En vacances d’été en club avec ma famille en GRECE pour une semaine, j’ai rencontré une jeune belge de 19 ans qui m’a initié aux plaisirs sexuels.
Haut de mes 15 ans, je plaisais beaucoup aux filles. 1m 80, blond aux yeux bleus, cheveux longs à la surfeur, j’avais eu plusieurs copines déjà. J’embrassais très bien d’après mes partenaires et je me débrouillais bien pour caresser une fille, lui peloter les seins, les lécher, caresser ses fesses, leur chatte, leur clito.
Ma dernière copine avait connu ses premiers orgasmes sous mes doigts et dernièrement sous ma langue.
Mais j’étais encore vierge et malgré des multiples branlettes et fellation aucune n’avait voulu aller plus loin et coucher avec moi.
Encore puceau je rencontrais Sophie, 19 ans, 1m70 , châtain, yeux marrons, des petits seins (85 B), un tout petit cul. Dès que je l’ai vu j’ai flaché sur elle. Elle aussi m’a remarqué.
Cependant elle était avec un garçon très mignon lui aussi, 17 ans , grand, balaise.
Je mis donc deux jours avant de l’aborder comprenant finalement que le mec était son frère.
Pendant ce temps, deux autres filles du club me tournaient autour dont Emilie, 15 ans, blonde aux yeux bleus, 1m60, des seins magnifiques (90 C) un cul ultra excitant.
Sophie et son frère rejoignirent notre groupe formé de ma sour, de trois potes et des deux filles qui me couraient après.
J’appris ainsi que Sophie vivait en Belgique, qu’elle avait un mec là bas avec qui elle était fiancée.
Je lui fit rapidement comprendre que je la désirais depuis le premier regard mais la belle repoussait mes avances a cause de son fiancé et du fait que je soit trop jeune pour elle.
Durant deux jours j’ai tout tenté pour la séduire mais à chaque fois bien que receptive à mes avances, elle me renvoyait sur les roses. Le pire, elle m’encourageait à sortir avec Emilie qui me dévorait des yeux.
Un soir, dansant un peu trop près d’Emilie, un désir de sexe se fit pressant et devant un ènieme refus de Sophie je me rabattit sur Emilie.
Nous nous dirigeames sur les transats de la plage.
On s’embrassa lentement. allongé sur le dos, elle sur moi je lui caressait le bas du dos descendant sur ses fesses la collant sur mon sexe dur contre son pubis.
Je glissais mes mains sous son tee-shirt remontant vers l’agrafe de son soutif.
Je lui dégrafais son soutien-gorge libérant ses gros nichons sous son tee shirt.
Passant mes mains sur ses cotes, je saisis ses nibards des deux mains, les malaxant doucement.
Emilie vibrait sous ma caresse enroulant sa langue autour de ma mienne.
Ses seins étaient délicieux, doux, gros, les tétons bandés.
Ma queue bavaient dans mon jean appuyant sur sa moule.
Je relevait son tee shirt sur son ventre découvrant ses magnifiques seins excités de mes caresses.
Ses mains dans les cheveux, elle se laissait peloter les nichons avec plaisir couvrant ma bouche de baisers.
Je glissait ma bouche et mon regard sur ses seins mes deux mains les englobants de toutes leur surfaces.
Les yeux fermées, Emilie appréciait mes baisers sur ses mamelons tous excités.
Je lui léchais et tétais les seins comme les filles aiment tant, jouant avec ses tétons, une main sur un sein, une autre descendant sur ses fesses que je caressais par dessus son jean.
Au bout de 5 minutes, ses seins ruisselaient de ma salive lorsque je glissait ma main de ses fesses entre nos corps, caressant son sexe a travers son pantalon.
Emilie restait passive, ses mains dans mes cheveux sur mon visage, les yeux fermés me dévorant la bouche.
Je lui palpait la chatte quelques secondes et remontant sur son ventre je tentais de la glisser dans son pantalon lorsqu’elle m’attrapa la main m’empêchant de la glisser sous son jean.
— Non, arrête, pas dans la culotte, embrasse moi, caresse moi les seins encore.
Sa main dans la mienne je la collai alors sur la bosse de mon pantalon.
— Caresse moi, tu sens comme tu m’excites.
Je passai sa main et la mienne le long de ma bite par dessus mon jean. Puis la lâchant je repartis sur ses fesses.
Emilie palpait ma queue lentement sur toute sa longueur pendant que je suis caressais son beau cul et ses magnifiques seins.
Elle me faisait mal à l’étroit dans mon jean alors j’invitais ma belle a l’extraire de son fourreau.
— Sort là, branle moi doucement.
Mais une nouvelle fois Emilie refusa d’aller plus loin. Elle était magnifique mais stupide et coincée.
La situation me frustrait énormément et ce n’était pas avec elle que je pourrais m’éclater et encore moins perdre mon pucelage.
Je mis fin à notre étreinte, saisissant son soutif, je remis en place l’agrafe. repoussant ses baisers je pris mes distances.
Malgré ses pleurs je la laissait sur place retournant sur la piste de dance avec le reste du groupe.
Sophie qui avait remarqué notre départ me sauta dessus.
— Alors, tout ce passe bien avec Emilie, tu as enfin cédé a ses avances.
— En effet on a un peu fleurté ensemble, c’est bientôt la fin des vacances et comme tu repousse toute mes avances il faut bien assouvir ses pulsions.
— Mais elle n’est pas avec toi ?
— Non, elle est restée là bas, ca n’as pas collé. On aura essayé au moins.
— Que s’est y passé ?
— Tout avait bien commencé on a trouvé un petit coin tranquille sur la plage à l’écart, sur un transat. Elle couché sur moi, on s’est embrassé longuement en lui caressant le dos, puis j’ai glissé mes mains sous son tee-shirt pour toucher ses gros seins.
— C’est clair elle a une poitrine magnifique tu as du te régaler.
