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Ma petite fille et sa copine en vacances – Chapitre 5

Ma petite fille et sa copine en vacances - Chapitre 5



Audrey ma petite fille et Jennifer sa meilleure copine, dix-huit ans toutes les deux, sont en vacances chez moi pour un mois. Dès le troisième jour elles se sont arrangées, ces petites salopes, pour me piéger et que l’on baise ensemble.

Il est dix-neuf heures passées, elles viennent de me sucer, de se lécher leur poire que j’ai recouvert de mes éjaculations, et elles terminent par se rouler des pelles torrides. Je viens de jouir et elles m’excitent encore:

— Dites moi mes chéries, je me trompe ou vous vous gouinez?

— Papy, ce n’est pas joli, tu es macho ou quoi! On ne dit plus des gouines, mais des lesbiennes. Et puis on n’est pas que ça, on est bi, tu le sais que l’on aime aussi la queue, surtout la tienne.

— Oui, ça je l’ai bien vu. Mais vous, vous faites l’amour entre filles?

— Oui, ça te choque?

— Pas du tout, au contraire, ça me plait l’idée que deux minettes s’envoient en l’air, et j’aimerais assister au spectacle.

— Assister ou participer?

— Juste assister, au moins dans un premier temps. J’aimerais vous regarder comme je regarde un film, me branler et vous gicler dessus.

— Tu es vraiment cochon, laisse nous réfléchir et on te dira.

On passe à table, on discute de choses et autres, et puis elles sortent pour se retrouver entre jeunes.

Minuit, comme tous les soirs, les voilà qui reviennent et me trouvent éveillé devant la télé:

— Ah, mes petites chéries. Vous avez passé une bonne soirée?

— Oui, impec.

— Vous avez réfléchi à ma demande?

— Oui, on est d’accord mais il faut que tu le mérites.

— Et je dois faire quoi?

— Tu vas passer une nuit avec chacune de nous, et nous satisfaire au maximum. Si l’on est contente de tes services tu auras droit à ta récompense.

— Je ne demande pas mieux mes amours, mais n’oubliez pas que je n’ai plus vingt ans.

— Ne fais pas le modeste, on en a eu des copains de notre âge, et tu les vaux cent fois.

— Si vous le dites, on peut essayer. Je suppose que vous avez aussi décidé de l’ordre de passage!

— Non, on te laisse choisir.

Je refuse de prendre une décision, et on tire au sort; c’est ma petite fille qui sera la première à partager mon lit.

On se couche tous les deux , on se glisse sous le drap, entièrement nu. J’éteins la lumière mais elle ne l’entend pas ainsi:

— Rallume papy, c’est mieux quand on se voit, tu ne trouves pas.

— Oui ma chérie, mais tu es ma petite fille et ça me fait bizarre.

— Et toi tu es mon grand-père, mais on s’en fout. Je veux voir ta bite, et te montrer ma chatte. On est dans l’inceste mon papy chéri, mais on ne fait de mal à personne. Alors laisse toi aller, profite de ta petite salope offerte, comme moi je veux profiter de mon papy cochon.

— Et puis merde, tu as raison, on s’en fout de la morale, on va s’aimer à la lumière ma chérie, et on emmerde le monde. Je te veux ma salope, je veux ma bite dans tous tes trous.

— Oui papy, j’aime voir ta queue. Cette bite que tu as! Ca te plait de baiser ta petite fille?

— Tu fais chier avec ça Audrey. Je ne suis plus en état de penser, tu n’es plus ma petite fille, tu es une jeune salope vicieuse qui aime les grosses bites de vieux.

Elle ne répond pas, trop occupée à me pomper le dard. Je me positionne pour un 69, et je lui bouffe la chatte tandis qu’elle continue à me sucer. Je bande comme un âne, sa chatte ruisselle, et il faut que l’on s’emboite. Je viens sur elle, elle ouvre ses cuisses en grand écart, et je la pénètre profond d’un seul coup. Sa chatte est dégoulinante, et mon pieu coulisse aisément entre ses lèvres accueillantes. Je la lime de toutes mes forces, elle jouit à répétition jusqu’à disjoncter:

— Oui, oui papy, baise moi, baise moi fort, jouis papy, jouis, je veux ton sperme dans mon ventre, féconde moi mon papy, donne moi ta semence, engrosse ta pute…

— J’aimerais ma chérie, mais tu sais que ce n’est pas possible. Je ne peux pas faire un enfant à ma petite fille.

— Mais je ne suis plus ta petite fille, tu l’as dit, je suis une jeune salope vicieuse. Remplis moi, je veux le jus de tes couilles.

