Samedi, après une bonne nuit de sommeil, la table du petit déjeuner débarrassée, je raconte mon daprès midi à mon mari dans les moindres détails, ce qui a pour effet de nous exciter. Il mallonge sur la table de cuisine et me pénètre la chatte, son sexe rentre tout seul tellement je mouille comme une pute en chaleur, puis il me retourne et mencule et nous jouissons très vite tous les deux en même temps. Mon après midi je le passe à préparer un bon repas pour le soir, mon mari voulait aller au restaurant, mais je nai pas voulu. Vers 19H30 on sonne cest Christine la vendeuse du magasin où jai acheté deux robes et deux tailleurs dont les jupes étaient trop longues et elle tenait absolument à me les déposer ce soir chez moi:
— Bonsoir madame, je viens comme promis vous déposer vos tailleurs.
— Bonsoir, appelez moi Isabelle, entrez donc. Vous prendrez bien lapéritif?
— Moi cest Christine, non, Je ne voudrai pas déranger.
— On peut se tutoyer, Il ny a aucun dérangement à moins que tu sois pressée ou que quelqu’un tattende.
— Non, personne ne mattends et je ne suis pas pressée.
— Entres donc dans le salon.
Nous nous installons, Patrick mon mari nous rejoint et nous sert l’apéro. Nous buvons tout en discutant de tout et de rien, après le deuxième verre fini Christine se lève et dit:
— Bon, je vais vous laisser.
— Tu as le temps personne ne tattend. Restes avec nous, jai préparé un bon repas pour fêter ma promotion.
— Je ne voudrais pas déranger.
— Si je te le propose cest que ça ne nous dérange pas du tout.
— Dis ma chérie tu pourrais essayer les vêtements quelle ta rapporté, que je vois lallure que tu as habillé en secrétaire de direction.
— Si ça te fait plaisir et que Christine reste souper avec nous.
— Bien sûr que Christine va rester manger avec nous, nest ce pas Christine?
— Si vous insistez, daccord.
— Tu sais Christine, je raconte tout en détail à Patrick et il sait ce que nous avons fait hier.
— Ah! Euh je..
— Ne ten fait pas il adore que jai des aventures et que je lui raconte tout en détail. Hier quand je tai quittée et que je suis arrivée à ma voiture dans le parking souterrain le gardien est arrivé derrière moi, il a arraché ma robe, ma allongé sur le capot de ma voiture et il ma baisée et jai joui. Il y avait aussi un autre homme qui nous regardait, quand le gardien ma fait descendre de la voiture et mis son sexe dans ma bouche lautre homme sest approché derrière moi et ma baisée à son tour et jai encore joui.
— Eh! bien quel tempérament.
— Tu peux dire carrément que je suis une sacré salope qui aime se faire sauter.
Après le repas, alors que Christine se lève de table et dit: (P = Patrick C = Christine M = moi)
— Bon je vais vous laisser, il se fait tard.
— P: Ce nest pas prudent que tu prennes la route maintenant avec les 2 apéros + 2 verres de vin tu as plus que le taux autorisé.
— M: Oui, Patrick a raison, plus la fatigue, il vaut mieux que tu dormes ici notre lit est très grand, on peut sans problème dormir à trois
— C: Je veux bien car cest vrai que je suis fatiguée, mais je peux dormir sur le canapé.
— M: Non pas question tu vas dormir avec nous.
Quelques instants plus tard, nous sommes tous les trois au lit, Christine dort entre nous deux. Je lui ai passé une chemise de nuit, quand à mon mari vu la chaleur lui dort en boxer. Nous nous endormons assez vite. Dans la nuit, je suis réveillée par Christine qui à voix basse me dit:
— C: Ton mari est collé à moi et je sens son sexe bandé contre mes fesses.
— M: Ne tinquiètes pas il dort, si vraiment ça te dérange, on peut changer de place.
— C: Non mais je voudrais que tu sois en colère en voyant ton époux dans cet état à cause de moi.
— M: Il ny a pas de problème, mais maintenant tu sais leffet que tu lui fais.
On se rendort jusquau petit matin, Je me réveille, mon mari est déjà parti, je mapproche de Christine et lui fais de petits baisers, elle se réveille et voyant que nous sommes que tous les deux me demande:
— C: Où est Patrick?
— M: Il est parti faire son footing comme tous les dimanches matin et il ramènera des croissants pour le petit déjeuner, ce qui nous laisse environ une bonne heure rien qu’à deux et jai très envie de faire lamour avec toi.
— C: Mais si ton mari rentre et nous voit.