— Grave, des obus trop bandants, elle est vraiment bien foutue. Son cul aussi est un délice mais elle est trop inactive. Elle se contente de te rouler une pelle en se faisant tripoter le cul et les seins. Elle a pris peur quand j’ai voulu la caresser sous le jean. Elle m’a à peine toucher au travers du pantalon et pas question non plus de glisser sa main dessous.
— Elle est jeune c’est normal tu vas un peu vite aussi.
— On a pas 2 mois devant nous, encore une soirée et après c’est le départ. Je vais pas attendre 3 mois qu’elle se décide.
— Tu sais y a pas que le sexe dans une relation avec une fille , la tendresse est importante aussi plus même.
— Je suis d’accord avec toi il faut de la tendresse et du sexe, la tendresse elle en a eu, restait le sexe a avoir.
— Vous êtes trop rapide, il faut savoir patienter, amener doucement le désir.
— Ah bon, et comment ? tu me fais une démonstration ?
— Tu perds pas le nord.
— Jamais, et comme la chanson des foreigners « je veux apprendre à faire l’amour, je veux que tu me montres »
— Tu sais que c’est impossible, je suis fiancée et tu n’as que 15 ans.
— Rien est impossible quand on le veut surtout si on se plait. Apprends moi à faire l’amour à une femme. Montres moi comment s’y prendre pour la satisfaire.
— Aller sa suffit je vais me coucher a demain.
— Attends, je te raccompagnes.
— Non je rentre seule a demain.
Le lendemain nous jouions dans la piscine et à la mer tous ensembles. Emilie, restait a l’écart de moi le plus possible. Elle s’était réconforté dans les bras de Thomas, un garçon du groupe qui bavait sur son corps depuis le début et qui jouissait de pouvoir embrasser une fille aussi jolie.
Comme d’habitude on était très complice avec Sophie, jouant a se couler, montant sur mes épaules, nos corps se frolaient souvent, voir étaient collés l’un à l’autre.
Mon envie pour elle provoquaient souvent des érections plus ou moins importantes que je tentais de dissimuler en m’écartant le temps de retrouver mon sang froid.
Mais aujourd’hui c’était notre dernière journée avant le départ le lendemain matin à 8 heure.
Je décidais de provoquer Sophie, et alors que l’on jouait a se couler les uns les autres j’en profitais pour me retrouver un peu a l’écart avec Sophie que je poursuivais pour la couler. Je la rattrapais, la saisissant dans mes bras, je collais ses fesses contre mon ventre et croisant mes bras sous sa poitrine je lui mettais la tête sous l’eau la jetant a droite et à gauche.
En maillot une pièces, j’avais son petit cul collé contre mon pubis, mes bras et mes mains sous ses petits seins. Mes mouvements de droite à gauche faisait frottés nos corps et rapidement ma queue durcit dans mon short de bain appuyant contre la raie de Sophie qui remuant pour se dégager accentuait les mouvements de son cul et de sa moule sur ma bite. je bougeais un peu mes mains lui pelotant discrètement ses petits seins.
Elle réussit à se dégager. Et tandis que je ma rapprochais pour la saisir à nouveau.
— Je crois que tu as besoin de te calmer un peu là, tu es trop excité,
— Tu me donnes un coup de main ?
— Ce n’est pas une bonne idée.
— Je suis un homme et devant une jolie fille mon corps réagit.
— Tu m’étonnes qu’il a réagit.
— Tu vas pas me laisser comme ca ?
— Non tu as raison je vais t’attendre sur les serviettes tu viens ?
— Pas tout de suite je vais attendre un petit peu que je sois plus présentable.
Elle partit en riant, me tournat le dos, offrant à ma vue, ce petit cul qui frottait sur ma queue quelques minutes plus tôt.
J’attendis 10 minutes que ma bite se ramolisse, nageant pour calmer le feu dans mon short.
A plusieurs reprise dans la journée je surpris le regard de Sophie sur mon corps notamment sur mon entrejambe et j’ai même cru voir ses petits seins se durcirent à ce moment là.
Pour notre dernière soirée j’avais demandé au DJ de passer la chanson des foreigners i want to know what love is..
Comme prévu j’invitai Sophie à danser et entendant cette fameuse chanson elle me dit/
— Tu ne renonce jamais.
— Non, surtout quand la fille me plait autant et que je lui plais aussi. Avoue que ca te plairait de sortir avec moi si j’étais un peu plus agé, non ? Tu n’as pas envie d’être la première à faire l’amour avec moi ? de m’apprendre à faire jouir une femme ? je lui chantait la chanson dans l’oreille collant son corps au mien, ma queue à moitié bandé dans mon jean.
Elle ne dit rien jusqu’à la fin des slows, collés a moi se laissant bercer par la musique et mon corps.
Nous nous dirigions vers les autres lorsque elle me demanda d’aller ailleurs.
Sans répondre je saisis sa main et la tira vers la sortie de la boite.
Je passai ma main sous sa taille et tout en discutant je la ramena vers ma chambre.
Devant ma porte Sophie se raidit. Je lui saisis les deux mains et les yeux dans les yeux je la suppliait de m’apprendre à faire l’amour à une femme.
Indécise je l’attirais à moi et posai ma bouche sur la sienne. Mes mains dans les siennes, mes lèvres contre les siennes, ma langue rencontra la sienne pour un baiser passionné.
Nos langues s’enroulaient comme deux serpents pendant deux minutes quand je mis la clé dans la porte et l’ouvrit l’invitant à entrer.
Sophie résista un peu mais me suivit à l’intérieur.
Je fermais la porte derrière, allumait la lumière. Je la regardais de la tête au pied me rapprochant d’elle. je me collais à elle les yeux dans les seins ma queue dur contre son pubis ses seins contre mon torse.
Ma bouche a retrouvé la sienne, mes mains dans son dos descandants sur ses fesses. les siennes sur mon torse.
