Chapitre 2
BelleBruneHot
Jai attendu pendant deux longues semaines, mais finalement, il est enfin arrivé : le dîner au restaurant, récompense de mon dur labeur chez Am.
À dire vrai, lorsque enfin nous arrivons au restau, je suis surpris, agréablement surpris même, de son choix.
Je pensais que ce serait un établissement du style dun "Flunch" ou "Courtepaille". Hé bien non, elle avait choisi un restaurant portant le nom de "Chez Paul". Lenseigne est grande, arrogante, devrais-je dire et à côté du nom, brillent trois étoiles. Je ne peux que lâcher un bête « waouh ! », en voyant lintérieur.
« La classe, hein ? Ta sur a les moyens, maintenant ! »
Ce lieu me fait penser à un grand restaurant dans le style américain, très chic, comme on en voit souvent dans les séries télévisées, où le mec emmène sa copine manger et à la fin du repas, il sagenouille pour la demander en mariage. Là, bien-sûr, devant tant de luxe, elle ne peut résister et accepte dépouser son compagnon. Et puis après, toute la salle applaudit, pendant que les protagonistes sembrassent fougueusement.
Bref, vous laurez compris, je pense, cest un restaurant de grand luxe, pas le genre où on va manger avec son frère pour un banal service.
Un homme en costume cravate, le style coincé, comme sil avait un balai enfoncé si loin dans le fondement quil pourrait lui ressortir par la bouche, nous accueille avec politesse, non sans une pointe de mépris dans la voix.
« Bonsoir jeunes gens, avez-vous réservez ? »
Son regard nous détaille des pieds à la tête, il semble se demander pourquoi on nest pas allé casser la graine au McDo, plutôt quici. Cest vrai quoi, deux jeunes gens ayant la vingtaine, il ne doit pas en voir souvent.
« Tout à fait, Monsieur, jai réservé une table pour deux personnes, à 20h précises, au nom de Mademoiselle Amélie Client !
Puisquil le faut, soupire-t-il, suivez-moi ! »
Le serveur nous conduit à une table, dans le fond de la salle. Celle-ci est magnifiquement dressée. Une belle nappe blanche, des assiettes en porcelaine, des couverts en argent, tout ce quil faut pour mériter ses étoiles quoi, en plus de la bonne humeur certaine du personnel de létablissement.
Lhomme tire la chaise dAmélie, par galanterie et par devoir, plus que par respect et linvite à sasseoir.Je sens que ma sur se contient de le remettre à sa place. Mon téléphone portable sonne et après avoir répondu brièvement à mon interlocuteur, je suis pris en grippe par le garçon de salle.
« Monsieur, par respect pour notre importante clientèle, veuillez éteindre immédiatement votre cellulaire, je vous prie !
Je…, je ! »
Cette altercation, cest la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Amélie perd patience et sen prend au serveur.
« Ce nest pas parce que nous sommes jeunes que vous devez nous traitez ainsi, Monsieur ! Jai payé la réservation, comme une cliente lambda et japprécierais que vous montriez moins de mépris à notre égard, si vous ne voulez pas que nous allions manger ailleurs ! »
Le pauvre homme se décompose au fil des mots dAm et finit, tout penaud, par un simple, « pardon Mademoiselle ! », avant de tourner les talons et de filer en cuisine.
« Merci ma grande, mais tétais pas obligée !
Bien-sûr que si ! Il nous aurait traités comme de la merde jusquà la fin du repas, autant mettre les points sur les "i" de suite, crois moi !
Sans doute, oui… !
En tout cas, il peut sasseoir sur son pourboire, celui-là !
Allez, calme-toi ma belle, apprécions plutôt la soirée !
Oui, tu as raison ! »
Amélie se prend la tête dans les mains et souffle longuement, pour retrouver son self-control.
« Dis Am, on na pas de menus ?
Ah pardon, jai oublié de te dire que ce restaurant est un peu spécial, tu dois réserver sur Internet ou par téléphone et tu composes ton menu, cest new gen, comme on dit ! »
Après ça, elle na plus dit un mot jusquà larrivée du serveur qui semblait avoir changé de personnalité. Il dépose un saumon en croûte sur la table, après avoir débouché une bouteille de champagne.