— Il ny a pas de danger, il ne revient jamais avant 9H et bien ça ne lui déplairait pas du tout de nous voir baiser ensemble.
Je mapproche de sa bouche et lembrasse, elle répond à mon baiser, je me mets nue puis je la déshabille, on se met en 69, on se lèche mutuellement et nous jouissons une première fois. Je mallonge sur elle, nous nous enlaçons, je lui suce les seins, nous frottons nos sexes lun contre lautre et une deuxième jouissance explose. Alors que nous reprenons nos esprits Patrick nous crie de la cuisine que le petit déjeuner est prêt, nous remettons nos chemise de nuit et nous rejoignons mon mari dans la cuisine où nous prenons notre petit déjeuner ensemble. Après avoir débarrassé la table, Patrick mattrape, me penche sur la table, relève ma chemise de nuit baise son short et son boxer et me pénètre, voyant cela Christine fait pour sortir de la cuisine mais mon mari linterpelle:
— P: Non, ne ten vas pas et regardes comme elle aime aussi se faire sauter par une bonne queue, Tu aimerais être à sa place?
— C: Non, pas avec un homme.
— M: Tu as déjà essayé?
— C: Oui, mais jai toujours été déçus.
Patrick attrape Christine, relève sa chemise de nuit, là couche sur la table et dit:
— P: Je vais te prendre.
— C: Non je ne veux pas.
Je remonte sa chemise de nuit et lui suce les seins et lembrasse sur la bouche puis descend vers son sexe, écarte ses lèvres et suce son clitoris. Je mécarte la regarde dans les yeux et lui dit alors que Patrick positionne sa bite à lentrée de sa chatte sans tenir compte de ses protestations:
— M: Ne tinquiète pas, il va y aller doucement.
— C: Non, pas un homme, je nai jamais eu de plaisir avec eux.
— M: Tu vas voir ça va être bon.
— C: Non pas ça, oh! oh!
— P: Oh qu’est ce tu es excitante, tu es une très belle femme.
— C: Oh! non, oh! oui, noooon cest bon.
— M: tu vois que cest bon.
— C: Oui cest bon, cest la première fois que je ressens du plaisir alors quun homme me baise, oui vas-y plus fort tu vas me faire jouir.
— P: Descends de la table et retourne toi que je te prenne en levrette et toi Isabelle allonges toi sur la table Christine va te lécher pendant que je continue à lui défoncer sa petite chatte.
— C: Oh! Oui encore baises moi fort, cest bon! encore.
— P: Oh! je ne vais pas tenir longtemps, ta chatte est trop bonne, oui je jouis
— C: Oui moi aussi ça vient, oui, je jouis, cest trop bon.
— M: Oh! chéri moi aussi je jouis oui cest bon.
Après avoir repris nos esprits, Patrick se met à sucer dabord les seins de Christine puis les miens et il descend vers mon sexe et me fais jouir une nouvelle fois. Il sapproche de Christine lui bouffe la chatte, il la fait jouir et la pénètre à nouveau, après quelques allers et retours, il la retourne et malgré ses protestations il l’encule dabord doucement, puis de plus en plus fort comme Christine lui demande et très vite ils jouissent tout les deux. Au bout dun moment Christine sort de la maison sans se soucier de sa tenue va à sa voiture et revient avec deux godes, un double et gode ceinture. Elle me demande de venir dans le salon et dit:
— C: Viens jai encore envie de jouir avec toi et devant ton mari qui ma donné autant de plaisir.
— Oh! Oui ça te ferait plaisir de me voir faire lamour avec Christine?
— Oh! Oui beaucoup.
Nous nous allongeons sur le canapé face à face nous nous pénétrons avec le double gode et remuons jusquà ce que lon jouisse. Christine me demande de mettre le gode ceinture et de la baiser comme Patrick avait fait un peu plus tôt quand elle a joui, elle mit à son tour le gode ceinture et ma baisée et jai joui à mon tour. Elle sest dirigé vers Patrick et lui à demander de se mettre à quatre pattes. Patrick refusa, mais Christine avec une force inouïe, elle lobligea à se mettre en position et elle lencula malgré ces protestations, tu mas obligé tout à lheure maintenant cest ton tour de subir au bout de quelques minutes de ce traitement, mon mari commence à prendre du plaisir, Christine me demande si je veux lenculer aussi je répond que oui, alors je le sodomise, mon mari jouit sur notre canapé, très en colère je loblige à nettoyer avec sa langue tandis que Christine et moi nous nous donnons mutuellement du plaisir. En fin daprès midi Christine rentre chez elle en me promettant de revenir passer un week-end prochainement.