Je cherchais à passer mes mains sous son tee shirt bordeau quand Sophie m’indiqua que c’était un body, chose que je ne connaissais pas.
— C’est comme un maillot une pièce.
— Tu l’enlèves comment ?
— Il ne s’enlève pas !
— Très drôle, aller dis moi.
— Il y a trois pression sur la culotte.
Je me reculais, regardait ce body, puis fixant sa ceinture je posai mes mains sur ses boutons les ouvrants un par un a genoux devant elle.
J’ouvris son jean découvrant le bas du body par dessus une culotte en dentelle rouge, moulant son pubis comme un maillot de bain.
Je descendis le pantalon sur les chevilles débarrassant Sophie de son jean, la laissant devant moi en body et culotte.
Je remontais mes mains le long de ses mollets effleurant ses genoux caressant ses cuisses, mes yeux dans les seins.
J’apperçu les fameuse pression entre ses jambes qui s’écartaient doucement sous ma caresse. Mes mains se positionnérent à l’orée de sa culotte sur ses cuisses. Passant dessous, je lui palpaient les fesses collant mon nez et ma bouche sur le bas de son body je déposai de petits baisers sur sa chatte et son clito mes mains glissant directement sous sa culotte je caressai la peau si douce de son petit cul.
— tu t’y prends très bien pour quelqu’un qui n’as aucune expérience.
— Je n’ai jamais dit que je n’avais pas d’expérience. Je me débrouille pas mal avec mes doigts et ma langue, même si j’ai surement des progrès à faire par contre je ne sais pas me servir de ma bite.
Je passai ma bouche et ma langue sur son vêtement, mes mains massant ses fesses, la collant à mon visage.
Je saisis les pressions une par une entre mes dents et les tiras vers le bas ouvrant la voie vers sa culotte en dentelle.
Mes mains pouvaient passer de son cul sur sa moule sous sa culotte sans être bloquée par le body.
Aussi la bouche collée à sa culotte mes mains glissèrent le long de ses fesses jusqu’à ses grandes lèvres humides qu’elles effleurèrent remontant vers son clito appuyant doucement dessus le faisant grossir encore.
Sophie avait fermée les yeux et soupirait de mes caresses sur son corps.
Elle appuya ma tête sur sa moule, laissant échapper un cri de plaisir lorsque ma langue glissa sous sa culotte plongeant dans sa chatte grande ouverte et toute chaude d’envie.
Je me relevais m’excusant de ne pas mettre retenu de gouter sa si appétissante chatte.
— ne t’excuse pas, c’est trop bon, tu es très doué pour procurer du plaisir avec ta langue, je n’ai ressenti ça. D’habitude je n’aime pas qu’on me lèche mais avec toi je crois que je vais adorer.
Je lui roulais une pelle mes mains sur ses hanches passant sur ses fesses son dos, remontant son body sur son corps. En profitant pour la caresser jusqu’aux seins que je libérais à ma vue. Ses tétons étais petits mais très durs et très foncés. Ils pointaient vers moi comme deux petits pointes de canifs.
Enlevant les bras du body je jetais le vêtement au sol la laissant avec seulement sa culotte en dentelle rouge à moitié transparente. Je me reculais un peu profitant de la vue de ce corps que j’avais tant désiré de ses petits seins que je saisissais à deux mains les malaxants doucements comme deux merveilles ultras fragiles.
Sophie vibraient sous mes doigts
— Hum, c’est très bon tu me masses bien les seins, oui , comme ça, tète moi un peu tu m’excites à mort, oui lèche moi, caresse moi, continue, fais moi du bien, tu t’y prends très bien.
Je lui lapais les seins, les caressant des deux mains les tétants, aspirant doucement l’un après l’autre.
Ma queue me faisait horriblement mal compressée dans mon jean. D’une main je tentais de redresser ma bite afin de soulager la pression sur ma queue.
Sophie remarqua mon état, me vient en aide.
— Tu es gros, laisse moi te libérer.
Elle passa ses mains sur la bosse de mon pantalon augmentant mon erection et la douleur dans ma queue.
Elle dégrapha ma ceinture se positionnant à genoux devant moi. Elle enleva mes boutons un à uns tirant sur ma braguette pour diminuer la pression sur ma bite. les boutons enlevés elle engouffra sa main dans la braguette et saisissant ma bite à l’horizontale, la redressa sur son ventre verticalement dans mon caleçon blanc. La bite était toute droite bandée aux maximum, emprisonné dans mon caleçon qu’elle déformait moulant mon gland comme une seconde peau.
Sophie me caressa quelques secondes par dessus le sous vêtement enroulant sa main le long de ma queue, saisissant mon gland.
Excité comme jamais je jouis de cette délicieuse petite branlette. J’inondais mon caleçon de sperme tandis que Sophie continuait de ma palper la queue.
— Désolé, je n’ai pas pu me retenir. Tu me fais trop bander.
— Je vois , oui , tu es en forme, plus que ce matin même. C’est normal d’éjaculer et toi tu as un gros stock a ce que je vois. Autant enlever ton caleçon il est tout trempé.
Elle m’enleva mon jean et glissant sa main dans mon sous vêtement plein de sperme, elle me saisit le gland descendant sa main le long de ma queue sous mes couilles entrainant mon caleçon dévoilant ma bite coulante de jus à son regard.
Elle passa sa main sur mes fesses les yeux bloqués sur ma queue qui vibrait sous son nez. Elle abaissa mon slip sur mes cuisses, m’enlevant mon dernier vêtement.
J’étais nu devant elle, la bite raide malgré ma jouissance, un filet de sperme coulant de mon gland.
Elle partit dans la salle de bain me laissant au milieu de la pièce à poil pour revenir avec un gant de toilette qu’elle me passa sur la queue qui bandait un petit moins.
Immédiatement ma bite se remit droite comme un i découvrant mon gland rouge d’excitation.
Sophie, la main dans le gant caressant ma bite me complimenta sur mon physique.
