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Ma première expérience d'Escort Girl Lesbienne – Chapitre 5

Ma première expérience d'Escort Girl Lesbienne - Chapitre 5



Me voilà donc sur le chemin de mon 4e RdV dEscort-Girl pour dames !

Jarrive à lhôtel que mavait indiqué ma Boss, rue de Vaugirard. Jentre et comme indiqué dans le sms quelle ma envoyé, je me dirige vers lascenseur à ma droite et appuie sur le bouton du 3e étage.

Lhôtel, même si il est de bonne facture, na rien à voir avec le Plaza Athénée !

Arrivée à létage demandé, je sors et longe le couloir jusquà arriver au numéro de chambre indiqué dans le sms. Je frappe à la porte et quelques instants après, une femme dune quarantaine dannées mouvre et me laisse entrer. Elle est brune, cheveux mi-longs, yeux marrons et elle me paraît assez froide et sévère. Elle ne me met pas vraiment à laise ! Mais bon, le boulot, cest le boulot !

Après avoir refermé la porte, elle me déshabille de la tête au pied avec son regard, semble satisfaite de lensemble et, enfin, me sourit ! De mon côté, je découvre cette chambre qui me semble bien petite comparée à celle dAnne, avec juste un lit et en face un bureau le long du mur et deux fauteuils.

— Bonjour ! Jespère que je vais passer un bon moment avec toi ! me dit-elle

— Bonjour ! Je suis là pour ça. Lui réponds-je

Elle me donne une enveloppe que je mets directement dans mon sac, mattrape par le bassin, mattire vers elle et commence à membrasser tout en me pelotant les fesses au travers de ma jupe.

Oui, aujourdhui, jai mis une jupe qui marrive au-dessus du genou, un tee-shirt, des escarpins et bien sûr, un string et un soutien-gorge en dentelles.

A peine ai-je eu le temps de la laisser jouer de sa langue avec la mienne quelle me retire mon tee-shirt. Bon, a priori, cest une cliente pressée ! Cela se confirme avec la jupe que je sens quelle me déboutonne et dé zippe de telle manière que celle-ci glisse le long de mes cuisses. Me voilà en petite tenue moins de 5 minutes après mon arrivée. Elle veut vraiment rentabiliser son investissement pense-je intérieurement. En tout cas, on est loin de la sensualité de la rencontre que javais eu avec Anne ! Elle continue à membrasser tout en glissant une main à lintérieur de mon string. De son autre main, elle ma déjà dégrafé le soutien-gorge que je lui laisse me retirer. Après, comme je pouvais my attendre, elle arrête de membrasser, sagenouille et mabaisse dun coup sec le string.

— Jadore voir une fille à poil ! me dit-elle. (Oui, javais remarqué !). Tes bien foutue ! (Merci pour le compliment). Tourne-toi que je vois ton petit cul ! (Je mexécute) Pas mal ! me dit-elle tout en prenant mes 2 fesses à pleine main, ce qui me fait frémir. En plus, elle sert fort et cela me fait mal ! Honnêtement, je me sens de moins en moins à laise car je la trouve très froide dans sa façon de me parler, dans le contact de ses mains sur mon corps. Et hop, une claque puis une deuxième puis une troisième sur mes fesses. Mais quest-ce quelles ont toutes à systématiquement vouloir me claquer les fesses ! Et je la sens qui continue à me mater tout le corps et je reste ainsi nue au milieu de la chambre 3 bonnes minutes.

Elle sassied sur le bord du lit et me demande de mapprocher, ce que je fais bien évidemment, et là, elle me bascule en travers de ses cuisses. Je me retrouve dans la même position que lors de mon premier RdV avec la femme de lagence immobilière. Jimagine quelle va me caresser les fesses et le petit trou avant de me doigter. Effectivement, elle commence à me caresser lentre-jambes et les lobes de mes fesses puis fait passer un doigt le long de ma raie. Et dun seul coup, elle commence à madministrer des claques sur chacune de mes fesses par alternance. Au début, ce sont des petites claques mais plus ça va, plus elles sont fortes !

— Jadore fesser une jolie fille, surtout quand elle est cul nu ! me lance-t-elle. Je suis sûre que tu aimes te faire fesser ainsi, Ptite salope !

