Aujourd’hui j’ai envie de me vider les couilles sur toi.
Je vais te chercher dans ta niche où tu es allongée nue. Je t’attrape par ton collier de soumission et je t’amène dans le salon. Je te fais mettre à plat ventre puis, avec une corde, je t’attache les mains dans le dos. Puis je te retourne et je te mets sur le dos. Je relève tes jambes et j’attache alors tes genoux au niveau de tes coudes. En bonne soumise, tu te laisses faire. Ainsi ficelée, tu as les jambes bien relevées en arrière et ta chatte bien écartée.
Je me saisis de mon Martinet et tout en te regardant droit dans les yeux, je commence à te donner des coups sur la chatte. Tu gémis à chaque claquement du fouet. Et encore plus quand une lanière effleure ton clitoris brûlant.
Quand je considère que ta chatte a été assez marquée, je cesse les coups. Des larmes coulent de tes yeux, ton mascara dégouline. Tu pleurniches un peu à cause de la douleur. Je me saisis alors d’un foulard et te l’enfonce dans la bouche, j’en ai marre d’entendre tes jérémiades de petite fille.
Je pose alors le fouet et j’attrape un petit plumeau. De mes doigts experts, j’écarte délicatement les lèvres de ta chatte mutilée par le fouet pour laisser apparaître ton clitoris rouge et turgescent.
Je commence à frotter délicatement la plume sur ton clitoris et sur tes lèvres. Cette sensation d’excitation et d’irritation est insupportable. Tu tentes de te soustraire à mes caresses mais tu es trop bien ligotée. Tu gémis, tu remues, tu essaies de me dire d’arrêter, mais le bâillon limite toutes tes paroles. Moi, je prends un malin plaisir à te caresser délicatement avec cette plume. A la faire courir sur les lèvres de de ta chatte de salope et à l’intérieur de tes cuisses. Tu frémis à chacun des attouchements. Je crache un peu de salive sur ton clitoris et je commence à le faire rouler sous mon pouce. Tu n’en peux plus ! Le plaisir, l’irritation, tout ça t’amène inexorablement à l’orgasme.
D’un coup, tu jouis en te crispant et en tremblant de tous tes membres. Tu es en transe et pour te remettre les idées claires je te donne une grande claque sur la chatte. Tu sursautes et tu reviens vite à la réalité. Je serre alors ma main autour de ta gorge, très fort, tu as du mal à respirer. Je plante deux doigts dans ton vagin ouvert et je commence à te branler avec violence. L’orgasme précédent t’a bien préparé à ce nouveau supplice. La jouissance monte très vite. Et dans un râle gâché par le bâillon, tu lâches une grande giclée de mouille qui remonte jusque sur tes seins.
Tu as le ventre inondé de tes sécrétions vaginales, mais l’orgasme a été intense. Je suis surpris par ta réaction de femme fontaine. Ma main est trempée, alors j’enlève ton Bâillon et je te la présente pour que tu la nettoies. Ta petite langue s’affaire avidement sur mes doigts, le goût de ta chatte t’excite encore plus.
Je saisis alors ton sein gauche et je commence à le maltraiter. Je le serre fort, je pince le téton. Tu continues à lécher ma main, mais tu serres un petit peu les dents de temps en temps sous la douleur. Tu aimes ça, petite putain. Quand ma main est bien propre et lubrifiée de ta salive, je la présente à nouveau entre tes jambes. Mais cette fois mes doigts s’insèrent dans ton cul. Sans préparation, je plonge quatre doigts dans ton trou. Tu laisses échapper un gémissement, ma main est large. Je commence alors à te doigter le fion. Tu gémis, je te défonce ta rondelle qui se dilate rapidement. Le plaisir remonte à nouveau, tu n’es qu’une petite pute et tu adores être maltraitée.
Quand l’orgasme te saisit à nouveau, tu te mets à hurler ton plaisir, les voisins vont être contents. Un nouveau jet de mouille sort de ta chatte et inonde à nouveau ton ventre. Je ressors ma main de ton orifice anal. Il reste bien ouvert et je te présente à nouveau mes doigts pour que tu les nettoies. Le goût n’est pas le même mais tu lèches quand même. Tu es mon esclave, tu te plies à tous mes plaisirs.
Je sors enfin ma queue et je me mets entre tes jambes. Tu es heureuse, tu te dis que je vais enfin de baiser ! Mais je commence à frotter mon gland sur ton clitoris. Cette sensation douce te fait chavirer la tête. Quel plaisir que ton maître te caresse ainsi. Ma bite de velours sur ta chatte. Tu me supplies de te pénétrer, de te déflorer. Mais je n’en fais rien. Je te réserve, ma petite vierge pour plus tard. Je continue à me frotter sur ton clitoris. Ma masturbation est insupportable pour toi. Cela dure depuis dix bonnes minutes, tu n’en peux plus. Tu désires cette queue, cet énorme gland qui se frotte à toi. Dans un râle, je me vide les couilles sur toi. Mon sperme gicle jusque sur tes seins. Il coule sur ta chatte. Tu sens la chaleur de ce liquide se déposer sur ta peau. Tu jouis encore sans aucun contact de ma part, juste à l’idée de ce plaisir ultime pour toi. Tu es une grosse salope soumise et j’adore ça ! Je vais continuer à te faire souffrir pour mon plaisir et pour ton plaisir. Tu es mon esclave petite chienne.
La prochaine fois c’est ma main entière que je veux dans ton cul. Tu le sais…. Il va falloir t y préparer…!