— Tu es magnifique , ta queue est très belle, tes couilles sont bien grosses, j’aime ton corps. Elle passait le gant sur ma bite descendant sur mes couilles.
Bien nettoyées, elle retira le gant posant ses mains nue sur mon sexe elle me branla lentement de bas en haut.
— Tu aimes mes caresses ?
— Oui, masturbe moi doucement, c’est divin.
— Tu veux que je te suce ?
— Oui s’il te plait suce moi.
Elle posa sa bouche sur ma bite et enroula mon gland de sa langue lapant mon champignon, appuyant sur le trou.
Mes fesses se contractèrent sous sa bouche, des ondes de plaisirs me traversèrent le corps.
Ses mains soupesaient mes burnes, caressait mes fesses.
Elle engouffra ma bite dans sa bouche m’aspirant la queue jusqu’à la garde puis remonta la sortant entièrement.
— Ta queue as très bon goût, ca te plais ? moi je me régale avec ma grosse glace.
Elle le lécha la bite sur toute la longueur la rengoufrant jusqu’àux couilles.
Elle me caressait, me branlant lentement la bite.
Je me concentrais de toutes mes forces pour ne pas jouir trop vite et profiter le plus longtemps de cette délicieuse fellation.
Sophie saisit mes boules dans sa bouche, les aspirant, les gobants. Elle me branlait des deux mains me malaxant la queue. Sa bouche m’aspira a nouveau me pompant a me décoller la queue dans un bruit de succion obscène.
Je ne pus me retenir plus sous cette pipe et je jouis envoyant mes fesses vers sa bouche enfonçant ma queue au fond de sa gorge je jutais pour la seconde fois une grosse quantité de sperme.
Sophie la queue plantée dans la gorge avala toute ma semence, pressant mes couilles et aspirant les dernières gouttes de ma jouissance.
Pour la première fois de ma vie une fille avalait mon foutre.
— Délicieux ton sperme, je me suis régalé. Ca t’as plu ?
— Enormément ’est la première fois qu’une fille avale mon sperme.
— Moi aussi d’habitude je n’aime pas ça mais là j’en mourrais d’envie de goûter ton sperme, il est délicieux d’ailleurs. Non ?
Se relevant, elle me roula une pelle me faisant gouter ma liqueur de bite.
Je plaquai mes mains sur son cul glissant sous son slip je lui massais son petit cul si bandant ses seins écrasés sur mon torse ma queue raide collé à son clito.
— A toi maintenant Sophie, je veux te faire jouir avec ma bouche.
— Viens je suis à toi.
— J’aimerais que tu me montres ta chatte, que tu me détailles ton sexe, me guide ou te caresser, de quelle manière, quand te lècher et comment. Allonge toi sur le lit, baisse ta culotte, écarte tes jambes, ouvre ta chatte, montre moi ton sexe, apprend moi a te manger comme tu aimes.
Sophie se recula, monta sur le lit, assise dos au mur elle écarta sa culotte me dévoilant pour la première fois sa chatte poilue a mon regard.
— elle te plait ma chatte ?
— Oui beaucoup, elle est magnifique ,montre la moi mieux, attend je me rapproche.
Je montais en rampant sur le lit entre ses jambes mes yeux a quelques centimètres de sa chatte dégoulinante de désir et grande ouverte.
Sophie avait enlevé sa culotte et les jambes grande ouverte me détaillait sa moule. Ecartant ses grandes lèvres elle me présenta ses petites lèvres si fines et si sensibles couvertes de mouilles et plus haut son clitoris tout dur et bandé d’excitation.
Indécente, les deux mains sur ses lèvres elle ouvrait à mon regard sa moule béante d’envie. Je humais son désir me retenant de lui palnter ma langue dans sa grotte dégoulinante.
— touche mes lèvres comme elle sont gorgées de sang comme tu les excites avec ta grosse queue.
Je posai un doigts sur le haut d’une grande lèvres le descendant lentement le long de son sexe remontant sur la seconde.
— Hum, continue comme ça, caresse moi doucement, je mouille comme une folle, appuie sur mon clitoris, oui comme ça tu vas me faire perdre la tête oui encore, pince le doucement, OH OUI, passe ta langue dessus, oui oui, encore lèche le, caresse mes cuisses , aspire le, oui, mords le doucement, HAAAHAAA, mets moi un doigts, oui, oui, deux, encore , oui , continue, branle moi lentement, frotte mon clito, oui plus fort, oh oh ,je jouis enfonce ta langue dans ma chatte aaaaahhhhhhaaaaaaaaaaa.
Sophie jouit sur ma langue envoyant un jet de cyprine sur mon visage. Sa chatte se contractait sur ma langue la pressant l’attirant plus profond. Je continuais de lui enfoncer ma langue du plus que je pouvais la tournant dans sa chatte une main frottant son clito du plus vite que je le pouvais.
Ma queue ne débandais pas au contraire elle désirais s’introduire dans cette chatte si affriolante.
Sophie aussi en voulais plus.
— Tu es vraiment doué pour lécher une fille tu m’as fait jouir pour la première fois en me suçant la chatte. Allonge toi sur le dos si tu as toujours envie de me mettre ta bite dans la chatte.
Je me jetais sur le dos impatient de piner enfin une chatte de devenir un homme un vrai. Ma queue était droite comme un i bandée comme jamais.
Sophie se rapprocha de moi comme une chatte à quatre pattes ses yeux dans les miens elle m’enjamba saisissant ma queue la positionna à l’entrée de sa chatte en fusion.