Moi, Ptite salope ? Cest bien la première fois quon me traite ainsi et cela ne me plait pas beaucoup. Mais bon, cest elle la cliente, me dis-je, et si cela lui fait plaisir de me traiter de salope Jai de plus en plus mal et je sens que mes fesses rougissent ; en tout cas, elles me chauffent. En plus, je me sens un peu humiliée dans cette position de petite fille à qui on donne la fessée, en étant ainsi à sa merci vu ma position. Je sers les dents pour ne pas crier même si je pousse quelques gémissements de douleur à chaque fois que sa main tombe sur lune ou lautre de mes fesses. De temps en temps, elle alterne avec une caresse sur les fesses ou son doigt qui passe le long de ma raie en appuyant sur mon anus avant de finir par une caresse de lentre-jambes. Enfin, elle semble se lasser car les fessées commencent à sespacer.

Elle se relève et me demande de me mettre à genoux face à elle, fait glisser sa jupe et retire sa culotte.

— Tu vas me faire un petit cunni pour commencer ! me dit-elle tout en attrapant mes cheveux et me guidant vers son sexe. Elle tire sur mes cheveux, cela me fait mal et je naime pas ! Et puis, elle navait pas besoin de me guider ainsi, je laurais trouvé toute seule son clito, dautant quétant à genoux, je suis pile à la hauteur de son sexe !

Je commence donc mon jeu de langue sur ses lèvres, son bouton alors quelle continue à me tenir par les cheveux. Je joue avec ma langue et sens quelle commence à mouiller sévère ! Cest vrai que je deviens une experte du cunni ! Je passe également ma langue à lentrée de sa grotte et recommence mon petit va-et-vient de langue entre ses lèvres, son clito qui ce coup-ci bande bien et sa grotte. Cela a lair de la combler au moins !

— Va tallonger sur le lit ! mordonne t-elle. OK Mdame ! Je mexécute et mallonge sur le lit.

Pendant ce temps, je la vois qui retire son haut et son soutien-gorge puis se dirige vers sa valise qui est posée sur un meuble à côté du bureau et en sort une ceinture avec une espèce de pic au milieu. Jécarquille les yeux en me demandant de quoi il sagit (En fait, cest un gode-ceinture, je le découvrirai ensuite, mais jusque-là, je nen avais jamais vu. Je ne savais même pas que ça existait ! ).

Elle se passe donc la ceinture autour du bassin et je comprends enfin que ce pic nest en fait quun gode et quelle va donc vouloir me baiser ainsi. Par contre, cest un sacré gode qui a le même aspect quun pénis ! Il doit faire 20 centimètres de long et 4 centimètres de diamètre !

— Ecarte les jambes et ramène tes pieds sur tes fesses ! me lance-t-elle encore. Puis elle vient sagenouiller près de mon sexe, passe un doigt sur sa langue quelle dirige ensuite sur mon sexe. Elle commence à mhumidifier ainsi avant de carrément plonger sa langue sur mon abricot et de fouiller ainsi pour lexciter. Oui, je commence à mouiller et à être excitée. Je pousse quelques halètements.

Elle doit considérer que je suis assez excitée car elle passe ses mains sous mes cuisses et dirige son sexe et donc le gode vers mon vagin. Jai une certaine appréhension vu la taille de lengin mais je ne dis rien. Elle commence à le rentrer, je pousse un petit cri, sarrête quelques instants puis lenfonce un peu plus dans mon vagin. Après une nouvelle petite pause, elle finit par lenfoncer complétement et commence à masséner des coups de reins, comme si jétais pénétrée par un sexe dhomme. Finalement, cela nest pas si terrible et jy prends un certain plaisir même si le contact nest pas le même que celui dun sexe ou même du gode dAnne et que la taille fait que jai un peu mal ! En fait, jai limpression de faire lamour avec un mec, mais un mec plutôt bien bâti quand-même. (En tout cas, les copains que jai eu jusquà présent navaient pas de sexe aussi gros).

— Tu aimes ça, petite salope ! me dit-elle encore

Je naime définitivement pas cette relation où je suis traitée comme de la merde par une femme froide et très dominatrice. Et jaimerais que tout cela sarrête rapidement. Le fait de penser à la prochaine rencontre avec Anne me permet malgré tout de tenir et de faire bonne figure.

Après mavoir prise ainsi et bien « ramonée », elle me demande de me mettre à 4 pattes sur le lit. OK, toi, tu vas vouloir me prendre maintenant en levrette pense-je.

