Lundi (début août)
8 heures. Je descendis mes deux étages pour me retrouver au bureau ; plutôt pratique.
J’avais salué les collègues et j’attendais impatiemment ma tante, qui avait pour habitude d’arriver pour 8 h 30.
Elle occupait une place importante dans le groupe financier, étant chargée des relations clients avec l’Amérique du Sud. Pour ma part, mes tâches quotidiennes consistaient à faire des traductions comme dit auparavant ; je me trouvais une certaine aisance dans mon anglais depuis mon arrivée en juin.
Nous étions début août et une nouvelle stagiaire me laissait croire que je ne lui étais pas indifférent. Mais bon… Moi de mon côté, j’étais occupé à autre chose.
8 h 30 ; ma tante arriva. Elle portait un petit ensemble veste et jupe en beige clair, avec des chaussures qui mettaient en valeur ses pieds, ou plutôt ses ongles parfaitement soignés. Je pense être "dérangé" comme la plupart de nos contemporains, mais il est vrai que je fantasme sur les pieds de ma tante.
Nous nous fîmes la bise devant mes collègues, comme si de rien n’était. Elle me lança de manière inattendue :
Si tu as un moment, j’ai un problème de traduction avec un mot français.
Pas de problème ; je passerai avant midi, lui répondis-je.
C’était pour ne pas attirer l’attention, bien que je n’avais qu’une envie : la rejoindre immédiatement. Sans être un maniaque de l’heure, je regardai ma montre : enfin midi ! Les collègues quittèrent les bureaux pour la pause vers la cantine, située au 10ème étage.
Je rentrai dans son vaste bureau sans toquer. Chantal était au téléphone et me fit signe avec l’index d’approcher ; elle était fort séduisante dans le style femme d’affaires. Son bureau était grand, et sa fenêtre assez large donnait sur une vue implacable de la City. Elle raccrocha pour me dire comme un rêve :
Écoute, je vais te proposer une chose car j’ai bien réfléchi cette nuit.
Je t’écoute, Chantal.
J’avoue que j’étais attentif à ce qu’elle allait me dire.
Nous sommes lundi ; Andrew va rentrer samedi prochain. Si tu es d’accord, pourrais-tu passer la semaine chez moi ? Seule, je ne suis guère rassurée ; et puis j’aimerais que l’on soit ensemble.
Je la regardai de bas en haut ; elle sut très bien que je la dévisageais, et je m’entendis lui répondre :
Chantal, tu m’en vois ravi.
Tu pourras venir vers 19 heures.
Puis elle se leva et vint me faire un baiser dans le cou. Elle prit mes mains pour les mettre sur ses hanches. Oh là là… Mon cur se mit à battre à 100 à l’heure, et je commençai à descendre mes mains pour lui caresser les cuisses tout en approchant mes lèvres des siennes. En remontant sa jupe, je lui caressai ses fesses si douces et je m’attardai dans son entrejambe. Stupeur : elle n’avait pas mis de culotte !
Une joie intérieure s’empara de moi. Par cet acte délibéré de ma tante, j’eus la forte impression qu’elle se soumettait de bonne grâce à mes désirs du moment. Ma tante était pour ainsi dire nue sous sa jupe. Sur l’instant, ma joie se transforma en amertume : dans mon esprit, je la considérai comme une dévergondée, mais son sourire fut suffisant pour me rassurer ; ce fut un sourire de complicité et d’autosatisfaction. Chantal me montra ainsi qu’elle était capable de relever mes défis, même les plus audacieux.
Tu vois, mon neveu, tu as demandé poliment et je l’ai fait, dit-elle avec un large sourire coquin à souhait.
Évidemment, ma réponse fut on ne peut plus claire :
Comme tu peux me plaire dans ta façon d’être !
Il était 12 h 05, et il ne fallait pas tarder vis à vis des collègues. Je l’embrassai vigoureusement et commençai à l’exciter. Visiblement, elle n’attendait que ça, et mes exploits d’hier lui étaient restés dans la tête.
Il faut y aller, Jean…
Elle ne put finir sa phrase : j’avais soulevé sa jupe et je lui passais lentement ma main dans son entrecuisse ; ma tante mouillait comme une folle. Elle se laissa caresser, ressentant le plaisir monter en elle, inexorablement. D’une voix timide, elle me fit :
Non, il ne faut pas, Jean…
Je sais que tu en as envie.
Ouiiii, j’y pense depuis hier soir.
Sans rien lui demander, je la plaquai contre son bureau et j’enlevai mon pantalon. Jambes écartées, je m’agenouillai et lui écartai son beau derrière. Je savais que Chantal aimait se faire doigter. Ma main glissa sous son chemisier pour lui caresser le ventre et de l’autre, j’introduisis mon majeur dans sa fente savoureuse. Rien qu’avec mon doigt, je sentis combien il m’aurait été facile de lui faire voir les étoiles.