— elle est grosse ta queue, elle a encore grossie non ? elle est impatiente de plonger ma chatte. Tu crois qu’elle va rentrer ? tu sens ma main sur ta bite ? regarde ma chatte comme elle bave de se faire remplir par ton gros manche. Tu vois comme ton gland coulisse sur mes lèvres comme il s’humidifie, hum tu sens mon clito sur ton trou ? retiens toi encore un peu tu vas avoir le temps de me bourrer la chatte profite de ces instants avant le côit. Fais languir ta partenaire glisse ta bite le long de ses lèvres a l’entrée de sa chatte comme ça. Descend plus bas entre ses fesses le long de sa raie, dans son cul. Alors elle sera prête a accepter tout ce que tu voudra pour que tu enfonce ta bite dans sa moule. Tu remonte vers son antre et tu glisse tout doucement à l’intérieur. ah, oui comme ça ton gland écarte mes lèvres il entre dans ma chatte, écarte mes parois me rempli la moule. Ca te plait ?
viens au fond, appuie sur ma matrice, tu as une grande queue je suis prise à fond.
Je sentais la chaleur d’une chatte pour la première fois sur ma queue. C’était chaud, mouillé et serré.
Sophie était empalé jusqu’aux couilles sur ma queue. Elle ondulait le bassin frottant mon gland sur ses paroies, enserrant ma bite entre ses muscles vaginaux.
Elle souleva ses fesses ressortant ma queue de toute sa longueur. Elle réapparut trempée de mouille. Elle se rassit sur ma bite jusqu’à la garde lentement les yeux rivés sur ma queue disparaissant dans son trou.
Je jutai en quelques secondes trop excité par la situation. Cependant ma queue ne débandait toujours pas. Sophie se mit a monter et à descendre de plus en plus vite sur ma queue la sortant de temps en temps complétement pour la passer sur ses lèvres dans sa raie branler son clito avec mon gland et la remettre dans sa chatte.
De mon coté je lui malaxais les fesses, les écartant de deux mains. Je lui saisissais ses petits seins que je mangeais goûlument.
Sophie accéléra la cadence s’empalant de plus en plus vite sur ma bite et au bout de 5 minutes elle jouit sur ma queue. Enfin je venais d faire jouir une fille avec ma bite.
Je n’étais plus puceau, j’étais un homme.
— Merci Sophie, tu m’as fait découvrir le plus grand plaisir que je n’ai jamais connu, je suis un homme maintenant grâce à toi.
— Mais ne me remercie pas, tu m’as donné beaucoup de plaisir aussi. J’ai joui comme jamais je ne l’avais connu moi aussi et tu sais tu voulais que je t’apprennes le sexe et bien ce n’est que la première leçon et comme je sens que tu as encore la queue raide je te propose de passer à la seconde.
— Avec plaisir, dis moi ce que je dois faire.
— Quel position aimerais tu que je t’apprennes ?
Me rappellant les livres et les films sur le sujet je lancais quelques noms qui me vinrent a l’esprit
— le 69, la levrette, la branlette espagnole, la fellation, le cunnilingus, la sodomie.
— C’est tout ? la totale quoi. Concernant le cunnilingus je n’ai rien de plus a t’apprendre tu le maitrise sur le bout de la langue, la branlette espagnole ca sera difficile compte tenu de la taille de mes seins. Pour la fellation, c’est plutot la fille qui aurait besoin de conseille.pour la sodomie je n’ai jamais pratiqué et je n’ai jamais voulu essayé.
Par contre pour le 69 on verra ca plus tard, on va commencer par la levrette si tu veux bien, c’est ma position préféré. La fille se mets a quatres pattes sur le lit le mec dans son dos a genoux derrière elle enfonce sa queue dans sa chatte, comme un chien et un chienne, il la lime plus profond de cette manière. Maintenant la pratique viens derrière moi, prend ta bite dans une main passe la sur mes fesses sur mes levres oui ,entre la, ressort, caresse moi les fesses oui comme ca tu me fais mouiller, remets moi ta bite bien au fond oui ressort branle mon clito de ta teub tu me fais languir salop.
Ecarte mes fesses, tu vois ma chatte grande ouverte engoufres toi à l’intérieur, oui lentement, profite de chaque millimètre, moi je me régale. Agrippes toi à mes hanches, colles ton bassin contre le mien, frottes ton pubis et tes couilles, contre moi oui, comme ca, mon dieu tu me rends folle, baise moi, défonce moi j’en peux plus, tu me rends dingues, tiens bien mes hanches et pines moi a fond, oui comme ça t’arrete pas, plus fort, mon dieu je jouis, tu me fais jouir.
J’en revenais pas, sa chatte aspirait ma queue, l’enserrait la branlant sur toute la longueur, mon gland tapant contre sa matrice. Je la baisais a grand coup de bite coulissant sans problème dans sa chatte dégoulinante de mouille et de sperme. Je me concentrais au maximum sur les haletements de Sophie et sur les mouvements de son bassin, collant mes couilles sur ses lèvres lorsque elle reculait ses fesses pour s’empaler plus profondément sur ma tige, ondulant du bassin en cadence avec le sien. Je senti sa jouissance, les spasmes de sa chatte sur ma bite, les muscles de son vagin se contractant sur ma queue provoquant ma jouissance et un nouveau flot de sperme.
Sophie sortit ma queue de sa chatte, se retournant me poussa sur le dos. Je m’allongeai sur le lit tandis que Sophie reculait ses fesses positionnant sa chatte au dessus de ma bite dos à moi, ses fesses grandes ouvertes devant mes yeux.
Lentement elle s’assit sur le lit enfourna ma bite dans sa chatte.
— Caresse moi les fesses, ca te plait comme ca ?
— J’adore, tu as un cul magnifique, je vois bien ta chatte avalée ma queue, tu mouilles beaucoup je suis trempé.
— Ecarte bien mes fesses, oui comme ça, je vais jouer avec tes belles burnes, écarte tes jambes, elles sont douces tes couilles, ta bite me remplit bien, j’aime la sentir me ramoner la chatte, la voir disparaître dans mon vagin. Tu m’ouvres à fond, tes mains sont délicieuse sur mes fesses, hum c’est trop bon.