Je me mets donc dans la position quelle ma demandé et je sens quelle approche ses mains de mes fesses. Jespère quelle ne va pas recommencer à me fesser car là, je lui dirai stop !

— Ouah ! Tes fesses ont bien rougies ! me dit-elle. (Tu métonnes, vu la fessée que tu mas administré, cest bien normal !) Tu verras par la suite, elles nen seront que plus fermes à force de recevoir des fessées ! (Ah bon ? Ca raffermit les fesses la fessée ?)

Elle commence à les caresser puis sattarde avec son doigt sur mon petit trou. OK, je te vois venir, tu vas vouloir me doigter avant de me prendre en levrette me dis-je.

Effectivement, cela ne loupe pas. Je sens un de ses doigts quelle a dû humidifier qui vient me titiller mon petit trou et essaie de rentrer. Bon, je dois avouer que moi qui navait jamais été doigtée avant de commencer ce métier, je me suis mise dans lidée que cétait « normal » vu que 2 de mes 3 premières clientes lavaient pratiqué sur moi et donc je me laisse faire. Je sens son doigt rentrer dans mon petit et commencer un mouvement de va-et-vient. Puis je sens quelle essaie dintroduire un deuxième doigt. Elle me claque une de mes fesses et me demande de détendre mon cul (je voudrais bien ly voir !) puis je lentends qui crache de la salive sur mon petit trou afin de lhumidifier plus encore et faire rentrer son deuxième doigt. Et elle recommence lopération avec un troisième doigt tout en essayant décarter ses doigts à lintérieur de mon petit afin de le dilater. Moi, je nose pas bouger, toujours à 4 pattes sur le lit et émets des petits gémissements de plaisir feint. Elle retire enfin ses doigts de mon petit et caresse tout autour.

— Ton cul doit être très étroit ! Mais là, il est bien ouvert ! me dit-elle.

Dun seul coup, elle mattrape les cheveux et tire dessus si bien que je suis obligée de redresser la tête en arrière. Je me dis que ça y est, elle va me prendre en levrette et my prépare. Et là, je sens que le gode quelle a toujours à la ceinture vient toucher mon petit. Jessaie de me retourner pour voir ce quelle fait mais comme elle me tire sur les cheveux, ce nest pas évident. Et je comprends quelle va vouloir faire entrer son gode dans mon petit ! Je panique !

— Non ! Sil vous plait, je ne veux pas ! Je ne lai encore jamais fait ! lui dis-je.

— Quoi ? Tu es vierge du cul ? Mais cest super ! Tinquiète pas ! Tu vas voir, tu vas y prendre beaucoup de plaisir ! me répond-elle.

— Non ! non ! Je ne veux pas ! Et de toute manière, cest beaucoup trop gros ! Ça ne rentrera jamais !

Et en même temps que je lui dis cela, je sens quelle pousse de toutes ses forces pour essayer de faire rentrer le gode dans mon petit trou. Evidemment, cela bloque car il est trop gros. Cela doit lénerver car elle tire encore plus fort sur mes cheveux et me claque la fesse droite avec lautre main et me dit « Pousse ! ». Et dun seul coup, le gode a commencé à entrer ! Je pousse un hurlement, tellement jai mal et ai limpression dêtre ouverte en deux ! Vu le cri que jai poussé, tout létage de lhôtel va accourir pour voir ce qui se passe, ce nest pas possible autrement !

— Tu aimes ça, petite pute ! me dit-elle.

Moi, jai les larmes qui me montent à lil, à la fois de douleur et de rage dêtre ainsi sodomisée !

Après avoir fait légèrement rentrer le gode, ce qui avait provoqué mon hurlement, elle sest arrêtée de pousser, laissant le gode ainsi entré d1 ou 2 centimètres dans mes intestins pour quils shabituent à cette présence étrangère. Alors que la douleur devient plus supportable, voilà quelle se remet à pousser tout en continuant à me tirer les cheveux, ce qui mamène à hurler encore ma douleur. Elle sarrête à nouveau, sans bouger, ce qui me permet de reprendre mes esprits même si jai atrocement mal ! Jusque-là, je nai vraiment eu aucun plaisir ! Jai juste limpression que mon cul est grand ouvert !

Puis elle redonne un coup de rein, ce qui me fait émettre un cri à nouveau. Mais je sens que ses cuisses touchent maintenant les miennes et jen conclue quelle a complètement rentré le gode en moi ! Elle reste ainsi sans bouger en me disant encore que jaime ça et en me traitant au choix de ptite salope, ptite pute. Je napprécie vraiment pas ce meeting !

