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Ma première masturbation. – Chapitre 1

Ma première masturbation. - Chapitre 1



Ma sexualité est venu très tard. 

A l’adolescence où la plupart des filles avaient leur premières expériences, je préférais tenir dans mes bras les derniers thrillers récompensés. 

A une époque où elles apprenaient à mettre du rouge à lèvres, mes journées n’était colorées que par la frénésie qui me saisissait lorsque je rêvassais à ma dernière conquête littéraire en date.

Je suis tombée sur ma première histoire érotique un peu par hasard à mes 20 ans et avec elle, est arrivée un nouveau monde de possibilités. 

Ce n’est pas que je n’avais jamais lu de scène graphique auparavant mais celle-ci avait, pour une raison inconnue de moi-même à cette période, résonnée en moi comme aucune autre. 

C’étaitcomme si tout mon corps venait à la vie, cette moiteur entre mes jambes, mes seins gonflées, les pointes tendues et douloureuses.

Elle a aboutit à ma première séance de masturbation.

L’excitation me rendait fiévreuse et je m’agitais, fébrile sur mon lit. Mes tétons frottèrent sur le duvet de mon lit, me faisant tressaillir de plaisir et mes hanches se mouvaient instinctivement, roulant légèrement pour tenter d’apaiser le brasier entre mes cuisses. 

Je roulais sur le dos sans lâcher le téléphone, j’étais comme hypnotisé par le texte sur l’écran

«ll s’enfonça d’un mouvement vif en elle en saisissant par la même occasion une poignée de ses cheveux.

— Oui, baise moi bébé, baise moi c’est bon ! 

— Tu aimes ça ?

— Oh oui plus fort !

Il se redressa en lui relevant les hanches. Elle cambra le dos et enfonça son visage dans les draps en essayant tant bien que mal d’étouffer ses gémissements. Il la pilonnait de plus en plus vite, de plus en plus fort, lui arrachant des cris de plus en plus difficile à étouffer.

— Allez, je veux t’entendre » 

J’explorais tentativement mon corps, c’était comme une nouvelle aire de jeu, un espace totalement privatisé pour mon seul amusement. J’imaginais que mes doigts n’étaient pas miens, que je n’étais pas seule entre ces quatre murs. Un homme était avec moi. De grandes mains pourvues de longs doigts glissaient sur ma peau, pétrissant, caressant, agrippant férocement, laissant une trainée de frisson sur leur passage. 

Ses doigts saisirent mes tétons qu’ils torturèrent tendrement,

«Il s’arrêta brusquement. 

— Bouge.

Elle poussa un gémissement de dépit, se faisant suppliante. Il accrocha son regard avant de délibérément lever la main et de violemment l’abattre sur son cul, lui arrachant un cri de surprise plus que de douleur. L’expression sur son visage réduisit au silence toute protestation.

Il lui administra une autre fessée, puis une autre, et encore une autre et cela sans jamais détourner son regard du sien. 

— Bouge, allez, baise-toi !

Elle n’avait jamais été aussi excitée de sa vie. Elle se sentait comme une bonne grosse salope qui ne pensait qu’à se faire baiser, qu’à le laisser pénétrer sa chatte étroite. Elle gémissait en continue, sans plus essayer de se cacher. C’était obscène et pourtant si bon. Elle bougea tentativement, hésitante. L’envie ne pouvais pourtant pas apporter la confiance qui vient avec l’expérience. 

— J’ai dit baise-toi ! Ne réfléchis pas, obéis !

Une claque plus forte fit taire toute ses réticences, la poussant à l’action. »

Les doigts de mon mystérieux inconnu glissaient maintenant en direction de ma chatte trempée. 

Mes cuisses s’écartèrent d’elle-même.

L’anticipation me faisait haletée. 

Ses doigts descendaient vers ma chatte, frôlant mon clitoris au passage et il y enfonça tentativement un doigt

« sa main serpenta lentement sur ma hanche et s’insinua entre mes jambes. Il enfonça deux doigts dans ma grotte et appliqua sa paume sur mon clitoris. Son autre main s’enfonçait dans la chair de mes hanches accompagnant leur balancement. J’ondulais de plus en plus vite et ses caresses se faisait de plus en plus insistante, me rapprochant chaque minute »

son majeur rentra facilement. 

Un léger va-et-vient, le bruit, l’odeur, j’en avais la chair de poule. 

J’en tremblais de partout, tout ça montait, de plus en plus vite, de plus en plus intense, trop intensemais je n’arrivais pas à conclure.

Un soupir de frustration m’échappa et je lâchai le téléphone pour rouler sur le ventre. La tête plongée dans les draps, toute compagnie oubliée, mes mains se glissèrent entre mes cuisses entrouvertes, l’une écartant mes lèvres, l’autre s’activant frénétiquement sur mon clitoris. 

A cet instant, toute ma vie se concentrait sur ce petit bout de chair qui protrudait comme une petite bite entre mes lèvres humides et glissantes. 

Je le sentais monté, c’était bon je l’avais en mains cette fois. 

Mon corps était recouvert de transpiration, la position, aussi excitante était-elle, coupait littéralement la circulation de mes membres supérieurs, je tremblais sous l’effort mais j’avais désespérément besoin de jouir. 

Encore un peu, faire monter la tension, s’en écarter, recommencer, intense, nouveau, s’en écarter, revenir, retenter encore et encore, jusqu’à la libération finale.

C’était comme une explosion de plaisir naissant de mon entrejambe pour se propager telle une énorme vague de ma chatte à la moindre de mes extrémités. Je prolongeais mon orgasme jusqu’à la dernière seconde en stimulant mon clitoris qui devint trop vite trop sensible.

Un soupir de contentement m’échappa tandis qu’une bienheureuse torpeur s’emparait de moi. 

Les bras de Morphée n’avait jamais été aussi accueillant.

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