Il y a quelques mois j’avais rompu avec ma copine de l’époque et j’ai déménagé pour acheter un appartement. Je reprenais ma vie laissant le temps faire son oeuvre pour digérer ma précédente histoire.
Sur le même étage il y avait un conseiller fiscal dont j’avais fait connaissance à force de la croiser dans les escaliers.
Les mois passaient et un jour mon regard se posa sur sa plaque sur laquelle avait été rajouté le nom d’une collaboratrice. Au bout d’un certain temps, le hasard fit que je la croisai dans la cage d’escalier. Cette jeune femme était plutôt jolie avec plein de charme et des petits yeux très rieurs.
La première fois nous nous échangeâmes un simple "bonjour" puis la deuxième je tentais d’entamer la conversation parlant de banalités histoire de nouer le contact.
La troisième fois que je l’ai croisée, je m’aperçut assez vite qu’elle prenait plaisir à discuter avec moi et qu’elle ne faisait rien pour fuir la discussion… au contraire.
Sans trop réfléchir je lui proposai d’aller boire un verre un des ces quatre. Ainsi, soit je prenais un râteau et j’étais fixé soit elle acceptait et alors on verrait bien….
A ma grande surprise, elle ne fut pas effarouchée. elle me sourit et me répondit oui bien que son emploi du temps en ce moment était assez chargé. Elle accepta de me donner son numéro de téléphone.
Les choses étaient plutôt bien engagées, restait à voir la suite et ne pas être trop pressé ni trop pressant.
Je laissai donc passer quelques temps puis je me décidai à la rappeler. Je ne m’étendis pas. Un RDV fut fixé pour aller prendre un apéro en ville.
Le jour J arriva, je flippai un peu me disant tout de même que le mieux était que je reste naturel.
Elle arriva habillée d’une jolie robe d’été. L’apéro se passa très bien et je lui proposai de prolonger le moment en allant dîner. "Volontiers" me dit-elle.
Encore un point de marquer et une étape de franchie tout se déroulait à merveille.
la soirée se passa bien très bien et nous en restâmes là pour le moment.
Nous sommes restés en contact via SMS les jours d’après et vu qu’il faisait beau je lui proposai d’aller faire une balade en montagne le week end suivant. Elle accepta me disant qu’elle espérait que ce ne serait pas trop dur;
Nous voilà donc partis; elle était vêtue d’un joli petit short mettant en valeur son petit cul.
Pendant l’ascension l’effort nous empêchait de parler donc nous limitions nos paroles. Au bout de 2h30 on arrivait enfin au lac. Le paysage était somptueux, la température était top. Nous avions faim l’heure du pique nique sonnait. Juste auparavant, je tentais une baignade dans l’eau très fraîche du lac. Ce fut excellent pour me rafraichir !
Il y avait un gros rocher auprès duquel nous pouvions trouver un peu d’ombre pour déjeuner et faire une petite sieste ensuite avant la descente.
Après le déjeuner on s’est posé et je ne sais comment mais nos bouches se sont rapprochées et on s’est échangé un baiser tendre et très sensuel à la fois. Je pelotai la poitrine et ses tétons se dressèrent. Elle voulut s’allonger sur la couverture que j’avais amenée. je la caressais et elle m’excitait sérieusement. je passai ma main sur son entrejambe par dessus son short. Elle se laissa faire et ca ne lui déplaisait pas. J’entrepris de défaire le bouton de son short j’avais envie de sentir sa chatte sous mes doigts et de titiller son bouton d’amour. Son minou s’ouvrit très vite et elle mouillait bien. Elle commençait à soupirer bien fort et tout d’un coup elle resserra les jambes hyper fort emprisonnant ma main dans sa culotte. Elle venait de jouir ! J’étais super content de lui avoir procurer ce plaisir mais de mon côté ça chauffait dans mon caleçon et fallait que je jouisse pour me soulager.
En me regardant elle me dit et si je m’occupait de toi maintenant ? Joignant le geste à la parole elle attrapa son sexe le caressa et à me masturbait. Elle faisait ça plutôt bien et c’était agréable. Je bandais bien et je savais que je n’allais pas tenir très longtemps encore. Elle se redressa en me présentant sa poitrine. Elle m’astiquait le bout en le dirigeant vers ses seins sur lesquels je lâcha deux ou trois salves de sperme bien chaud.
Le temps devenait incertain il fallait redescendre pour éviter le risque d’orage.
