Le lendemain, j’étais devenu complètement différent. J’aimais Sophie et ne pensais plus qu’à la baiser dès que loccasion se présentait.
C’était le dimanche matin, et vers sept heures, je décidais de me lever. Je ne dormais plus, j’étais excité de la veille. En bas, je préparais le petit déjeuner et pensais à ce que je ferai les jours suivants avec ma grande sur. Une quinzaine de minutes s’était écoulées et Sophie m’avait rejoint.
"Bonjour petit frère, bien dormi ?"
Je me retournais pour la regarder et elle était belle. Elle portait un top bleu et un shorty vert, très court qui permettait de bien voir ses fesses.
"Oui très bien mais je suis déjà debout car je suis trop excité par ce qu’on a fait hier".
Sophie vint vers moi pour me dire bonjour, se colla et m’embrassa délicatement sur les lèvres avec ce petit regard coquin.
"J’en profite, les parents dorment à poing fermé. Ils sont rentrés tard"
Puis, elle prit le plateau et allait le déposer sur la table. Je la regardais de dos et voyais son cul bouger doucement dans ce shorty tellement moulant que ma queue durcissait déjà. Je commençais à bander et je la suivais. Au moment où elle déposa le plateau, je venais me coller à elle et directement je lui fis sentir ma queue en érection sur son cul.
"Hum, tu as déjà envie de moi Pierre ?" "En tout cas, elle est déjà prête pour me pénétrer, hein petit pervers…"
"Oui Sophie, je vais te prendre à la moindre occasion maintenant, tu me rends fou et je t’aime".
Je n’aurais jamais pensé quun jour je puisse dire cela mais j’étais fou de ma grande sur.
A ces mots, Sophie commençait à bouger son cul, elle le trémoussait de gauche à droite et de bas en haut. Elle glissa ses mains derrière elle et abaissa mon short au passage. Ma queue était raide et vint se coller sur le haut de son cul.
« Un petit coup vite fait avant que les parents ne descendent nous rejoindre pour le petit déjeuner ? ».
Jétais bouche bée.
« Vas-y petit frère ! Mets-moi ta bite ».
A ces mots, mon sang et mon excitation ne firent qu’un tour. Avec ma main gauche, je la penchai sur la table puis avec la droite, je lui enlevais son shorty en le faisant glisser jusqu’à terre. Sophie bougeait une de ses jambes pour s’en libérer. Elle écarta ses cuisses, se cambra et tourna sa tête vers moi.
"Vas-y petit frère, prends moi sauvagement ».
« Très bien petite garce, je vais te prendre comme une pute ».
Je pris ma bite dans ma main et la poussais devant l’entrée de sa chatte, ses lèvres étaient trempées et encore bien serrées. Je forçais d’un coup et la pénétrais brutalement jusqu’au fond.
« Ah!, hum, vas y Pierre, baise moi ».
Je me penchais sur elle, et plaçais mes mains sur ses seins couverts par ce top bleu. Je la relevais un peu et là, je commençais mes vas et viens par à coup, brutalement, sauvagement, avec force. Sa chatte était serrée, Je lui faisais mal en la prenant ainsi mais c’est ce qu’elle voulait la garce.
« Tiens, prends ça, grande sur !!! »
Lexcitation montait, et je commençais à la sauter de façon continue, je la pilonnais, mes couilles cognaient sur ses fesses. Je ralentissais un peu puis je reprenais mon rythme et ainsi de suite. Je sentais ma jouissance arriver et jaccélérais de plus belle. Sophie retenait ses gémissements de peur d’alerter nos parents. Elle nen pouvait plus.
« Oh oui, Sophie, ça vient, je vais te lâcher mon foutre dans ta chatte ».
« Attends Pierre, retiens toi encore, je sens que je viens également, je veux que tu me fasses jouir avant ! ».
Je devais tenir encore pour quelle puisse jouir, je nen revenais pas. Jallais faire jouir ma sur. Je lâchais ma main droite et la glissait jusqu’à son clitoris. Elle le sentit et me regarda.
« Vas y, caresse mon bouton en même temps, ça va venir »
Je continuais mon va et viens tout en lui caressant son clito avec mes doigts. Elle mouillait de plus en plus, elle venait, et puis je sentis des spasmes montaient en elle.
« Ah!, oui, petit frère, oh putain, continue, je jouis ».
A ces mots, mon excitation arriva à son apogée et je mis mes mains sur son cul et dun bon coup de butoir, je lui déversais ma semence.
« Tiens, ah!, oui, je me vide, salope ».
« Oh oui petit frère, cest chaud, je sens ton sperme en moi ».
Je me retirais, Sophie se retourna et membrassa fiévreusement avec sa langue, elle avait lart de me rouler un patin qui me faisait toujours autant deffet. Je lenlaçais et lembrassais aussi.
« Tu mas bien défoncé avec ta grosse bite, je file au toilette, ça commence à couler et puis je pense quils vont bientôt descendre. On serait mal si les parents nous voyaient ainsi».
« Vas y grande sur, moi je vais masseoir et laisser ma queue débander, je tadore ».
Après notre petit déjeuner, nous avions décidé daller faire un petit jogging
A suivre,