Bonjour,
voilà une histoire qui m’est arrivée avec ma cousine il y a plusieurs années.
Nous avions rendez-vous pour nous faire un ciné.
Je suis arrivé devant le ciné, elle m’attendait sur le trottoir habillée d’un chemisier blanc et d’un jean’s très moulant. Nous prîmes nos billets et on est entré dans la salle. Nous nous sommes installés au dernier rang, il n’y avait pas grand monde. Le film commença, une histoire banale de tueur en série qui fait régner la terreur dans une ville. Au bout de 20 minutes le tueur surprend sa victime, et ma cousine qui fait un bond sur son fauteuil en poussant un petit cri. Je tourne la tête pour la regarder et je la vois les mains devant la bouche.
— " Tu vas bien ? lui demandais-je.
— Il est flippant ce film. me répondit-elle."
Alors que sur l’écran notre tueur faisait de la chirurgie esthétique avec son canif sur une pauvre fille, ma cousine blottit sa tête contre mon torse avec les mains sur les yeux. Elle tremblait de peur, alors je la pris dans mes bras en lui demandant si elle voulait qu’on parte. Elle me dit que non car c’est elle qui avait choisi le film et de plus elle se trouvait bien contre moi.
Nous reprîmes le cours de l’histoire. Plus le film continuait plus je sentais le corps de ma cousine contre moi, plus je sentais son odeur. Puis la main de ma cousine commença à me caresser mon torse. Caresse qui était plus amical qu’autre chose pour elle, mais pour moi cela m’a mis les sens en éveil. Je lui ai demandé d’arrêter car ses caresses me titillaient plus que de raison. Tout en lui disant cela je la repoussais tendrement. C’est alors que je me suis aperçu que dans mon geste, ma main droite s’était posée sur son sein. On s’est regardé et là je ne sais pas ce m’a pris je me suis mis à le titiller doucement. Son téton réagit immédiatement. Nos bouches se sont jointes en un baisé fougueux.
-" Cela fait longtemps que j’avais envie de t’embrasser, lui dis-je.
— Moi aussi, me répondit elle, mais c’est pas bien.
— Personne ne le saura tu dis rien.
— C’est vrai, mais je ne sais pas si il faut.
— Tu as envie de moi comme moi j’ai envie de toi.
Pendant que nous parlions ma main avait quitté son sein et avait déboutonné sa chemise. Elle ne fis aucun geste pour m’arrêter. Mon regard quitta son visage pour regarder ses petits seins qui pointaient fièrement. Je me penchai et me mis à les embrasser, puis à les lécher et enfin à les sucer. La respiration de ma cousine changea, elle me dit il ne faut pas tout en me caressant la tête. Son corps commença à bouger, alors je posai ma main droite sur sa cuisse et remontai jusqu’à sa fourche. Elle écarta le cuisse pour que ma main puisse lui caresser son entre-cuisse par dessus son jean’s. Je bandais comme un âne tellement j’étais excité. Je me mis en quête de lui ouvrir son fute. Chose que je fis rapidement et je pus glisser ma main dedans. Quelle ne fut pas ma surprise de ne pas sentir de petite culotte. Ma cousine poussant un long soupir en sentant mes doigt sur sa fente qui était bien humide. Avec mon index je me mis à lui titiller son bouton d’amour. Elle se cambre de suite en poussant un petit cri de plaisir.
— " Dis-donc ma chère cousine tu ne portes pas de culotte, tu es une petite cochonne.
— Je l’ai enlevée au toilette tout à l’heure, c’est la première fois que je le fais. Je voulais te voir si tu allais le remarquer. Et oui je veux être ta cochonne, cela fais trop longtemps que je pense à toi.
— Tu te caresse en pensant à moi?
— Oui je me doigte en pensant toi.
— Tu te doigte comme ça?
Et la je lui ai enfoncer deux doigts dans son sexe tout en lui frottant avec mon pouce son clitoris. "
— Oui comme ça, bien profond, je suis toute mouillée, tu m’excite Gilou, continue .
Tout en continuant de faire entrer et sortir mes doigts je me remis à lui sucer les seins. Pendant que son corps allait au devant de mes doigts, elle gémissait de plus en plus. Puis d’un seul tout son corps se cambra et le gémis d’un long râle. Elle venait de jouir sur les doigts de son cousin en plein milieu d’un cinéma. Je la laissa se reprendre doucement, lui déposa doucement de bisous sur le front.
— " J’ai envie de toi mon chère cousin, si baise aussi bien que tu m’as branler, tu vas me faire jouir comme jamais.
— Tu sais je suis comme tout homme pas plus, moi aussi j’ai envie de toi, de ta petite chatte, de tes seins et de ta bouche.
— Et mon cul te plais Gilou?
— Si beaucoup mais je ne sais pas si tu aimerais?
— Je ne sais car je vierge de ce côté-la, mais j’aimerais bien que tu me montre."
Nous somme embrassé puis on sorti du ciné avant la fin du film pour nous rendre chez elle ou on a continué ce qu’on avait commencé.
La suite viendra si vous le souhaitez.
bye