Ma tante ne broncha pas ; elle se laissa doigter par son neveu. Elle mouilla de plus belle quand j’entrepris de lui faire des baisers coquins dans sa nuque tout en étant collé contre elle. J’approchai mon sexe bien gonflé vers ses fesses nues et si douces et je la pénétrai d’une seule traite tant elle "m’attendait". Tandis je me sentais inondé du bonheur d’être en elle, Chantal se tenait à son bureau en susurrant :
Petit salaud ! Tu sais que j’aime, en plus…
Chut, Tatie, et laisse-toi faire.
Je défonçais ma tante à grands coups de reins. Fesses à l’air, je rentrais langoureusement entre ses longues jambes et je donnais des coups secs lorsque j’étais bien au fond de son intimité. Elle se mit à gémir vigoureusement, surprise par ma précipitation inhabituelle de la prendre aussi vite.
Chantal… je veux t’entendre jouir !
Ça ne va pas tarder, mon chéri.
Alors je continue ? lui dis-je, le souffle haletant.
Ma tante ne prit pas le temps de répondre ; d’intempestifs gémissements se firent entendre de plus belle. Tout se mélangea dans ma tête : j’étais en train de baiser ma tante dans son bureau ! Mes coups de reins à répétition eurent raison de ma tante ; elle se cambra encore un peu mieux pour me sentir en elle.
Oh, comme j’aime quand tu me baises comme ça !
Tu aimes, ma belle, hein ?
Oooh ouiiii… J’aime trop !
S’ensuivit une longue décharge de ma part ; que dis-je : un déferlement d’un plaisir brut, sauvage, voire primaire. Ma tante se prit la main entre les dents ou sur la bouche, je ne sais plus, pour étouffer son orgasme déferlant. Je jouis pleinement en elle. Encore un dernier coup de reins et j’entendis Chantal :
Oui, encore… Continue à me défoncer.
Tu aimes m’avoir en toi ? dis-je, épuisé.
Oooh oui… Si tu savais comme j’aime comment tu me prends !
Une merveille, cette femme qui était ma tante.
Elle contint une nouvelle fois ses gémissements en mettant sa main devant la bouche… Mais la réalité nous rattrapa : des bruits dans le couloir se firent entendre. Je remontai mon pantalon ; Chantal prit la peine de s’essuyer. J’eus le temps de lui voler un baiser, et sortis de son bureau en lui disant :
Tatie, je passerai ce soir vers 19 heures.
Oui, Jean, s’il te plaît : vers 19 heures.
Je croisai un type dans le couloir ; nous nous saluâmes puis, comme si de rien n’était, je me dirigeai vers la cantine.
Ma tante me rejoignit. Je constatai qu’elle était légèrement décoiffée. Elle s’assit en face de moi, le visage lumineux, en m’adressant un sourire de complicité, mélange de tendresse et de désir apaisé. La satisfaction de ma tante d’avoir joui aussi intensément une nouvelle fois avec son neveu apparut dans sa manière de parler :
Jean, tu es complètement fou ! me dit-elle, tout en pensant le contraire.
Fou de toi, comme on dit ! dis-je en riant.
Oui : un peu folle de toi, avoua-t-elle.
C’est la première fois que tu le fais au travail ?
Évidemment ! Pour qui me prends-tu ?
Alors si c’est une première, c’est que tu deviens amoureuse !
Ma tante esquissa un tendre sourire. Elle jubilait intérieurement d’avoir fait l’amour au travail et des derniers mots que je lui avais arrachés de sa pensée.
Notre repas terminé, nous fîmes comme si de rien n’était. Nos promenades devinrent de plus en plus courtes pour ne pas attirer l’attention.
Je revins la voir dans l’après-midi.
Chantal était occupée au téléphone et me fit signe de sortir. N’écoutant rien, je m’approchai d’elle par derrière et lui fis un baiser dans le cou, endroit hautement érogène chez ma tante. Elle raccrocha en écourtant la conversation.
Légèrement démaquillée depuis ce matin, ma tante n’en était pas pour le moins encore plus excitante.
Tu es follement sexy, ma Tatie, cet après-midi.
Ah non, tu ne vas pas recommencer… dit-elle d’une voix bien légère.
Je sentis dans ses paroles un ton qui sonnait faux. Elle qui parlait de manière soutenue avait eu un ton désinvolte dans sa réponse, une réponse négative qui se voulait engageante, encourageante… Je regardai ma tante comme une friandise : l’idée de la bouffer une nouvelle fois fit son chemin. N’y tenant plus, je me plus à lui déboutonner son chemisier pour découvrir ses épaules charmantes.
Non, Jean, il ne faut pas recommencer : quelqu’un peut venir d’un moment à l’autre. Tu imagines…
Oui, j’imagine.
