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Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement – Chapitre 4

Ma patronne quand je travaillais dans l'habillement - Chapitre 4



Salut, c’est votre folle de lycra.

Nous venons d’arriver tous les trois chez Sophie et cette dernière venait de me déshabiller, j’étais toute belle et tout excitée. Patricia s’est chargée de dévêtir Sophie avec beaucoup de douceur, je retrouvais ce corps que je n’avais cessé d’admirer ce matin. Ensuite, Sophie fit de même avec sa nouvelle amie, c’était vraiment un plaisir de voir ces deux femmes dénudées avec une plastique irréprochable. C’était amusant à voir, car toutes les deux avaient une poitrine en forme de poire avec les pointes érigées, leur soutien-gorge les mettait d’autant plus en valeur. Sophie avait trouvé le moyen de remettre une culotte depuis ce matin, en y regardant de plus près, on pouvait constater aisément que l’entrejambe des deux femmes était bien mouillé. J’étais vraiment impatient de passer aux choses sérieuses, mais en fait, les deux femmes se sont mises à se caresser mutuellement.

C’était vraiment un plaisir pour les yeux que de les voir se faire du bien toutes les deux, elles étaient désormais en train de s’embrasser.

Elles étaient face à face, je suis sûr qu’elles avaient fait en sorte à ce que leurs poitrines soient collées l’une à l’autre. Voir deux femmes en train de s’aimer était vraiment quelque chose de bien plus beau, que de voir un couple hétéro. Elles étaient toutes les deux à peu près de la même taille, j’aurais vraiment voulu entrer dans la danse, mais en même temps, je préférais les regarder s’aimer. Finalement, je me suis assis dans le canapé et je me suis mis à me caresser le sexe en les regardant. Au bout de cinq bonnes minutes, les deux femmes se sont offert une pause, et elles se sont approchées de moi. Là, elles se sont caressées toutes les deux le vagin, puis elles m’ont donné à sucer leurs doigts, j’ai adoré. Patricia s’est approchée de moi, tout près de moi, m’a écarté les jambes tout en restant debout face à moi. Sophie s’est glissée derrière elle, pour la débarrasser de sa culotte poisseuse, elles n’arrêtaient pas de se coller l’une à l’autre.

Maintenant, j’avais une vue imprenable sur la toison luisante de cyprine de Patricia.

Ma patronne m’a fermement saisi la tête par les côtes, puis m’a complètement plaqué mon visage contre son entrejambe.

Maintenant, tu vas me brouter le minou comme un fou, car je sais que ce soir, tu vas repartir dormir chez ta femme.

Pendant qu’elle était en train de me parler, je ne pouvais plus respirer, tellement elle appuyait sur mon visage contre son minou. Le traitement qu’elle m’infligeait n’était pas de tout repos, par contre, c’était vraiment un plaisir que de s’enivrer de ses odeurs et de ce goût si excitant. Ma langue se déchaînait en essayant de récupérer le plus de nectar possible. Elle était tellement chaude qu’elle n’a pas été bien longue à prendre son pied. J’étais assez fier de moi, car je me disais que cette rapidité était aussi peut-être due à mon efficacité linguale. Patricia s’est mise à crier assez rapidement, mais Sophie est intervenue pour la faire taire, il n’y a pas à dire, ces deux femmes-là sautaient sur la moindre occasion pour s’embrasser.

Je suis resté encore quelques minutes à me désaltérer à cette source de plaisir, mon front était calé sous son nombril et je pouvais savourer ce corps si bien entretenu. Patricia est restée encore quelques instants puis s’est éloignée, c’est Sophie qui a pris le relais, Patricia a retiré à son tour la culotte de Sophie, c’est avec un grand plaisir que je me suis mis à lui brouter le minou à elle aussi. Par contre, à mon grand désespoir, je n’ai pas eu le droit de le faire bien longtemps, car Patricia l’a éloignée de moi. Patricia a fait agenouiller notre nouvelle amie sur son canapé, m’a fait relever, puis elle m’a fait venir me positionner dans le dos de Sophie. J’hallucinais, je savais ce qui allait se passer, j’allais pénétrer la jeune et belle employée de l’hôtel. Maintenant, Patricia avait saisi mon sexe et elle était en train de caresser la raie des fesses, mais surtout le minou tout poisseux de Sophie.

Il y avait des bruits suspects, des bruits de mouille, en contact avec mon sexe ; cela laissait imaginer l’état d’excitation de Sophie. Patricia tenait fermement mon sexe, puis elle a fini par bien le positionner sur le vagin de Sophie puis elle a appuyé sur mes fesses.