« Et voilà, bon appétit Messieurs-Dames ! Je vais chercher les légumes qui accompagnent le poisson, je reviens de ce pas ! Au besoin, vous pouvez vous adresser à mes collègues ! »
Puis, il tourne les talons et sen va en cuisine. Peu de temps après, alors quAm et moi venons de trinquer, il apporte une large assiette de légumes et féculents. Du riz cantonnais, des petits pois-carotte, des poivrons rouges et verts et des haricots-verts.
Nous mangeons en discutant, de choses et dautres. Le repas est fameux et je dois bien lavouer, le restaurant mérite bien ses étoiles. Enfin, le serveur amène le dessert, nous prenons un café et reprenons le chemin de nos domiciles respectifs.
Après, les jours sécoulent, plus ou moins rapidement. Elle ne donne que rarement signe de vie, peut-être trop occupée par le travail. Un soir, alors que je memmerde profondément devant la télé, je décide dallez surfer sur des sites pornos. Comme souvent, avec ces sites, bon nombre de pop up souvrent et une retient tout de même mon attention.
Un site de liveshow, vous savez, ces amatrices qui montrent leur corps en webcam. Le site est des plus alléchants et linscription étant gratuite je décide donc de le rejoindre. Je regarde des shows gratuits pendant près dune heure, je me laisse guider par le hasard. À force de cliquer sur changer de fille, j’atterris sur un pseudo qui retient mon attention "BelleBruneHot". Je ne vois rien, car la caméra pointe sur le clavier de lordinateur. Je madresse à la room pour savoir où est cette fameuse Brune :
< Elle sest absentée deux minutes. Visitor76 >
< Elle est si hot que ça ? Ludobogoss (moi donc) >
< Oh putain mec, si tu savais, cest une chaudière. JeanPalSec >
< Jai fait un live avec cette cochonne, jai failli faire un coma, tellement j’ai joui. RobinBi >
La caméra bouge et notre interlocutrice la zoome au niveau de son torse. On peut voir quelle porte un soutif noir et un string de même. Elle sadresse à nous autres :
< Re mes chéris, jvous ai manqué ? BelleBruneHot >
< Ouais, montre tes seins ! JeanPalSec >
Je vous épargne les autres commentaires, qui ne sont guères mieux, flatteurs certes, mais les gars manquent cruellement de tact. Après une demande répétée de ses "clients", BelleBruneHot, accepte de montrer ses fesses et ses seins. Elle a un cul magnifique, nayons pas peur des mots et ses seins sont à classer dans la même catégorie. Ils ne sont pas aussi gros que je les aime, mais malgré tout, elle na pas, non plus, deux piqures de moustiques. Elle joue avec pendant un petit moment, tantôt elle tortille ses tétons qui deviennent vite bien durs, tantôt, elle masse ses seins, en imitant la jouissance, du moins je le devine, car le son est coupé. Je ne vous cache pas quà cette étape, jai sorti mon sexe en feu et que je me masturbe allègrement. Je la complimente régulièrement et finis par me dire que jaimerais lavoir en show privé, à défaut de la mettre dans mon plumard. Je lajoute à mes favoris, pour plus tard et reprend de plus belle ma caresse. Malheureusement, un type lui demande un PV. Mais avant, il veut quelle fasse quelque chose, que tout le monde puisse voir.
< Bébé, avant PV, peux-tu montrer ton jolis minois sur lequel jaimerais envoyer ma sauce ? Maxgrossbite >
< Ok, mais, vite fait, alors. BelleBruneHot >
Enfin ! Je vais enfin à quoi ressemble cette fameuse BelleBruneHot. Mon cur bat la chamade, dans quelques secondes, je vais la voir. Elle déplace lentement sa caméra, pour nous faire languir, elle la placée de sorte à ce que lon ne voie que ses pieds. Ensuite, elle la remontre lentement, passant sur ses jambes quelle a fines et non moins désirables. Puis, elle sattarde sur son minou, caché par cette saloperie de tissu noir. On y voit sa main, qui trifouille, sans nul doute, sa chatte et pince son clito. Là, la webcam est maintenant au niveau des seins. Je les regarde une dernière fois, éjaculant au passage, par tant de beauté. Et là, alors que je sens mon sexe ramollir entre mes doigts, recouvert de mon sperme, je vois le visage de celle qui ma fait jouir.
Cest Amélie ! Ma sur sexhibe à la webcam. Le choc est tel, que je coupe précipitamment lalimentation de mon ordinateur !