Tout a commencé il y a quelques années entre ma soeur Marie et moi (Paul). Elle venait d’avoir 18 ans et moi, qui étais de un an son aîné, j’en avais 19 Je vivais alors chez mon père et ma soeur chez ma mère, à leur divorce ils avaient divisé leurs biens et leurs enfants. J’allais chez ma mère un week-end sur deux et Marie venait chez notre père de la même façon par intervalle, ce qui fait que je voyais ma soeur chaque week-end. Chez mon père ça se passait plutôt bien, disons que j’étais assez libre. Il travaillait de nuit du mardi au samedi. Il partait vers dix neuf heure et rentrait vers cinq heures du matin. Je faisais mes cours quand il était là, et quand il était parti je pouvais faire ce que je voulais ! Mon passe temps favori était bien sur sa vidéothèque, dans l’armoire en bois de sa chambre (la clef était sous son lit, je connaissais sa planque depuis longtemps), son boulot ne l’autorisant pas à faire beaucoup de rencontre, elle était donc bien fournie en vidéo porno. Mon apprentissage théorique du sexe se fit en me branlant encore et encore devant ces films. Je savais à peu prêt tout du cul, mais je n’avais jamais vu une chatte de ma vie, et celle sur lequel je fantasmais le plus souvent c’était celle de ma petite soeur.
Mes premiers désirs incestueux envers ma soeur sont apparus un samedi soir alors que j’étais chez ma mère. Elle sortait ce soir là en boite avec des amis et avait attendu que l’on ailles se coucher pour nous dire bonne nuit. Je dormais dans la chambre de ma soeur (ma famille n’est pas très riche), chaque soir j’installait un matelas à même le sol à coté de celui de Marie. Ma soeur avait pris une nuisette en coton et une petite culotte pour aller se changer dans la salle de bain, quand à moi je me suis mis en caleçon et me suis glissé sous la couette. Tous deux couché, ma mère est venu nous embrasser puis elle est partie à sa soirée.
Et nous nous sommes endormis… du moins moi je faisais semblant, j’attendais que ma petite soeur s’endorme. Depuis que j’avais vu mon premier porno je ne pouvais plus dormir sans me faire une petite branlette. Normalement je m’abstenais quand je dormais dans la même chambre que ma soeur. Mais dans la matinée je l’avais surprise, nu, dans la salle de bain, ce fut très bref, j’avais refermé la porte directement en m’excusant, mais j’avais vu pour la première fois une fille à poile, et Marie, je dois dire que je la trouvais plutôt bonne. J’y avais pensé toute la journée. Ca faisait bien une demi heure qu’on c’était couché, je me mit à repenser à cette courte vision angélique. Ma bite c’est mise à se gorger de sang, j’ai descendu doucement mon caleçon puis j’ai soulevé ma main gauche afin de lever la couverture au dessus de mon sexe pour éviter de faire du bruit avec le frottement, ensuite j’ai pris ma queue avec l’autre main et je me suis mis à me masturber doucement, refaisant le portrait de ma petite soeur dans ma tête…
Du haut de son mètre cinquante deux, nus devant moi, un joli sourire sur sa petite frimousse où trônaient deux beaux yeux bleus. Ses cheveux bruns légèrement ondulé lui tombaient aux épaules. Je descendis mon regard à sa poitrine naissante, ses seins étaient petits et une bonne partie était recouverte par ses tétons très étendus, je trouvais ça très sexy. J’arrivais à chatte ou du duvet châtain se mélangeait à quelques poile plus foncé pour décorer une partie du pubis et se défrichant en descendant vers les grandes lèvres. J’avais de plus en plus chaud et décida de donner une autre tournure à ce fantasme… Je la fis me sucer. Elle prit ma grosse bite dans sa main et commença à me pomper à la manière d’un bon porno, sa petite bouche degoulinait de salive sur toute ma verge, je lui prit la tête avec les mains et commença à effectuer un vas et vient dans sa bouche. C’était trop bon, j’accélérais le ritme de ma branlette, le fait de fantasmer sur ma soeur m’excitait plus que jamais. Je la mit sur le dos et lui écarta généreusement les jambes, sa chatte était trempée de mouille, j’y enfonça ma queue sans difficulté et commença à la limer comme un porc. Elle gémissait de plaisir en me criant ? tu me baises bien, ta bite est tellement bonne Paul ?. Je lui mettais ma bite jusqu’à la garde et la faisais ressortir presque au niveau de mon gl…
Un bruit m’arrêta net. Ma soeur venait de tousser doucement. Je sortis de mon rêve et regarda dans sa direction. Par rapport à elle j’étais tête à pieds, sa chambre était éclairée par une vielleuse qui diffusait une lumière très légère, elle avait encore peur du noir. Je vis que sa tête était au bord de son lit, le visage tourné vers moi, ses yeux par contre avaient l’air clos, je voyais pas bien dans cette pénombre. Je décidais de vérifier et l’appela à voie basse.
— Marie… Marie tu dors ?