Enfin elle ressort complètement le gode, ce qui me permet davoir beaucoup moins de douleur mais recommence rapidement lopération dintroduction du gode qui, ce coup-ci, rentre beaucoup plus facilement même si cela me fait encore mal et que je continue à crier. Mais cela a lair de lexciter encore plus ! Une fois le gode entièrement entré et après quelques instants sans bouger, elle commence à donner des petits coups de reins qui font donc bouger le gode dans mes intestins. Je continue à crier ma douleur, même si elle, qui de sa main droite me touche le sexe, me dit que je mouille beaucoup et que je dois donc apprécier énormément cela ! Et évidemment, elle me tient toujours la tête par les cheveux !

Après quelques moments de ce traitement qui me paraissent une éternité, elle se dégage enfin de moi tout en ayant toujours des paroles aussi agréables à mon égardJe sens comme une brûlure intérieure et ai limpression davoir été ouverte en deux ! Je lentends qui crache en direction de mon petit puis sens cette salive sur mes fesses, salive quelle sempresse détaler à laide de ses doigts tout autour de mon anus, voire même à lintérieur. Ceci dit, cette « humidité » me fait du bien et calme un peu ma douleur.

— Ouah ! Tu es bien ouverte ! me dit-elle. Cest vraiment très beau à voir.

— Plie tes coudes et pose ta tête sur le matelas ! mordonne-t-elle ensuite

Je mexécute, ce qui a pour conséquence, étant auparavant à genoux à 4 pattes, que mes fesses sont maintenant le point « culminant » de ma personne. Cest a priori ce quelle cherchait.

Elle, toujours à genoux, saisit mes fesses de part et dautre avec ses mains puis je lentends qui crache de la salive directement dans mon petit, ce quelle na aucun mal à faire étant donné quil est complètement dilaté. Elle se lève et vient placer le gode quelle a toujours à la ceinture juste au-dessus de mon trou. Puis, dun coup sec, elle le réintroduit complétement et, vu ma position, cela semble plus facile pour elle car il entre beaucoup plus facilement.

Une fois complètement à lintérieur, elle lui fait faire des mouvements de va-et-vient comme tout à lheure mais, bien que jimagine que mes muqueuses doivent être assez rougies, cela mest malgré tout plus supportable, sans pour autant réussir à mamener à la jouissance.

Après sêtre lassée de sa position et avoir ressorti le gode puis contemplée son uvre en examinant mon petit tout ouvert, elle me saisit la tête par les cheveux et lamène à hauteur du gode quelle mordonne de lécher ! Jouvre la bouche car, honnêtement, je suis un peu sonnée, et elle y enfonce le gode que je lèche donc avec ma langueavec un sentiment de dégoût même si il sagit de mon intimité !

Ensuite, elle retire le gode de ma bouche, défait la ceinture puis vient membrasser sur la bouche en introduisant sa langue. Elle me dit quelle a passé un bon moment et que la première sodomie est toujours un peu douloureuse mais que je my ferai et apprendrai à lapprécier, ce que je doute fortement. Et finit par me dire que je peux me rhabiller.

Je me lève du lit, ressens une douleur immense au niveau de mon petit trou et commence à mhabiller en me disant que je ne pourrai même pas supporter la ficelle du string. A peine ai-je remis ma jupe quelle ne trouve rien de mieux à faire que de me donner une petite claque sur les fesses qui me fait tressaillir. Je mempresse de finir de ramasser mes affaires malgré le mal que jai à faire des mouvements et en me demandant comment je vais rentrer chez moi car jai limpression de ne plus pouvoir marcher tellement cela me lance à lintérieur. Je sens dailleurs que mon petit est encore complètement dilaté. Elle maccompagne jusquà la porte et me dit, toujours sur un ton aussi directif et froid, quelle a passé un bon moment et sera contente de me revoir prochainement. Je rejoins lascenseur de létage en ayant beaucoup de mal à marcher et me dis que tous les gens dans la rue vont se douter de ce que jai fait vu la façon dont je marche

Je me dis également que ce métier est peut-être trop dur pour moi, que jaurais dû me fier à mon instinct lorsquelle a ouvert la porte et que jappellerai dès le lendemain ma Boss pour décommander tous les RdV, excepté avec Anne.

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