Ça y est, mon étalon va te baiser, je suis sûre que tu vas aimer, car c’est vraiment un expert.

Instinctivement, je venais de poser mes mains sur les hanches de Sophie, sa peau était douce et c’était vraiment une prise formidable. Je ne me suis pas fait prier pour la pénétrer entièrement, quand je suis arrivé en butée, si je puis dire, je l’ai entendue soupirer de plaisir. Cela commençait à sentir bon le minou, cela me donnait encore plus la pêche. Pour ne pas se sentir inutile, Patricia a fait le tour du canapé et s’est mise à embrasser Sophie avec passion, mais surtout dans le but de la faire taire ; si elle venait à se mettre à crier. Sophie avait l’air de beaucoup aimer la position de la levrette à genoux sur le canapé. De mon côté, j’étais en train de me dire que j’aimerais bien avoir des heures de pause aussi intenses, sexuellement parlant. Pendant que Patricia embrassait Sophie, elle en profitait pour aussi lui caresser sa belle poitrine. Il n’y a pas à dire, le corps de Sophie, tout comme celui de Patricia et celui de ma femme, appelait les caresses et surtout l’acte sexuel.

Balance-lui ta liqueur au fond de ses entrailles, fais-lui du bien, fais-la crier de plaisir.

Patricia était en train de me motiver pour que je laisse un souvenir inoubliable à Sophie, sous forme de liqueur de gland. Sophie arrivait à contracter son vagin très très fort, mais surtout très longtemps, en fait, j’avais l’impression de changer de fille quand elle se concentrait sur ça. Quand j’ai constaté que Sophie était en train de jouir, je me suis dit qu’elle était vraiment en manque à ce niveau-là. Patricia, en plus de l’embrasser, lui caressait les cheveux et de temps à autre, allait lui pincer la pointe des seins. Bref Sophie était sollicitée partout sur son corps. J’ai profité du fait que Sophie ne trouve rien à redire à ce que je continue mes va-et-vient en elle, puis moi aussi j’ai fini par éjaculer. Mon liquide légèrement jaunâtre et gluant était en train de se répandre dans le moule à bébé de Sophie. Elle avait l’air très heureuse que je jouisse en elle, j’étais surtout en train de réaliser que nous n’avions pas pris beaucoup de précautions pour ne pas dire aucune.

Après avoir vidé mes burettes, je suis resté encore quelques instants, juste le temps que mon sexe commence à perdre de sa vigueur. Quand le couple illégitime a fini son rapport sexuel, Patricia nous a fait asseoir sur le canapé et c’est un peu horrifié que je l’ai vu s’agenouiller entre les jambes de Sophie pour lui faire sa toilette intime dans laquelle allait se trouver une bonne dose de sperme. Il n’y a pas à dire, Patricia, en plus d’aimer faire l’amour, elle aimait le sperme, sans aucun doute, Sophie allait aimer se faire toiletter la moufette après l’amour. Ça y est, ma patronne était à genoux entre les jambes de l’employée de l’hôtel, et elle était en train de s’en donner à cur joie. D’où je me trouvais, je la voyais donner de grands coups de langue qui partaient pratiquement de son petit trou jusqu’à son clito.

Patricia avait l’air déchaînée et Sophie avait l’air de beaucoup aimer la prestation, je réalisai aussi qu’à agir ainsi, ma patronne allait récupérer toute ma liqueur disponible dans le minou de Sophie.

Étant grande, jeune, belle et sans alliance, je me demandais pourquoi Sophie n’avait pas d’homme. Je repensais au fait que je sois parti en elle sans me protéger, elle serait capable de juste désirer un enfant de moi. Allez savoir, peut-être suis-je son idéal masculin, l’étalon de ses rêves, toujours est-il qu’avec cette descente à la cave de la part de Patricia, Sophie se tortillait dans tous les sens. Je n’avais plus aucun doute, ma patronne était bi et elle aimait donner du plaisir aux deux sexes. De vous à moi et à ce que je pouvais voir pour l’instant, les deux sexes lui rendaient bien. À entendre Sophie commencer à soupirer et surtout pousser de petits cris, il fallait en conclure qu’elle allait jouir de nouveau, mais ce coup-ci grâce à son clitoris. Patricia étant occupée à la cave et étant la source de ce plaisir, il allait de soi que c’est moi qui allais m’occuper à la faire taire en l’embrassant.