Je passai mes mains sur ses fesses en dessous les écartant au maximum. Sa raie s’ouvrait en grand, découvrant son anus trempée de mouille. J’étais hypnotisé par son trou du cul, par son anus fripé. Je glissai une main dans sa raie et devant les râles de plaisir de Sophie, j’osai passer mon doigts sur son anus, le long de sa raie.
Sophie s’empalait de plus en plus vite sur ma bite, se penchant en avant, ouvrant encore un peu plus son cul a mes caresses. Rapidement mon doigts remonta tourner autour de son fion, agaçant son anus.
— Oui, c’est bon , continue, caresse moi le cul, tu va me faire jouir.
Je posai mon majeur sur sa rondelle et appuyait directement dessus. Sa mouille librifia son trou et sans trop de résistance j’introduis une phalange dans son fion. Je lui branlait doucement de quelques centimètres l’anus tandis que Sophie se défonçait la chatte sur ma queue comme une dératée. J’accélerai un peu le rythme de mon doigtage enfonçant un peu plus mon majeur dans son cul quand un nouvel orgasme traversa le corps de Sophie enserrant ma queue qui juta instantanément une nouvelle rasade de sperme.
Sophie sous son orgasme avait rabattu sa tête dans les coussins. Des larmes coulaient sur ses joues lorsque je me couchais sur elle la queue encore plantée dans sa moule.
— Qu’est ce qu’il y a je t’ai fait mal? tu regettes?
Je sortit ma bite glissant sur le coté mes yeux dans les siens.
— Non, au contraire tu ne m’as pas fait mal tu m’as fait jouir comme un dieu, je regrette rien, si peut être que si j’avais cédé plus tôt on aurait eu toute une semaine pour jouir comme ça.
Sa main se posa sur ma bite à moitié ramolie, englobeant mon gland elle le serra dans sa main doucement montant et descendant sa main sur ma tige, me branlant lentement.
— J’ai encore envie de toi, tu me rends dingues, ta queue est si délicieuse, elle me fait si bien jouir. Elle en veut encore elle aussi, je la sens gonfler dans ma main, ton gland se durcit sous ma paume et ta bite se redresse se gorge de sang devient dur comme du bois. Tu m’excites trop. Ta queue est trempée de mouille et de sperme comme ma chatte. Viens avec moi sous la douche, je vais te nettoyer la bite.
Toujours sa main sur ma bite bien raide, elle se leva m’entrainant avec elle. Je me plaquai contre elle. Ma queue contre son ventre, sa main ma masturbant lentement de mon gland à mes couilles. Je l’embrassai goulument, mes mains caressant son dos, ses fesses, ses seins, son ventre, sa chatte.
Nous entrames ainsi sous la douche. Lachant ma queue elle se recula, regardant mon corps de la tête au pied s’attardant sur ma queue bandée qui l’excitait tant.
Moi aussi je me régalais de son corps nu devant moi, de ses petits seins si mignons et excitant, de son corps sveltes, de sa chatte brune fournie, de sa moule encore ouverte et dégoulinante de jute.
Sophie saisit le pommeau de douche et mouilla mon corps de la tête au pied. Elle me demanda de me retourner arrosant mon dos, mes fesses musclées.
Elle reposa le pommeau sur son socle et se collant à moi vint sous le jet chaud. Ses seins s’écrasait sur mon dos, ses mains caressait mes fesses, sa chatte se frottaient sur ma cuisse. Ses mains glissèrent vers ma queue raide, taquinant mes grosses couilles lorsque je me retournais. Embrassant ses lèvres posant mes deux mains sur ses seins frottant ma bite sur son ventre, mes couilles sur son clito. Je saisi un téton dans ma bouche l’aspirant doucement. Une main de la belle repartit se poser sur ma queue, mes couilles, et l’autre sur mes fesses, dans ma raie.
On se caressa quelques minutes puis Sophie se saisit du gel douche et s’écartant de mon corps s’enduit les mains de savon. Elle les posa sur mes pectoraux, les massant doucement, savourant leur dureté. Elle descendit sur mes abdos effleurant mon gland, puis remonta sur mes cotes, sous mes bras, passant dans mon dos, sur mes fesses, mes cuisses, mes mollets.
A genoux devant moi, elle remonta ses mains le long de mes jambes ses yeux rivés dans les miens elle atteignit mes bourses qu’elle enroula dans ses mains, les savonnants abondamment. Elle joua plusieurs minutes avec
— Tu as de grosses couilles, elles sont belles, douces, écarte tes jambes que je te lave dessous. La peau est très sensible sous les bourses entre elle et les fesses, très douces. Tes fesses sont très musclées, très belles. Elles m’ont excitées dès que je les aie vues dans ton short. Je mourrais d’envie de les caresser, de glisser comme là ma main dans ta raie, de les palpées de deux mains glissés avec ta grosse queue. La saisir dans mes mains, touchés sa douceur, sa dureté, sa grandeur, palper ton gros gland, qui m’écarte si bien la chatte, frotte fort mon vagin. Elle est toute propre ta queue, une petite rincée et voilà toute neuve, prête a se faire sucer par ma bouche, dis moi que t’en as envie, parle moi de se que tu ressens,
— Oui, prend moi dans ta bouche, sort ta langue, pose la sur mon gland, oui c’est bon, tourne autour, lèche le bien , ouvre ta bouche englobe le jusqu’au frein aspire le, ressort le oui c’est excellent, passe ta langue sur ma bite descend vers mes couilles, lèches les, mangent les oui oui, lèches moi dessous, oh c’est bon oui là appuie avec ta langue oui comme ça. Remonte doucement suce moi embrasse ma tige , viens me pomper jusqu’au couilles enfonce a fond ma queue dans ta bouche.
— Tu m’excites trop, j’ai envie de me lâcher avec toi, lâche toi aussi, dis moi des trucs cochons, traite moi de salope, de pute.
