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Ma relation avec mon maitre – Chapitre 1

Ma relation avec mon maitre - Chapitre 1



J’écris aujourd’hui ce récit pour parler de la profonde relation qui me lie avec mon maitre, cet homme qui depuis quelques temps déjà contrôle ma vie sexuelle avec mon consentement évident et bouleverse ma vie sexuelle.

Pour commencer par me présenter sommairement, j’ai 19 ans, je suis de l’Isère et je travaille dans une crèche en tant qu’auxiliaire. Je suis grande (1m75) et fine (55Kg), une poitrine tout à fait normal avec un petit bonnet B. Blonde avec les cheveux longs et les yeux bleux. Sexuellement j’ai toujours eu un comportement libéré, découvrant les joies de la chair vers mes 15 ans avec pour commencer de simples préliminaires puis vers mes 17 ans mon premier rapport avec un homme bien plus vieux rencontré sur internet. À partir de ce moment-là j’ai toujours repoussée mes limites en commençant à me familiariser avec la sodomie, découvrant mon corps et ses aspects grâce à mes doigts. En terminale, me sachant désirable et souhaitant obtenir de biens meilleurs résultats en mathématique, je me lançai dans une opération de séduction de mon professeur et j’obtenu gain de cause puisqu’en échange de fellations régulières il me notait très largement. Cet épisode d’un an ne connut fort heureusement aucune conséquence pour lui comme pour moi et désormais espacé de quelques centaines de kilomètres la perspective d’ennuis semble aujourd’hui bien loin.

Obtenant mon bac et postulant immédiatement pour travailler après quelques formations je ne me créai pas un cadre extrêmement propice au développement de ma vie sexuelle comme je le pouvais au lycée, coucher avec des enfants dont les plus âgés avaient environ 3 ans n’était pas dans mes plans. Je m’inscris donc sur un forum de discussions sexuelles pour discuter avec de nombreux hommes et combler mon appétit sexuel insatiable.

C’est là que j’ai pu commencer à discuter avec mon maitre, dont je tairais le nom. Un homme charmant mais aux envies sexuelles déjantées et qui me comblait totalement par sa façon de me parler et ses défis tous plus fous et c’est de cela dont je vais vous parler dans ces écrits.

Après de premiers échanges cordiaux où lui et moi posions les bases de notre relation virtuelle et les fondations de ma soumission la première des consignes que je reçu me déstabilisa quelque peu. Outre le fait que désormais j’avais ordre de dormir entièrement nue chaque nuit, je devais désormais, et ceci à chaque jour que Dieu fait, enfoncer le manche de ma brosse à cheveux à l’intérieur de mon anus. Bien que j’avais déjà pratiqué l’anal et que cela ne me faisait pas peur, je ne pouvais m’empêcher de penser aux conséquences d’un tel rituel matinal. Et si je me faisais mal ? Toutes ces questions se bousculaient en moi mais je n’en faisais pas part et je me mis au travail dès le premier matin. Après une courte nuit dans ma tenue d’Eve, je me levai et pris donc ma brosse à cheveux. Pendant quelques minutes je titillais l’entrée de mon anus tout en caressant mon clitoris et en tentant de me détendre au maximum, un peu de salive sur ce petit trou et je fis glisser assez rapidement cet objet dans mon cul.

Quelques vas et vient et ce fut terminer, sans aucune douleur. Je me préparai donc et parti pour ma journée de travail.

Le soir en rentrant je reçu un nouvel ordre de mon dominateur. Je devais reprendre contact avec l’une de mes anciennes connaissances du lycée, aller chez lui sans qu’il ne sache pourquoi je souhaitais le voir, me mettre nue et me laisser totalement faire avec pour preuve une capture d’écran de nos échanges. Je su immédiatement qui contacter et en quelques minutes, le rendez-vous était pris. J’allais donc retrouver Enzo après de longs mois sans entrevues.

Enzo c’était une petite frappe du lycée, grande gueule mais pas grand-chose en dessous, tout le temps à se vanter qu’il couchait avec de nombreuses filles et à effrayer les plus faibles tant que ces derniers ne montraient pas trop de résistance. Mais il conviendrait très bien à mon petit défi.

Je ne perdis pas de temps et parti immédiatement au domicile d’Enzo. Habillée classiquement d’un simple jean slim noir et d’un haut en laine blanc sans manche. J’avais pris comme mobile de vouloir lui parler de quelque chose d’urgent en privé. Il me fit assoir dans sa chambre et me proposa de boire quelque chose. Il partit dans sa cuisine me chercher un verre d’eau et ce fut pour moi l’occasion de me déshabiller dans ce court lapse de temps. Il revint vite et me trouva entièrement nue, debout, devant son lit. Il était totalement muet, me demanda ce qu’il se passait et conformément aux attentes de mon maitre je ne fis rien, j’attendais, je le laissais faire. Dans un élan d’animalité il lâcha « Oh putain suces moi » et enleva son pantalon. Quelques minutes à genoux à effectuer une douce fellation entre mes lèvres ne manquèrent pas de lui tirer son sperme mais il m’arrêta juste avant l’instant fatidique. Il sorti de sa table de nuit une capote, me fit mettre à quatre pattes sur son lit et me prit en levrette.

Même si j’étais en train de simplement réaliser un défi je prenais du plaisir dans ce coït. Enzo était équipé comme la plupart des hommes, un sexe dans la moyenne, mais il savait relativement bien s’en servir. Il me lima ainsi de longues minutes et nous changeâmes régulièrement de positions. Quand vint le moment pour lui de m’honorer, je me rappelai la dernière consigne de mon maitre : prendre une faciale et rentrer chez moi sans en essuyer une seule goutte. Je lencourageai donc à tout lâcher sur mon visage d’ange et il n’y a eu, bien évidemment, aucun inconvénient. J’étais à genoux, lui debout face à moi en train de masturber son colosse au-dessus de son visage et me parlant : « Oh j’ai tant rêvé de faire au lycée ! », « si tu savais le nombre de fois où j’ai pensé à toi en me branlant. ». Puis il déchargea tout son foutre sur ma tête. Je dois dire qu’il y en avait une très sérieuse quantité, au moins quatre ou cinq jets se posèrent sur mon minoi. Je lui expliquai tout, l’histoire avec mon maitre, les défis, tout.

Il sembla un peu se décomposer puis finalement repris ses esprits et me dit « j’ai toujours su que t’étais une chienne. ».

Sur ces paroles poétiques je quittai le domicile d’Enzo pour rentrer chez moi, à seulement deux rues d’ici, le visage toujours parsemé de sperme. Une fois chez moi et toute propre, je racontai tout à mon dominateur qui ne s’en sentant plus de joie, pour me remercier m’excita fortement avec un dialogue épistolaire très chaud qui me fit rapidement avoir un orgasme puissant. Ma première mission de soumise fût donc une réussite et je parti me coucher épanouie.

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