Normalement, à l’heure du repas, on se restaure, mais là, nous étions en train de nous envoyer en l’air et pas qu’un peu.

Sophie a fini par jouir et j’ai réussi à neutraliser ses cris, car la jouissance venait de loin, c’en était impressionnant. Ma mission, qui était de l’embrasser, je l’aurais assurée pendant des heures, son odeur corporelle, mélangée à son parfum et par-dessus ça, une bonne odeur de sexe ; c’était vraiment un plaisir pour les papilles olfactives. Bien que notre nouvelle amie ait pris son pied, Patricia n’avait pas cessé de lui butiner la friandise. De mon côté, je me permettais de maintenant venir caresser la poitrine de Sophie, la douceur de sa peau, la fermeté de ses seins et surtout leur sensibilité ; donnaient envie de ne plus les quitter. Mais à mon grand désespoir, Patricia s’est redressée et a carrément pris ma place, pour ce qui est du baiser et des caresses mammaires ; je redevenais spectateur. Vu que la plastique des deux femmes n’avait rien à s’envier, je suis venu me coller dans le dos de Patricia puis je me suis mis à caresser les deux femmes, à tour de rôle.

Maintenant, nos corps étaient en train de devenir moites, nous nous collions les uns aux autres quand je picorais le cou de Patricia, il y avait un petit goût salé.

Avec une telle position, mon sexe n’est pas resté longtemps tout mou, il a rapidement repris vigueur et je me suis permis de le caler entre les fesses de ma patronne. Il n’y avait pas besoin de mettre de salive, la fine pellicule de transpiration sur le corps servait de lubrifiant, cela me permettait de donner des coups de reins dans le vide dans le dos de ma patronne. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais cela a été plus fort que moi, il a fallu que je me glisse dans l’intimité de ma patronne. Vous vous doutez bien que je ne suis pas passé par l’issue de secours, mais compte tenu de l’état de forme de mon sexe, je pouvais quand même la pénétrer qu’un peu côté vagin. Je ne sais pas ce qui m’excitait le plus, était-ce de m’occuper de ma patronne, de savoir que nous étions trois en train de nous faire du bien, ou peut-être le fait d’imaginer ma patronne prise en sandwich par un homme et une femme.

Toujours est-il que nous étions tous les trois à prendre du plaisir, Patricia était en train de finir de me dévergonder. Pour ce qui est de Sophie, je pense qu’il n’y avait pas besoin de la pousser pour cela, elle aimait le sexe et n’avait pas l’air de se priver de sauter sur les occasions qui se présentaient à elle.

Même si je n’arrivais qu’à rentrer qu’un tiers et au grand maximum la moitié de mon sexe dans ma patronne, elle avait l’air de beaucoup apprécier. Avec la chevelure de Patricia, je ne pouvais pas vraiment voir sa partenaire sexuelle, du coup, je me permettais d’admirer l’agencement du séjour de l’appartement de Sophie. Il y avait un magnifique tableau de grande dimension qui représentait une femme nue, à y regarder de plus près, je n’avais pas de doute, c’était Sophie qui avait servi de modèle. Je réalisai que ce tableau était quand même un peu obscène, en ce sens où le modèle avait quand même deux doigts dans le minou et un regard provocateur. Pour me remettre à ce que j’étais en train de faire, Patricia a saisi mon sexe par-devant alors qu’il arrivait par derrière et elle s’est fait du bien avec. À ma grande surprise, elle s’est mise à jouir comme ça, cela laissait augurer de son état d’excitation.

J’avais quand même l’impression qu’elle voulait faire ça le plus vite possible pour que nous puissions repartir en cours, mais elle voulait à tout prix prendre du plaisir. Après avoir pris son pied, elle a lâché mon sexe, je continuais quand même à lui faire du bien, mais elle avait l’air inerte.

Elle est restée quelques instants entre deux eaux avant de s’asseoir, dans cette position, elle a invité Sophie à s’agenouiller devant moi pour la faire me nettoyer le membre. Bien évidemment, cette dernière ne s’est pas fait prier et deux secondes après, elle avait la bouche pleine de mon sexe qui sentait fort le minou. Nombre de femmes auraient été écurées devant mon sexe masculin qui sentait le minou, mais il n’en était rien pour Sophie. En quelques minutes, elle avait tellement bien pris soin de mon sucre d’orge, qu’il était tout propre et comme neuf. Une fois l’opération terminée, Sophie a regardé ma maîtresse pour savoir si elle était satisfaite, Patricia avait l’air enchantée de la prestation et elle a invité son amie à venir lui faire une langue. C’est vrai qu’ainsi la boucle était bouclée, tout le monde avait pris son pied et tous les minous et sexes avaient été nettoyés.

