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Ma poupée russe – Chapitre 1

Ma poupée russe - Chapitre 1



Ma poupée russe.

Episode 1 : La rencontre

Cest décidé, après avoir longuement réfléchi, jai pris contact avec cette agence parisienne spécialisée dans le mariage avec les femmes russes, malgré la perplexité de mon entourage.

Après avoir étudié leur site en détail, je contacte et rencontre la responsable du bureau central à Paris. Elle est le portrait typique de la femme daffaire russe, grande blonde en tailleur. Elle mexplique quelle vit en France depuis plus de 20 ans en France et quelle connaît très bien les attentes des français. Je lui détaille mon profil (français vivant à létranger, très bonne situation, 38 ans, 2h de sport par jour, BCBG en apparence, etc.) ainsi que mes attentes très spécifiques. En gros, des principes, les valeurs éternelles des femmes russes (fidélité, esprit de famille, support de lhomme, etc.) et surtout un physique plus quavantageux. Je ny suis pas allé par quatre chemins. Il faut quelle soit fine, blonde et surtout une très grosse poitrine naturelle. Je lui ai certifié que cela était indispensable dautant plus que je donnais des garanties auxquelles la postulante ne sera pas insensible. Ainsi, je lui donnais carte blanche pour me proposer des profils correspondant à cette description.

Trois mois se sont écoulées sans recevoir le moindre profil correspondant à ma demande. Puis ma patience fut récompensée lorsque je reçus plusieurs profils sur ma tablette. Deux ou trois fiches anecdotiques puis LA perle. Anastasia, 24 ans, une grande blonde avec une très longue chevelure platine agrémentée dune longue frange, 1,72 m 60 kg, un jolie petit minois dadolescente aux traits fins, des lèvres naturellement pulpeuses, un sourire à tomber à la renverse, des yeux dun gris glaçant. Elle habite en Sibérie dans une petite ville plutôt modeste. Trois photos accompagnent le descriptif de son profil. Ce fut comme un choc. Jétais en face dune déesse ; habillée dune robe dété, en tailleur ou même mieux dun bikini ( !), jétais ébloui par sa beauté, je bavais comme le loup de Tex Avery. Pour le reste, une taille de guêpe, des hanches larges et surtout, un gros 90 F. Je navais pas remarqué à ce moment précis, à quel point elle ressemblait à la star du porno Anita Blonde du temps de ses activités les plus lubriques. Mais contrairement à elle, Anastasia avait une plus grosse poitrine ; dailleurs elle a failli débuter une carrière de modèle de charme. Elle trouvait mon profil intéressant, elle voulait en savoir plus sur moi car elle aime les gentlemens un peu originaux. Je savais donc que ma recherche sarrêtait ici. Je chargeais donc ma conseillère de nous organiser une rencontre en Russie le plus vite possible.

Rapidement, nous avons eu la possibilité de nous rencontrer. Très excité, javais tout préparé pour être au top. Comme le voyage durait une éternité, jen profitais pour étudier minutieusement le profil de la belle Anastasia. Rien de bien original en apparence : elle aime danser, faire du shopping, mais elle ne parle pas anglais. Un rapide coup dil sur sa photo en bikini me fit vite oublier ce désagrément.

Le lendemain de mon arrivée, javais directement rendez-vous avec elle dans une luxueuse discothèque réservée pour les clients de lagence. Après mêtre préparé (costume bleu/violet, chemise blanche), je my rendais vers 22 heures. Une fois rentré dans létablissement, mon obsession était de la trouver au plus vite. Il y avait finalement beaucoup de monde et après un rapide tour de vue des salons, de la piste de danse, rien. Je me dirigeais tranquillement vers le bar quand finalement, je lai aperçu de dos à cause de sa fabuleuse crinière blonde platine sur une robe asymétrique rouge vif très courte, hyper moulante, dessinant des courbes pleines de promesses : cette robe faisait ressortir larrondie de son fessier et je pus même distinguer la naissance dun sein. Je vins me coller à ses côtés en posant fermement ma main sur sa taille, ce qui la fit sursauter. Je me présentai et elle me fit un sourire denfer. Je linvitai aussitôt à prendre congé du zinc pour une table plus au calme afin de faire plus ample connaissance. Malgré la barrière de la langue, les gestes sont universels et ils prêtent souvent aux rires ce qui est bon signe. Je sortis mon portable pour lui montrer un peu de ma vie : maison, voitures, amis, etc. Je la regardais beaucoup dans ces magnifiques yeux gris et bien souvent, son teint blanc rougissait. Pour la détendre un peu, je l’entraînai sur la piste de danse. Je lui prit les deux mains et tout en la regardant dans les yeux, je la fit danser un puis deux puis trois rock. Moulée dans sa robe, sa poitrine sagitait de partout dautant plus quune seule bretelle retenait son impressionnante poitrine. Je la faisait tourner, collait mon torse contre son buste, la prenait par la taille, faisait glisser mes mains le long de ses bras. Face à elle, difficile de ne pas voir le sillon de sa poitrine et collé à elle, ses galbes mammaires ressortaient de partout. Je la regardais difficilement dans les yeux. Quelques fois, elle surprenait mon regard qui plongeait dans son corsage.