Sophie remonta sur ma hampe jusqu’à mon gland, elle ouvrit sa bouche et enfila ma queue jusqu’aux couilles dans sa gueule.
— hum, elle te plais ma queue, tu aimes la sucer ma bite, tu en rêvais de la sentir te remplir la bouche, de caresser mes grosses couilles. Ca te fais mouiller de lécher ma queue, aller pompe moi bien à fond comme une bonne suceuse astique moi la pine, montre moi comme tu prend ton pied à pomper mon dard. Branle moi fort, oui t’es une grosse salope, je le sentais bien que tu aimais la queue qu’avec toi j’allais jouir comme jamais que tu aimais te faire baiser par des grosses queues comme la mienne toute la nuit dans toute les positions. Agrippe mes fesses je vais te piner la bouche comme une pute. Accroche toi et prend ça dans ta gueule, tiens, tiens, tu sens ma queue qui te ramone la bouche qui glisse sur ta langue ? tu aimes hein petite pute, tiens régale toi de ma grosse saucisse. Tu vas me faire jouir salope, je vais te juter à la gueule petite chienne.
Je me pris rapidement au jeu, lui parler de la sorte m’excitait énormément. Mes deux mains derrière sa tête je lui baisais la bouche à grand coup de rein pendant que Sophie s’agrippait à mes fesses. Sentant mon sperme monter dans ma queue je me retirais de sa bouche d’un violent coup de rein lorsque mon gland libéra une petite quantité de sperme qui jicla sur le visage de Sophie sur ses lèvres, son nez, ses yeux, ses joues et ses cheveux.
Elle ressemblait vraiment à une pute, une fille dans les films pornos, mon sperme collé à son visage.
Elle rit étalant mon jus sur sa peau, receuillant ma semence qu’elle introduit dans sa bouche ses yeux dans les miens, une main sur un sein.
— Hum, il est bon ton jus, comme ta queue, tu m’as bien baisé la bouche, ça t’as plu mon salop de me piner comme une reine du porno, ça t’excite de m’avoir juter sur la figure de me voir lécher ton sperme sur mes doigts ?
— Oui beaucoup, ma queue a très envie de s’introduire dans ta chatte, de te ramoner la moule, colle toi contre le mur, non dans l’autre sens, la tête et les mains collés au mur, comme dans les films policiers. Ecarte tes jambes et tes bras, baisse toi un peu, oui comme ça les fesses en arrière, tu as un cul vraiment magnifique. Ça t’excite de te montrer comme ça ? comme pour une palpation, savoir que je vais te savonner le corps de la tête au pied collé au mur ?
— Oui, énormément,
Je saisi le gel douche enduisant mes mains de liquide, je les appliquais au milieu de son dos le frottant de bas en haut je me mis à savonner son corps collant le mien dans son dos.
— hum, ta peau est douce, tes seins sont durs, tu aimes que je les remontes, les pelotes, les caresses, les pinces ? tu sens ma grosse matraque contre tes fesses ? ca te rappelle ce matin, je suis sure que tu mouillais de sentir ma bite sur ton cul, tu mourrais d’envie que je la sorte et te la fourre dans ta moule toute excitée.
— Oui , j’en crevais d’envie, je mouillais comme une folle que tu écarte mon maillot et me plante cette grosse bite dans la chatte, tu me rendais dingue il fallait que je m’écarte de toi sinon j’aurais craquer je t’aurai saisi la queue et me serais enfiler ta bite dans la grotte au milieu de l’eau. en rentrant dans ma chambre avant le diner je me suis caresser en pensant à ta grosse queue en l’imaginant me baiser la chatte. Hum continue, oui branle moi le clito, ha, c’est bon , oui encore, plus vite.
— Elle est toute propre ta chatte, écarte tes cuisses que je te lave le cul. Recule toi encore, oui comme ça ouvre toi bien, garde les mains contre le mur, je vais écarter tes miches des deux mains, voilà tu es grande ouverte tu sens l’eau qui coule dans ta raie, sur ta chatte ? tes fesses sont bien savonnées, au tour de ta raie et de ton anus, ta chatte en redemande écarte bien les jambes que je savonne ton clito. Tu sens ma main qui remonte dans ta raie ? sur ton anus ? tu sens mon doigts qui force ta rondelle qui entre et sort de ton cul ?
— Oh oui, oh oui, ah , ah
— je vais me régaler à te manger, dis moi ce que tu ressens, lâche toi.
— Oh oui pose ta bouche sur mes lèvres , lape moi comme un petit chien, passe ta langue le long de ma chatte, caresse moi le clito, écarte mes lèvres et enfile ta langue loin dans ma grotte, oui comme ça plus loin c’est trop bon, tu me mange la moule, enfonce un doigts dans ma chatte, oui fais le tourner oui, sort le doucement oh, glisse ton pouce dans ma raie de haut en bas, appuie sur son cul, oui ouvre le, je le sens bien, bouffe ma chatte, branle mon clito, oui, comme ca, remonte ta langue dans ma raie, lèche mon cul oui appuie dessus, mon dieu c’est trop bon enfonce ta langue tu me mouille bien le cul, pine moi la chatte de ta langue comme d’une bite oui, vas y , plus vite plus vite mon salaud enfile moi deux doigts dans la chatte oui, mets en un dans mon cul enfonce le à fond oh , je vais jouir, oui je viens, je jouis, oui plus fort ahhahahh.
Sophie jouit dans ma bouche les yeux fermées, ma langue et deux doits plantés dans sa chatte un autre dans son cul.
