une des miennes entre les siennes. J’ai ainsi ouvert ses cuisses. Je ne cherche pas longtemps son clitoris. J’y pose deux doigts légers, leurs fait frotter l’ensemble de son bouton.

Enfin une première réaction: elle écarte un peu plus les jambes me facilitant encore le passage. Cette fois je la branle comme je veux. Enfin elle consent à ouvrir sa bouche à ma langue. Pour le moment ce petit rien me laisse espérer qu’elle va finir par se détendre complètement. Je continu ma manuvre quand soudain elle se crispe en jouissant. Je laisse ma main là où elle est. Je recommence la masturbation. Elle s’éveille maintenant: c’est comme si elle se rendait compte que j’avais une queue. Enfin elle la prend à pleine main et commence elle aussi à me branler.

Les copains et copines autour de nous s’agitent enfin. J’en vois certains qui sont bien plus en avance que nous puisque déjà un couple est couché, lui dessous, elle la pin déjà dans le con. Les deux filles en surnombre ne gênent absolument pas pour se caresser également: elles vont finir pas un 69, je le sens déjà.

Ma future amante dessalée continu ses travaux de sape. Elle me branle à sa façon: elle fait coulisser sa mains sur mon membre, la monte vite, la descend encore plus vite et arrête tout, en tirant encore plus sur le prépuce avant de recommencer. Si elle continue je vais jouir.

Je la fait se coucher sur l’herbe, elle se plaint de ne pas être à l’aise. Tant pis pour elle. Elle écarte ses jambes, prend ma pine pour se masturber avec un moment, jusqu’à une autre jouissance. Je pense que pour une fille qui ne voulait pas baiser elle est plutôt agissante.

Enfin après un autre orgasme elle me fait entrer dans sa moule. J’avoue que l’intérieur de son con est l’un des plus agréable que j’ai connu. J’y glisse sans aucun problème, sinon que le plaisir est parfait. De son coté ce doit être pareil: elle gémit maintenant continuellement. Elle devance même mes allers et retours. Je me retiens pour ne pas jouir avant elle. Je n’avais pas à m’en faire de ce coté: elle jouit encore plus.

Elle fait un mouvement pour que ma queue sorte de son vagin Je pense qu’elle en a fini. Elle se met sur le ventre, ouvre ses fesses, les écarte encore plus avec les deux mains. Elle me donne son cul. Si elle aime la sodomie je vais lui en donner: j’adore prendre le cul d’une fille presque autant que la baiser.

Je ne fais que passer son sphincter sans me préoccuper de son plaisir immédiat. J’ai raison d’avoir agis ainsi: elle se plaignait en disant que je lui faisait mal au début. Quand elle l’a eu totalement au fond, à tel point que mes couilles battaient contre ses fesses, elle commençait à gémir pour finir par jouir encore et encore. Je ne pouvais plus tenir: je jouissais dans son anus. Je sortais d’elle à moitié bandant. Elle se tournait pour me prendre la bite pour me la laver à sa façon: elle m’y mettait pas mal de salive. Quand elle estimait que la pine était lavée, elle me prenait dans sa bouche. En me léchant le gland d’abord, puis en avalant la moitié de ma queue, elle la faisait entrer jusqu’à sa glotte sans qu’elle ait un seul moment de nausée. La garce savait vachement bien se débrouiller en fellation. Je ne pouvais faire autrement que de lui sucer la fente. Ma langue allait dans tous les recoins de sa moule. Je m’attardais le plus longtemps sur son clitoris.

Le hasard faisant bien les chose, nous jouissions ensemble, moi dans sa bouche, elle sur la mienne.

Depuis nous ne baisons qu’ensemble pratiquement tous les jours. Nous nous masturbons ensemble devant l’autre pour relever nos étreintes.

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