Sophie, qui était déjà à genoux n’a eu qu’à se tourner pour poser ses mains sur les cuisses Patricia et aller s’engouffrer dans la source de plaisir. Quand j’ai vu ma patronne fermer les yeux de plaisir, j’ai compris définitivement qu’elle adorait se faire manger la friandise.

Quand j’ai vu ma maîtresse caresser les cheveux de Sophie, ainsi que ses mains qui étaient déposées sur ses cuisses, j’ai compris qu’elle pouvait aussi être une grande tendresse. Je crois que ce qu’elle appréciait le plus, c’était de constater que Sophie et moi mettions tout notre cur pour lui donner du plaisir. Le temps qui nous était imparti était sur le point de prendre fin, c’est Patricia qui, à son grand regret, me semble-t-il, a donné fin à notre partie de jambes en l’air. Sophie est partie dans la salle de bain quelques instants, pour revenir avec une de ses culottes qu’elle avait dû sortir du bac à linge, elle s’est caressée profondément le minou avec et me l’a donné à enfiler. Ça y est, c’était rentré dans mes murs, j’adorais porter des petites culottes souillées, même provenant d’inconnues. Patricia me regardait avec un petit sourire en coin, elle savait que j’étais content de ce cadeau peu commun.

Patricia et moi sommes aussi partis dans la salle de bain pour nous laver au moins la figure, ma patronne a même pris une petite douche, histoire de se nettoyer la foufoune.

Nous nous sommes réhabilités, sans oublier de nous embrasser puis avons quitté l’appartement. J’étais à côté de Sophie pendant qu’elle fermait la porte à clé, Patricia n’a pas pu se retenir de nous coller une main au cul à chacun avec un commentaire.

Bon ben, mes chéris, j’espère que vous avez passé un bon douze quatorze…

Sophie et moi nous sommes regardés et nous n’avons pu résister de nous embrasser avec passion. Nous avons traversé le couloir qui nous menait jusqu’à l’ascenseur, pour descendre au parking du sous-sol, comme si de rien n’était. Le seul petit écart que nous nous sommes offert, c’est de caresser avec frénésie Sophie dans l’ascenseur. Nous savions que nous n’étions pas prêts de la revoir, et nous voulions en profiter jusqu’au dernier moment qui nous était offert. Notre coquine employée d’hôtel avait l’air très heureuse de l’affection que nous lui présentions, surtout la façon d’exprimer cette dernière. Au moment de rentrer dans la voiture, Patricia m’a dit de prendre le volant en m’expliquant qu’elle voulait savourer les dernières minutes avec Sophie à l’arrière.

Il n’y avait pas besoin de faire un dessin pour deviner les projets de Patricia. Heureusement que le chemin du retour n’était pas trop compliqué, sinon on se serait perdu. Une fois sur place, ma patronne m’a demandé de me garer derrière une remorque de camion, une place isolée. Là, pendant au moins encore dix minutes, les deux femmes se sont aimées sans retenue, leurs cheveux se mélangeaient tout comme leur langue et leurs mains. Il y avait quand même un certain silence dans la voiture qui n’était perturbé que par le bruit de leur bouche dans la salive faisant sans doute des bulles. Bien que mon sexe ait été sollicité pendant toute l’heure du repas, j’en avais une érection à entendre ces deux femmes s’aimer, car j’avais la correction de ne pas les regarder, même si ce n’était pas l’envie qui me manquait. Patricia avait véritablement une horloge dans la tête, car elle a stoppé nette la pelle qu’elle était en train de rouler à Sophie, pour que nous partions finir notre stage.

Un dernier baiser entre nous trois et nous nous quittions avec le doux espoir que nous nous revoyions le plus vite possible.

Cela me faisait tout drôle de quitter Sophie, mais vu ce que nous venions de vivre tous les trois, je ne serais pas étonné que Patricia fasse tout pour que nous revenions faire un stage dans le coin. Un petit SMS de ma femme où je pouvais lire: déjà deux cents… il m’a un peu sorti de mon coup de barre que j’avais, car il faut se rappeler que nous n’avions pas pris le temps de manger. Mais pourquoi ce SMS, que voulait-il dire…?

En espérant que ce quatrième chapitre vous ait plu.

Est-ce que vous savez pourquoi sa femme lui a envoyé ce SMS ?

Gros bisous à vous

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