— Arrête Audrey, tu m’excites trop, on va faire des conneries si tu continues.

— Tu es chaud mon papy, tu as envie de me farcir. Vas-y, vide tes couilles, fourre moi la chatte.

Je me retire, et m’allonge sur le dos à côté d’elle à sa grande surprise:

— Qu’est ce que tu fais papy, ça ne va pas?

— Oui, ça va, mais tu me fais chier avec tes idées à la con. Tu me donnes

peur de te mettre enceinte.

— Mais c’était pour rire, pour mettre un peu plus de piment, je sais bien que tu n’oserais jamais jouir dans ma chatte. Et au pire il y a la pilule du lendemain.

— Excuse moi, mais je ne partage pas ton humour. Regarde, tu m’as coupé l’envie.

— Pardon papy, je ne voulais pas. Laisse moi faire, je vais te remettre en forme.

Elle éteint la lumière, et viens sur moi, son mont de vénus appuyé sur mon bas ventre. Elle se déhanche lascivement, se love comme une chatte en chaleur, masse mon sexe avec le sien, sans dire un mot. C’est bon, je suis bien, je bande à nouveau. Sa main glisse entre nos corps et elle s’empare de ma trique pour l’introduire dans sa fente. Elle va et vient sur mon manche, me baise divinement:

— C’est bon papy, tu bandes trop bien. Laisse faire ta petite salope, et ne t’inquiètes pas, je me dégage dès que tu me le dis, mais le plus tard possible j’espère.

Elle me baise comme une possédée, une chienne en chaleur, une nymphomane, et j’ai peur de jouir en elle. Je le lui dis, elle se soulève pour dégager ma colonne et viens s’assoir dessus pour se la planter dans le cul. Son illet fait du yoyo sur ma hampe et je vais gicler inévitablement. Elle a juste le temps de se dégager et de me prendre en bouche. Je la sers copieusement et elle avale tout comme une affamée, une assoiffée.

On est maintenant dans les bras l’un de l’autre , on s’embrasse à pleines bouches, on se félicite de cette bonne baise et on se promet de recommencer à volonté, au diable l’inceste. Je rebande dans la nuit, et on remet le couvert.

On reste sage le lendemain matin, vers dix-neuf heures j’ai à nouveau droit à ma double pipe qui m’avait tant excité, et j’attends minuit pour coucher avec Jennifer. On passe une nuit aussi crapuleuse qu’avec ma petite fille, et elles estiment que j’ai mérité ma récompense.

Je ne vais pas devoir attendre longtemps, il y a un gros orage prévu le soir et ni elles, ni leurs copains et copines, ne veulent sortir. Elles me laissent le choix du scénario et je me fais plaisir.

On commence au salon, par un slow torride. Elles sont habillées sexy, se collent l’une à l’autre dans leur danse lascive, se caressent, s’embrassent, s’effeuillent lentement pour se retrouver entièrement nues. J’ai déjà déballé ma queue, je bande, et on va aller à la chambre.

A partir de là, je ne veux plus leur donner de consignes, sinon de m’exciter. Je veux qu’elles s’aiment comme elles le font en cachette, qu’elles s’exhibent en toute impudeur, que j’ai vraiment l’impression de voir un porno de haute qualité.

Elles sont super belles, super chaudes, et je tourne autour du lit, le manche à la main, à la recherche des meilleurs angles de vues. Je me branle énergiquement et je commente leurs ébats avec les mêmes mots orduriers que je comment mes dvd. Elles m’allument trop, et je jouis une première fois, j’éjacule sur leurs corps soudés. Elles continuent leur baise, et s’adaptent à mes giclées pour se nettoyer, se rouler des pelles au sperme, tout dévorer.

Elles sont infatigables, s’aiment durant des heures, et parviennent à me faire décharger encore deux fois sur elles.

Je suis épuisé, elles aussi, et on s’allonge sagement tous les trois, moi au milieu, pour un tendre câlin.

On discute et je m’étonne qu’elle n’aient pas de sextoys. Elles m’avouent qu’elles aimeraient bien, mais que vivant l’une et l’autre chez papa et maman ce n’est pas possible.

Je leur propose de leur en offrir un pour leur vacances, et de le garder.

Dès le lendemain on va dans un sex-shop, et on fait l’acquisition de deux joujoux: un très long gode souple avec un gland à chaque extrémité, et un gode ceinture.

On va passer plus de trois semaines inoubliables. Je baise avec chacune d’elles, elles baisent ensemble, on baise à trois, avec les godes que l’on amortit, tous les jours, toutes les nuits, jusqu’à épuisement.

Elles me quittent à regrets, me promettant de ne pas attendre deux ans pour revenir.

FIN

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