— donne moi ton huile de monoi, reste contre moi, donne moi tes mains et enduits moi les fesses d’huile, je vais m’occuper de ta queue, oui huile bien mon cul enfonce moi un doigts oui il coulisse bien, c’est bon, branle moi, doucement, oh oui, mets moi un deuxième lentement, oui c’est bon, j’ai trop envie que tu m’encules, je n’ai jamais voulu avec mon copain mais avec toi je veux tout essayer, je suis sur que tu vas me faire hurler de plaisir, et puis tu m’as donné ta virginité je te donnes celles de mon anus. Et tu me fais tellement de bien depuis tout à l’heure que tu caresse ma rondelle que tu veux sentir ta queue dans mes fesses. Je suis prête je crois remets ta queue dans ma raie fait la coulisser de haut en bas. Ecarte mes fesses tu vois mon cul comme il te réclame pose ton gland dessus, oui je le sens qui appuie sur mon cul. Force avec moi, je le sens ouvrir mes fesses, tu es gros tu me déchire, ton gland est entré a l’intérieur, arrête, j’ai trop mal.
Je passai ma queue entre ses fesses et les écartant des deux mains j’apperçu son anus frippés et tous brillants d’huile. posant mon gland dessus je vis ce cul qui me faisait tellement bandé près à engloutir ma queue. Je ne bougeais plus tétanisé par cette vision digne d’un gros film de cul. Sophie recula ses fesses, forçant sur son anus me demandant de pousser ma queue à l’intérieur de son cul qui s’ouvrit légèrement avalant un bout de mon gland. Très sérré, son anus emprisonnait ma bite à la limite de la douleur. Je me serai bien retiré mais son cul m’enserrait trop la queue. J’avais l’impression que le moindre mouvement dechirerait son anus alors je ne bougeait plus d’un pouce mes mains toujours sur ses fesses que j’écartais au maximum m’offrant la vue de mon gland planté dans son cul.
— Ne bouge plus, attend, caresse moi la chatte, appuie sur mon clito, oui branle le doucement, pince le comme ca, je mouille, enfonce moi un doigt oh oui, encore, tu m’excites oui encore, touche mes seins.
Je caressais son clito, ses lèvres, sa chatte, ses fesses, ses seins. Lèchant son cou, je me concentrais sur mes caresses oubliant presque ma queue coincée dans son cul.
Justement je crus sentir la pression diminuer sur ma tige alors que je branlais la chatte de Sophie d’un deuxième doigts malaxant ses seins.
Au bout d’une minute, je sentis ses fesses reculer sur ma bite qui coulissait lentement dans son cul chaud et étroit. Je saisis ses fesses et les écartant vis son anus avalé ma bite jusqu’aux couilles lentement frottant sur ma hampe l’enserrant au maximum mais l’avalant petit à petit.
Les fesses de Sophie s’écrasèrent sur mon pubis, l’enculant de toute ma longueur.
— Tu me déchire le cul, tu es énorme, ne bouge pas, tu m’encules à fond, tu aimes ?
— Tu es très sérrées, tu me comprimes la queue, ton cul est bouillant et très étroit mais je suis comme un dingue de baiser tes fesses. Tu me faisais tellement bandés, j’en reviens pas que je t’encules, tu m’excites trop.
Collés à elle je saisis ses seins des deux mains les serrant très fort dans mes mains, ma bouche dévorant son cou lèchant ses oreilles.
Tourant la tête elle me donna sa bouche que je dévorais.
Quelque minutes plus tards, Sophie ondula du bassin frottant son clito sur le mur, ses fesses sur mon pubis et surtout ma bite dans son cul. J’accompagnai ses mouvements de bassin les mains toujours sur ses seins et doucement je me mis à avancer et reculer mes fesses. ma queue s’enfonça de quelques centimètre plus profond dans son cul puis revient a sa position. Bien plantée dans son cul ma bite se mit a lui ramoner le conduit de quelques centimètres. Accompagnée par les rotations du bassin de Sophie et ses cris de plasirs.
Bientôt la pression sur ma queue cessa et sophie rajoutant de l’huile dans sa raie recula ses fesses faisant sortir de moitié ma queue de son cul. Elle se mit a coulisser doucement sur ma bite s’enculant selon son envie.
Après plusieurs aller retours la queue ressortit en entier de son cul et la saisissant d’une main, Sophie la reintroduit d’une poussée jusqu’à la garde la ressortant de nouveaux.
— C’est trop bon, elle est délicieuse ta bite, tu sens comme mon cul aspire ta queue comme il aime que tu enfonce au fond. Ca te plais de me baiser les fesses ? alors vas y ,encule moi, remet de huile et sodomise moi à fond, baise moi le cu,l fais moi jouir avec ta grosse bite.
Sophie la main a la base de ma queue s’enfilait sur toute la longueur de ma bite sortant mon gland de ses fesses, le rengouffrant d’un coup sec, le ressortant glissant dans sa raie l’empalant dans ses fesses. Mes deux mains sur son cul je me régalais de voir son plaisir et sa perversité à se fourrer ma queue dans son cul si bandants.
Remettant ses mains à plats sur le mur elle s’ouvrit au maximum me permettant de plonger un peu plus loin encore ma queue dans son cul étroit. Remettant de l’huile sur son trou et sur ma queue je lui saisis les hanches et avançant mon bassin me mis à lui ramoner le cul laissant juste mon gland dans son cul, je l’enculais a grand coup de bite accérélant le rythme au fur et a mesure.
Bientôt je lui baisiais les fesses claquant mes burnes sur son cul a une vitesse folle lui déchirant le cul comme une chatte a grand coup de bite faisant hurler de plaisir Sophie qui jouit du cul pour la première fois de sa vie.
Je jouis quelques secondes plus tard sans juter de sperme, le stock étant épuisé.
— Merci, merci, tu m’as fait jouir comme jamais, tu m’as enculé comme j’en rêvais, tu me baises trop bien, tu peux faire de moi ce que tu veux, je suis à toi.
Sophie me caressait les couilles bisouillant mon visage, comblée de cette jouissance anale, heureuse d’avoir connu la joie de la sodomie. Elle me nettoya la queue ramolie d’avoir joui à sodomiser son cul de rêve.
Séchés nous retournames sur le lit, dans les bras l’un de l’autre, nous fumâmes une cigarette.