A chaque fois qu’elle meffleurait innocemment avec sa poitrine, j’étais pris de sensations très agréables. Bien sûr, elle m’encourageais par un sourire à chaque fois que je me rapprochais un peu plus delle. Nous dansions depuis au moins une heure quand une série de slow commença. Jappliquai tout mon corps contre elle. Je lui ai soulevé les bras pour quelle les enroulent autour de mon cou. Aux premiers pas, je glissai rapidement une jambe entre les siennes. La série de slow dura un moment. Mes mains caressaient sa nuque, descendaient sur ses épaules, frôlaient ses seins, son dos. Puis, mes caresses se faisaient plus sensuelles et jétais convaincu quelle devait sentir mon sexe contre son ventre. Très vite je devins de plus en plus dur. A ce moment là, j’avais très envie delle. Puis les slow se terminèrent.

Revenus près de notre table, nous avons encore bu, elle beaucoup. Nous avons encore cherché à communiquer par geste et notre incompréhension mutuelle nen était que plus amusante. Rien ne vaut que les actes. Je l’attirai à nouveau sur la piste de danse.

Les slows avaient repris et je l’attirai de nouveau à moi. Je constatai sans mal quelle était bien dans mes bras et devant son sourire je lui embrassai la joue. Je recommençais mes caresses et je sentis tout de suite mon érection recommencer. Je lui faisait comprendre quelle étais très belle, très attirante. Je me rapprochai dangereusement delle, je la regardais dans les yeux, nos bouches se touchaient presque. Tout en dansant, jisolais ma cavalière loin des autres et lui serrais la taille très tendrement. Elle enroula de plus belle ses bras autour de mon cou et elle reposa sa tête sur mon épaule. Mes mains se promenaient maintenant sur son corps tout entier. Ma main droite avait quitté son dos et lui caressait une hanche à l’emplacement ou se trouvait l’élastique de son string. Ma main glissait même furtivement sur ses fesses pour discrètement faire remonter sa robe. Confuse, elle tira avec autorité le bas de sa robe pour vite revenir à mon cou. Patient, jai attendu un peu pour revenir à la charge. Ma main descendit plus bas et je me mis à caresser ses fesses à travers sa robe ; je voulais palper tous ses galbes. Je me disais quelle était une sacrée pinup et quavec un peu de patience, jarriverai bien à mes fins.

Tout en continuant mon manège, je plaquais plus fermement son corps contre le mien. Je bandais à mort comme tout à l’heure et je suis certain quelle devait bien le sentir. Au fur et à mesure des différentes danses, jessayais de me frotter le plus souvent possible à elle. De son côté, elle riait aux éclats, semblant passer une bonne soirée et lalcool avait fait son uvre car elle semblait un peu plus désinhibée. Du coup, je me suis bien rincé lil à la reluquer ouvertement et à me frotter tout contre cette jolie plante. La soirée touchait à sa fin et je tenais à la raccompagner comme un gentleman sans toutefois en profiter plus que de raison. Je la raccompagnais à son taxi non sans avoir exigé delle de la revoir au plus vite. Elle me donna rendez-vous à ma grande joie dès le lendemain au parc municipal. Juste avant de la quitter, je lui baisa la main ; elle me répondit encore et toujours dun merveilleux sourire. Il me tardait follement cette nouvelle rencontre pour enfin concrétiser.

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