Mais tu n’écoutes pas, Jean…
Je n’imaginais rien du tout et n’écoutais rien non plus.
Au fond de son bureau, il y avait cette fameuse cloison qui faisait office de couloir pour ses archives sans porte. Il y avait toujours ce tabouret pour consulter des documents, tabouret qui s’avérera bien utile pour la suite. Sans manifester un mot, je saisis ma tante pour l’amener dans cet endroit "secret".
Ce que nous faisions était à haut risque, mais quand le risque prend part au plaisir, ce dernier n’est-il pas encore plus jouissif ? Tout en gardant mes chaussures, je retirai mon pantalon. Assis sur le dit tabouret, je soulevai la jupe de ma tante et "l’installai" sur moi, sans aucune réticence de sa part. Ma verge était au rendez-vous ou au garde-à-vous vu les circonstances !
Chantal avait changé de visage : elle me disait "oui" avec ses yeux de biche. Ma tante, à califourchon sur moi, dirigea mon sexe vers le sien d’une manière imprécise, emportée par sa fougue. Dans l’action, j’en avais profité pour lui ôter son soutien-gorge. Pressée par le temps, elle s’empala finalement carrément sur moi avec un soupir de soulagement. Une fois encore, j’avais vu juste dans la tonalité de sa réponse : Chantal avait encore envie de moi sur son lieu de travail. Lieu hautement symbolique pour briser un interdit de plus, comme le fait de s’accoupler avec le fils de sa sur.
Mon sexe retrouva la douce chaleur du bas ventre de ma chère tante. J’étais en elle, je la serrais contre moi, je sentais ses tétons bien durs, et surtout la moiteur de sa belle intimité… Ma tante donna le "tempo" en basculant son bassin.
Comme elle était excitante, ma tante, cette grande blonde si bien foutue ! Elle contractait son vagin de temps à autre, ce qui me permettait de mieux sentir ma tante au fond de moi. La chaleur de son orifice devint contagieuse pour nous deux. Elle sentit que j’allais jouir, aussi elle s’approcha encore plus près de moi pour mieux m’embrasser. Chantal se mit à transpirer de bonheur, elle continua d’onduler du bassin, pour mon plus grand plaisir. Moi, sentant que j’allais m’exprimer en elle, la serrant de plus en plus et la tenant par la taille, je lui murmurai dans le creux de son oreille :
Je crois que je t’aime, Chantal…
Et moi donc, mon amour…
Elle se crispa tout à coup et pencha sa tête en arrière. Pendant ce temps, je poussais des gémissements de plaisir intense. Je réalisai que j’avais pris le contrôle de son corps, aussi je la collai contre moi en pleine jouissance et continuai à la faire jouir à grand coups de boutoir dans son corps sublime. Je sentis Chantal au bord de l’orgasme, tant elle s’agrippait à moi, geste ultime d’une belle femelle se sentant prise au piège du plaisir par son mâle conquérant, moi !
Défonce-moi, Jean ! Continue ! C’est trop bon…
Pas si fort, mon amour, on va nous entendre…
Nos langues s’entremêlèrent. Elle avait fermé les yeux et je lui caressais ses fesses bien fermes à pleines mains. Je n’aime guère cette expression, mais je déchargeai avec violence toute ma semence dans le corps de ma tante. Je jouis en elle merveilleusement… Chantal colla ses lèvres aux miennes pour se garder de crier, tant son orgasme fut intense. Elle se cala sur moi, ce qui me permit de sentir le contact de ses lèvres intimes, bien ouvertes entre mes cuisses.
Nous baisions, ma tante et moi, comme des damnés du sexe. Elle raffolait de moi, je raffolais d’elle. L’instant était merveilleux entre nous, nos sensations étaient communes, nos sens étaient en fusion, nos esprits se mélangeaient dans un tourbillon insensé. L’extase à l’état brut. Elle ne s’occupait plus de moi et continuait à ondoyer du bassin pour s’octroyer un plaisir qui se dissipait lentement. Nous étions en nage, trempés d’amour. La notion de temps avait disparue, nos pensées étaient vides…
Comme j’aime faire l’amour avec toi… me dit-elle comme une sorte de compliment ou de satisfaction face au jeune amant que j’étais.
Comme j’aime te baiser, ma tante chérie…
En guise de réponse, Chantal prit du recul et me fit le sourire d’une femme comblée de satisfaction, ce à quoi je lui volai un dernier baiser car il était temps de se rhabiller : il ne fallait pas oublier que nous étions au bureau !
À ce soir, ma Tatie d’amour.
Oui, à ce soir… me dit-elle, légèrement essoufflée.
Je quittai son bureau sur la pointe des pieds, tel un Arlequin quittant sa Colombine.
[à suivre]