Pas de réponse… Je regardais dans sa direction en essayant de guetter un signe pour savoir si elle dormait ou pas. Je la contemplais pendant quelques minutes, sans pouvoir me contrôler je m’étais remis à me masturber sous la couette. J’haletais doucement en la regardant, j’avais sortie ma main gauche de sous les draps et les mouvement de mon poigné, qui faisait bouger ma main le long de ma verge, formaient une bosse sur la couverture qui montait et descendait au ritme de mon excitation. Elle rebougea tout à coup, je me pétrifia mais garda les yeux mis clos, son visage ne bougea pas mais sa jambe gauche tomba subrepticement du lit. Mon coeur battait la chamade, je contemplai sa jambe belle et fine qui s’offrait à mes yeux, sa couverture reposait à peut prêt à mis hauteur de sa cuisse, je bougea légèrement pour avoir un meilleur angle de vue et recommença à me branler. Je voyais son visage les yeux toujours clos pointer vers moi. Il y avait un jour vers l’intérieur de sa cuisse, j’essayais de voir son entre jambe mais l’ombre de la couverture me le cachait. Je continua à me branler tout en la contemplant, son visage, sa jambe…
Mon regard s’arrêta tout à coup sur un détail que je n’avais pas remarqué. Sa culotte était autour de sa cheville. Elle l’avait retiré !? Es qu’elle dormait ? Es qu’elle se touchait ? L’excitation se mêla à une peur étrange. Je décidai donc d’aller un peu plus loin, mais pas trop, la peur et l’excitation me tiraillaient. Je pris le bord de la couverture avec ma main gauche et la repoussa vers la droite. Ma queue était à l’air libre et je la brandissais fièrement face à ma soeur en me branlant langoureusement. Je regardais toujours dans sa direction quand sa bouche s’ouvrit légèrement et laissa échapper un petit son. J’avais l’impression que ses paupières clignaient mais je n’en étais pas sur. Je rajouta des petits mouvements de bassin et haleta un peu plus fort. Sa réaction ne se fit pas attendre. Je l’entendis déglutir, et tout doucement je vis sa couverture remonter le long de sa cuisse jusque au nombril. Toute son intimité était offerte à mes yeux. Je ne pouvais plus quitter sa chatte du regard. Sa main droite était entre ses jambes et son index dansait sur son clito. Elle décala son bassin au bord du lit et écarta un peu plus la jambe gauche et leva légèrement la droite, ses petites lèvres se décolèrent pour s’ouvrir en corolle. Elle était trempée, la cyprine coulait jusqu’à son anus. Sa main descendit et son majeur s’enfonça directement au font de son vagin, puis elle commença à faire coulisser lentement son doigt d’avant en arrière dans sa jeune chatte. J’étais bouche bée, jamais je n’aurai pus imaginer ma petite soeur faire ça. Elle m’existait à mort, j’étais sur le point de jouir mais je me suis retenu. Je réussi enfin à décrocher sa minette du regard pour voir son jolie minois. Elle avait maintenant les yeux grands ouverts, pausé sur ma bite. Notre regard c’est croisé, c’est comme si mon coeur s’arrêtait. J’ai alors voulu me lever, mais elle me fit un signe pour m’arrêter et me dit en haletant doucement avec sa petite voie : ? non ! Restes dans ton lit. ? J’obtempéra et continua à me branler tout en la regardant. Ma soeur y alla de plus belle, elle s’enfonça un deuxième doigt dans la chatte et avec l’autre main elle se caressait le clito. Elle poussait des petits gémissements par saccades, les yeux toujours rivet sur ma queue. Quand à moi mon regard allait de sa chatte à son visage pour essayer de croiser son regard encore une fois, mais elle détournai toujours les yeux pudiquement comme pour cacher des choses plus intime que ce quelle m’avait déjà dévoilé. Nous avons continué à nous branler comme ça pendant prêt de trois quarts d’heure. Ma soeur avait retiré sa nuisette et avait dégagé complètement sa couette. Elle s’arrêtait de temps en temps de se masturber pour caresser ses petits seins. Elle a du jouir plusieurs fois, je le voyais quand elle avait des espèces de spasmes qui lui contractaient le bas ventre, ses cuisses se refermaient sur ses mains fouillant sa chatte et elle poussait des petits cris se faisaient entendre par saccades. La dernière fois qu’elle a joui je n’ai pas pus résister, j’ai lâché cinq grosses giclées de sperme qui ce sont étalées de mon ventre jusqu’à quasiment mon cou. Je me suis essuyé, ma soeur me regardait, elle m’a souris m’a dit bonne nuit et c’est retourné pour dormir. Et j’ai fais la même chose, des rêves pleins la tête…
Le lendemain m’a soeur m’a évité, j’ai l’impression qu’elle était un peu gênée de cette nuit, je la laissais tranquille tout en la rassurant avec de petits sourires complice. Pour moi c’était tout vu et je pensais déjà au week-end d’après, chez notre père…
(à suivre)
Paul